Chapitre 2 : Déjeuner En Paix (Suite De Jenifer La Coquine)
Comme vous lavez constaté dans le premier chapitre des chroniques de mon éducation sexuelle par ma belle, fraiche et excitante cousine, Jenifer adore faire monter la température dans les milieux (en fait, cest légèrement plus bas, entre les jambes, que ca saffole
) masculins.
Jenifer ne sen privait pas et le petit déjeuner pris une allure torride quand elle se leva de la table, prétextant la recherche dun paquet de céréales dans un placard surélevé. Elle se tourna et me présenta son petit cul bombé quelle cambra plus que de raison durant sa recherche céréalière. Jétais donc témoin, au saut du lit, c'est-à-dire la queue à moitié dressée, dune apparition particulièrement appétissante, ce qui a achevé de durcir mon sexe comme de la pierre.
Je limaginais se retourner en implorant mon aide, avec sa moue de petite fille déçue de ne pas avoir son du. Je monte sur une chaise, dévoilant devant son visage la protubérance formée dans mon caleçon par un mandrin raide et suintant de pré sperme. Elle passe alors la main dessus à travers le tissu, comme envoutée, puis sort lobjet de ses convoitises de son écrin avant de le humer puis lengloutir telle une forcenée. Ses respirations deviennent aussi rauques et saccadées que les miennes, entrecoupées de petits gémissements de chatte en chaleur.
Elle va et viens sur ma bite avec ses lèvres pulpeuses et me lèche le gland dans le même temps, mmmh cest bon, cest doux, cest chaud, si chaud que je ne tarde pas à lui envoyer de longs jets de foutre brulant dans la bouche, liqueur quelle avale goulument en me regardant jouir. Je descends alors de la chaise et lembrasse langoureusement en la pressant contre moi. Je goute ma liqueur sur ses lèvres tout en lui caressant les fesses.
tes une sacrée garce, toi, tu mériterais une correction, lui murmurais-je à loreille.
Je lallonge sur la table, son cul offert à tous mes désirs. Elle se déhanche, cuisses écartées, afin de frotter sa minette dégoulinante sur la table, en gémissant :
- oh ouiiiiii, fais ce que tu veux, je suis ta chienne soumise, enfile moi comme une catin !
A ces mots, je ne me contrôle plus.
Alors comme ca tes une trainée, une chiennasse? Allez, à quatre pattes salope, et à poil, vite !
Tout de suite, mon beau !
Ta gueule, catin ! Une chienne en chaleur, ca parle pas, ca couine, tas compris ? Satisfait dentendre un gémissement en retour, je me dirige vers la niche du chien, jatt la laisse, et de bon cur je commence à lui fouetter le cul :
-Ahhh, cest comme ca que taimes te faire défoncer, petite pute, bien soumise et offerte à tous les sévices ?
Oh ouiiii, prends moi, encule moi, déchire moi par tous les trous !!!
Je tavais dis de la boucler, tes rien quun vide-couilles, un sac à foutre ! Beuglais-je en redoublant defforts sur son petit cul meurtri et sa chatte qui coulait abondamment.
Puis jarrête, et je contemple ces fesses bronzées et à présent zébrées de rouges prêtes à recevoir un mandrin déjà tout mouillé de tout à lheure. Je lui passe ensuite la laisse autour du cou puis tire dessus pour lui faire comprendre quelle va me sucer de nouveau. Elle sexécute sur le champ et maspire la bite comme une furie.
Ouuuaaahhhhh, putain tes un aspirateur à bites toi, viens à quatre pattes, chiennasse, on va dehors. On sort du mobile home, moi debout, avec Jen en laisse, et la je présente mon gland à lentrée de son petit trou sous le soleil, dans le jardinet dépendant de la location. Des voisins vicieux nous matent de leur mobile home, et un papy viens carrément saccouder à la barrière en se polissant le braquemart.
Moi, je continue dentrer dans la rondelle de ma cousine, centimètre par centimètre, mais sans jamais reculer, tout en tirant sur la laisse pour la cambrer au mieux. Elle est ailleurs, sa respiration est saccadée et irrégulière, de longs filaments de salive pendent sur ses lèvres, son menton, et je continue mon avancée dans ce cul étroit et tout à fait exquis en lhumiliant du mieux que je peux.
Notre petit manège a alerté du monde, et quand je commence mes aller retours dans son anus je maperçois que papy nest plus tout seul a se branler, il a été rejoint par une vingtaine de touristes excités comme pas permis de voir ma cousine hurler de se faire enculer sauvagement en laisse. Jinvite alors tous ceux qui veulent se faire sucer à présenter leur queue devant Jen. Cest une véritable file dattente qui sorganise devant elle. Elle pompera toutes les bites jusquà la dernière goutte. Jen étant expert de nature dans lart de tailler des pipes, je vous laisse imaginer son appétit vu son état dexcitation du moment. Elle a du facilement sucer 30 queues et reçu autant de giclées de sperme sur le visage et dans la gorge. Jai donc pris mon pied de la voir rabaissée au rang de chiennasse, enculée jusqu'à la garde par mes soins et suçant parfois jusqu'à trois bites dans le même temps. Quand je sens mon sperme arriver dans mon canal, je suis en train de la labourer. Mon pubis cogne violement contre son cul, je me crispe et décharge mon foutre dans son cul à ras bord, elle hurle avec une force démente dans linstant puis tombe épuisée sur le gazon, un sourire aux lèvres davoir pris son pied comme jamais.
Cest fou comme un fantasme peut embarquer limagination dun homme aussi loin, pensais-je donc devant mon bol de café, à deux doigts déjaculer dans mon caleçon, quand la voix de Jen me tira de mes pensées lubriques :
-tu voudrais pas me lattr, ste plait ? Jy arrive pas, dit-elle avec un petit sourire en apparence désolé, mais en fait morte de rire de savoir quil va falloir que je me lève, et par la même que je lui découvre une bite bandée à mort dont il était impossible de cacher lexistence, bien que je nai pas précisément les mensurations dun Rocco Sifriedi.
Je la sens me scruter dun regard narquois et goguenard. La, aurez vous envie de me dire, je suis quun jeune petit puceau con et frustré de pas lui mettre le grappin (ou autre chose) dessus (ou dedans). Cest vrai, mais ca faisait longtemps que javais pas vu la cousine et je narrivais pas encore a très bien la cerner, car elle alternait, avec un brio tout à fait remarquable, soit dit en passant, les périodes de minaudage, puis de distance plus prononcée dès que je rentrais un peu trop dans son jeu.
Ce qui fait que, en métirant un peu trop pour lui attr ses céréales à la con, le bouton de mon caleçon craqua, laissant dépasser une bite bouffie de sang, et carrément cramoisie au niveau du gland. Elle pouffa et me conseilla daller me soulager dès que je lui eu tendu les céréales. Je lui répondis que vu quelle savait pertinemment quelle était la cause de cet état, cétait à elle dy remédier. Elle joua loffusquée pour la forme en me traitant de frustré, de puceau pervers et voyeur. Je lui rétorquai quun voyeur qui mate une exhibitionniste na que peu de mérite, et vlan, je me prends le paquet de céréales dans la gueule, en pyjama, la bite à lair et excitée à fond par une cousine allumeuse. Je sais pas si vous imaginez le tableau
Cest ca, foutez vous de ma gueule, en plus !
A ma décharge, Jenifer na pas seulement hérité des attributs physiques de ses racines italiennes, mais également du caractère méditerranéen qui va avec. Et cest aussi ce qui attise un désir si profond chez les males. Non seulement son cul et ses seins feraient bander nimporte qui, mais ses yeux verts renfermant une flamme et une fougue si singulière vous caressant telle une main habile vous feraient jouir dans linstant. Une seule chose mapparaissait comme évidente : je devais sauter Jen avant la fin des vacances, et le plus souvent possible ne serait pas pour me déplaire.
Mais ceci allait changer significativement à partir du soir même, ou nous avons tous été dans une crêperie pour passer une soirée avec mes parents et ceux de ma cousine, et cest la que tout commença pour moi. Vous saurez comment jai été entrainé dans une spirale de lubricité et de jouissance dans les prochains chapitres. Bisous coquins et a plus.
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