Frotti- Frotta Avec La Belle-Mère Pendant Son Sommeil
Caroline, 38 ans, vit avec mon père et moi depuis un an. Souvent, lorsque mon père est en déplacement pour son boulot, elle prend un somnifère pour laider à sendormir.
Un soir, me caressant dans ma chambre, la silhouette de Caroline me parcourut lesprit. Immédiatement, le désir de me rendre dans sa chambre où elle était seule se fit sentir en moi. Après quelques secondes dhésitation, je décide de tenter une approche discrète et me dirige hors de ma chambre. Je nai quun escalier en bois à descendre et le couloir à traverser pour rejoindre la sienne.
En arrivant devant sa porte, les images de son corps habillé de petites culottes, de guêpières affriolantes défilent dans ma tête et ma queue se fait dure dans mon boxer. Je frappe doucement à la porte. Pas de réponse. Je recommence plus énergiquement mais elle ne répond pas. Jouvre doucement la porte et découvre grâce à la lumière du couloir Caroline endormie sous un léger drap. Je reste figé un instant mais ma pulsion se fait plus forte et jentre.
Javance sans bruit jusquà arriver à côté du lit. Elle dort paisiblement sur le dos, juste revêtue dune nuisette bleue brodée dentelles. Je massoies juste à côté delle. Je reste là à la regarder, et lexcitation grandissante de la toucher me submerge. Ma main vient doucement caresser son bras, remontant tout du long jusquà venir frôler son sein droit. Elle semble dormir profondément et cela me fait totalement bander. La confiance sajoutant à cela, je descends le drap qui couvre ses hanches, pour découvrir ses jambes fines. Je meurs denvie de savoir ce quelle porte sous sa petite nuisette, mais je fais durer le plaisir en admirant ses jolies jambes.
Une ou deux minutes plus tard, je soulève lentement le bas de la nuisette, laissant apparaître une petite culotte blanche très légère. Ses lèvres épousent parfaitement la culotte, je bande de plus belle, jai maintenant très envie de la prendre. Je remonte vers le haut de son corps.
Un peu dérouté et pris par la peur, je décidai de quitter la chambre, et je neus besoin que dune petite minute pour jouir seul dans ma chambre, mais bien déterminé à remettre ça dès le lendemain.
Le jour suivant, je rentre vers 22 heures à la maison, tout est calme et Caroline doit donc déjà dormir. Je nai même pas fait dix mètres que je suis déjà excité à lidée de recommencer. Je frappe pour massurer que tout est ok, et me déshabille, ne gardant que mon boxer.
Cette fois-ci, après lavoir vaguement touché pour voir si elle dort bel et bien, je mallonge à ses côtés. Je descends le drap qui la couvre, elle porte à nouveau la nuisette de la nuit précédente. Je décide de recommencer à la peloter pour voir si sa réaction fut la même.
Au bout denviron une minute, elle se mit à bouger mais cette fois-ci, je me contentais de retirer mes mains et de ne pas bouger. Elle finit par se tourner dos à moi, me laissant apprécier le joli string noir quelle avait enfilé. Je contemplais son beau cul, et de mon majeur je parcourus la raie de ses fesses. Mon autre main venait appuyer fortement sur ma queue, la faisant durcir encore plus.
Japproche alors mes doigts de sa petite chatte, et les introduisis à lintérieur de son string. Je sentis sa chatte un peu poilue, et mes doigts recouvrirent ses deux grosses lèvres. Les écartant légèrement, je sentis le bout de son clitoris. Je lance de légères caresses sur tout son vagin, et elle se met alors à se recroqueviller, ce qui a pour effet de coller ses fesses sur ma queue dure. Jabandonne sa chatte pour tenir sa hanche et vient faire des vas et viens avec ma queue sur son cul.
Je finis par libérer mon sexe de mon boxer et prends la main de Caroline. Ses doigts entourant mon sexe, je la fais me branler doucement. Hummmmm quel plaisir ces doigts froids sur ma queue chaude comme tout !
Je décide de jouir en lui caressant son intimité, et mes doigts se font plus ferme sur elle. Elle recommence à bouger mais je ne marrête pas. Elle semble gémir très faiblement, jai une folle envie de la prendre ! Accélérant mon mouvement dans ses légers soupirs, je lâchai ma semence dans mon boxer.
Caroline ne me fis aucune remarque le lendemain lorsque nous nous sommes vus au déjeuner.
Mon père rentre ce soir et devrait repartir sans doute bientôt
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