Mon Petit Secret

Cela fait des années que je vous lis, j’adore l’excitation que peut me susciter une bonne lecture. J’ai toujours eu envie de me mettre à écrire, mais je ne suis pas trop du genre fiction… On dirait que j’ai attendue de vivre la bonne expérience qui me pousserait à vous la faire partager !

J’ai 25 ans, je me suis remise dans les études pas plus tard que l’année dernière et je vis en colocation… Je suis en couple depuis 5 ans, mais le sexe entre nous devient de plus en plus routinier et ennuyant, j’ai essayé des choses mais il est complètement occupé avec son boulot… Pourtant j’adore m’habiller, me faire belle et séduire et je me sentais plus trop attirante depuis quelque temps car il ne me regardait plus…

Cette histoire commence après ma décision de me rendre à Venise pour participer à une formation dans le cadre de mes études. J’étais très excité à l’idée de ce week end post confinement ! Ce n’étais pas le genre de destination qui m’attirait en soi, je croyais que c’était vraiment un cliché ultime pour les amoureux. Et à cette époque, avec mon amoureux ça n’allait pas fort du tout d’ailleurs, et j’étais bien contente de partir toute seule.
J’avais réservé un airbnb dans le centre, et à mon arrivé, je fus bien surprise de la beauté des lieux et de l’âme carrément romantique (et érotique) de cet appartement. La chambre était immense, tout comme le lustre en cristal. Il y avait une magnifique coiffeuse et des miroirs de partout. Je me mis assez rapidement en sous vêtement et j’eue l’idée d’envoyer un petite video watsapp pour faire plaisir à mon copain, qu’il sache que je pense à lui…Je me filme à travers les miroirs en bougeant mes fesses et je lui écrit « Venice is for lovers » Puis je suis descendue boire un cocktail en ville. Mon cocktail fut bon, mais j’étais seule et à ce moment là, je n’en avais aucunement envie. Ma vidéo avait bien été reçue, mais laissée, une fois de plus, sans réponse. J’aurais du être contente d’être à Venise, mais je suis rentrée me coucher, extrêmement blasée.

La nuit fut apparemment réparatrice, je me levais toute contente d’aller découvrir la ville. La conférence commençait à 19h donc j’avais toute la journée devant moi. J’avais complètement changé d’état d’esprit et j’étais simplement heureuse de pouvoir déambuler à travers les rues, libre de faire ce que je voulais. Je souriais à toutes les personnes que je croisais, je sentais mon coeur bondir de découvrir tant de beauté. Arrivé à la Piazza San Marco, je rendis un sourire à un groupe de gondoliers qui attendaient le client. « Do you want to visit Venice with the gondola ? » . Ce devait être la cinquième personne qui me proposait de faire un tour en gondole. Malheureusement, en bonne étudiante que je suis, je n’avais vraiment pas les moyens. Je déclinais poliment et continuer de marcher. Puis je sentis que quelqu’un me rattrappait, c’était un des mecs qui proposait un tour en gondole. Il me dit que puisque je ne voulais pas faire un tour, il me payait un coup à boire. Toujours avec le même sourire, je déclinais. Il commença à insister, et franchement, ça ne l’a pas rendu lourd. Au contraire, au plus je le regardais, au plus j’éprouvais de la sympathie. En rigolant, j’ai dis « ok pour un café » Il nous commanda deux spritz. Nous avons discuté toute l’après midi. Nous avons énormément de points en commun…. Je suis une étudiante en santé et il est ostéopathe. Il me comprends quand je parle de physique quantique et il me parle de méditation et de guérison… Nous avons passionnément parlé et je peux vous dire qu’une rencontre comme celle-ci on n’en fait pas tous les jours. Nous échangeâmes nos cordonnées et nous nous quittions en nous prenant dans les bras.

Le lendemain ma journée fut extrêmement riche en apprentissage, je terminais ma journée de formation à 20h, et je devais marcher une heure dans Venise pour rejoindre mon appart.
J’esquissais un sourire à la vue du message qu’il m’avait laissé un peu plus tôt. Il disait qu’il terminait à 20h et que si je voulais, je n’avais qu’à le rejoindre sur la place où l’on s’était rencontré, il m’emmenerait chez lui pour me préparer un bon repas.
A ce moment là, j’étais complètement hésitante. En fait, j’avais très envie de le revoir, de discuter avec lui, mais de là à aller chez lui, non! J’avais envie de croire qu’il s’était passé quelque chose de plus que juste de l’attirance sexuelle… Et puis, il ne m’attirait pas du tout, je ne connaissais pas son âge mais il devait être plus âgé que mon père. A bien y penser, il avait quelque chose de sexy. J’étais tellement certaine que rien ne pouvait se passer entre nous que j’avais complètement ignoré ce détail.

L’envie et l’intuition plus fortes que la raison, je l’appelle une fois arrivée à la place. On se prend dans les bras pour se saluer. Il me propose ensuite de prendre un bateau taxi car il habite sur l’ile en face. Je refuse tout d’abord, lui disant que je préfère qu’on trouve un bar où aller boire un bon cocktail pas loin de chez moi. Il ose me répondre que le meilleur spritz est celui servi en bas de chez lui… J’entreprends de lui expliquer mon état d’âme, le fait que je ne me sente pas à l’aise d’aller chez lui… Il m’assène d’un grand sourire «  tout le monde me connait ici, tu n’as rien à craindre, je te fais une petit repas, je te montre ma salle de soin et ensuite je te raccompagne au bateau, il y en a toute la nuit » Encore hésitante, il me prends la main. Nous courrons en direction du bateau que nous réussissons à avoir à la dernière seconde. Il me regarde tout content « si on n’avait pas eu ce bateau, tu aurais eu le temps de changer d’avis » J’étais assez contente de partir à l’aventure et je ne pris pas la peine de répondre que je ne lui avais pas donné mon accord !
Comme promis, on s’arrête prendre un spritz, qu’il commande sans alcool. Le mien est assez chargé et nous repartons dans de belles discussions. Puis la faim se fait sentir, il m’accompagne à son appartement. Je découvre un endroit décoré avec gout, propre, et il y a bien une salle de soin avec une table de thérapie manuelle et des livres de partout. Je suis assez rassurée de ne pas m’être trompée sur la personne.

Nous mangeons des spaghettis aux fruits de mer et c’est dé-li-cieux, je me sens vraiment bien et chanceuse. Beaucoup plus détendue. Et lui est beaucoup plus tactile. Je lui avais déjà fait remarquer ce trait de sa personnalité lors de notre première rencontre. Il m’avait dit qu’il aimait sentir les gens en les touchant. Ce soir, il me répète qu’il adore le contact de ma peau. Je ne sais pas quoi répondre, je me sens un peu gênée et en même temps il faut dire que j’adore qu’il pose sa main sur moi.
Voyant ma gêne il arrête. Je lui dis que je suis timide, je ne sais pas quoi dire de plus en anglais… Il me regarde intensément et je vois que quelque chose change dans sa manière de me regarder. Il me sourit. Je décide de sortir sur le balcon prendre l’air et fumer une clope. Je m’assois sur son hamac, la clope me fait du bien, je me demande s’il faut que je m’en aille maintenant. Je ne crois pas me souvenir en avoir eu réellement envie… Le voilà qui sort, et s’assoie près de moi. Mes souvenirs sont un peu confus car tout ce qui se passe ensuite a été assez intense. Je me rappelle sentir sa bouche dans mon cou et me sentir surprise puis tourner ma tête pour le regarder du genre « qu’est ce que tu fous? » . Evidemment, je n’ai pas eu le temps de dire un mot, il se penche et m’embrasse tendrement. Je sens un torrent de passion ou un choc électrique où je ne sais quoi encore me traverser tout le corps. Je n’obéis plus à aucune de mes pensées. Je suis juste là, en train de lui rendre son baiser et je veux que ça dure toute la nuit. La fougue remplace la tendresse et on se bouffe la bouche littéralement. Ses mains, d’abord posées sur ma tête, descendent sur mon corps et je le sens découvrir mes cuisses, mes fesses et mes seins. Il m’embrasse maintenant dans le creux du cou et ses mains se glissent sous mon haut, je l’entends me murmurer que je suis belle, que je sens bon, que ma peau est bonne… je suis si excitée. Quand j’ouvre les yeux, je le vois sortir mes tétons dressés qu’il s’empresse de prendre en bouche…
Il se lèvre brutalement et me dis « come ». Le ton a changé, il est devenu animal. Je me sens sa proie et je veux qu’il me dévore. Je me retrouve sur son lit et il m’arrache mes vêtements. Il caresse puis il me met une fessée. Je suis vraiment trempée et il à l’air d’apprécier mon excitation, qu’il prend bien soin de gouter aussi. Il me lèche et me doigte, je gémis, je suis si ouverte, j’ai envie de le sentir profondément en moi. Il prend mon clitoris dans la bouche et commence à l’aspirer, la sensation est trop bonne, je n’en peux plus, je gémis plus fort.

Il se lève, il a encore son caleçon complètement déformé par sa queue que je découvre énorme. Vraiment énorme, dans le genre j’ai un hoquet de stupéfaction. Il me regarde toujours avec son petit sourire, enlève son caleçon et s’approche de ma bouche. Je n’avais jamais eu de grosse bite dans la bouche… Je n’arrive pas à la prendre à plus de la moitié, mais le diamètre est encore plus problématique, ça me fait carrément mal à la mâchoire d’ouvrir aussi grand la bouche. Il à l’air de quand même apprécier ce que je lui fais, il récupère mes cheveux en queue de cheval et pousse de plus en plus ma tête vers lui. Il choisit ce moment pour me dire que je ne suis pas si timide que ça et que je suis une « bad little girl » Je ne sais pas si c’est son accent italien lorsqu’il me parle mais j’ai vraiment l’impression de tourner un film porno et je me sens vraiment capable de faire n’importe quoi…

Il met un préservatif et mon corps tout entier est prêt à le recevoir. La pénétration n’est pas douloureuse même si je sens à quel point je suis étroite pour lui. Tout mon corps semble flotter tandis qu’il me baise profondément. Il m’agrippe les seins, me bouffe la bouche et me murmure à quel point je suis bonne et qu’il va me faire crier. Je peux remarquer une chose, c’est un expert. Il me prend et me déplace comme bon lui semble, je n’ai pas le temps de me rendre compte que ce que je vis qu’on a déjà changé de position, de pièce, de tapis….
Maintenant sur le canapé, il me retourne et me pénètre encore, et m’enfonce son doigt dans le cul, son autre main agrippant mes cheveux, je me sens complètement possédée par lui. Ce sentiment grandit, il continue de me parler alors que j’en suis complètement incapable. Il me dit que je suis sage et obéissante, et qu’il avait vu que j’étais une vrai coquine…je l’encourage à continuer, le plaisir monte de plus en plus fort, je pose une main sur mon clitoris, je sens que ça dégouline tout le long de mes cuisses. Ses coups de reins sont de plus en plus rapides, je le sens taper sur mon cul, et je tapote mon clito ce qui m’arrache des gémissements, le plaisir monte en vague et ma voie devient rauque « I come, i come, i come » , je le répète de peur qu’il arrête. La jouissance est divine. Je tremble, je ne sens plus mes jambes.

Je n’ai pas eu le temps de m’en remettre qu’il me met à genoux et me dit d’ouvrir la bouche. Je me sens si vulnérable, je lui dis «  i never did that », je n’ai jamais fait ça… Il a l’air d’en être ravi, je le vois s’amuser avec mes lèvres, introduire sa bite dans ma bouche, la ressortir et il joue à ça pendant un moment. Enfin, il me dit de le regarder et je le sens venir. Il ne fait aucun bruit… J’ai la bouche remplie, il ne s’arrête pas d’éjaculer, je suis surprise et je veux juste cracher… Quand il a finit il me regarde et me demande « tu n’as pas avalé ? » je fais non de la tête…Il me dit que je peux aller cracher et me regarde presque en train de rire ! Nous avons fini par ouvrir une bonne bouteille de rouge, puis la nuit étant vraiment avancée je décidais malgré sa proposition de rester dormir, de rentrer chez moi pour être en forme le lendemain.
La fin de ma formation s’est bien finie, j’avais juste des images de sexe environ toutes les 15min dans ma tête et je souriais comme une idiote.
Puis je suis rentrée en France, j’ai retrouvé mon copain et j’ai pris soin de supprimer tous mes messages watsapp venant de lui… Nous avions prévu de nous revoir, et j’ai sagement attendu de ces nouvelles ….