Jute D'Abord

La petite aventure que je vais vous raconter a commencé pas plus tard que la semaine dernière. Quand j’ai pénétré dans l’immeuble où j’habite, un tout jeune homme est rentré juste derrière moi. Avec ses airs d’adolescent, il ne devait pas avoir beaucoup plus que dix-huit ans.
J’ai commencé à monter l’escalier en souriant toute seule, car j’avais remarqué son manège : il montait lentement de façon à être plus bas que moi pour regarder sous ma minijupe, le coquin !
Je dois avouer que je suis tout particulièrement sensible au désir des puceaux. Et lui, ça ne faisait aucun doute qu’il était puceau. J’en étais sûre et certaine. Bien sûr à son âge de nombreux garçons ont franchi le pas avec une ou plusieurs copines déjà, mais lui, il était petit, pas très épais et surtout, malgré son physique avantageux, on le sentait peu sûr de lui. Bref, pas le genre de garçon qui intéresse les filles de son âge.
Il se collait contre la rampe d’escalier pour mieux voir. Il était trop émouvant ! Il fallait que je fasse quelque chose pour lui ! J’ai volontairement fait tomber quelque chose de mon panier. Pour le ramasser, j’ai tourné le dos à la rampe d’escalier et je me suis penchée en avant, sans plier les genoux. Je l’ai entendu s’arrêter. Il se tordait le cou à force de mater. On dit souvent que je suis jolie, mais ce sont mes jambes et mon petit cul qui rend les hommes complètement fous ! En rentrant chez moi, j’étais peut-être encore plus excitée que lui ne l’était. Depuis que je suis mariée, il m’est déjà arrivé deux fois de dépuceler des petits jeunes, c’est très amusant et à ce moment, j’avais une immense envie de recommencer.
Le lendemain, je me suis fait un devoir de le guetter et je l’ai aperçu par la fenêtre alors qu’il revenait vers notre immeuble. Je me suis dit qu’il n’avait aucune chance de m’échapper, j’allais me le taper et pas plus tard que le jour même. J’ai fait semblant d’être occuper sur le palier et quand il est arrivé, je lui ai demandé s’il pouvait venir m’aider à porter une lourde valise.

Je l’ai amené dans ma chambre. J’avais laissé traîner sur mon lit un soutien-gorge et deux trois petites culottes, histoire de créer une atmosphère ! Je suis montée sur une chaise. Ma jupe était très courte qu’en me mettant sur la pointe des pieds, elle remontait jusqu’à découvrir ma petite culotte dont je m’étais affublée. Il me regardait béatement. J’ai décidé de m’amuser avec lui.
«Mais dites donc, faut pas vous gêner ! Vous alors, on peut pas dire que vous n’avez pas les yeux dans votre poche, espèce de sale petit vicieux ! » Impossible de devenir plus rouge qu’il ne l’était ! A tel point qu’il allait se mettre à pleurer. J’ai aussitôt fait baisser la pression. « ça n’est pas grave, c’est normal à votre âge ! » Je suis descendue de mon perchoir en me collant à lui. Il était plus petit que moi, mais pour ce que je voulais en faire ça n’avait pas d’importance.
Ma Main est descendue entre ses cuisses, et je l’ai peloté au travers l’étoffe de son jean. Je sentais ses couilles rouler dans ma paume. Enfin, je l’ai débraguetté, je me suis mis à genoux et la reine de la turlutte est entrée en action. Un puceau, il vaut mieux le faire juter une première fois, sinon il vous laisse en plan trop vite. Ce qui est dommage pour lui, c’est que sa première pipe soit dispensée par mes soins, parce qu’il n’a à peu près aucune chance d’en savourer d’aussi délicieuses une autre fois de sa vie ! Tous mes amants m’ont confirmé que j’étais la reine des pipes ! Le jeune homme eu comme un sanglot en se vidant les couilles dans ma gorge.
Ensuite histoire de le remettre en forme, je me suis déshabillée très lentement devant lui. Au passage, je suis venue lui lécher les couilles. Il rebandait déjà très dur. Je me suis allongée sur le lit, en m’appuyant sur les avant-bras. Je ne voudrais pas me lancer des fleurs, mais je voyais dans le miroir de l’armoire le spectacle que je lui offrais et c’était vraiment craquant ! Mes fesses roses étaient cambrées, la raie du cul s’ouvrait, tentatrice du diable, et, dessus, obscène, ma belle chatte rose l’attendait. J’ai vraiment envie de me faire mettre ! J’ai joui dès que j’ai senti et vu dans le miroir sa bite s’enfoncer dans ma moule gluante. Il avait cette fois plus de résistance et j’ai eu un second orgasme sous ses coups de queue, un peu avant qu’il ne jute en moi.
Tout de suite après, je l’ai congédié en lui demandant de ne plus chercher à me voir dans l’intimité. Comme il était déçu, je lui ai dit de venir à son prochain anniversaire, que je lui offrirai une petite gâterie dont j’ai le secret