Candaulisme Dans Un Club Échangiste
Mon amie Chrystel et moi avons 32 ans et cela fait pas loin de 10 ans que nous sommes ensemble. Après en avoir beaucoup parlé, souvent de mon initiative, nous avons franchi le pas de l'échangisme il y a 3 ans, en commençant par des trios avec d'autres hommes parce qu'à priori, c'est ce qui nous faisait le plus fantasmer tous les deux. Un soir où nous avions bu un peu de bon vin, je lui ai lancé un défi, celui d'aller dans un club échangiste situé à côté de chez nous, "juste pour voir" et sans obligation de notre part de participer. Elle s'est préparée, rasé et parfumé le minou, habillée sexy mais soft avec une robe noire et des chaussures plate-forme qui lui galbaient les jambes. C'était un vendredi soir et dans le club en question, le vendredi, c'est soirée "mixte" : les hommes seuls y sont acceptés. Mais ça, nous n'en savions rien. L'attente devant la porte blindée du club nous parut une éternité. Pendant cette attente, deux hommes sont arrivés, qui se sont mis à détailler ma belle des pieds à la tête, en s'attardant sur son cul. Si elle était plutôt gênée de la situation, je commençais pour ma part à être franchement excité. Lorsque nous entrons dans le club, nous trouvons une ambiance très sympa, similaire à celle d'une discothèque conventionnelle, au détail près que la tenue vestimentaire de la taulière, faite de vinyle et de strass, n'a rien de conventionnel. En revanche, il n'y a pas foule sur la piste, la soirée ne semblant pas avoir décollée. Nous prenons une consommation et allons nous installer dans les fauteuils, le coeur palpitant à 150 ppm ! Quelques gentlemen viennent s'assoir près de nous, à tour de rôle, pour faire connaissance. Nous discutons de choses et d'autres, sans aller plus loin. Puis, la piste se remplissant, nous laissons notre timidité sur les banquettes pour aller nous trémousser. Chrystel se fait approcher par des hommes qui la prennent par la taille et dansent quelques pas avec elle, mais là encore, ça ne va pas plus loin que dans une boîte conventionnelle car la miss ne se livre pas.
Après avoir repris une coupe de champagne, nous décidons, un brin éméchés, de visiter les « coins-calins », ensemble de pièces plus ou moins fermées situées à l'étage. Nous commençons par assouvir notre curiosité en regardant, lorsque c'est possible, des couples ou des groupes faire l'amour. De voyeurs, nous devenons exhibitionnistes lorsque, émoustillés par le spectacle, vu au travers d'un hublot, d'une jeune femme en train de se faire baiser par deux hommes. Je passe en effet dans le dos de Chrystel, qui est absorbée par la scène, pour la caresser. Au début, je prodigue mes caresses à travers sa robe sur ses seins, ses fesses, puis sa chatte. Peu à peu, devant le plaisir qu'elle prend, je m'enhardis et sors de sa robe ses mamelons aux tétons durcis. Pour les couples et hommes nous entourant, le spectacle est alors autant à l'intérieur de la pièce où la jeune demoiselle crie de plus en plus fort qu'à l'extérieur, où ma chérie se met à gémir doucement... La situation nous excite au plus haut point tous les deux et mes mains se font de plus en plus agiles, dansant sur son clitoris et triturant ses tétons. Quelques courageux tentent une approche mais nous ne sommes pas encore prêts à passer à l'acte, ce qu'ils acceptent avec beaucoup de courtoisie et de dignité. N'y tenant plus, nous allons nous installer dans une de ces pièces où des hublots de navire permettent aux voyeurs d'assister aux ébats des libertins. Pas esprit « cool », par naïveté, et peut-être un peu par calcul de ma part, nous ne fermons pas la porte à clé. Nous commençons alors une longue séance de préliminaires, comme nous les apprécions tous les deux. Elle me suce, je la déguste. Une fois, deux fois, trois fois, des hommes entrent dans la pièce pour nous proposer leurs services. Nos refus se faisant de moins ne moins catégoriques à mesure que notre excitation grandit, certains restent quelques minutes pour nous regarder. Je pense que cela nous a habitués tous les deux à la présence d'un autre homme dans notre intimité.
Et puis, coup de folie ou coup de poker, sentant Chrystel chaude comme la braise, j'invite par hublot interposé un jeune spectateur mignon à entrer dans la pièce. Il est grand, blond et très costaud (nous apprendrons par la suite qu'il a 22 ans et est moniteur dans une salle de gymnastique). Notre ami est aussi terrorisé que nous et, par timidité, Chrystel ne contribue pas à le mettre à l'aise en le bombardant de questions plus ou moins existentielles mais fort peu à propos. Je détends l'atmosphère en reprenant mon cunilingus, ce qui a pour effet de transformer immédiatement les paroles de Chrystel en gémissements langoureux. Notre ami en profite pour venir l'embrasser, puis la caresser... quelle excitation de voir ma chérie ainsi livrée aux mains baladeuses d'un autre, quel pied de la voir embrasser avec fougue un inconnu! Mais le paroxysme de cette excitation de voyeur, pour moi, fut l'instant où le jeune homme, après avoir dégrafé son jean, descendit son caleçon pour dévoiler son sexe en érection sous le nez de Chrystel. Sans hésitation, ivre de plaisir, elle se saisit du manche pour le sucer. Ensuite, il l'a baisée en missionnaire puis l'a prise en levrette pendant que Chrystel me suçait. J'ai pris le relai et sous nos assauts cadencés, elle a joui. Nous étions tous trois aux anges. Nous avons pris un verre dans le club, nous sommes quittés et ne nous sommes jamais revus.
Par la suite, nous avons connu d'autres expériences de ce type, souvent très agréables.
N'hésitez pas à me contacter,
Bien à vous,
David
admin
Jan. 31, 2023
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