Voyage Protocolaire.
La cérémonie du couronnement était derrière tous le monde et maintenant il fallait penser à construire lavenir. LEurope était en réelle en survie depuis la sortie de la guerre. Et malgré son père et son grand père il restait beaucoup de travail à faire.
Anne-Sophie était dans son bureau quand on lui annonça :
« _Majesté. Monsieur votre père demande à vous parler
»
La jeune impératrice accepta évidement.
« _Père
_Allons ! Relève toi. Cest toi maintenant limpératrice. Plus moi. »
Le père dAnne-Sophie avait abdiqué en faveur de sa fille. Il était maintenant un vieil homme malade et diminué.
« _Père comment vous sentez vous ?
_Je vieillis de jour en jour. Ca en dit long sur mon état. Mais parlons plutôt de toi ma fille. Jaimerai savoir ce que tu vas faire maintenant ?
_Maintenant ? Mais il reste tout à faire ! Le travail que vous avez accompli avec grand père est déjà énorme mais il faut apprendre à vivre dans ce nouveau monde.
_Il faut surtout que tu apprennes à défendre ce nouveau monde. Que sais tu de la pression extérieur ?
_Les Etats dAmérique sont trop loin et bien trop englués dans leur division et leur diversité pour se permettre le luxe de regarder à lextérieur. La Chine et lAsie ne se reconstruiront pas daussitôt. LAfrique est encore trop dépeuplée depuis la guerre. Il ne reste que la Russie qui à déjà beaucoup a faire avec ses voisins dans le besoin. Depuis la sortie de la guerre elle nous laisse tranquille je ne vois pas pourquoi elle ne continuerait pas.
_Cest vraiment comme ça que tu vois les choses ? Alors regarde cela un peu
»
LEmpereur père sortit un dossier de dessous son bras.
« _Cest un dossier des services secret. Il ma été remis hier.
_Je vois
Mes propres agences ne mobéissent pas encore. Quest que ça veut dire
_Ce rapport stipule des déplacements des troupes Russes dans la région frontalière dEurope lEst.
_Et alors ? Cette région est un no man's land que nous navons pas les moyen de surveiller. Cela doit leur causer des désavantages quils doivent régler. Je ny vois pas de problème.
_Cest de la provocation. Sache que durant mon règne jai du lutter ferme pour que la Russie laisse lEurope indépendante ! Ta mère en est même morte de fatigue ! Alors tu vas me faire le plaisir de te lever de cette chaise et daller rendre une visite de courtoisie au puissant Tzar Salantas avant quil nenvahisse lEurope ! »
Anne-Sophie ne su quoi dire. Son père avait raison. Elle devait bien cela à sa défunte mère. Une semaine plus tard le voyage était organisé, et les autorités Russes acceptées la rencontre. Cela allait se produire dans le Palais de Lviv où les Tzar avaient eu la clémence dinstaller un lieu de rencontre pour offrir moins de voyage aux empereurs Européens.
Anne-Sophie y était déjà allée dans sa toute jeunesse accompagnant ses parents. La jeune impératrice regardait les décors défiler depuis les hublots de son avion. Elle était dans un appartement privé de lavion avec une demoiselle de compagnie.
« _Daprès le commandant de bord nous en avons pour cinq heures de vol. Majesté.
_Je sais et pourquoi pas me dire que ça va durer une éternité ? Eléonore.
_Parce que je vous trouve bien pensive.
_La dernière fois que jai fait ce voyage jétais gamine je riais tous le temps, le monde me paressait bien jolie
Aujourdhui il est noir et agressif. Même le Pape le la fait ressentir. »
Eléonore était une jeune fille de 18 ans blonde aux yeux bleus elle était demoiselle de compagnie au près dAnne-Sophie depuis toute petite. Alors quAnne-sophie nétait alors que Princesse impériale. Anne-sophie était habillait dun voile transparent et Eléonore dun simple paréo. Toutes étaient nues en dessus. Alors que lImpératrice était debout devant un hublot, Eléonore était allongée délicieusement sur un sofa de la cabine privée.
« _Quest ce que je vais bien pouvoir lui dire au Tzar moi ?
_Que vous êtes très heureuse de le rencontrer. Vous ne le connaissez pas ?
_Non, je sais quil a été impliqué dans la politique bien avant son règne et bien avant moi. Je ne vais pas faire le poids
Pourquoi Père voulait-il que je lui rende visite ?
_Pour faire de vous une véritable Impératrice en pleine possession de ses moyens. La conscience des réalités est une vertu politique. »
Anne-Sophie sétait assise sur le Sofa collé à Eléonore. Cette dernière glissa ses mains sous le tulle de lImpératrice pour lui faire un message du dos.
« _Hum
Ca fait du bien
Je me sens tellement stressée.
_Détendez vous et tout ira bien.
_Tu vois, quant on regarde ça comme ça. Cest comme sil se cachait quelque chose derrière tous ça quon ne me lavait pas dit
Portant cest moi maintenant lImpératrice. Même les services secrets ne me sont pas encore acquis. Ils passent par mon père avant de minformer
Hum, cest bon. »
Eléonore avait enlevé lhabit de sa maîtresse et avait adjoint ses lèvres à ses mains. Anne-Sophie recevait le câlin avec tendresse. Elle aimait bien jouer avec sa demoiselle cela lui accordait beaucoup de bonheur. Elle se retourna alors et embrassa Eléonore. Les mains dAnne-Sophie restaient pendantes mais celles dEléonore attrapaient les seins de sa maîtresse pour les faire frissonner. Elle connaissait bien Anne-Sophie et savait exactement ce quil fallait faire pour la divertir.
Dabord la mettre Anne-Sophie en confiance. Eléonore continua le baisé jusquà sentir le corps de lImpératrice se ramollir. Ensuite elle allongea la jeune fille et sallongea de tout son long pour créer un contact charnel entre leur deux corps. Puis il fallait créait chez Anne-Sophie une demande. Eléonore faisait ses mains coquines est promeneuses.
Les sourcils froncés par le changement dattitude, Anne-Sophie nintervient pas et se laisse entraîner dans la pente endiablée de son corps de jeune fille.
Les seins dAnne-Sophie pointent quand son torse se cambre sous les assaut de la main trifouilleuse dEléonore. Elle agite le petit bout de chair. Pour cela elle enfonce bien sa main pour écarter les jambes et les chairs dAnne-Sophie. La jeune Impératrice halète, éprise par le plaisir dêtre excitée par cette main outrageuse. En parallèle de tout cela Eléonore couvrait de baisers sa maîtresse qui voyait sa volonté brisée par tant de tendresse. Mais bientôt elle devrait sen séparer car Eléonore allait consacrer sa bouche au sexe de sa maîtresse pour passer à la vitesse supérieur.
Quant Eléonore se leva pour changer de position Anne-sophie écarta instinctivement les jambes. Les deux orifices étaient alors offerts aux facéties de la blonde servante. Tout lentre jambe de lImpératrice dégoulinait des visqueuses sécrétions, le Vagin béant attira comme un aiment la langue dEléonore. Cette dernière connaissait sa maîtresse et étant elle-même femme elle savait quelle naimait pas quon lui introduise les doigts. Cependant le touché rectal était fortement recommandé. Une première main taquine le clitoris, la langue masse lintérieur de la paroi vaginale et la seconde main titille lanus de limpératrice. Les sensations des ces trois zones se combinèrent alors en un puissant plaisir qui remontait jusquà la tête faisant un rage au niveau de ses seins en feu et létourdissant.
Dans linsistance du doigt dEléonore lanus dAnne-Sophie souvrait volontairement pour offrir une entrée dont la demoiselle ne privait jamais. Un doigt entier senfoncait dans larrière train impérial provoquant ainsi de nouvelles sensations. Eléonore faisait maintenant des coups de langue sur toute la vulve pour déclencher des minis orgasmes alternant entre prise en bouche et caresse de la langue. Sous limpulsion des insistances de sa servante, Anne-Sophie essayait doccuper ses mains, elles passaient de caresses dans le dos dEléonore à un pincement sauvage de ses propre tétons pour attr afin ses cheveux. Anne-Sophie sentait tout son corp excité, offert et manipulé. Elle en voulait encore plus Eléonore la pénétrait partout les moyens. Elle avait augmenté le nombre de doigts en elle. Anne-Sophie de ne savait pas combien mais tous ce qui lui importait sétait de sentir ses fesses bien écartées et son espace complètement occupé. La langue dEléonore bousculait maintenant frénétiquement le clitoris dAnne-Sophie chaque mouvement provoquait un déferlement de bien dans le ventre de lImpératrice. Rien au monde ne pouvait être meilleur à cette heure sy. Anne-Sophie fut obligée de libérer ses cris sous la pression des sensations qui la dominaient. Ses orteils étaient tout recroquevillés sur eux-mêmes. La langue dEléonore avait repris son travail de fond alors dune des mains impériales pris en charge le clitoris. Des filés gluants reliaient le vagin dAnne-Sophie à la boucle dEléonore. Dans la vitesse de touché que lImpératrice simposait à elle-même. Des bruits de liquide gluant se faisait de entendre de plus en plus fort ! Les cris dAnne-Sophie samplifiaient, bientôt tout le corps impérial fut pris de soubresauts alors quil se crispait tout entier sous leffet dun orgasme libérateur venu du plus profond de son être. Létreinte finie, Eléonore et Anne-Sophie avaient du mal à se séparer. La servante faisait jouer ses doigts dans les replis de la vulve mouillée de sa maîtresse. Les deux se regardaient dans les yeux. Elles avaient une réelle relation amicale quelles aimaient concrétiser par ces jeux sexuels. Elles sembrassèrent avant de se lever. Sur le sofa il ne restait quune flaque visqueuse étalée.
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