Caroline, La Bourgeoise Abandonnée (4)
Je te retourne sur la table et entreprends de jouer avec ton clitoris. Tu as les jambes en lair, légèrement écartées, mais retenues lune à lautre par le fil de ton tanga qui est au niveau de tes chevilles. Glissant un doigt, puis deux dans ta chatte chaude et humide, jaccélère les mouvements de ma langue sur ton organe du plaisir, et tu te mords les lèvres pour éviter de hurler. Tes mains ont déboutonné ta chemise, sortis tes seins de leur prison de baleines et de tissu, et sactivent à triturer les deux tétons rosés qui pointent fortement. Jinsiste pendant quelques minutes, jusquau moment où, cédant à lorgasme, tu te cambres sur le bureau et laisse échapper trois giclées de cyprine qui viennent maculer mon avant-bras.
Une fois les vagues de plaisir quelque peu estompées, je me redresse, enfile un préservatif sur ma verge tendue et la place à lentrée de ton vagin.
Je vais te baiser, maintenant, dis-je.
Tu ne dis rien, mais tu me regarde avec insistance. Je peux percevoir dans ton regard le désir qui tenvahit, mais aussi la peur de linterdit. Finalement, tu hoches la tête et je mintroduis en toi, lentement, délicatement. Tu sens ce chibre gonflé qui te remplis toute entière, et qui vient buter dans le fond de ton intimité, à intervalles réguliers. Jeffectue des mouvements amples, délicats et profonds, et tu narrives pas à réprimer tes gémissements de plaisir. Mes mains parcourent ton corps, caresses tes jambes, tes cuisses relevées, tes hanches, ton ventre et pétrissent tes seins gonflés par le désir, jaccélère la cadence, te porte jusquau point de lorgasme, puis marrête dun coup, pour te r sexuellement. Je recommence cette manuvre vicieuse plusieurs fois, et, à chaque fois, le plaisir est plus grand et lorgasme plus proche. Tu nen peux plus tu fonds, tu gémis, tu me dis.
Arrête, stop. Retourne-moi. Prends-moi en levrette.
Comme une petite chienne ?
Oui
prends-moi comme une chienne, dis-tu, amusée de tentendre prononcer ces paroles.
Je mexécute alors, te retourne sur le bureau, me place derrière toi et pose mon gland turgescent contre lentrée de ton sexe et mintroduis dun seul coup. Tu es extrêmement étroite, dans cette position, ta chatte est serrée, mais elle est tellement trempée que je coulisse naturellement à lintérieur. Je recommence à faire des allers et retour dans ton vagin qui se contracte et se détends à intervalles réguliers, me procurant un massage des plus exquis. Les aller-retours délicats du début saccélèrent, et se transforment en véritables coups de boutoir. Jempoigne ton sein dune main et pose lautre main sur ton clitoris, accélérant encore le rythme. Tu laisses échapper un gémissement de plaisir, que tu réprimes de peur de nous faire remarquer. Tu cambres le dos davantage afin que mon sexe vienne buter avec insistance contre ta paroi antérieure, sur ton point G, et tu halètes, les deux coudes posés sur la table du bureau. A mesure que jaccélère la cadence, ma main sactive sur ton clitoris et sur ton sein, et je sens un deuxième orgasme monter en toi. Afin déviter de crier dans le bureau, tu te retournes vers moi, nos yeux se fixent du regard avec une lueur de passion et de désir, puis tu membrasses avec force pour réprimer les gémissements de ton orgasme. A mon tour, je nen peux plus, je sens léjaculation monter, alors je te préviens, mais tu me dis :
Non, pas dedans, je veux que tu gicles sur mes fesses.
Tu te retourne, arrache le préservatif de mon sexe, et tallonge sur la table, exposant ton séant rebondi et magnifique. Tu me regardes comme une véritable chienne qui veut se faire arroser de semence. Ma main sactive avec force sur ma hampe et je sens lorgasme monter. Tu me regardes dans les yeux, ton visage est allumé dune lueur sauvage, comme je ne lavais jamais vu avant et tu me dis :
Jouis mon chéri! Pour moi !
Ne pouvant résister à lordre que tu me donnes, je jouis à mon tour et déverse sur tes fesses les salves de ma foutre, qui viennent sétaler sur ces deux miches blanches et fermes.
Nous nous rhabillons en vitesse, afin déviter de nous faire surprendre dans cet état. Tu as mal reboutonné ton chemisier et ton tailleur est tout froissé. Cette allure débraillée mexcite énormément et je ne peux pas mempêcher de te plaquer contre la porte du bureau afin de tembrasser sauvagement en te pétrissant les seins. Jintroduis mes doigts dans ta fente humide et tu gémis de nouveau.
Non arrête, pas encore
On va finir par nous surprendre
mmmm non
oui
encore
comme ça, continue, masse la bien
oh je tadore je tadoooooore.
Je te laisse reprendre ton souffle, et taide à te rhabiller. Tu me regardes et je lis lamour et le plaisir dans tes yeux verts. Tu embrasses frénétiquement chaque morceau de mon visage.
Oh tu ne vas pas ten tirer comme ça, mon chéri, dis-tu. Je veux te voir et te revoir encore. Si tu savais comme jai aimé tromper mon mari avec toi
Samedi prochain, nous sommes invités, mon mari et moi, chez des notables, à quelques kilomètres de Paris. Jaimerai beaucoup que tu viennes, avec ta femme. Je vous laisserai deux invitations à lentrée.
Je vais lui proposer. Elle sera ravie, jen suis sûr, elle adore les soirées mondaines. Mais je ne veux pas que tu laisses les invitations à lentrée, cela risquerait dattirer sur nous les soupçons de ton mari, et il vaut mieux quil reste étranger à notre relation le plus longtemps possible.
Alors, je fouille dans la poche de mon pantalon et jen sors une petite clef en argent.
Cela tombe bien, javais prévu de te la donner, de toute façon. Cest la clef dune boîte postale que je possède dans le bureau de poste du XVème arrondissement, Rue de la Convention. Tu pourras y déposer les invitations, jai un double de la clef. Dautre part, je compte utiliser cette boîte pour que nous puissions communiquer les lieux et dates de nos prochains rendez-vous, et te faire passer ainsi quelques surprises
Pour cela, je veux que tu te rendes tous les jours à la Poste après ton café avec tes amies afin douvrir la boîte et voir ce que je ty ai réservé.
Tu sembles à la fois surprise, excitée et contente de mon initiative. En effet, cette boîte postale est un moyen sûr et discret de communiquer sans risquer de nous faire prendre. Et tu as hâte de savoir ce que je tai réservé comme surprise.
Le lendemain matin, en quittant tes amies, tu prends la direction de la Poste, partagée entre langoisse et lexcitation. Sophie te demande pourquoi tu ne prends pas le chemin de ton bureau et tu lui réponds que tu as un colis à aller chercher. Après avoir cherché quelques minutes parmi les dizaines de boîtes de la poste, tu trouves finalement la numéro 1806. Le nom de Surcouf est écrit de mon écriture fine et penchée. Tu prends la petite clef dargent que tu avais soigneusement remisée dans ton porte-monnaie et tu lintroduis fébrilement dans la serrure qui tourne en grinçant légèrement. A lintérieur, il y a un petit paquet cadeau et une enveloppe sur laquelle il est inscrit :
A nouvrir quà labri des regard indiscrets.
Tu mets le paquet et lenveloppe dans ton sac, et tu reposes les invitations dans la boîte avant de la refermer et de quitter le bureau de poste. La journée te semble extrêmement longue et tu narrives pas à te concentrer à ton travail, trop curieuse de savoir ce que renferme le mystérieux paquet. Le soir venu, tu couches tes s tôt afin de déballer ton cadeau.
A lintérieur de la boîte en carton, il y a un une paire de boules de geisha en métal brillant. Elles font la taille de deux beaux calots, et sont reliées par une fine lanière de cuir. Tu ouvres la lettre qui y est associée et lis mon mot :
Caroline,
Voici un petit cadeau de ma part pour te remercier de mavoir tant procuré de plaisir, hier. Comme tu le vois, il sagit dune paire de boules de geisha. Je veux que tu prennes bien soin de les laver avec application, ce soir, car tu vas en avoir besoin demain.
Bonne chance,
Marc.
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