Je Ne L'Avais Fait Auparavant

Secretaire fidele et dévouée à mon patron depuis 6 ans, j'ai toujours été une femme exemplaire jusqu au jour où le soir d'un pot de depart en retraite d une collégue j'ai un peu sur le champagne. N'étant pas en état de rentrer seule en voiture, mon patron m'a gentillement proposé de me ramener. Honteuse de mon état, j'ai refusé une premiére fois pour finalement prendre conscience que c'etait tout de même dangereux. Il était une heure du matin, la fête étaient finie et je le suivis jusqu'a sa voiture. Essayant de garder une certaine assurance, je n'osais pas lui parler et il m'ouvrit la porte de la voiture tout en me disant:
"- ce soir c'est moi qui suis à votre service ,je suis votre chauffeur et c'est vous qui donnez les ordres.
Je souris et il me mit à l'aise , je le remerciais de sa gentillesse lui exprimant quand même un sentiment de géne de ma part. Dés que nous fumes assis à l'intérieur il posa sa main sur mon genou pour me dire qu'il me devait bien cela et qu'il ne voulait pas qu'il m'arrive quelque chose vu mon état et qu'il avait encore besoin de moi. Surprise par ses propos et son geste d'affection, je ne sus pas comment interpréter cela. Je ne répondis pas , il me vint de droles de choses à l'esprit et il se rendait compte de mon trouble. Il se mit à me complimenter me disant que j'étais une femme remarquable, intelligente, dévouée me trouvant particuliérement charmante lors de cette soirée . Sa main se fit plus pressante pour s'aventurer lentement vers l'intérieur de ma cuisse. Malgré mon trouble je ne réagissais pas, plutot flattée par ce que je venais d'entendre et de part mon état pas tout à fait clair,je pris concience de ce qui se passait sans oser lui demander de retirer sa main . J'avais chaud et je n'avais plus toute ma lucidité , je le laissais me caresser sans participer. Il chercha mes lèvres mais je lui refusais une premiere fois lui disant qu'il ne devait pas . Il insista puis nos langues se trouvèrent et s'échangèrent un baiser pendant que sa main devenait plus audacieuse.

Mes cuisses s'ouvrirent lentement sans controle de ma part au fur et mesure que ses doigts avancaient, ma tète se mit à tourner, je voulu de nouveau réagir, montrer que j'étais une femme mariée et sérieuse mais je le laissais quand même me caresser , me palper. Je le suppliais d 'arrêter mais sans grande conviction, ses gestes devenaient plus pressants , Assez honteuse de prendre un certain plaisir je lui signifiais que nous étions aller trop loin et qu'il fallait que je rentre, il ne semblait pas m'écouter et s'affairer à déboutonner mon chemisier. Je ne le repoussa pas quand sa main se posa sur mes seins et je ne savais plus quoi faire . J'étais entrain me faire pelotée par mon patron et j' y trouvais un certain plaisir, une sensation de chaleur me torturait puisamment le ventre, ma respiration s'accélérait. Il me dit que j'étais belle, que ma peau était douce , et me demandait de quoi j'avais envie . Ma réponse fut spontanée :
- je suis votre assistante, je n'ai jamais décidé à votre place.
Et j'ajoutais :
- Mais que voulez vous que je fasse ...
De part mes mots, j'affichais mon désir et j'avais le sentiment de déculpabiliser pour m'offrir pourtant à un homme autre que le mien , la jupe remontée jusqu'en haut des cuisses, chemisier ouvert la poitrine offerte .J'avais perdue toute pudeur, le désir l'avait emporté sur la morale. Cette situation était irréellle et je voulais savoir jusqu'ou je pouvais aller mais je réalisais que nous étions dans le parking et que n'importe qui pouvait nous surprendre. Certes nous étions garés assez loin des derniéres voitures à l'abri des regards. Quand il me présenta un membre énorme que je pris dans la main. Mon regard ne pouvait se détacher de cet organe et il me demanda de le carresser avec mes deux mains en ajoutant qu'il etait sur que je n'avais eu dans entre les doigts un sexe aussi beau que le sien. Il semblait si sur de lui dans sa voix et si prétentieux, j'en avais la gorge seche et mes mains tremblaient. Je tentais de me calmer et le masturbais lentement, je sentais les battements de l'afflux de sang sur son membre . Je tenais dans ma main un sexe tres dur ,chaud, plus gros que celui de mon mari et je me demandais comment j'en étais arrivée là .Prise entre la honte et le désir , puis il me dit :
- je connais vos compétences professionnelles , montrez moi d'autres talents , je suis persuadé que vous allez être à la hauteur..." .
Je continuais à le masturber doucement prenant conscience de mes actes , il me posa sa main derriére la nuque et approcha ses lévres de mon oreille pour me dire qu'il aimerait que je lui fasse une fellation.Il n'attendait pas une réponse de ma part et d'une main ferme, il me fit pencher vers l'avant pour me présenter à quelques centimétre de mon visage un sexe qui me paraissait encore plus impréssionnant.Résignée,je commençais par l''embrasser délicatement le gland , il voulait que je ne me serve que ma langue alors je le léchais comme un cornet d'amour et je commencais à apprécier ce que je faisais.Ses mains me caressaient le dos , les épaules, les cheveux et il appréciait ma prestation.Quand il me demanda de le prendre plus en bouche je n'hésitais pas une seconde en entamant une fellation plus gourmande . Dans un état d'excitation extréme , je le dévorais littéralement et je l'entendais raler de plaisir. Alors quand j'ai senti qu'il allait jouir, j'ai voulu me retirer. D'une main ferme, il m'empécha de me retirer pour jouir dans ma bouche et il m'envoya une vague abondante de semense je recrachais instinctivement aussitot. Je ressentis de suite comme un sentiment d'humiliation mais cette sensation se transforma vite en sensation de nouveau plaisir que je n’avais jamais connu auparavant. Il maintenait sa main dans mes cheveux en me demandant de le "finir". Il me remit son sexe dans la bouche et sans hésiter je le nettoyais en me délectant de son nectar. Puis il me remercia pour lui avoir donné autant de plaisir s'excusant de ce qu'il venait de me faire subir.