Préparation Pour Contre Attaque

Dans l’avion qui me ramenait en Europe je restais silencieuse et triste. Tous mes rêves de princesse s’étaient effondrés. Je ne pourrais rien faire avec mon Europe et mon peuple continuera avec un niveau de vie misérable…

J’étais dans ma cabine assise sur le même sofa où Eléonore et moi-même nous nous étions amusées quelque heures plutôt. Les genoux remontaient sur ma poitrine. Je ne m’étais pas habillée je n’en avais pas eu la force j’avais juste sur moi un tissu de satin qu’Eléonore m’avais mit sur les épaule lorsqu’elle m’avait trouvé sur le lit.
En effet, en sortant de leur ébat Salantas était sortit nu devant tout monde pour achever mon humiliation. Eléonore s’était alors précipitée pour me réconforter.

Je n’étais pas seule. Eléonore était à mes côtés et Amira Shekland aussi. S’était un de mes généraux d’état major. Cet homme était compétent mais manquait cruellement d’assurance.

Il était entré dans ma cabine pour me donner des nouvelles de la ville Brno, elle avait été en effet attaquée mais pas rasée comme me l’avait dit le Tzar.

Le reste du voyage je prenais sur moi et l’humeur me revient peu à peu. Une fois à Bruxelles je convoquais mon état major afin de mettre la situation à plat. Lors de cette réunion je décidais de faire intervenir l’armée contre les forces Russes introduite en Europe. Je refusais le chantage de Salantas !
Amira, présent à cette réunion ne dit pas grand-chose et ne fit que confirmer les quelques idées émises par les autres.
Une fois finis nous nous retirâmes tous les deux pour fixer les détails des opérations.

« _Je pense qu’il faudra débloquer 3 unités ici et non 2, cette zone est en ligne directe avec une vallée et donc trop facile d’accès. Et encore ici si on ne débloque pas l’aviation ça ne sert à rien de s’attaquer à cette zone…
_Vous avez l’air de vous y connaitre général.
_Vous savez Majesté… C’est juste de la logique.


_Vous semblez corriger beaucoup de choses.
_Les discussions avec trop de monde ne donnent jamais rien.
_Je suis sûr que c’est autre chose. Tout ça vous aurez pu le voir si vous n’aviez pas peur de vous exprimer en public.
_Non, ce n’est pas vraiment ça.
_Oui c’est ça et vous êtes général, il vous faut de l’audace de la personnalité.
_Mais j’en ai !
_Alors embrassez moi Amira !
_...
_Allez y. Posez au moins une main sur ma hanche… Voilà, maintenant approchez vous de moi. »

Amira fini par m’embrasser. Jusqu’à présent nous entretenions une relation amicale et professionnelle mais là j’entrevoyais peut être quelque chose de plus profond. Les deux dernière fois que j’ai fais l’amour c’était pour des histoires politiques où je n’avais pas le choix. J’avais besoin de croire encore aux belles choses de l’amour. Et l’occasion semblait pouvoir se présenter avec Amira. Instinctivement je prenais le dessus sur le baiser que nous nous faisions. Amira n’avait pas un physique repoussant et cela me suffisait amplement.
Ce jour là je n’étais habillée que d’une robe de bure blanche impériale et j’étais nue dessous. Dans un déploiement de mes bras ma robe tomba. Et je vis Amira rougir et même hésiter. Je me collais à lui et lors que je fus persuadée qu’il allait abandonner puis il prit soudainement les choses en main commençant à modeler mon corps comme il souhaitait. Il découvrait mes seins, mon dos, mon visage. Dans sa timidité il avait un comportement presque amoureux et délicat. Après ses mains, ce fut au tour de sa bouche de découvrir mon corps, il était très attentionné et faisait de mon cou l’épicentre de mes vibrations et des mes envies. Amira faisait de l’alliance de ses mains et de ses lèvres un puissant instrument de plaisir à mon égard.
Nous étions toujours assis l’un à côté de l’autre et notre travail avait bien changé. D’un bras autoritaire Amira balaya la table et je m’assis face à lui. Mes jambes entrouvertes laissaient entre voir mon intimité rasée qui devenait moite à mesure que nos préliminaires s’approfondissaient.
J’avais les yeux fermés pour rêver de ces attouchements, bientôt mon corps n’aurait plus de secret pour mon général je commençais à avoir hâte qu’il passe à l’étape suivante. Mais Amira prenait son temps tripotant soigneusement chaque zone mon corps m’enflammant le désir jusqu’à son paroxysme. Autant de plaisir et d’attente me créait une frustration qui ne faisait qu’augmenter ma demande, bientôt je le voulais, lui, tout entier en moi je ne voulais plus qu’il me pénètre mais qu’il me défonce ! Ma chatte bavait de désire et d’envie. Ma peau s’hérissait et les frissons me faisaient trembler d’impatience.
Peu à peu les baisers d’Amira descendaient sur mon corps. Mon bassin bougeait in intentionnellement et bientôt les bisous arrivèrent sur mon pubis rasé et la fente serrée de mon sexe dégoulinant. Tout mon entre jambe était brillant du liquide qui me faisait fontaine. Sous la pression de sa langue les replis de mes chaires s’écartaient pour ouvrir, les petits coups qui heurtaient mon clitoris réchauffé mon ventre dans une envie de me lâcher mes sans pouvoir y arriver. J’écartais mes jambes au maximum pour lui offrir un maximum d’ouverture de moi. Il se releva un instant pour m’embrasser et je vis le tour de sa bouche était recouverte de glue vaginale.
Je guidai son sexe de ma main à l’entrée de mon intimité, son gland décalotté semblait énorme, quand il se posa sur ma peau sensible involontairement il entra en moi dans un flot d’émotions, il semblait parfaitement s’adapter à mes formes, comme un son de sussions nous parvenait aux oreilles, une fois bien au fond de moi, je ne pouvais plus rien faire éprise des sensations qui m’envahissaient je devenais folle de plaisir. Lui, tellement dur qui forçait mon vagin à ses positions. Il commença son coït, doucement d’abord puis intensément je m’accrochais à ses épaule pour ne pas défaillir, tellement je me sentais fondre dans ses bras, les frottements de son sexe en moi commençaient à me provoquer des picotements délicieux ce là qui vous amène peu à peu jusqu’à l’orgasme.
Ma vulve s’ouvrait et se refermée aux passages d’Amira les glissements comme des caresses à l’intérieur me demandait de crier de plus en plus fort. Ma soumission, mes jambes écartées, ma poitrine offerte à ses mains possessives, les vas et viens dans mon orifice impériale, mes cris excitaient. Il n’en put bientôt plus, mes chairs se laissaient faire par les caresses sexuelles accélérées, frissons et vibrations orgasme et envies il allait de plus en plus vite mon corps se raidissait peu à peu mes seins pointaient par la vague de désir qui m’emportait mon cris se faisait aussi long et doux que l’orgasme qui l’enivré. Son sperme se répandait en moi par longues giclées qui rajoutaient au plaisir de notre corps à corps. Nous dégoulinons de sueur et nos peaux brillantes et glissantes, les odeurs de musque et de sexe, les frissons nous parcourant le corps.
Amira continuait à glissait en moi pour faire durer notre plaisir. Nous nous embrassions et nous caressions. Peu à peu je retrouvais mon souffle.

Le lendemain Amira, face à l’assemblée de l’état major, démontrait une personnalité charismatique et imposante… De quoi faire frémir mon intimité lorsque je le voyais ainsi.

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