La Mission 5
Je me réveillais le lendemain avec la bouche pâteuse, javais dormi toute habillée. Il me fallut quelques minutes pour me souvenir des évènements de la veille.
Ces flics voulaient jouer les durs mais à part peur appétit sexuel énorme, ils étaient bien moins dangereux que Vincente.
Zut en repensant à lui, je me rappelais que je devais lui raconter mon entretien chez les flics. Je ne voulais pas aller dans son bureau. Comment faire ? Lappeler ? Oui cest ça, je vais prendre une douche, un café et téléphone ensuite.
Je filais dans la salle de bain et pris une douche bien chaude. Je sortis ensuite pour prendre lair et pour acheter quelques courses. Je navais pas envie dappeler maintenant, il fallait que je réfléchisse à ce que jallais dire. Je voulais clore le sujet pour toujours.
Je prenais mon temps car je retardais le moment du coup de fil le plus possible. Je me baladais dans un parc près de chez moi et réfléchissais.
Finalement quand je me décidais à rentrer, il sétait passé 3h et il était midi. Je montais les escaliers pour retarder encore linstant. Quand jarrivais sur mon palier, je remarquais que ma porte était entre-ouverte. Je me dis que javais dû mal la refermer, ça marrivais parfois, et je la poussais du pied, javais les sacs de courses dans les mains.
En entrant je sentis une présence derrière la porte, jallais crier mais une main se posa sur ma bouche.
- La patron veut te voir ! Dit Bruno (lhomme de main de Vincente)
Il repoussa la porte du pied pour sassurer que je nallais pas fuir.
- Et il menvoie te chercher !
Je me dégageais et répondis vertement.
- Ecoute, dis lui que jai vu les flics hier et que je ne leur ai rien dit.
- Men fout ! Tu lui diras toi même ! Soit tu viens gentiment, soit je tamène de force. A toi de voir.
Je navais pas vraiment le choix. Mon cerveau fonctionnait à 100 à lheure, il fallait que jarrive à lui échapper, il était hors de question que je retourne dans le bureau de Vincente.
- Ok, je te suis. Laisse moi prendre mes affaires.
Je réfléchis un instant. Peut être que Bruno pourrait simplement dire à Vincente que je nétais pas là quand il est arrivé et que javais disparu de la circulation. Il fallait que je lamadoue. Par tous les moyens.
- Ecoute Bruno. Je ne te lai pas dit lautre jour, mais notre petite relation e dans le bureau du chef ma beaucoup plu.
Je mapprochais de lui lentement et prenant une mine un peu gênée. Il me regardait essayant de voir si je lui racontais des salades.
- Tu sais Vincente est un peu violent avec moi parfois, et il me fait peur. Toi tu as été très doux. Et jai aimé ça. Alors, voilà, je voulais te remercier cest tout.
Je ne voulais pas éveiller ses soupçons alors, je ne lui demandais rien pour le moment. Je me tut un moment, et fis mine de prendre des affaires à mettre dans mon sac. Un moment de silence interminable passa. Et enfin, il répondit.
- Ouais, cétait pas mal. Tes plutôt bonne comme fille et tes pas mal en plus.
Il commençait à me regarder un peu plus et je sentais quil fallait que je dise le bon mot pour que tout bascule à mon avantage, du moins lespérais-je.
- Tu sais, je ne crois pas que Vincente sera fâché si nous arrivons un peu plus tard
On peut manger un petit morceau. Jai fait des courses.
Je restais à ma place. Je ne voulais pas quil pense que cétait un plan. Je voulais que ce soit lui qui fasse le premier pas. Il réfléchit un instant puis fermant la porte à clef, il sapprocha de moi.
- Ok pour un déjeuner. Mais si tu crois que je ne te vois pas venir, tu te trompes. Tu vas préparer un truc à bouffer pour nous deux et pour ça tu vas te foutre à poil. Complètement. Je veux voir tes nichons et ton cul pendant que tu cuisines ça a toujours été un fantasme. Et pendant que je prendrai mon dessert, tu vas me sucer. Ensuite, je verrai si je te laisse filer.
Finalement il était plutôt moins bête quil en avait lair. Lessentiel était quil me laisse partir. Je lui répondis que jétais daccord pour une dernière gâterie et je me déshabillais lentement devant lui.
Jenlevais ensuite lentement mon soutien gorge pour dévoiler mes seins un à un et je les caressais ensuite doucement pour lexciter un peu. Puis me retournant je fis glisser lentement mon string sur mes fesses en me penchant bien pour quil aie un vue imprenable sur mon cul et mon sexe.
- Tes trop bonne ! Va mettre des talons et reviens !
Je mis une paire de chaussure à talons hauts que jutilisais beaucoup avec mes clients (enfin, ceux de Vincente). Et je revins en me déhanchant. Cette situation dexhibitionnisme mamusait beaucoup et commençait à mexciter un peu. Malgré le danger de la situation.
- Tu peux préparer à manger. Je te regarde.
Je me mis derrière les fourneaux. Je fis un plat simple et rapide en prenant soin de me retourner souvent pour quil me regarde. Je mis un peu de crème fraîche sur mon sein droit et lui demandait de la lécher. Ce quil fit avec plaisir en me pelotant le cul. Je me penchais en avant pour lui donner un meilleur accès à mon cul pendant quil léchait mes seins. Il caressa la raie en appuyant au passage sur mon petit trou. Et je lencourageais avec des petits gémissements.
Le plat était prêt nous pouvions passer à table. Il me fit minstaller à coté de lui et nous finîmes une bouteille de vin à deux. Je voulais le faire boire, mais cest lui gagna la partie sur ce point parce que bien entendu, il tenait mieux lalcool que moi !
Comme dessert, je navais que des yaourts ou des crèmes dessert. Il prit une crème dessert. Il retira ensuite son pantalon et son caleçon, comme prévu.
Jallais me baisser pour lui tailler une pipe quand il se retourna dun coup.
- Non, finalement, je veux que tu me lèches le cul. Je veux que tu passes ta langue sur mon cul et que tu lèches bien chaque millimètre. Je veux sentir ta langue entrer dans mon cul le plus loin possible. Vas-y !
- Mais, cétait pas prévu comme ça
Je navais jamais fait un truc pareil. Et javoue que ça me dégoûtait un peu. Je reculais, mais il me pris par les cheveux et se mit à genoux sur le canapé. Il tira ma tête vers son cul et menfonça le nez dedans.
Plus je résistais, plus il appuyait et cette situation de contrainte avait lair de lui plaire énormément. Il maintenait mes cheveux serrés dans sa main et fis bouger ma tête de haut en bas, pour me montrer le mouvement.
Passé la surprise, je sortis ma langue et commençais timidement à lécher sa raie de haut en bas. Finalement, ça nétait pas désagréable. Il avait fait sa toilette et mis à part le tabou que je brisais, il ny avait là rien de bien sorcier. La perversité de mon geste et sa main dans mes cheveux mencourageant et me forçant (quoiquil nen avait plus besoin) mexcitait de plus en plus. Et javais maintenant envie dêtre la vicieuse quil voulait que je sois.
Je léchais alors avec beaucoup de salive sa raie et marrêtais de temps en temps sur son trou pour appuyer un peu avec le bout de la langue. Je sentis un léger goût acre, mais je my habituais.
- Vas y cest ça, lèche mon cul, salope ! Rentre ta langue au fond. Nettoies mon cul à fond.
Il commençait à être vraiment excité par ma petite séance. Alors jen rajoutais encore un peu et entrait ma langue encore plus profondément en lui faisant faire des va et viens comme un petit sexe.
- Oui vas-y, enfonce là plus loin !
Et il appuyait sur ma tête pour faire entrer ma langue encore plus profondément dans son cul. Je narrivais pas à bouger et ne pouvais que le laisser faire. Cette situation avait lair de lui plaire vraiment.
- Cest trop bon continue, enfonce ta langue encore plus loin, oui cest ça.
Je ne pouvais bien entendu pas répondre. Je tendais le bras et passais ma main pour attr son sexe. Il était effectivement déjà bien tendu et gros. Je sentais les veines et il était même un peu humide sur le bout. Ce qui me permis de le branler facilement. Je me dis que finalement, ce petit jeu allait peut être sarrêter là et le branlais donc de plus belle faisant glisser ma main sur tout le long de son sexe et touchant ses boules de temps en temps.
- Ouais ça cest trop bon continue, caresse moi les couilles. Non, plutôt lèche moi les couilles aussi.
Il se pencha plus de manière complètement obscène et me tendit ses couilles à lécher par derrière. Je descendis donc ma langue tout le long pour atteindre ses couilles. Elles étaient énormes et poilues. Cétait très désagréable de lécher ses poils, il étaient durs et longs. Mais il tenait encore ma tête dans sa main. Jhumidifiais un maximum pour rendre la caresse plus douce et tentais de gober une de ses boules, sans succès elles étaient trop grosses.
- Remonte jusquà mon cul avec ta langue et caresse moi les couilles.
Sa voix était devenue rauque. Il soufflait presque ses phrases. Je sentais quil était tendu au maximum. Je voulus lui donner le coup de grâce et entrais ma langue dans son cul plus rapidement et plus profondément à chaque fois.
Il se laissa faire, puis à un moment, il marrêta net. Il se redressa et tint son sexe dans sa main. Il appuya sur le gland pour ne pas éjaculer. De toute évidence, il voulait être le maître du jeu.
- Tes une bonne lécheuse. Mets toi à quatre patte sur le canapé, je vais te foutre mon gros pieu dans ta petite chatte.
Bien entendu, il nétait pas question de préliminaires me concernant. Il avait décidé de prendre son pied et den profiter un maximum et cest tout. Il senfonça dun coup provoquant un cri de surprise ma part. Son sexe était tellement tendu, quil me fit jouir quasi instantanément avec quelques aller retour puissants. Je criais de plaisir lincitant à aller encore plus profondément.
- Tas aimé ça, hein ? Me lécher le cul. Taimes lécher le cul des mecs, tes une vraie salope qui aime se faire baiser par des gros gourdins comme le mien. Tu le sens bien, là hein !
- Oui, oui je la sens bien, vas y viens plus fort, plus fort ! encore !
Il me fit jouir une seconde fois en me soulevant un peu et en changeant langle. Cétait vraiment super bon de sentir son sexe énorme en moi et aller si profondément. Il allait de plus en plus fort. Et je criais à chaque fois.
Les mots crus quil prononçait mexcitaient encore plus, jétais trempée, et javais envie quil sarrête un peu pour reprendre mon souffle. Mais cest lui qui décidait. Il continua un moment en ralentissant néanmoins, plus accéléra encore.
- Je vais tinonder avec mon foutre, ten aura jamais vu autant. Et je vais me finir dans ta bouche. Tu vas adorer ça, et tu vas en redemander.
Il allait de plus en plus fort, je ne savais plus où jétais ni ce que je disais. Je criais oui oui encore, je viens, je viens. Cétait complètement fou. Je jouis encore plus fort. Et il se retira rapidement pour jouir sur mes fesses. Il y en avait beaucoup, ça coulait entre mes jambes.
Je mécroulais par terre, complètement épuisée. Il sassit sur une chaise et me regardait.
Jeus du mal à me relever et je me dirigeais vers la salle de bain.
Quand je revins, il était toujours là. Jétais en peignoir.
- Retire ton peignoir.
Sa phrase était sèche et ne souffrait aucune contestation. Je défit le nud de mon peignoir et le laissais tomber.
- Mets toi à quatre pattes dos à moi que je vois ton cul.
Je fis ce quil me dis. Il mis sa main sur mes fesses et la fit remonter sur mon dos. Il me caressa la nuque (jadore quon me caresse la nuque) et passa sa main sur mon visage. Il mit un doigt puis deux dans ma bouche et les fit glisser comme un sexe.
Je mouillais de nouveau, je nétais pas remise de lorgasme précédent et mon corps était prêt pour revivre la même chose.
Il retira ses doigts de ma bouche et les plaça sur mon petit trou, il poussa lentement. Il fit entrer une phalange et la retira. Il revint à ma bouche et me remis son doigt dans la bouche.
- Goûte ton cul, salope. Tu aimes ?
Je fis oui de la tête. Il fis aller et venir ses doigts dans ma bouche et les replaça encore sur mon cul. Il força un peu plus cette fois et il appuya sur mon dos pour me faire pencher encore plus. Jétais ainsi complètement offerte. Il rentra son doigt complètement et le bougea lentement dans mon cul. Je commençais à ressentir le plaisir.
La lenteur de ses gestes était une , jen voulais plus, je tentais de bouger pour lui faire comprendre. Je reçus une fessée, me faisant comprendre que je ne devais pas bouger.
Il faisait aller et venir son doigt et le retira de nouveau pour me le donner à sucer.
- Prends en encore un peu, goûte le jus de ton cul.
Il plaça deux doigt sur mon anus et les fis entrer lentement dans on cul. Il faisait le même manège quauparavant, il allait très lentement. Il entrait, sortait, lentement, très lentement. Il prenait plaisir à me dilater lanus lentement et il avait lair daimer ce quil voyait.
Il me doigts à sucer cette fois ci. Je mes humidifiais le plus possible, javais peur davoir mal. Mais il les fit entrer lentement en me caressant les fesses, je ne bougeais toujours pas. Il entrait ses doigts lentement et ne bougea plus quand il furent en place le temps de mhabi à leur largeur. Puis il les fit aller et venir toujours aussi lentement.
Je commençais à planer, mon corps réclamait plus mais je savais quil fallait quil continue ainsi pour me faire avoir un orgasme. Il retira ses doigts, me les donna à lécher de nouveau. Mais cette fois il tira sur mes cheveux en arrière pour me faire cambrer.
- Suce mes doigts salope. Suce ton cul, tu aimes son goût ?
- Oui.
Je ne reconnaissais pas ma voix. Cétait presque un cri, le cri dune femme excitée. Il retira ses doigts et les remis dans mon cul. Il garda sa main sur ma tête et caressait mes cheveux. Il rentrait se doigts facilement et les sortait complètement, et recommençait. Cétait entêtant. Jétais au bord de lorgasme sans jamais y aller.
Il retira ses doigts et plaça son sexe redevenu tendu et gros devant mon anus. Il força un peu, entra la moitié de son gland en me tirant les cheveux en arrière. Puis, il retira son sexe. Il le fit glisser sur le long de ma raie.
- Tu veux ma bite dans ton cul ? Demandes la.
- Oui, vas-y mets moi ta bite dans mon cul, je la veux. Je veux la sentir. Vas y, entre.
Jétais complètement excitée, je voulais vraiment quil entre sa bite dans mon cul. Je voulais jouir et je savais que jallais jouir avec son sexe en moi.
Il remis son sexe sur mon cul et poussa dun coup. Il était au fond de moi, il bougea un peu, et se retira.
- Demande la !
- Mets la moi au fond !
Cétait une vraie . Il remis son sexe et fit quelques aller et retour rapide qui me firent crier de plaisir et me mirent au bord de lorgasme. Il se retira de nouveau. Et il se rassit. Il ne dit plus rien. Jétais complètement frustrée. Jaurais donné nimporte quoi pour quil continue.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!