Fantasme Bi Au Clair De Lune (1. Fantasme)
Fantasme bi au clair de lune
Prologue
Jespère que tu prendras autant ton pied à lire ce récit que jen ai eu à lécrire en me remémorant cette chaude nuit. Je ne lai pas montré à me femme, mais elle en a indirectement profité, parce que je nai pas débandé pendant toute la période ou je lai écrit et la fréquence et lintensité de nos parties de baise en ont été démultipliées en conséquence.
1. Fantasme
La journée a été longue, comme souvent dans mes voyages daffaires, mais je nai pas sommeil. Je suis étendu à poil sur le lit king-size de ma chambre dhôtel 5 étoiles, avec la pleine lune comme seul éclairage de la chambre par la fenêtre ouverte sur la mer.
Je suis un mec bien sous tous rapports, un mètre quatre-vingt cinq, blond, les yeux bleus, pas Brad Pitt, mais avec une petite ressemblance tout de même. Je moccupe bien de mon corps, je suis bien dans ma peau et dans mes couilles. Je mentends super bien avec ma femme sur tous les plans, les idées, les goûts, le mode de vie, les amis, la baise. Cest une femme vraiment belle, avec ce quil y a de mieux là ou il faut. En plus, elle a de lhumour et elle est complètement décomplexée. Jaime ça. Nos parties de baise en sont le reflet. La nature ma pourvu dune longue bite de gros calibre et dune bonne grosse paire de couilles très pendantes, quelle aime prendre bien à fond dans sa bouche presque à les avaler. Me faire sucer les couilles et la bite est un de mes plaisirs favoris, et elle y met une ardeur qui me comble. De son coté, elle est très vite excitable. Son clito est extrêmement érectile et sa vulve mouille dès que mes doigts et ma langue la travaille un peu. Cest donc dans les meilleures conditions que je peux ensuite lenfiler. Mais elle sait aussi moffrir son cul quand jai envie de lenculer, ce qui me prends de temps en temps pour varier les plaisirs. Je suis donc un mec comblé, et je nai pas de mérite à être fidèle à ma femme.
Mais comme tout le monde, jai aussi mes fantasmes. Celui qui me fais bander le plus intensément est de sucer la bite dun mec pendant que je me fais sucer la mienne. Se serait le pied géant de savoir quelle sensation et quel goût procurent les deux actions conjuguées. Mais ça ne me gène pas que ce fantasme ne reste quun fantasme. Je naurais pas envie de me faire un mec pour lassouvir, et surtout, je ne voudrais pas que mon petit cul étroit se fasse bourrer par une bite étrangère. Ca, ce nest pas du tout mon fantasme!
Ainsi allongé mollement sur ce lit, je me branle doucement pour me détendre, sans penser à rien. Je ne suis pas circoncis. En faisant coulisser la peau de mon membre, le va et vient de mon poignet fait apparaître et disparaître mon gland, ce qui me procure une sensation de bien-être jouissif. Mais il fait assez chaud et humide, je suis moite et il me vient une envie de boire quelque chose de frais. Je me glisse en bas du lit, enfile le peignoir de bain suspendu dans le dressing, et sors de ma chambre pour atteindre lautomate à boissons au bout du couloir.
La sensation de moelleux du tissus éponge qui frotte agréablement mon sexe et de mes burnes qui glissent doucement sur mes cuisses quand je marche contribuent à entretenir mon érection qui pointe effrontément sous le peignoir. Juste avant que je passe devant la troisième porte après celle de ma chambre, elle souvre et une femme se glisse dans le couloir dans la même direction que moi. Sa silhouette se détache dans la lumière crue du corridor au tapis épais, et me coupe le souffle. Elle ne porte quun léger déshabillé semi-transparent ultra court, qui laisse plus apparaître quil ne cache. Elle pensait probablement elle aussi atteindre lautomate à boissons sans rencontrer personne à cette heure de la nuit. De dos, elle na rien à envier à un mannequin. De longs cheveux noirs, des longues jambes au galbe parfait, et un cul de reine aux fesses musclées. Entendant mon pas dans son sillage, juste avant datteindre le distributeur elle se retourne à moitié, légèrement surprise, et je peux vérifier que son déshabillé nest fermé sur le devant que par un seul ruban lâche.
Jarrive à la hauteur de sa porte quelle na quà moitié franchie, et elle me fait: «Comme la pleine lune a lair de te faire autant deffet quà nous, viens te payer un peu de bon temps dans notre chambre, beau morceau», sur quoi elle tend sa main libre vers moi, agrippe ma queue et mes couilles sous le peignoir et me tire dans la pénombre de la chambre. Là, jai comme un doute: Nous? Notre chambre ? où est ce que je mets les pieds et la queue?
Elle lâche mes burnes en feu, fait tomber mon peignoir, détache le ruban qui retient son déshabillé et se glisse dans mon dos.
Je sens la chevelure soyeuse de J Lo glisser de mes épaules vers mon torse lorsquelle se décolle de mon dos, libère ma queue, et se glisse sur le lit à lenvers, sa tête renversée maintenant à hauteur de la mienne. Je me laisse aller sur le côté et soude un instant sa bouche inversée à la mienne, mais elle méchappe et commence à me lécher le cou en descendant lentement le long de ma poitrine. Comme elle a les bras passés au dessus de la tête, ses mains ont pris de lavance et caressent déjà fermement le contour des muscles de mes fesses. Ses seins gonflés aux aréoles dilatées me passent devant les yeux. Je les happe à pleine bouche et les suce goulument. Sa langue sarrête aussi un peu pour mouiller et titiller mes tétons durcis, puis continue de descendre insidieusement le long de mon ventre aux muscles contracté. Sa langue fouille mon nombril et le rempli de salive pendant quelle marrache quelques poils avec les dents et que ses ongles menserrent déjà le gland et senfoncent dans la peau de mes couilles. Je suis au bord de la syncope. Mes mains moites sont arrivées au niveau de son fessier généreux, les doigts des deux mains réunis dans la raie de son cul tirant pour écarter ses fesses épanouies que mes paumes malaxent. Ma bouche est à hauteur de sa vulve à lodeur puissante de moule qui émerge des poils noirs de sa toison bouclée et dont les lèvres largement offertes se gonflent en rythme avec sa respiration haletante et suintent de façon tout à fait obscène. Enivré par les effluves de son vagin, jy plonge le nez, la bouche, la langue, et my vautre sans retenue, suçant à pleine bouche et lapant le suc qui suinte de sa vulve et qui se mélange à ma salive. Lentendre gémir de plaisir me stimule encore plus, mais mon attention est détournée lorsque je sens pendant quelques secondes son haleine chaude sur ma bite avant quelle ne fasse doucement glisser mon gland entre ses lèvres entrouvertes, sans relâcher la prise de ses doigts autour de lattache de mes couilles, fourrageant les poils humides de mon sac et de mon cul de son autre main. Puis elle commence à maspirer à lintérieur de sa gorge avec un mouvement en spirale de sa langue qui manque me faire chavirer. Elle a plaqué une main sur mes fesses tendues et, aidée par le flot de sueur qui me mouille le dos et a coulé entre mes fesses, elle enfonce lentement son index dans le trou de mon cul qui du coup se relâche pour laccueillir. De mon côté, jempale ma bouche sur son clitoris qui me semble dune taille démesurée et qui me fais soudain penser à mon fantasme. Je réalise alors que Tonio a roulé près de nous deux, sa tête presque contre la mienne, et quil me susurre à loreille: «eh, Brad Bite, laisse en pour moi, et occupe toi plutôt de mon gland orphelin». Il me prend par les épaules et me tire doucement en arrière, arrachant de la moule ouverte de J Lo ma bouche dégoulinante pour la présenter à sa verge qui maintenant présente une érection spectaculaire. Sa queue légèrement cambrée a plus que doublé de volume et doit mesurer au moins18 centimètres de long. Le gland turgescent dun brun plus foncé est énorme et luisant. Il en a déjà suinté un peu de liquide qui forme une goutte transparente en son sommet. Lodeur épicée de son membre tendu me dilate les narines. Je saisis religieusement ce monolithe et lapproche de ma bouche haletante. Une grosse veine court sur toute sa longueur, et je la sens battre dans ma main. Je commence par promener délicatement ma langue autour de la base du gland qui réagit en gonflant encore un peu plus, puis je lèche le jus au gout acidulé qui en perle. Je sens ses fesses musclées se contracter et son bassin se tendre vers moi.
Un frisson délicieux me contracte les couilles et court le long de ma bite. Jimagine la vision que doit procurer le triangle formé par nos trois corps, Tonio Bandeur en train de branler le clito de J Lo avec sa langue, pendant quelle ramone mon membre aux poils blonds avec assiduité et que je suce avec avidité le monstrueux gland du métisse.
Ma main trouve ses lourdes couilles imberbes et pleines que je soupèse avant de les attirer vers ma bouche et de les lécher copieusement. De mon autre main, je commence à caresser lespace de peau qui les sépare du trou de son cul. il écarte les cuisses, lève un peu son bassin et ouvre ses fesses dont les muscles sont maintenant relâchés. Du coin de lil, je vois que ses mains à lui ne sont pas inactives non plus. Il travaille les tétons de Jenny, les pinçant délicatement entre ses doigts et les étirant en tous sens, pendant quil continue de fouiller sa chatte et de faire vibrer son clitoris. De son coté, elle est en train de lécher ma biroute sur toute sa longueur, une main emprisonnant toujours mes burnes prêtes à exploser, lautre bien calée dans la raie de mon cul, avec lindex qui me branle énergiquement le trou de balle en cadence. A mon tour, je fais glisser mon index fébrile jusquà la fleur de lanus mouillé de sueur du beau latino et le lui enfonce sans peine bien profond en un mouvement vissé. Nous sommes tous deux dans la même enviable situation. Je fais à Tonio tout ce que Jenny me prodigue et je peux vivre avec mes doigts, ma langue, et dans ma bouche, tout ce que ma biroute congestionnée, mes testicules enflammés et mon cul dilaté ressentent sous ses caresses. Tous les trois nous laissons échapper des soupirs daise et dexcitation. La bouche pleine de ma bite, Jennifer me pompe le gland tout en le massant de sa langue. Jai appuyé mon cul sur sa main si bien que son index est enfoncé à fonds et mexcite la prostate. Tout mon corps est bandé comme un arc. Jai limpression de nêtre quune immense bite tellement tendue quelle va éclater. Ma bouche peut à peine contenir la moitié de la queue de Bande Dur, et jai limpression que son gland va m tant il est enflé. Je le sens battre au rythme de mes succions et mes coups de langue semblent lélectriser comme le mien. Nom de Dieu, je sens que je ne vais pas pouvoir supporter cet état beaucoup plus longtemps, je suis sur le point de découiller. Jennifer pousse un long gémissement, son clito et sa vulve doivent être au paroxysme de lexcitation. Une série de spasmes secouent son corps qui se cambre, et son vagin libère une vague généreuse qui inonde le visage de Tonio encore enfoui dans sa touffe. A son tour, il se raidit, je sens ses fesses se serrer autour de mon doigt et son membre se contracter entre mes lèvres. Puis son gland démesuré explose dans ma bouche, sa purée chaude me gicle dans la gorge et me remplis la bouche. Jétouffe à moitié en avalant son sperme dont je découvre le goût salé et la consistance laiteuse. Cen est trop, je sens partir de mes couilles aussi dures que du bois un flot irrépressible qui monte dans ma queue hypertrophiée jusquau gland dilaté à lextrême, et avec un rugissement rauque je lâche moi aussi une copieuse giclée de foutre dans le gosier de J Lo en un feu dartifice qui lui coupe le souffle et la force à avaler en hoquetant. Elle se laisse retomber pantelante et en sueur sur le lit, un filet de ma semence coulant de sa bouche jusquentre ses seins, éteint la petite lampe et ferme les yeux. Le visage et les cheveux encore mouillés du jus déchargé par Jennifer, Tonio est pourtant le seul à ne pas avoir la bouche dégoulinante de foutre. Il me saisi la queue à pleine main, lenserre sans serrer trop et se la presse en douceur contre les lèvres pour récupérer quelques gouttes de découille sur sa langue. Ses cheveux mhumectent agréablement lentre-jambes et quelques gouttes de sa transpiration me coulent le long des couilles. Dans la lumière blafarde de la lune, a mon tour je prends dans ma main sa queue déjà un peu moins dure dou suinte encore un peu de sperme épais et en caresse la peau soyeuse, puis je la remets délicatement dans ma bouche encore gluante de foutre et la suce doucement. Maintenant quelle est un peu calmée et a repris des proportions plus raisonnables, jarrive juste à me lenfourner en entier avec ses couilles, le nez pressé contre ses poils au parfum âcre. La tension retombe lentement. Lorsque nos bites sont calmées malgré nos caresses mutuelles, il regagne ses oreillers et sy jette de tout son long sur le ventre, les fesses luisantes de sueur au clair de lune. Moi je ne bouge pas, je maffale sur le dos au bord du lit, les jambes écartées, les pieds posés sur la moquette, les yeux clos. Dune main jétale la sueur qui trempe mon ventre, ma poitrine et mes cuisses, et je men lave la queue collée de sperme séché. Malgré la fenêtre ouverte, une agréable odeur musquée de baise flotte dans la chambre retombée dans une moite pénombre.
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