Cousine Amandine 11.
MARION
Après la suggestion de Camille, Alexis, le plus collé à Amandine, dégrafe sa jupe qui tombe directement sur ses chaussures, Hugo, qui désespère, nayant eu aucune faveur, se précipitent à ses pieds pour la débarrasser de toute entrave et il lui quitte en même temps ses chaussures, la chaleur de la terrasse réchauffant tout son corps lui provoque un bien-être qui contribue à la libérer et elle se laisse alors aller aux pires cochoncetés.
Les trois garçons ont le souffle coupé quand Amandine apparaît à leurs yeux sans-culotte, elle ne cherche pas à dissimuler son entre-cuisse les jambes légèrement écartées. Les garçons admirent sa conque pittoresque, deux petites collines renflées qui ne dévoilent rien des mystères de sa fente, ses lèvres intimes turgides et accolées sont dune beauté infinie depuis que nous avons polie et lustrer toute la région.
Incapables de faire un geste, ils sont hypnotisés les bras ballants et il faut que Camille finisse le travail en déboutonnant le chemisier dAmandine. Un superbe soutien-gorge brassière noir cache deux bosses volumineuses. Pour finir leffeuillage de la belle, Camille est obligée de déconnecter temporairement le lien qui unit Amandine à Alexis et après le chemisier le soutien-gorge se volatilise.
Deux magnifiques oranges apparaissent alors dans toutes leurs splendeurs, et ma cousine complètement dénudée reprends en main de son propre chef le zizi perdu et remet la pression sur le Guilleri dAlexis.
Pendant ce temps, moi aussi je poursuis ma mise à nue. Je nai plus que ma petite culotte, et leffet que jescomptais avec mon petit cur bien placé fait pschiiiit : pas un garçon ne le remarque trop occupés à reluquer ma cousine, tant pis je fais contre mauvaise fortune bon cur, jaurais sans doute dautres occasions de me rattr. Et je quitte ma culotte sans regret.
Hugo, toujours à genoux devant Amandine, une fois revenu à la réalité na que quelques centimètres à franchir pour goûter à sa figue.
Mon petit frère Théo, lâché par Camille qui déjà suçote un mamelon transcendant dAmandine, sapproche du côté libre de celle-ci et place sont nephliseth dans sa main gauche. Lespiègle, ravie, branle les deux biloutes en même temps.
THÉO
Quelle agréable surprise! jamais je naurais pensé que ce soit si facile de convaincre Amandine de jouer avec nos épinettes, comme quoi il faut se méfier de leau qui dort. En attendant la caresse quelle me prodigue est sublime, elle tient mon mat délicatement sans lécraser, son mouvement régulier ni trop lent ni trop brusque est très plaisant même délicieux car pas trop stimulant au point de ne plus pouvoir maîtriser la situation. Jai déjà connu des moments trop brefs où des filles inexpertes ne voyant rien venir mont fait juter en 30 secondes. Cest aussi sans doute un peu de ma faute, je suis peut-être trop sensible de ce côté là et parfois juste un frôlement me surexcite à une telle extrémité que je suis incapable de me retenir.
Là je peux faire durer la chose, et à laide de mes deux amis, je vais pouvoir prendre des petites pauses sans quAmandine redescende de son nuage.
CAMILLE
- Alors Amandine, cest bon de se faire chouchouter la cramouille ?
Elle ne peut même pas me répondre, lémotion létreint et juste quelques onomatopées sortent de sa gorge sèche, elle réussit tout de même à me sourire, et jen déduis quelle apprécie à sa juste valeur le travail émérite dHugo que je surveille du coin de lil. Sa langue dune remarquable longueur est terminée en pointe, pas au point dêtre fourchue comme celle du diable, mais elle lui permet tout de même de pénétrer jusquà des recoins inaccessibles à bien des langues ordinaires.
Et le petit salopiaud sait jouer avec, il doit être un expert pour prendre lostie à la chapelle.
Et à mon avis il ny a pas que la salive dHugo qui inonde son paradis, lui, il est enchanté de se rafraîchir à labreuvoir de la demoiselle.
Marion, experte en la matière, sentant que la délivrance est proche, sinstalle dernière elle afin de la soutenir pour éviter quelle ne tombe à la renverse et quelle puisse pleinement profiter de ce moment magique sans penser à autre chose.
Se laissant ainsi aller, tout son corps tremble et un cri strident et continu nous attestent de la violence de la décharge émotionnelle qui la submerge.
MARION
- Et bien dis donc, jespère que les voisins sont partis, sinon ils vont croire que nous te torturons. Et ce tohu-bohu est si puissant quil te fait pleurer, fais-je, en essuyant ses larmes qui coulent sur ses joues, et tu voudrais te priver de cela pour te renfermer dans un cloître ?
- Non, cest trop bon, me répond-elle, je crois que je nai plus envie dêtre nonne, vous mavez fait découvrir la vraie vie!
- Et cest pas fini, ajoute Camille, les garçons aussi ont droit de prendre leur pied. Tu as vu comment jai fait une pipe à Théo !
Viens leur donner du plaisir comme Hugo ten as procuré. Par lequel veux-tu commencer ?
A suivre.
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