Elle Était Mon Élève, J'Étais Son Professeur...
Elle était mon élève, j'étais son professeur remplaçant. Je lui enseignais l'art durant les derniers mois de son année de terminale. Elle était l'excellence, l'intelligence, la beauté. Dès le premier jour, je l'avais remarqué, elle était en tout point supérieure aux autres, mais n'en était pas consciente. Elle ne portait que des robes. J'avais envie de l'appeler Liberté.
Un jour, à la fin d'un de mes cours, elle vint me voir. Elle était pensive, emplie de doutes, elle avait peur en son avenir, Liberté voulait être journaliste. Elle s'excusait en larme de ses productions artistiques qui lui semblaient pitoyables, tandis que je découvrais la fragilité envoûtante de cette créature fascinante à mes pieds. Elle portait une robe rose, ses cheveux chatains lui cachaient une partie du visage, sa chair semblait tendre et sucrée. Agenouillée, soumise à son désespoir futile, elle m'offrait la vue de sa poitrine généreuse. J'étais son professeur, ainsi, je tentais de me reprendre tandis qu'elle relevait la tête les yeux brouillés de larmes et désireux de réconfort, je sombrais. A dix-huit ans, la jeune fille avait la beauté qu'aucune femme ne peut avoir. Elle me fixait de son regard noisette, couplé d'innocence et de vice. Une barrière venait de tomber, nous étions seuls, j'étais un homme et elle était tout.
Doucement, presque malgré moi, j'ai posé mes mains sur ses joues rosées pour lui redresser le visage. J'entendais le souffle de la douce aux yeux perçants. Aucun son ne sortait de ma bouche, je ne pouvais pas, j'étais fasciné par ses lèvres charnues et mouillées de larmes. Ses paupières se mirent à trembler, son souffle à haleter. Je sentais son odeur et la chaleur de ses joues sur mes mains.
Soudain je joignai mes lèvres aux siennes goûtant sa tristesse humide. Ce baiser suave a déclenché en moi une passion folle, un désir irrépressible. Elle caressa ma langue de la sienne, me repoussa doucement.
Elle m'embrassait les cuisses passant ses mains sous ma chemise, je la sentais femme, je la sentais experte, je la sentais libertine. J'étais fou, fou d'elle, fou d'excitation. Elle défit ma ceinture frottant le cuire contre ma peau puis atteignit mon sexe tendu. Elle m'a regardé puis à la manière d'une geisha moderne, s'est affairée à satisfaire mon désir. Je sentais sa langue sur mon gland tandis que sa main humide faisait des mouvements saccadés le longde ma verge. Son autre main caressait mon bas ventre. A chaque mouvement supplémentaire le plaisir devenait de plus en plus fort. La belle m'offrait ses lèvres tendres, sa langue coquine, sa gorge profonde et son regard enjôleure. Où étais-je?
Elle aspirait mon sexe avec ardeur pendant que j'admirais sa beauté. Lorsqu'elle sentais l'arrivée de la jouissance finale proche, elle redressait son visage coquin et attendais mes baisers chauds avant de m'offrir à nouveau l'innocece de sa bouche. Je m'agripais à elle comme pour qu'elle ne échappe pas. J'étais fou.
Je sentais la fin proche, précautionneux de ne pas souiller sa pureté, sa beauté, honteux de lui infliger l'arrivée de ma semence, je lui écartai soudain le visage. Elle m'embrassa puis pris mon sexe de plus en plus intensement, je tentai de me retenir quand d'un coup je lachai prise, déversant dans sa bouche mon sperme chaud. Elle avala en deux gorgées ce nectar honteux, posa sa tête sur mon sexe luisant, y déposa un baiser. Liberté était douce, il était tard, elle devait prendre le bus, je lui embrassai le front m'imaginant la saveur de ses seins lourds et de sa vulve serrée.
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