Un Choix Cornélien Pour Jules : « Tamara, Le Ferait-Elle Tourner En Bourrique. » Épisode 2/18
Toute la matinée du lendemain au travail, Jules sétait posé beaucoup de questions. Ayant pris un vent la veille, il navait pas lintention dêtre une nouvelle fois humilié. Tamara lui semblait ne pas être comme les jeunes femmes de son âge, était-elle quune allumeuse ou tout simplement inaccessible ? Il ne savait pas trop comment laborder et appréhendait sa réaction. Il était pris entre deux feux, soit il lappelait maintenant, cela démontrerait un peu trop son impatience et sil attendait, quaurait-elle pensé de lui ? Quil ne sintéressait pas à elle. Après tout, il sétait lancé un défi, il voulait la mettre sur son tableau de chasse.
À midi, à la fin des cours, il lui avait envoyé un premier texto : « Coucou Tamara, jai pensé à toi toute la nuit. » Puis après le déjeuner, il en expédia un deuxième : « Jaimerais bien te revoir. » Il avait choisi une façon assez directe, sans se montrer trop sûr de lui. Il navait pas quitté les yeux de son portable de toute laprès-midi, il attendait mais ses textos restèrent sans réponses. Vers dix-sept heures, à la sortie du lycée, Jules pris son téléphone et envoya un nouvel SMS assez direct : « À quelle heure quittes-tu Tamara ? Tu me manques. » La réponse ne tarda pas et était sans équivoque : « La boutique ferme à 19 heures. Ce soir, je ne suis pas libre. »
À la lecture de sa réponse, ce fut une douche froide, jamais Jules navait pris une claque comme celle-ci, le SMS de Tamara était totalement neutre et démontrait quelle navait aucun intérêt pour lui. Pourtant ce fut bien elle qui lui avait demandé de lappeler la veille au soir. Vexé par ce refus et surtout sur le coup de la colère, lorsquil était rentré à la maison une demi-heure plus tard, il renvoya un nouveau texto, du même style quelle avait utilisé : « Cette semaine Je ne suis pas trop dispo, envoie-moi un SMS si tu as envie de me revoir. »
Jules était parti courir une bonne trentaine de minutes, histoire de se remettre les idées au clair, prit sa douche avant de descendre à toute vitesse dun étage chez Karine Marchand.
Jules faisait travailler Manon en anglais mais surtout en français et en math, les deux matières où elle devait se perfectionner. Karine ne regrettait pas de lavoir choisi car sa gamine avait fait des progrès significatifs depuis quil lui donnait des cours particuliers et son premier trimestre démontrait quelle ne sétait pas trompée, ses résultats était très satisfaisants. Vers dix-neuf heures trente, nayant toujours pas reçu de réponse de Tamara et nayant rien de spécial à faire, il avait accepté linvitation de Karine et resta diner avec elles.
Depuis que Manon avait vu Jules torse nu sortant de la chambre de sa mère, avait compris quils couchaient ensemble. Elle, qui pensait être amoureuse de son prof adoré, en était devenue jalouse et cela avait attisé son désir, elle se faisait des films. Nayant jamais eu loccasion de prendre un repas en sa compagnie, elle voulait profiter de sa présence le plus longtemps possible en se laccaparant dans les discussions. Karine se languissait de voir sa fille se coucher afin de se retrouver seule avec son amant.
Pendant tout le repas Jules navait pas quitté les yeux de son portable, vérifiant sil navait pas reçu de message de Tamara. Sapercevant de son mal-être, Karine lui demanda ce qui le perturbait à ce point. Étant très à laise avec sa maitresse occasionnelle, il lui avait expliqué ce qui lui était arrivé avec la jeune martiniquaise. Vers 22h30, Jules était sur le point de quitter leur appartement quand Karine layant raccompagné jusquà la porte dentrée lui demanda :
Je peux venir te consoler si tu veux, je monte dès que possible.
Se retrouvant seul, depuis que sa dernière conquête suédoise était rentrée dans son pays lavant-veille, Jules ne refusa pas cette délicate attention. Il était rentré se mettre au lit devant la télé en attendant Karine. Elle avait la clé de son logement mais nen eut pas besoin, Jules ne fermait jamais sa porte à clé lorsquil était présent. Connaissant son appartement par cur, elle sétait dévêtue dans la salle de bain, avait enfilé une nuisette affriolante et se glissa sous les draps, pressée de se coucher auprès de son amant :
Jaime être dans tes bras et surtout jaime tellement ta queue. Lui dit-elle en la prenant dans sa main.
Tu sais Karine, on ne baise pas toute la nuit, je suis crevé.
Karine était redescendue ravie et comblée chez elle vers une heure et demi du matin, si elle avait su redonner le moral à son jeune voisin, elle fut entièrement satisfaite et avait pris beaucoup de plaisirs. En effet, après une belle fellation dont elle avait le secret, elle avait subi les assauts de Jules qui remplit sa chatte une première fois en jouissant. Puis elle eut son deuxième orgasme lorsquil se finissait sur ses fesses, après lavoir sauvagement sodomisée comme ils en avaient pris lhabitude. Ce fut à ce moment, que la petite sonnerie indiquant la réception dun message retentit sur son portable. Voulant sortir du lit, Karine essaya de le retenir par le bras :
Cest une petite allumeuse ta Tamara, ce nest pas une fille pour toi mon petit chéri. Dit-elle jalousement.
Ils se levèrent ensemble et pendant que Karine se rhabillait, il lut le SMS et dit assez fort à sa maitresse, dun ton satisfait :
Elle me donne rendez-vous vendredi à la brasserie de la place. Elle veut que je lemmène danser. Tu peux passer mettre un peu dordre dans mon appart, on ne sait jamais si je lamène ici.
Tu ne feras rien avec elle, je connais ce genre de fille, ce sont des petites mijaurées.
Karine était redescendue après avoir déposé une bise sur la bouche de Jules, en le remerciant du bon moment passé dans ses bras.
« Je me languis de te voir, je pense à toi tout le temps. RDV vendredi à 19h15 à la brasserie de la place. Gros bisous »
Le mercredi au travail, Jules réfléchissait, il savait désormais que Tamara avait très envie de le revoir au plus vite. Voulant la faire patienter, il avait attendu que le soir avant de lui envoyer un texto : « Comme je suis heureux, moi aussi jai pensé à toi toute la nuit et toute la journée daujourdhui. Jai hâte dêtre à vendredi. » Une fois à la maison, il regarda une nouvelle fois son portable et il saperçut que Tamara avait répondu. Celui-ci est un peu long et il était heureux den prendre connaissance :
« Je me sens toute fébrile, tes mots me font battre le cur à cent à lheure et me retournent lesprit. Moi aussi je nai cessé de penser à toi, j'ai eu beaucoup de monde depuis ce matin à la boutique mais je n'ai cessé de penser à toi. Jai imaginé tout ce que tu serais capable de me faire si l'occasion nous étaient donnés de nous revoir. Je me suis demandé ce que tu faisais, avec qui tu étais et quand est-ce qu'on pourrait se rencontrer. Ton message ma très vite rassuré. À bientôt. Bisous. »
Ne voulant pas la déranger à son travail, il lui répondit simplement quil acceptait de lemmener danser vendredi soir au « New-club », cette nouvelle boîte branchée de la ville. Il venait denvoyer son SMS à Tamara, lorsquil en reçut un autre, cependant celui-ci provenait de Sandy, la jolie caissière du supermarché quil avait draguée la semaine passée et lui avait promis de prendre contact avec elle mais la suédoise lui ayant accaparé lesprit, il lavait totalement oubliée :
« Tu devais passer me voir, je suis libre ce soir si tu veux. »
« Excuse-moi Sandy, jai eu un empêchement de dernière minute. OK, je passe chez toi ce soir à 20 heures. »
Sandy la charmante employée du supermarché fut enchantée des performances sexuelles de son nouveau copain.
Tel un mannequin se présentant sur une scène, elle déambulait dans le magasin, sa démarche était gracieuse, elle était ravissante dans son chemisier ample blanc, sa petite jupe noire à volant et ses hauts talons. Quelques minutes plus tard, elle ferma le rideau de fer et en se retournant, elle vit Jules de lautre côté de rue et en fut surprise. Elle lui sourit, son visage sétait éclairé par la joie de le revoir. Elle traversa la rue, toujours le sourire aux lèvres. Pendant quils se firent la bise, son parfum lenivrait une nouvelle fois, sa peau était douce et ses lèvres légèrement charnues sattardèrent sur sa joue. Jules était déjà plein despoir lorsquelle lui dit :
Nous avons trop attendu, jai soif, allons prendre ce verre.
En chemin vers le centre-ville, comme leurs doigts se frôlèrent, Jules avait tenté de prendre sa main mais Tamara retira la sienne, il réitéra une seconde fois en la prenant par la taille mais il sentit comme une petite réticence. Voyant quelle nétait pas disposée à quelques attouchements, il passa à autre chose en plaisantant puis ils parlèrent de leur travail respectif. Arrivés enfin sur la place, elle sentit le regard de Jules insistant sur son décolleté, gênée elle sempressa alors daller vers le marchand de glace :
Quel est ton parfum préféré Tamara ? Chocolat la couleur de ta peau ? Lui dit-il en blaguant
Tu as vu juste, jadore ce parfum, ça me rappelle mon île.
Les glaces à la main, ils poursuivirent leur chemin. Jules renouvela une tentative, cette fois Tamara ne dit rien lorsque sa main se retrouva sur sa hanche, mis en confiance, il remua légèrement le bout de ses doigts à travers le tissu fin de son chemisier, incontestablement cette petite caresse lui faisait quelque chose, elle en frissonna légèrement. Elle passa également son bras derrière lui et ils déambulèrent ainsi comme deux amoureux lentement sur le trottoir, jusquà destination.
Avant de pénétrer dans la brasserie, par galanterie, voulant la laisser passer en premier, leurs visages s'étaient rapprochés, Jules en profita pour lui déposer une bise sur ses lèvres :
Comme tu es belle Tamara, une vraie princesse. Lui dit-il. Je n'ai pas pu résister, tu avais encore un peu de chocolat sur les lèvres. Elle ne fut quà moitié surprise et lui sourit. À voir son visage radieux, il devina quelle avait apprécié, même si ce léger baiser lavait troublée quelque peu. Lui prenant la main, il lattira à lintérieur et ils traversèrent la brasserie, tout en la guidant vers un petit box au fond de la salle afin dy être plus tranquille :
Jai aimé sentir tes lèvres chaudes et fermes sur les miennes. Lui dit-il en prenant place.
Comme le lundi soir chez les Pennys, leurs jambes sous la table se touchaient, se frottaient. Ce contact permanent excita ce garçon qui avait lhabitude daller beaucoup plus vite en besogne. Lorsque le serveur arriva prendre leur commande, se tournant légèrement, elle se resserra un peu plus vers Jules sur la banquette moelleuse. Il ressentit le désir monter dans son ventre, lorsque sa cuisse sappuya franchement sur la sienne. Il se racla la gorge et commanda deux limonades, ils avaient très soif. Tamara était, elle aussi brûlante, il prit sa main posée sur la table et la porta à ses lèvres en embrassant ses doigts. Voulant ajuster sa jupe sous la table de son autre main, Tamara sétait cognée le bras :
Ça va ? Tu ne tes pas fait mal ?
Euh...oui, ça va. Désolée, j'avais un petit problème avec ma petite culotte. Dit-elle avec pudeur en souriant.
Jules prit sa main sous la table et la posa sur sa cuisse en lui disant :
Ici, tu ne te cogneras pas le bras.
Cétait bon signe, il était parvenu à la faire rire de bon cur, elle ne la retira pas mais sa main restait en place immobile. Puis sans tarder, il lui parla de ses SMS. Tamara lui demanda :
Alors comme ça, tu as pensé à moi la nuit après notre rencontre ?
Tu ne peux pas savoir comme jai adoré cela. Je ne tai pas tout dit, sur mon texto. À partir de là, sans aucun tabou, il lui raconta tout dabord son état dexcitation lorsquil était rentré et quil sétait soulagé sous la douche puis une deuxième fois dans le lit en limaginant seule en train de se faire du bien et il poursuivit en lui expliquant comment il était le matin en pensant quelle se masturbait avec un sextoy. Se doutant quelle était très pudique, Jules nétait pas rentré dans tous les détails afin de ne pas paraitre trop pervers envers elle. Néanmoins, Tamara sourit franchement en répondant :
Cest à peine croyable Jules ! Cest exactement ce que jai fait lorsque je suis mise au lit. Moi aussi jai largement pensé à toi. Tu mavais retournée ce soir-là et jétais chaude bouillante.
Son sourire sétait transformé en rire lorsque Jules se mit à pouffer de rire lui aussi. Lambiance sétait détendue, elle sapprocha un peu plus, lui prit le visage entre ses deux mains et lui fit une bise sur les lèvres en gardant quelques secondes leurs bouches lune contre lautre. Jules en profita et força le passage de sa langue quelques secondes avant de sucer lentement ses lèvres charnues quil adorait déjà. Il insista, elle appréciait, ils prenaient plaisir à cela. Ils ne se quittaient pas des yeux, en buvant leur consommation, des gens passaient autour deux, certains filles et garçons saluaient Jules qui était bien connu ici.
Soudain, Tamara remarqua non loin, une dame qui les regardait avec insistance et ça linquiéta un peu :
Tu sais qui est-ce ? Car il semblerait quelle te connaisse.
Il ny a pas de quoi être jalouse. Lui dit-il en souriant.
Mais cette femme-là, te regarde avec insistance, je suis sûre quil sest passé quelque chose entre vous.
Non ! Cest Madame Marchand, la mère dune élève à moi.
Tu sais Jules, je vois bien que tu connais beaucoup de filles ici.
Mais cest toi que jai choisi. Tu es la plus belle de toutes.
Ses mots lavaient bouleversée, elle se pencha franchement sur lui et ils sembrassèrent à pleine bouche. Elle lui caressait la tête avec sa main droite et le dos avec lautre. De son côté, Jules passa sa main sur sa poitrine et massa son délicieux seins ferme. Son téton quil prenait entre ses doigts se durcit de plus en plus. Son autre main passa sous sa jupe et caressa lintérieur de la cuisse nue de Tamara qui avait écarté les jambes et avancé son bassin sur la banquette afin quil parvienne plus facilement à son intimité.
À cette heure tardive, Karine et les consommateurs nétaient plus là pour les observer. La main de Jules se posa sur le tissu fin de son sous-vêtement puis très vite ses doigts sétaient glissés sous la dentelle et vinrent pénétrer la fente très humide que Tamara lui offrait en gémissant de plaisir. Lui était vraiment à létroit dans son pantalon. Il lui prit la main et la posa sur son sexe en érection. Toute tremblante, elle lui caressait la bosse quil avait dans son entrejambe. Malheureusement, le serveur vient alors débarrasser la table et ils furent dans lobligation de suspendre notre baiser fougueux :
Tu memmènes danser ? Demanda-t-elle, mine de rien devant le serveur, en déposant un nouveau bisou sur ses lèvres.
Jules paya laddition et ils quittèrent létablissement main dans la main jusquà son véhicule en se bécotant de temps à autres. Arrivés à la voiture, elle se colla à lui afin de reprendre leur embrassade. Il posa ses mains sur ses fesses musclées et tattira à lui, ce baiser nen finissait pas, ils étaient collés de la tête aux pieds. Ressentant son sexe durci contre son pubis, elle se recula et baissa les yeux sur son pantalon. Avant de monter dans sa Renault, elle lui fit remarquer de son regard quil était en érection en disant : « Je vois que je te fais de leffet. »
Elle semblait toutefois gênée, ça le faisait même sourire. La situation lui plaisait, Tamara nétait réellement pas comme toutes les jeunes femmes avec lesquelles il sortait. Habituellement, il aurait ouvert la portière arrière et sa partenaire se serait couchée en écartant les jambes avant quil ne se penche sur elle. Cependant, il se doutait quavec elle, il était préférable dattendre le bon moment et il savait désormais que cet instant, cétait à elle de le définir, il devait donc dêtre patient.
Jules navait plus très envie daller danser, il préférait franchement lemmener chez lui afin de se retrouver dans son lit avec elle. Cependant, il ne pouvait pas le lui demander sachant quelle sy refuserait. Bizarrement, en chemin vers la discothèque, Tamara lui posa beaucoup de questions sur sa vie sentimentale, alors que lui voulait autre chose, sa main libre restait baladeuse, il ne répondait pas à toutes ses questions. Puis pendant un moment, ils restèrent silencieux, lui fixant la route et elle, ne disant plus rien, elle était devenue rêveuse :
À quoi penses-tu Tamara ?
Je pense à ce chemin parcouru, à tout ce qui se passe entre nous et je me demande si je vais aller jusqu'au bout.
Que tarrive-t-il ? Je ne te plais pas ?
Si ! Bien sûr que tu me plais, même beaucoup. Jai peur car ça va trop vite.
Tu sais à 25 ans il faut prendre tout ce que la vie peut tapporter et profiter de ses bons moments. Tu te sens bien avec moi ?
Oui ! Très bien mais ....
Tamara semblait faire un blocage, Jules sen aperçut et ne dit plus rien afin de ne pas la brusquer. Entre chaque changement de vitesse, il posait sa main sur sa cuisse, cela la réconfortait sans doute car elle posa même la sienne sur celle de son ami. Il faisait nuit, lhabitacle de la voiture était sombre, Tamara excitée par la main qui caressait sa cuisse et par lensemble des attouchements de la soirée, osa faire une chose incroyable qui lui semblait impossible, il y avait encore une heure. En effet, sa main sétait posée sur la bosse que formait le sexe en pleine érection de Jules.
Le petit cri de surprise quil poussa, se transforma vite en gémissement sous ses doigts qui longeaient et massait son pénis, il avait des difficultés pour se concentrer sur sa conduite. Ce massage précis était très sensuel, il nen pouvait plus, à ce rythme-là, ils risquaient à chaque instant un accident, il avait des difficultés à conserver les yeux ouverts :
Arrête Tamara, sil te plait. Ça devient dangereux. Attends, je vais marrêter un peu plus loin.
La voiture stationnée sur un petit parking sur le bas-côté de la route était éclairée à intervalles réguliers par les phares des véhicules empruntant cette route départementale assez fréquentée. Tamara qui navait pas encore pris la décision de faire lamour avec Jules avait trouvé une solution pour éviter cela. Elle déboucla sa ceinture et descendit la fermeture éclair assez maladroitement, Jules laida en levant ses fesses afin quelle puisse baisser son pantalon. Elle reprit les caresses, ses doigts sur sa verge le faisait frémir de plaisir. Elle montait et descendait sa main dans un rythme lent et régulier en prenant soin de remonter ce petit repli de peau mobile puis de le décalotter à chaque passage de ses doigts.
Cétait incroyablement bon, malgré sa faible expérience, Jules sentait que Tamara sappliquait pour parvenir à un résultat plus que probant, il était prêt à éjaculer. Il sortit la main de son corsage qui pelotait son sein, pris celle de sa passagère en lui demandant darrêter :
Stop ma princesse ! Je vais jouir sur tes doigts. Allonge-toi, faisons lamour ici dans cette voiture.
Non Jules ! Laisse-moi te soulager. Pas ici ! Cest vraiment inconfortable et jai trop envie dun lit pour me donner à toi.
Sans lécouter, elle reprit sa masturbation à un rythme plus soutenu, lorsquelle sentit son sperme poisseux recouvrir la peau de ses doigts, elle comprit quil venait déjaculer. Tamara novice en la matière essaya de regarder mais la peine ombre lempêchait de tout voir. Elle prit deux mouchoirs en papier et sappliqua à nettoyer son sexe et sa main :
Cétait comment ? Demanda-t-elle.
Bien, très bien mais jaurais préféré faire lamour avec toi.
Moi aussi ! Répondit-elle en lembrassant.
Jules navait rien dit, mais Tamara lavait agacé, cette femme lui faisait tourner la tête et il nen avait pas fini avec elle. Elle désirait un vrai lit pour faire lamour, il lui en proposa donc un :
Au lieu daller en boite, ne préfères-tu pas aller chez moi ?
Non Jules ! Chose promise chose due. Allons danser.
Dans son for intérieur, une petite voix lui disait quil ne coucherait pas encore ce soir avec elle. Tamara serait-elle maline au point de sesquiver ou lui cachait-elle autre chose ?
Nous verrons la suite dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous aussi, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par e-mail, avec votre aide, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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