Jocelyne Raconte Annick (Suite)
Chose promise, chose due
Annick continua son récit :
"Annick la femme adultère. C'est ainsi que me voyaient les gens que je croisais sur ce quai de gare. Du moins c'est ce je pensais. Morte de trouille, je traversais la gare. Quand je vis Benoît je sus immédiatement que mes bonnes résolutions n'allaient pas voir je jour. Je ne pouvais pas prendre le risque. Je l'aimais trop et j'allais lui faire tellement de mal.
Emue aux larmes je me jetais dans ces bras. Il s'inquiéta de mont état. Son absence, la fatigue du stage et puis le voyage
alibis faciles
.
"Oh toi ma chérie, je sais ce qu'il te faut ! Une bonne nuit de sommeil !"
Oui voilà ! Une bonne nuit de sommeil, pour avoir l'air plus fraîche demain et essayer d'enfouir au plus profond de ma moi-même cette soirée délirante. Je dis bien essayer car je savais à l'avance que cela ne serait pas possible. On n'oublie pas facilement une telle expérience. J'avais choisi
ce serait le silence.
Le dimanche nous fîmes l'amour, quelle différence
mon époux était un amant attentionné mais pas imaginatif. Et j'en aurais pleuré de désappointement tellement ce ne fut pas aussi bon que je l'aurais voulu
. Mais en vrai, tu sais, ce ne fut pas bien terrible,
pas terrible du tout. La bêtise que j'avais faite allait me poursuivre jusque dans mes relations sexuelles. J'avais connue la perversion et il me fallais me consacrer à mon époux, entièrement à lui pour que si possible il me qu'il me fasse oublier.
Après ce beau dimanche, il eut un lundi
. Le genre de lundi que tu connais sûrement. De ceux que l'on vit après avoir passé un mauvais week-end.
A nouveau la vie de tous les jours avec en prime le compte rendu de mon stage avec l'équipe dans laquelle je travaillais. Après ce lundi, il eut un mardi
puis un mercredi
. Le soir je me dévouais à mon chéri, corps et âme. Enfin plus "corps" que "âme", elle était d'une telle noirceur ! Et puis il eut un jeudi
.
Dans la matinée je reçus un coup de téléphone.
"Madame B
. Roland P. ! Pouvez-vous venir un instant !"
"Bien Monsieur, j'arrive !"
Le Directeur des Ressources Humaines et Financière souhaitait me voir. Je travaillais, c'est vrai, en collaboration avec son service et le rencontrait communément.
Un petit coup d'il dans la glace et je rejoignit l'autre aile du bâtiment. Je frappais et fut priée d'entrer. Monsieur P se leva pour m'accueillir et me pria de m'asseoir. Roland P avait une cinquantaine d'année, plutôt bel homme. Tout le personnel féminin jugeait que plus jeune, il avait du être un bel homme
au minimum
. Par contre ses sièges étaient un cauchemar pour le même personnel féminin. De vrais sièges de DRH ! On s'y enfonçait et fatalement Monsieur P vous surplombais. Malheur à celle dont la jupe était une peu courte !
"Alors Madame B, parlez moi un peu de votre stage"
J'en refis le compte-rendu. Il parut satisfait et conclut :
"Donc, si je comprend bien cette cession vous aura été profitable en tous points"
Il me sembla, mais je me trompais peut-être qu'il avait appuyé un peu sur le "en tous points ". Je confirmais l'intérêt que j'y avais pris. Il termina en disant :
"Cela ne m'étonne pas !"
Je fus surprise de la remarque. Devant lui se trouvait un dossier qu'il tourna vers moi et qu'il ouvrit. Il en étala le contenu sur son bureau
.
Bouche bée, j'étais transformée en statue. Mes yeux n'arrivaient pas à se détacher de ce qui était exposé sur le bureau. Des photos
des photos d'une femme
avec plusieurs hommes
avec des gros plans
sur ses orifices
les trois
remplis par des sexes turgescents
ou bien on voyait des scènes d'ensemble où la femme s'occupait de plusieurs hommes en même temps
. Où JE m'occupais de plusieurs hommes en même temps
. Car il s'agissait bien de cela. Le sujet principale c'était moi. En fait j'avais sous les yeux les (nombreuses) photos prisent par un des types à qui j'avais cédé lors de mon stage. Il faisait un usage curieux des photos dites "photos souvenir".
"Inutile que je vous redemande si ce stage vous a été profitable en tous points, n'est ce pas ? Je vois que vous ne vous êtes pas ennuyée ! Mon ami Patrice m'a immédiatement envoyé ces merveilleux clichés lorsqu'il a réalisé que nous travaillions dans les mêmes locaux. Il m'a vanté vos qualités
et votre coup de rein !"
Muette ! J'étais complètement muette et abasourdie
. Le passé récent que j'essayais de fuir quotidiennement me revenait en plein visage. Le DRH reprit de plus belle :
"Il va sans dire Madame B, que vous pouvez compter sur ma discrétion la plus absolue. Si, si je vous assure
enfin, tant qu'en contrepartie vous me serez d'une obéissance et d'une docilité exemplaire. Vous me comprenez ? Je sais que oui
. Imaginez un peu que par mégarde ces superbes documents soient diffusés à l'ensemble du personnel. Nul doute que vous auriez un succès certain en entrant le midi dans les restaurent d'entreprise. Ou encore imaginez la surprise des habitants de votre quartier les trouvant dans leur boite à lettre
. Vous parlerais-je de votre époux ? Inutile je crois !? M'avez-vous bien compris.
Je fis un pauvre signe de la tête.
"Je ne pense vous avoir entendue ! Je répète, m'avez-vous bien compris ? "
"Oui Monsieur"
"Bien ! Voilà qui est mieux
donnez-moi votre culotte !"
Devant mon hésitation, il se fit plus pressant et menaçant. Tétanisée, je remontais ma jupe. Je pris mon slip par les élastiques des cotés et me soulevant légèrement, je dégageais mes fesses.
"Gardez votre jupe relevée !" me fut-il demandé.
Je fis ensuite glisser le sous-vêtement jusqu'à mes chevilles et l'ôtait finalement. Jupe relevée je devais avoir l'air particulièrement idiote avec ma culotte à la main. Il me laissa mariner quelques instant avant de me faire signe de lui donner. Je me levais et lui donnais. Il la prit, la huma, hocha la tête et me dit.
"Merci Madame B, vous reviendrez la chercher à dix-huit heures nous seront plus tranquilles pour bavarder un peu !"
C'est presque en courant que je sortis de son bureau pour aller m'enfermer les larmes aux yeux dans les toilettes. Malheureuse ! Pauvre sotte dans quel guêpier m'étais-je fourrée. Il me tenait, complètement à sa merci. Qu'allait-il m'arriver ? En analysant froidement les choses, je m'aperçus qu'il ne courait aucun bruit sur Roland P. peut être n'allait-il pas se montrer aussi sans scrupule que je le pensais. Pourtant il m'avait fait retire mon slip ! Peut-être que cela ne voulais rien dire et qu'il voulait simplement me donner une leçon. La Société aimait bien la réserve
. Je me raccrochais toute la journée à cette idée. Journée que je passais sans culotte pour la première fois. Je n'avais jamais fait cela. J'étais terrifiée à l'idée que quelqu'un puisse s'en apercevoir et évitait de quitter mon bureau. En fin d'après midi mes collègues commencèrent à partir, certains en me demandant si ma montre ne s'était pas arrêtée. Je prétextais n'importe quoi. A dix-huit heures, je me précipitais. Personne dans les couloirs, ouf ! Je frappais à la porte du bureau de Roland P. Je fus priée d'entrer. Je m'avançais, vers les (maudits) fauteuils quand il m'interpella :
"Un instant voulez-vous Madame B
. ne vous asseyez pas ! Venez par ici
venez me sucer
!"
Je me sentis m'empourprer et m'effondrer en même temps. Pendant une fraction de seconde je fus incapable de penser. Pendant la fraction de seconde suivante, je pensais quitter sèchement le bureau
. C'était la porte et le scandale assuré, imagine un peu ! En guise de protestation, je fis raisonnablement le tour du bureau. D'une démarche mal assurée, je m'approchais. Il orienta son siège face à moi en disant :
"Patrice m'a raconté que vous faites cela très bien
. Alors ! D'ailleurs, ais-je besoin de vous préciser qu'il y va de votre intérêt à ce que vous mettiez du coeur à l'ouvrage
"
Il avait déjà le sexe à l'air, un sexe de taille moyenne, décalotté dont le gland turgescent pointait vers moi.
"Ah j'allais oublier ! Madame B, désormais à chaque fois que vous franchirez cette porte vous devrez être sans culotte. Que ce soit pour des raisons professionnelles ou autres, d'ailleurs surtout "autres". Vous avez bien compris ?"
"Oui Monsieur
"
Comme tu peux le penser, en arrivant à mon bureau, j'étais effondrée. Voilà où mes sottises m'avaient menées. Tu te rends compte, une aventure sans lendemain, un manque de courage envers mon mari et je me retrouvais victime d'un maître chanteur et de plus il fallait que ce soit mon DRH. Il avait toutes les cartes en main je sentais que j'étais à sa merci. Il se passa huit jours sans que je ne vois, je me croyais presque tirée d'affaire. Le mardi il me fit venir. Pile avant de frapper à porte je me rappelai de ses consignes. Je filais aux toilettes et
enlevais mon slip. Puis retournais à sa porte et frappais. Il me fit entrer et simplement me donna des documents pour mon chef tout en précisant :
"Remarquez, j'aurais pu lui porter directement, mais je préfère vous les remettre à vous
vous êtes tellement plus
féminine
. Relevez votre jupe !"
Rouge de confusion, je le fis. Il me fit tourner sur moi-même et me dit de sortir. Curieusement une fois dans le couloir, je regrettais presque de m'en tirer à si bon compte. Enfin, je n'aggravais pas mon capital "mensonges". Deux jours plus tard, dans la matinée il me téléphona, m'ordonnant de venir le trouver à treize heures. A l'heure précise, j'étais devant son bureau et sans culotte. A son ordre d'entrais. Il me fit me retrousser puis de demanda de venir lui faire une pipe "en m'appliquant mieux que la dernière fois" dit-il. Je fis donc beaucoup mieux et cela le contenta. Une quinzaine de jours après il m'appela
pour la même chose, puis une semaine après, puis le rythme de mes assignations augment pour atteindre un fellation tous les deux ou trois jours. A ce rythme là je progressait malgré moi surtout qu'il m'encourageait dans cette voie en me demandant de bien lui lécher le gland, toute la longueur de sa hampe, le frein, le méat, il voulait que je le branle bien en même temps et que je serre bien joues autour de son membre ou encore que je prenne ses couilles dans la bouches pour bien les sucer elle aussi. Naturellement il faillait que j'avale sa semence
. Bien sûr, prise dans cet engrenage, vis à vis de mon époux je me sentais terriblement coupable. Ce fut pire encore après. Un jour il m'appela et me fixa rendez vous à dix neuf heures. Je prévins Benoît prétextant un boulot à finir. A cette heure là il n'y avait plus grand monde au bureau, ouf ! Rolland P me fit entrer se leva et vint vers moi. Il m'enlaça et m'embrassa farouchement. Je ne pouvais pas faire autrement que de le laisser faire. Il m'entraîna derrière un de ces fameux fauteuils et me fit courber par dessus le dossier. Il me troussa et m'ayant fait écarter les jambes il me caressa la vulve. C'était la première fois qu'il me touchait. Stupidement, je me mis à mouiller
. Ce qui devait arriver, arriva je sentis quelque chose de plus gros, de plus chaud qu'un doigt contre ma sexe. Il me pénétra lentement mais bien profondément et se mit à aller et venir en moi. Je dois t'avouer qu'il faisait cela pas mal du tout ! Tellement si "pas mal du tout" que juste avant d'éjaculer, il me gratifia d'un orgasme que je ne pus masquer à ma grande honte. Il en déduisit "que j'avais l'air d'aimer ça". Pas faux d'ailleurs
parfois avec Benoît j'avais un peu de mal à arriver à l'orgasme. J'ai honte de te l'avouer, mais il m'arriva même de simuler. Pourtant j'aimais mon mari ! Mais lui, dès la première fois il m'avait fait jouir. La deuxième aussi quelque jours plus tard allongée sur le dos sur son bureau. Où tout cela allait-il m'emmener ? Je le sus quatre jours plus tard. Faisant la queue au restaurant d'entreprise je sentis une main se poser furtivement sur mes fesses. Furieuse je ma retournais pour gifler celui qui avait osé. Je n'en fis rien Rolland P, car c'était lui qui m'avait manqué discrètement de respect, était là et s'installa à table non loin de moi. Le repas finit j'allais regagner mon bureau quand il glissa rapidement en même temps que moi dans l'ascenseur. Il me prit dans ses bras et m'embrassa. Il me souffla :
"J'en ai assez ! Je te veux nue contre moi ! Demain prends ton après midi nous irons dans un petit coint tranquille ou je pourrais te baiser tranquillement".
Ma raison vacilla. Le soir encore plus, je faillis presque tout avouer à Benoît. Mais je me retins, je crois, tu sais, que j'avais envie d'appartenir à mon suborneur. Bizarre non ? Il me faisait chanter, certes, mais à la façon qu'il avait eu de me dire qu'il voulait me "baiser" cela me faisait ruisseler. Ruisseler, j'en eux l'occasion
dès le lendemain matin. Un courriel m'attendais dans la messagerie : "Une enveloppe t'attends dans ton bureau. C'est pour cet après midi. Je te veux chaude, dès à présent retire tes sous-vêtements. Rendez-vous 12h au parking. RP. J'ouvris mon tiroir. Effectivement il s'y trouvait une grosse enveloppe qui contenait elle-même une pochette. Le contenu de cette pochette ? Une paire de bas noir genre dim-up. Le ton était donné
. Je me rendis aussitôt aux toilettes et m'y enfermais. Mais pourquoi donc étais-je entrain d'obéir bêtement aux commandements de RP ? Ce matin là pas grand-chose ne m'y obligeais, sauf mon démon intérieur qui m'avait fait trébucher et crois-moi il était bien présent ! Vite fais, bien fait, je retirais mon string et mon soutien gorge. C'était la première fois que je faisais cela au bureau. D'habitude pour aller dans le bureau de RP j'ôtais ma culotte juste avant de frapper, mais là c'était différent, très différent
. J'allais devoir limiter mes déplacements. Par coquetterie, en vue de mon après-midi j'avais mis un chemisier assez léger. Tout le monde pourrait aisément se rendre compte que je ne portais pas de soutien gorge. Mes seins allaient osciller au moindre pas. Déjà il fallais que je me cache derrière l'écran de mon ordinateur pour cacher à la vue de mes collègues mes mamelons bien visibles sous le fin tissu, alors bouger
pas question. Je trouvais la matinée interminable l'esprit tourmenté par ce qui allait ce passer. Je n'avais plus d'excuse cette fois. Je SAVAIS ce qui allait ce passer, j'allais cocufier Benoît en toute connaissance de cause. Midi !
enfin
à la hâte je descendis au parking. RP m'attendais et me demanda de le suivre. Je suivis donc sa voiture et me garais derrière lui sur l'aire d'un de ces motels de périphérie ou de zone d'activité qui accueillent les cadres et les commerciaux en déplacement et aussi
les amours illégitimes. Il se dirigea vers la réception, puis revenant vers moi m'invita pour déjeuner. J'avais un peu l'estomac noué surtout que dès le début du repas il avait posé en évidence la clé de la chambre qu'il avait retenue. Cette clé m'hypnotisait
. Il me demanda en souriant ironiquement depuis quelle heure, j'étais nue sous mes vêtements. Je lui répondis que j'avais retiré mes effets vers huit heurs quinze. Il me demanda si je n'avais pas honte de déambuler ainsi. Je répondis que oui, bien évidemment. Ensuite il voulut savoir si cela m'avait fait mouiller. Je fis tout d'abord un petit signe de tête affirmatif. Cela ne parut pas lui suffire il fallut que je lui dise que j'avais mouillé. Je le fis d'une voix étranglée. Il me fixa avec des yeux pleins de convoitise et de perversité et me dit :
"Je suis assez content que tout cela t'excite un peu. Il n'est pas question que je baise un bout de bois inerte. Je te veux chaude, active et participante. Je suppose que je n'ai pas besoin de te rappeler l'usage que je pourrais faire de certaines photos !"
La menace était claire, il me voulait et il voulait que je me donne, que je m'offre. J'étais coincée et mon petit démon s'en amusa. Une fois le repas terminé nous prîmes la direction de la chambre. Il le fit avec ostentation en me prenant par la taille. Une fois la porte refermée, il me prit dans ses bras et m'embrassa longuement. Il est vrai que c'était la première fois qu'il me faisait cela. Je l'avais sucé, il m'avait sautée, mais il ne m'avait pas encore embrassé. Sa langue fouilla ma bouche impatiemment s'imposant à la mienne. D'une main agile, il se rendit maître des boutons de mon chemisier qui se trouva vite ouvert. Sa main vint épouser un sein. Il quitta ma bouche pour constater : "Eh bien tu as une sacré paire de nichons" et il la reprit de plus belle. Deux minutes après j'avais le torse nu et encore deux plus tard, je n'avais plus de jupe
juste les bas qu'il m'avait offerts. Tout de suite sa main se faufila pour vérifier si tout à l'heure, je n'avais pas menti. Il fut fort aise de constater que j'avais dis la vérité, ses doigts ressortirent trempés. Il me pria de lui défaire son pantalon. Mue par une sorte de réflexe je me laisser aller à genoux et ouvrit sa braguette pour ôter son pantalon sous lequel, prévoyant, il ne portait rien. Je m'emparais de son membre qui grossit entre mes doigts et l'embouchais. Il me dit :
"Tu es bien vorace ! Attends un peu tu vas avoir l'occasion de me sucer tout à l'heure ! Pour l'instant, tu vas me faire admirer ton savoir faire !
Il se dépouilla prestement sa chemise et m'attira vers le lit. Il s'y allongea et croisa ses bras derrière sa nuque en disant :
"Allez à toi de jouer !"
Tu te rends bien compte de ce qu'il souhaitait ! il voulait ma participation pleine et entière. Je n'avais pas trente six solutions, aussi je m'agenouillais sur le lit et me mit au dessus de sa queue dressée. Je m'ouvris la vulve d'une main et la pris de l'autre pour la guider dans mon intimité. Je n'eus plus qu'à me laisser glisser autour de sa tige. Je pris appuis sur mes mains et commençais à jouer du bassin. Visiblement il apprécia. Pourtant j'étais quand même timide à l'époque, je n'avais pas le talent de maintenant ! De temps à autres, il me demandait de lui rouler des pelles. Je penchais alors, écrasant et frottant mes seins sur son thorax. Il désira ensuite que je continue ma danse du ventre en joignant mes mais sur ma nuque, bras écartés. De ce fait il pouvait admirer les mouvements désordonnés de mes seins qui tressautaient en rythme. Il étendit les bras pour s'en saisir rudement à pleines mains. Après les avoirs manipulés il les attira vers sa bouche pour en sucer les bouts. Enfin je veux dire, les sucer tout d'abord et me les mordre ensuite
. Oh, pas cruellement mais assez fort pour m'arracher des gémissements. Il lâcha prise ensuite et retira son sexe. Il me dit :
"A mon tour maintenant de te faire voir ce que je sais faire !"
Il se leva fit le tour du lit et me poussa. Restée à genoux, je fus propulsée vers l'avant et me retrouvais à quatre pattes. Il passa derrière moi et m'enfila bien à fonds très rapidement. Ses mains me prirent à la taille et il commença à me bourrer avec impétuosité. Tellement fort et tellement bien que le plaisir me surprit et me submergea sans que je pense une seconde à le cacher. Cela le conforta dans son jugement à mon égard. Il avait une gourmande au bout de sa pine. Gourmande ?... oui il avait dit cela ! Gourmande
et aussi salope
je n'avais pas rêvé, il avait dit salope ! Ma foi, après tout une femme adultère
quel qualificatif voulais-tu qu'il m'attribue ? Il parut satisfait de mon comportement et me le commenta grossièrement genre : "finalement tu baises bien ! je crois que je vais remettre le couvert !". de fait je sentais son membre se redresser contre ma cuisse pendant qu'il me caressait le dos, les reins et les fesses.
D'ailleurs il s'appesantit sur mes globes charnus, puis insistant plus encore, il déclara :
"Tu as de belles fesses, je crois que je vais en profiter ! Tu ne vois pas d'inconvénient à ce que je t'encule, n'est ce pas ?"
Que voulais-tu que je lui réponde. De toute façon il était maître du jeu. Je lui répondis simplement de faire doucement et cela l'amusa. De ce que lui avait raconté son ami Patrice, je n'avais pas été trop rétive à ce type de pénétration. A l'époque j'aimais déjà un peu. Maintenant, je suis comme toi, j'adore
. Il amadoua un peu l'endroit, assez peu à mon goût et me fit remettre en levrette pour débuter mon enculage. Il faisait cela correctement, enfin, finalement pas mal du tout, jusqu'à me faire jouir par derrière. C'était bon de sentir une verge se vider dans cet étroit conduit. Il est vrai que Benoît ne n'honorait pas trop cet endroit et surtout pas de cette façon un peu
hussarde.
Quand il eu terminé sa petite affaire, il s'essuya un peu puis souhaita que je lui fasse "une petite pipe d'au revoir". Je le fis sans rechigner. Excitée, même, par rapport à l'endroit d'où elle était sortie quelques minutes auparavant. Je pompais son gros nud jusqu'à ce qu'il m'expédie sa sauce sirupeuse plein la bouche. Je me sentais prête à devenir sa maîtresse en toute conscience, prête à jouer le jeu du chantage si cela lui faisait plaisir
et connaître d'autre après-midi comme ceux-ci. Définitivement mon cher et tendre serait cocu. Je l'aimais, certes, mais il faut bien reconnaître que question radada, il n'était pas champion
.
Malheureusement Rolland fut trop rapide, bien trop rapide. A l'époque, s'il avait été plus progressif, plus patient, j'aurais tout accepté. Seulement il ne s'en rendit pas compte et tout de go, juste avant que nous nous séparions, il me dit :
"Bon ! Ça a été super Patrice avait raison ! Puisque tu as l'air d'aimer la queue
samedi prochain, libère toi pour la soirée et rase toi la chatte. Je vais inviter quelques amis et nous te baiserons toute la nuit par tous les bouts !".
Je me récriais, cela n'était pas possible, mon mari
et puis plus de poils sur le pubis, il s'en apercevrait, et puis non, pas le samedi soir, ce n'était pas possible ! Cet imbécile ce fit menaçant en disant "réfléchis
les photos
.".
Il allait mettre mon couple en péril. Du coup ma décision fut prise. Au pied du mur j'allais tout avouer à Benoît, il concevrait mon désarrois et me pardonnerais. Je rentrais donc en toute hâte chez moi. Dès que Benoît rentra, je lui avouais tout
mes fautes, mes péchés, mon déshonneur
.
Il y eut un long silence quand j'eus fini, puis je le vis blêmir et se lever sans un mot et se diriger vers l'étage. Il se dirigea vers notre chambre ouvrit la porte se retourna et dit :
"Je ne te pardonnerai jamais ! A partir de maintenant je ne te parlerais que par avocat interposé. J'entame demain la procédure pauvre salope !"
Salope
encore
mais pas pour les mêmes raisons
.
Le lendemain, je partis pour le travail, mais n'y allais pas, je régulariserai plus tard. J'avais besoin de faire le point. A l'issue de cette mauvaise journée je rentrais pour trouver des cartons contenant mes affaires et la porte close. Il est vrai que cette maison (de famille) appartenait à mon époux. De sur mon portable j'appelais Rolland pour qu'il m'héberge cette nuit là. Je lui racontais en peu de mot ce qui m'arrivais. Sa réponse tomba comme le couperet d'une guillotine :
"Tes histoires, je n'en ai rien à faire
."
Je fus réduite à empiler mes affaires dans ma voiture et me diriger vers l'hôtel le plus proche. La nuit porta conseil. Le lendemain je fis irruption dans le bureau de Rolland au beau milieu d'une réunion et lui lançais ma culotte et ma lettre de démission à la figure en le traitant de "pauvre con".
Voici donc comment je me retrouvais, chassée de chez moi, au chômage
pas brillant ! Bon je devais me reconstruire. Je changeais de ville pour venir ici, un petit séjour à l'hôtel, le temps de me retourner. D'abord trouver un boulot. Ce fut assez vite fait. Je trouvais un assez bon job dans une caisse de retraite, j'avais trop fréquenté les commerciaux
. Me permis de trouver un petit appartement sympa dans un petit immeuble d'un quartier en pleine rénovation. Mes formalités de divorces furent vites bâclées. J'avais tort sur toute la ligne.
Et voilà
et voilà
rien
plus rien mis à part des semaines qui s'écoulaient inexorablement dans une platitude effrayante et des week-ends interminables de solitude.
Je vécu ainsi pendant près d'un an et demi comme une recluse. Je n'avais même plus envie de ma masturber. Cela était devenu trop routinier. Ah que j'aurais voulus m'appeler Sonia, Paméla ou Victoria
mener une vie dissolue, être une star du X, me vautrer dans le stupre, ou musarder d'orgies en partouzes. Mais non !... j'étais Annick, seule
et parfois le ventre me brûlait. Un ou deux collègue de travail avait bien tenté leur chances avec moi. Mais premièrement question collègues de travail, j'avais été bien échaudée et deuxièmement le milieu d'une caisse de retraite n'est un endroit privilégié de rencontre. En rentrant chez moi je lorgnais les hommes sur mon passage essayant d'évaluer si leurs pantalons étaient bien remplis. Je fantasmais même un peu sur les ouvriers des constructions environnantes rêvant qu'ils se jetaient sur moi et me violaient tout à tour. J'en arrivais à un tel point de manque que je commençais à me demander si je n'allais pas un soir sortir en boite et suivre le premier venu. Et puis hasard
destin
chance
.
Une de mes voisines de l'étage du dessus décéda. L'appartement fut en conséquence vidé et des travaux de réfection s'opérèrent. Bientôt un nom apparut sur la boite à lettre et un beau jour des déménageurs firent leur apparition. Les jours qui suivirent sans vouloir faire la curieuse je me demandais quel tête pouvait avoir ce nouveau voisin (puisque sur la boite à lettre figurait Monsieur T.). Je fus déçue. Déçue et émerveillée
le nouvel arrivant était un ange. Du moins il en avait la beauté. Grand, bien proportionné, des cheveux blonds ondulés, un profit d'apollon il était magnifique. Le hic (enfin pour moi) c'est qu'à tout casser il ne devait pas dépasser vingt deux ou vingt trois ans. Un âge qu'aurait pu avoir un fils si j'en avait eut un. J'aurais préféré que je nouveau voisin eut une quarantaine d'année comme moi
. Mais enfin nous de sommes pas maître de la destinée. De plus, ce garçon était toujours souriant, courtois, poli, attentionné
un gendre idéal quoi ! C'est pour cela qu'un beau jour j'acceptais de lui rendre un service. Comme je retirais mon courrier le facteur parut embêté. Il rouspétait contre la petitesse des boites à lettres. Il me prit à témoin :
"Vous voyez Madame L, votre voisin
il va être obligé de venir au bureau de poste, et si ses heures d'ouverture ne correspondent pas
."
J'acquiesçais. Il réfléchit et me demanda :
"Vous le connaissez Monsieur T"
"Oh comme cela ! Bonjour, bonsoir
"
"Son paquet n'est pas un recommandé, vous serait-il possible que je vous le laisse. Vous pourriez lui donner !"
Je n'étais pas bien d'accord, mais vu la gentillesse du garçon, je finis par accepter. Le soir même je montais d'un étage et sonnais
en vain il n'était sûrement pas rentré. Je retentais ma chance le lendemain. J'attendis un peu et entendis un bruit de clé derrière la porte qui s'ouvrit. J'expliquais le pourquoi de ma venue et lui tendis son colis. Il me remercia de ma sollicitude et voulus m'offrir un verre. Je refusais. Il insista. Je cédais. Son appartement était à son image bien rangé, ordonné. Il me fit asseoir et me proposa l'apéritif. Il s'éclipsa pour aller chercher des verres. En se déplaçant, il dut toucher légèrement le plan de travail ou était posé son ordinateur ou bien effleura-t-il la souris Il n'en demeura pas moins vrai que l'écran cessa sa mise en veille. Le papier peint du bureau me sidéra. C'était tout bonnement des lèvres en très gros plan. Des lèvres de femme qui se refermaient sur un membre qui semblait de belle taille. J'en restais muette de saisissement. Il revint avec verres et glaçons me servit et comme si de rien était nous attaquâmes les banalités habituelles entre voisin. Pourtant j'avais du mal à ne pas regarder l'écran par dessus épaule. En fait je saisissais la moindre opportunité pour admirer la photo. Au bout d'un instant de parlotte il me manda :
"C'est l'image de mon PC qui vous fascine tant ? Voulez vous voir la série complète ?"
Je me récriais devant l'offre incongrue et refusais. Il insista. Je cédais. Bêtement j'eu l'impression de céder trop vite. Mais enfin, une série de photos ne prêtaient pas à conséquence mais des photos de charme. De charme
enfin plutôt un peu porno (et pas qu'un peu d'ailleurs) je m'en aperçus vite. Elles représentaient une femme, entre deux ages, entrain de faire l'amour avec un homme qui paraissait plus jeune qu'elle. La série était longue et je faisais défiler assez rapidement la série. J'avais hâte de la terminer et de rentrer chez moi. En fait je n'aurais pas du accepter ni le verre, ni la suite. Pendant qu'avançaient devant moi les images je sentis à un moment quelque chose derrière moi me frôler mes cheveux. Étonnée, je tournais la tête et me retrouvais nez à nez, si j'ose dire
avec le sexe tendu du mon voisin. Il avança le bassin vers moi et son pénis vint buter contre mes lèvres. Que se pas-t-il dans ma petite tête d'idiote ? Rien, je crois et pense avoir agit par réflexe
. J'ouvris la bouche
.
Le membre pénétra ma bouche qui se referma autour avec délectation. Il y avait si longtemps que je n'avais sentis cette sensation d'un membre palpiter sur ma langue. Il était doux, chaud et le gémissement que poussa le garçon me fit perdre les pédales et je m'emparais du sexe, fit jouer un peu le prépuce puis finalement le décalottait pour en lécher l'extrémité avant de ré emboucher voluptueusement. Dépassée par mon propre comportement, je me mis à lui pratiquer une fellation que je voulus sensuelle. Il eut l'air d'apprécier. Encore une fois débordée par ma conduite je fis à peine un mouvement de retrait lorsqu'il enfla sur ma langue. De toute façon, il me tint aussi un peu la tête rivée à son sexe qui m'emplit la bouche de deux ou trois jets abondants de sperme épais.
A peine avais-je eu le temps de m'essuyer les lèvres d'un revers de main, qu'il me la prit et me fit lever. Un peu déboussolée je le laissais m'entraîner vers son entrée. Il me dit tout de go :
"Je suis désolé ! J'ai un rendez-vous, je ne peux pas m'occuper de vous aujourd'hui. Ce sera peut être pour un autre jour !".
À suivre
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