Nous Avons Donné Du Plaisir À Ma Femme


Nous avons donnés du plaisir à ma femme

J’ai invité un pote à la maison à l’apéro pour la fête des femmes, en le prévenant qu’elle et moi avions envisagés une partie à trois, chose qu’elle n’avait jamais fait avec deux hommes.
Ma femme fait des pipes comme personne et aime par derrière, petite brune d’un mètre cinquante, seins bien pleins et ronds avec un cul ferme et rebondis.
Elle attend ce jour depuis plusieurs mois et ne se doute pas que c’est ce soir que j’ai décidé de passer à l’acte pour son plaisir.
Après plusieurs verres, l’ambiance est plus que détendue, sa jupe s’est relevée et elle la laisse comme ça faisant semblant de rien en ouvrant même ses jambes au regard de Paul assis en face et qui louche sur la vision de ses bas, jarretelles et culotte en dentelle. Le chemisier de Chris est entrouvert et son joli soutiff fuchsia lui galbe la poitrine à merveille. Il est chaud le Paulo, surtout que je passe mes mains sur les cuisses de ma femme la faisant écarter plus.
Je pars aux toilettes, histoire de leur laisser le champ libre, je suis chaud et commence à avoir une demi gaule. En revenant sur la pointe des pieds, je vois que Paul s’est assis à côté d’elle sur le canapé, une main sur l’épaule et l’autre sur sa cuisse, il lui parle à l’oreille et elle glousse au propos qu’il lui tient, sa main remonte doucement vers l’entre jambe de Chris et elle se laisse faire. Je fais mon apparition dans le salon et leur dit que ça me fait plaisir qu’ils s’entendent comme ça et je m’assoie aussi à côté de ma femme, en l’embrassant sur les lèvres et lui passe une main sur les seins en pinsonant les tétons qui pointent sous les tissus, je lui demande :
- Tu trouves Paul à ton goût ?
- Oui et très sympa répond-elle, je demande :
- Mérite-il que tu sois gentille avec lui ?
- Oui, mais comment lui faire plaisir demande t’elle ?
- Et bien tu pourrais lui montrer tes seins !
- D’accord ! Et elle déboutonne son chemisier
Je l’aide et dégrafe son soutien gorge, ses mamelons jaillisses, elle les tiens dans les mains, tend son buste vers lui et lui dit qu’il peut les toucher, ce qu’il fait en jouant avec les pointes qui sont déjà dures, il demande à les embrasser, elle dit oui et il tête.

Moi, j’ai les mains baladeuses et je trouve chaleur et humidité en lui caressant le pubis à travers sa culotte, elle s’ouvre à ma main en écartant les jambes encore plus. Elle dit :
- Paul, vous léché bien, si mon mari est d’accord, je vous ferai bien la même chose, je réponds :
- Oui, ma chérie, montre à Paul ce que tu sais faire avec ta bouche, tes lèvres et ta langue, c’est notre invité, nous devons bien nous occuper de lui. Elle lui enlève son pull, il est torse nu, elle caresse la poitrine velue, se met à lécher les bouts, elle est à quatre pattes et m’offre une vue splendide sur son fessier, je trousse la jupe pour voir sa culotte blanche qui lui rentre dans la raie, je me penche et hume son parfum intime que j’adore, ses poils bruns dépassent sur les bords, je glisse ma main entre ses jambes. Elle demande :
- Je peux sortir son sexe, il est tout dur et coincé dans le pantalon ?
- Oui ma douce, sort le, il doit avoir mal, il faut le masser pour qu’il se détende.
Elle ouvre le futal, le baisse aux genoux et extrait le morceau du slip, il est énorme, raide, un prépuce long, malgré mes 18cm et 4 de diam, je suis impressionné, il a bien 25cm et 6 de diam, elle baisse le slip et j’aperçois une paire de couilles grosses et velues qui tiendraient pas dans une main, elles doivent être pleine de jus, je ne suis pas homo mais la, je suis fasciné par son matos.
– Je peux sucer sa bite ? demande t’elle, oui ma chérie, fait lui une fellation magnifique comme à moi et n’oublie pas de lui lécher ses belles couilles poilues.
–HO oui, je vais le pomper comme une chienne et lui manger les testicules.
Elle a la croupe relevée, je m’allonge entre ses cuisses, lui écarte l’entre jambe de la culotte et commence à lui bouffer la fente dégoulinante, son odeur m’excite, elle a pensée à moi en gardant son parfum intime de la veille, je ne sais pas si ça plaira à Paul mais moi j’aime quand elle sent un peu le pipi.
J’entends les bruits de succion de sa bouche sur la queue de mon pote et ses soupirs à lui, c’est une gourmande et de savoir ce qu’elle lui fait me fout une gaule terrible, il faut que je la fourre, je pourrais regarder le spectacle.
Je me mets à genoux derrière elle, lui enlève sa culotte et pointe mon dard à l’entrée de sa moule luisante de mouille, caresse les lèvres avec le gland et la pénètre en douceur mais à fond, elle a un râle étouffé, je commence à limer en lui rentrant un doigt dans les fesses. Paul nous regarde, ma femme lui a relevé les jambes et lui fait une feuille de rose, j’aperçois l’anus de mon pote, brun et serré, sa raie est velue, je suis attiré par cette vision, il s’en aperçoit et me lance en riant :
- tu veux y goûter aussi ? Ma femme rétorque que c’est à elle de jouir d’abord, elle veux sa belle queue en elle, je me retire, elle se positionne à cheval sur lui et commence à s’enfoncer le chibre dans la moule, elle s’embroche lentement car le morceau est de taille, elle glousse à chaque cm enfoncés, je regarde en me masturbant, la tige est presque rentrée, elle soulève les hanches et s’empale d’un coup pour se l’enfoncer en entier, elle commence des vas et viens, sa chatte dégouline, je vois sa raie trempée et son anus qui s’ouvre, je vais l’enculer. Toujours à genoux derrière elle, je pose mon gland contre sa rosette et appuie pour le faire passer l’anneau, la, elle se cambre pour faciliter la pénétration anal, elle dit :
- Doucement, doucement, c’est gros, vas y, enfonce et je pénètre, cm par cm, je sens la bite de Paul qui bouge dans le vagin, je donne des petits coups de reins, ça y est, je suis en entier dedans, Claudie se met à bouger sur les sexes qui la remplissent :
- Haaaaaa, je suis déchirée, salops, défoncés moi, haaaaa, c’est trop bon, je suis une chienne, baisés moi comme une pute dit-elle. Paul la ramone et moi aussi, son conduit est serré, bouillant, je lui touche les seins, pinçant les tétons, elle passe une main sur son pubis et se frotte le clito, elle hurle de plaisir et d’un coup, un hoquet, elle se crispe, l’anus enserre ma queue et elle jouis, sa mouille gicle, elle a des soubresauts et s’affale sur Paul, je n’ai pas encore éjaculé, je me retire pour finir dans sa bouche, son trou de balle est rouge et largement ouvert, elle propose de nous sucer ensemble, elle veux du sperme, nous sommes debout devant elle assise, elle saisit les 2 braquemarts, les lèche avidement, les frottes l’un contre l’autre et les engouffres dans sa bouche distendue, sa langue s’agite sur les glands, c’est la 1ère fois que je frotte ma pine sur une autre, je suis troublé, surtout que Paul me caresse les fesses.
Claudie a du s’en apercevoir car elle nous demande de nous toucher devant elle, après tout, c’est la fête des femmes, il faut lui faire plaisir. J’avance une main vers les fesses de Paul et lui caresse la raie, lui me fait pareil, me masse les bourses et je sens son pouce appuyer sur mon orifice, c’est sec, je lui le dit, il met de la salive sur son doigt et recommence le massage de la rondelle, je pousse, ça rentre, c’est agréable avec la sussions de la bouche de Claudie sur ma bite, le pouce vas et viens dans mon anus, Claudie me demande alors de sucer PAUL pour lui faire plaisir, elle lâches nos sexes, Paul retire son doigt, je me courbe et prend son morceau en main et me met à le lécher en dénudant le gland violacé, je le branle lentement , ma femme m’écarte les fesses et fourre sa langue dans mon trou, elle la bouge à l’intérieur, me malaxe les couilles et me masturbe.
- Mon amour, je n’ai jamais vue deux hommes ensemble, j’ai envie de voir Paul te faire l’amour, peut-il te sodomiser ?
- Mais chérie, je ne suis pas homo et Paul a un gros phallus
- Tu m’as promis de réaliser tous mes désires et puis le gode que je te mets de temps en temps, t’a bien assouplis le petit trou, ça devrait rentrer facilement non ?
- D’accord, pour te faire plaisir, je veux bien que Paul me sodomise
Elle dit à Paul que je suis prêt.
- Venez l’enculer, il est entre-ouvert, tu n’as plus qu’à finir le travail
Paul se place derrière moi et me prend par les hanches, je lui dis,
- Vas doucement, c’est ma première fois
Claudie m’écarte les fesses et saisit la pine de Paul pour la diriger dans mon trou
- Maintenant, mon chéri, tu vas pousser pour que ça rentre, je l’entends qui crache sur mon orifice pour le lubrifier, deux secondes après, le gland de Paul appuie sur ma rosette, je pousse et le dard glisse dans mon sphincter, presque sans douleurs, Claude m’a bien préparé, j’ai la sensation que la queue de Paul est sans fin tellement le passage de l’anus dure longtemps, enfin, les poils de son pubis touchent mes fesses
- Ca y est dit Claudie, tu l’a entièrement dans le cul, tu prends bien les queues mon amour, maintenant Paul va te baiser comme une chienne
- Aller Paul, défonce lui la boite à chocolat
Paul se met en mouvements dans mes fesses, au ralentis pour commencer, puis les coups de reins se font plus rapides, sa verge me déchire la rondelle, Claudie a passée une main par en dessous et redonne de la vigueur à mon sexe qui a débandé pendant l’intromission de la hampe de chair qui me fouille le conduis, ma femme me caresse le gland dénudé entre ses doigts, je durcis rapidement et elle se met à me branler énergiquement, le plaisir supprime toutes douleurs et je m’aperçois que je tend mon cul à la pénétration, je prend du plaisir par i
- Ho la petite salope dit-elle, mais c’est qu’elle aime ça, regardez Paul comment il réclame votre queue avec son cul, bourrez le bien, il faut savoir contenter une salope qui réclame l’enculade.

Paul s’active dans mon ventre et Claudie m’astique la verge en me massant les testicules avec force, je sens que je viens, la jouissance monte de mon conduis anal et de mes couilles, je me retiens encore un moment mais le plaisir est trop fort, je hurle de jouissance,
- Haaa, ça y est je viens, fourre moi profond Paul
- Moi aussi, dit-il, je vais lâcher la sauce dans tes fesses
- Ho oui, vas y, asperge moi les intestins, remplis moi de jus
Au moment où j’éjacule de longs traits de sperme, mon anus se resserre autour de sa verge et je sens son liquide en moi, sa queue dans mon anus produis des bruits de succion, ce moment est d’un érotisme torride, ma femme est penchée sur la bite de Paul qui fait encore quelques vas et viens, elle veut regarder la sortie du morceau, Paul se retire doucement de mon cul.
- Ouaaa, une vraie entrée de métro, on voie dedans, qu’est ce qu’il t’a mis et toute cette purée qui te sort des fesses, ma salope, tu lui a aussi chocolaté le baigneur petit dégoutant, elle se moque mais est excitée par ce qu’elle a vue, elle a une main entre les cuisses et se doigte sans vergogne, sa mouille lui dégouline le long des cuisses, sa main fait un bruit de clapot dans sa vulve, où elle essaye de la faire pénétrée, nos bites sont molles, nous voulons lui donner du plaisir d’une autre façon, je la fait mettre à quatre pattes sur la table du salon,
- Paul, fiste la, je prépare quelque chose pour son anus, Paul commence à la doigter, de suite, il rentre trois doigts dans le vagin de mon épouse, elle mouille abondamment et il met sa main en fuseau pour commencer le fiste, de mon côté, j’ai pris la bouteille de champagne, j’enlève la collerette en alu et dépose de la salive sur le goulot.
La main de mon pote est à moitié rentrée dans la chatte de Claudie, elle pousse des petits grognements de satisfaction, au dessus, son anus marron au milieu des poils bruns, palpite légèrement, elle m’a vue préparer la bouteille et pousse pour l’ouvrir car elle sait que je vais la lui mettre, ce qu’elle n’a pas vue, c’est qu’il reste un tiers du liquide dans la bouteille, du champagne tiède que je vais lui faire couler dans le ventre.
Je lui doigte la rondelle avec sa mouille, elle me regarde fixement, elle se doute qu’elle vat la sentir passer en plus de la main de Paul qui la fouille, son orifice est souple, entrouvert, je secoue la bouteille pour faire mousser la boisson et lui rentre le goulot d’un coup dans les fesses, elle pousse un crie rauque de surprise, le liquide gicle dans ses intestins
- Salop, c’est un lavement, ça mousse dedans, haaa salop
- Oui mais au champagne, aller, tu as presque tout avalé
Il ne reste rien dans la bouteille, je commence à lui enfoncer la longueur du goulot jusqu’à l’endroit où la bouteille s’élargie, ma femme pousse des râles de douleur et d’extase
- Rhaaa, je suis remplie, vous me défoncez, c’est trop gros et c’est trop bon, haaa, je vais jouir, bourrez moi
Je bouge la bouteille, Paul a la main complètement rentrée dans le vagin de Claudie et fait des vas et viens, je lime le cul de plus en plus vite, mon épouse est prise de convulsions qui annoncent son orgasme, elle se met à uriner, le jet arrose la main de Paul et fait une flaque sur la table, ça y est, elle prend son pied, elle hurle son plaisir et je lui enlève la bouteille de l’anus, le champagne s’échappe par grands jets de ses fesses, Paul en reçoit sur le visage, je me penche pour en boire aussi, il est propre, ma femme a fait ce qu’il fallait pour ça.
Nous avons mis un moment à émerger le lendemain matin, Paul est resté dormir et nous prenons le petit dèj ensemble, j’ai l’anus en compote et évite le regard de mon pote, il m’a quand même sodomisé, ce n’est pas rien comme relation, je pars me laver et me raser.
J’entends ma femme parler avec Paul, elle ricane, je ne comprends pas ce qu’elle lui dit mais ils ont l’air de s’entendre, quand je reviens dans la cuisine, j’ai le droit à une surprise.
Paul est penché sur la table, le pantalon baissé sur les chevilles, le slip à mi-cuisses et ma femme lui caresse la raie des fesses, au moment où j’arrive, elle prend du beurre sur ses doigts et lui tartine le petit trou, mon pote est rouge de honte, il veut se relever mais Claudie le maintient à plat ventre sur la table.
- Chéri, Paul et moi avons décidés de te faire un cadeau, je l’ai convaincu de t’offrir son pucelage anal à son tour, comme toi tu lui as donné le tien hier soir, approche, tu vas l’enculer devant moi.
- Ah ça Paul, c’est sympa de ta part, je vais te faire du plaisir pour te remercier de m’avoir sodomisé en douceur et Claudie te fera une pipe en même temps.
- Oh oui, je vais le sucer mais je veux voir ta queue rentrer dans ses fesses avant, viens la que je te fasse durcir, je m’approche et elle me saisit le sexe pour me branler, son autre main s’occupe du petit trou de mon pote, le beurre est bien étalé sur l’anus qu’elle masse en rond pour l’assouplir, elle pointe l’index devant l’entrée et le rentre sans problème.
- Regarde chéri comme il est lubrifié, je vais t’en mettre aussi sur la bite pour que ça glisse bien dans son cul et elle me masturbe avec du beurre dans sa main.
- Aller, un deuxième doigt dans l’anus de Paul, poussez mon ami, ouvrez votre petite porte que je puisse vous enculer avec mes doigts, elle présente l’index et le majeur réunis devant l’ouverture et les enfonces doucement dans les plis rectaux, Paul dit,
- Aye, doucement, je suis vierge de ce côté
- Plus pour longtemps, précise ma femme, vous avez vu la verge de mon mari, elle est bien grosse et vas vous casser le cul si vous ne poussez pas assez pendant les premiers centimètres.
- Viens chéri, il est prêt, je lui écarte les fesses et tu l’enfile, je me place derrière lui, le prend par les hanches, ma femme dirige ma queue sur son anus, ça y est, mon gland graissé appuie sur sa rondelle, elle palpite, ça m’excite, j’avance le ventre, Claudie me la maintient fermement, l’orifice s’entrouvre, Paul est en train de pousser, j’en profite et d’un coup de rein , je le pénètre, il gueule qu’il a mal, je stop le mouvement, il n’a que le gland dans les fesses pour l’instant, j’ai encore au moins 15 cm à lui rentrer.
- Détendez vous lui dit Claudie, elle lui a saisie la pine et le branle mollement, elle me sourie en regardant ma verge à peine rentrée dans le cul de mon ami.
Le muscle anal se desserre autour de mon sexe et je recommence ma progression dans le sphincter, j’ai envie de prendre mon pied en lui ramonant le conduis.
- Ah la vache, c’est gros dit-il, tu me déchires le cul.
- Pas encore, attend que je te défonce pour te plaindre, je n’ai pas tout rentré encore
- Quoi ?
- Et oui, 10 cm dehors, quand tu les auras pris, tu seras une vraie salope du cul et à ce moment, je lui les rentre d’une traite, il pousse un crie et se débat un peu mais je le maintiens bien collé à la table, je commence de suite à lui limer l’anus, c’est serré mais ça glisse bien, il râle encore un peu mais Claudie est passée en dessous et lui suce la queue, il se détend en découvrant ce nouveau plaisir de l’alliance de la pipe et de la sodomie, il tend son cul vers moi, il m’accepte dans ses fesses et réclame le plaisir anal, je passe à la vitesse supérieure.
- Oui, comme ça, c’est bon dit-il, baise moi bien fort, je lui défonce le cul, je le bourre, je le lime pendant cinq bonnes minutes et je sens mon plaisir monter, je lui demande,
- Je te fais dedans ou tu veux boire mon sperme ?
- Fais-moi dedans, je veux sentir ce que ça fait je viens aussi, Claudie avale tout
- Donnes moi ton foutre, j’aime ça répond-elle
Nous jouissons en même temps, je me vide dans son ventre, un super orgasme et lui gicle dans la bouche de ma femme qui se branle d’une main, elle jouie peut après, mouillant le carrelage, je me retire de ses fesses après quelques vas et viens, ma queue est souillée, Claudie me la lave avec la bouche, mon sperme s’écoule de l’anus distendue de Paul.
A partir de ce jour la, lui et moi, ma femme et la sienne, avons joués ensemble à des jeux encore plus hard.

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