En Voiture !
Automne 2007 Gare dOttawa,
La foule est dense sur le quai dembarquement. Il sy mêle des ouvriers, des gens de la haute classe, des familles des gens seuls, des vieux, des jeunes.
« En voiture, en voiture » hurle le conducteur.
Tous se pressent pour sengouffrer dans les portes du train. Tant bien que mal, je réussi à me faufiler entre les passagers pour trouver une place. Je en route pour un congrès. En quittant le bureau, je nai pas eu le temps de me changer, je suis encore en veston cravate. Je lousse le nud de la cravate et ouvre le col de ma chemise, Style 5 à 7.
Je me dirige au wagon restaurent.Au milieu des passagers je trouve une place, commande à boire et à manger.
Un long coup de sifflet annonce le départ du train. La première secousse se fait sentir alors que le train sébranle pour le périple. Le paysage sactive derrière les fenêtres. Les couleurs des feuilles dautomne commencent à se mélanger alors que le train prend tranquillement de la vitesse.
Sirotant une boisson forte sur glace, jobserve en silence la foule qui peuple le wagon. Mais de tout ce monde, une femme se démarque, elle porte un habit blanc, la blouse est cintrée sous sa poitrine généreuse et la jupe sarrête juste sous ses genoux. La taille de lhabit met les courbes naturelles de son corps en évidence. Ses cheveux remontés en chignon sont brun clairs. Elle a un chapeau a large bord de couleur paille, sous le quel se dévoile un regard feutré.
Assise seule à sa table, elle feint de lire un roman, ses yeux observent tout se qui se passe dans le wagon. Son visage est un mélange de sérénité et despièglerie, un sourire d avec des yeux rieurs, une bouche avec des lèvres charnues et écarlates.
Elle lance des illades à tous les hommes de la place. Elle joue un jeu de séduction très bien orchestré. Elle passe la main dans ses cheveux. Elle effleure, subtilement, le haut de sa poitrine du bout des doigts.
Contrairement aux autres hommes, je ne me laisse pas prendre dans son filet. Elle nest pas habituée à lindifférence. Plus je lignore plus elle tente dattiré mon attention.
Dans une courbe prononcée du train, son livre glisse de la table. Se penchant pour le ramasser, elle prend bien soin bien mexhiber sa croupe. Tous les messieurs ici présents, se régalent du spectacle. Elle reste penchée plus long temps que nécessaire. Sa jupe blanche à remonter légèrement découvrant des bas de soie couleur chaire. Elle se rassoit, vérifiant leffet que son petit numéro a eu sur ses spectateurs attentifs. Satisfaite, me regardant droit dans les yeux, elle passe la langue sur ses lèvres dune manière provocante.
Je ne réponds pas à son appel, ni à son regard plein de promesses à chaque fois que nos yeux se croisent. Je sens la frustration monter en elle. Elle perd le sans froid et la tranquillité quelle avait au début du voyage. Son jeu de séduction est moins contrôlé, moins posé. Elle cherche par tous les moyens à gagner mon attention, sans y arriver.
Voyant que sa cause est perdue, elle quitte le wagon restaurent. Dans une ultime tentative de me séduire, elle passe à moins dun mètre de ma table. Sa démarche est langoureuse. Gage de plaisir assuré, son bassin ondule à chacun des ses pas. Elle quitte sous le regard appuyé des hommes.
Jattends quelques temps avant de me lever à mon tour et la suivre. De wagon en wagon, elle passe son chemin sans remarquer que je la suis. Elle traverse les couchettes sans sy arrêter. Nous sommes maintenant dans la section des compartiments privés. Elle entre dans son compartiment.
Sans quelle ne remarque ma présence, je lobserve au travers de la porte vitrée.
Ses caresses sont de plus en plus pesantes sur son sexe. Me faisant dos, elle sallonge sur la banquette remonte le bassin et retire sa culotte. Je vois, maintenant, ses mains disparaître sous sa jupe. Je devine que ses doigts senfoncent en elle. Elle ferme les yeux et se laisse aller à ses plaisirs solitaires. Elle est là, splendide, seule à se caresser dans son compartiment.
Jentre.
Surprise par mon intrusion, rouge de confusion, elle se redresse sur le banc rabaisse rapidement sa jupe et tente de me cacher se quelle était en train de faire. De mon côté, je fais comme si je navais rien vu. Souriante elle croit quelle a gagnée, quelle ma séduite. Lorsquelle veut engager la conversation, je lignore. Je massoie devant elle sans un mot. Je prends le journal qui traîne sur la baquette et commence à lire.
Le plus subtilement possible, elle enfonce sa culotte dans la fente entre le dossier et le siège de la banquette pour la cacher à mes yeux. Elle se lève. Pose sa tête contre la fenêtre et regarde le paysage défiler devant ses yeux. Puis la lumière du jour disparaît alors que le train senfonce dans une montagne.
Dans le noir du tunnel, je mapproche delle. Mon torse touche sa poitrine, dinstinct elle recule. Je la suis jusquà ce que je la coince contre le mur. Dans lobscurité je sens son parfum, ressens la chaleur de ses seins au travers de létoffe contre mon torse. Sa bouche est à quelques millimètres de la sienne. Je sens son souffle chatouiller mes lèvres. Le tunnel semble durée une éternité.
Quand enfin la lumière revient, je prends ses mains pour les mettre au dessus de sa tête et les fixer contre la cloison du compartiment.
Celle qui tantôt jouait à la chatte pour attirer les regards se retrouve prise à son propre piège. Elle ne contrôle plus aucune des règles du jeu.
Ma bouche se pose sur la sienne. Envoûtée, elle se laisse faire sans réagir. Puis quand ma langue passe entre ses lèvres, elle répond à ma demande muette. Sen suit un baiser langoureux, fougueux, fauve même.
Je commence à lui caresser les seins au travers du tissu. Puis avec une douceur et une lenteur infinie jenlève chaque bouton de son chemisier. Mes mains parcours sa poitrine, descendent les bonnets du soutien-gorge pour en libérer les seins. Je mapplique à les caresser en les enveloppant, les malaxant, les titillant, les mordants, les aspirants. Je fais rouler les mamelons qui durcissent entre mes doigts.
Elle renverse la tête en arrière portant sa poitrine en avant pour accueillir mes caresses. Glissant mes mains sur ses épaules, je retire les manches de sa blouse. Tout en lembrassant à pleine bouche, je laisse tomber sa blouse sur le sol. Du même mouvement, sans même en défaire lagrafe, je rabats son soutien-gorge sur ses hanches. Ses seins libérés pointent et rebondissent comme une généreuse promesse de plaisir
Je frôle son dos dénudé avec un doigt, ce qui la fait frissonner. Puis doucement je continue le long de sa colonne vertébrale. Jai atteint la chute de ses reins et commence à lui malaxer doucement les fesses.
Dune légère pression je lai faite rasseoir. Assis à ses côtés, je pose ma main sur son genou. Je remonte sa jupe à mi-cuisse. Passant à lintérieur, je remonte ma main avec délicatesse. Mes doigts glissent sur la soie des bas sachant pertinemment que je trouverai son sexe libre de toute entrave.
Elle se cambre et ouvre les cuisses, me permettant ainsi dy passer la main. Sa chatte est mouillée. Je masse son entrejambes avec douceur. De chaque coté de sa fente mes doigts la pétrissent. Du pouce jécarte les lèvres et fait rouler son clitoris. Son sexe nest pas seulement mouillé, il est dégoulinant de désir.
Mon pouce presse son clito et le fait sortir de sa cachette. Sans aucune difficulté, deux doigts passent en elle. Mes doigts entrent et sortent rapidement de son sexe trempé. Elle écarte largement les jambes pour me laisser champ libre pour la caresser. Sa respiration nest plus que soupirs et gémissements.
Ma bouche prend dassaut sa poitrine et son cou. Pour son plus grand plaisir jaccélère le rythme entre ses cuisses. Je mange ses seins, dévore les mamelons. Mon pouce et mes doigts font des ravages en elle.
« Prends-moi, prends-moi! Je ten pris, prends-moi !», me supplie-t-elle dans un murmure. Ignorant totalement sa requête, je continue sa mappropriant son corps.
Je la veux totalement soumise et offerte.
La tirant par le sexe, je lui indique de se relever. Sans broncher elle répond à mes commandements silencieux. Debout devant moi, elle retire sa jupe. La voici nue qui moffre sa chatte à manger.
Confortablement assis au fond de la banquette, je prends ses fesses à deux mains et la tire contre mon visage. Un léger duvet sécrase dans mes narines. Ma langue déguste ce doux sexe qui mest donné.
Elle accompagne mes coups de langue dun lent et profond va-et-vient. Puis dune main je reprends lexploration de son sexe. Mes doigts coulissent en elle. Je garde son clito prisonnier de ma bouche. Elle passe ses mains dans mes cheveux pour maintenir ma tête dans cette position.
Son bassin ondule davant en arrière. De mes doigts pleins de mouille je caresse lentrée de son cul. Avec un mélange de surprise et dappréhension elle apprécie cette nouvelle caresse. Je tournois sur son anus sans en forcer la porte. Son clito est toujours dans ma bouche, mes mains alternent entre sa chatte et son cul. Tremblante dexcitation elle saccroche à mon crâne.
Ses mains passent de mon crâne à mon torse; de mon torse à mon ventre; de mon ventre à mes cuisses. Elle sagenouille devant moi. Elle ouvre ma braguette sort mon sexe. Je bande déjà comme un taureau. Ses lèvres forment un anneau serré sur mon membre. Sa bouche monte et descend rapidement sur ma hampe.
Moi, qui suis encore tout habillé, je la regarde avec ses seuls bas de soie me sucer avec délectation, je me régale de ce spectacle. Elle joint ses deux mains à sa bouche pour me donner encore plus de plaisir. Pendant plusieurs minutes, je profite de ses caresses et me laisse porter par le plaisir.
Elle se redresse, membrasse. Elle passe ses jambes de part et dautres de mon corps. Appuyant ses mains contre mon torse, elle sempale sur mon sexe dressé. Sa bouche cherche la mienne. Mon sexe sengouffre dans sa chaire. Elle se laisse tomber sur mes cuisses, faisant entrer mon pieu profondément en elle. Sans bouger, elle laisse le mouvement du train faire le travail. Bousculée par les secousses de la routes, elle rebondi sur mon membre tendu.
La cadence de nos ébats saccélère. Mon sexe empli son bas ventre. Sa poitrine bondie à porter de ma bouche, jenfonce mon nez entre ses seins et les pétrie en même temps. Elle danse sur mon sexe qui senlise de plus en plus en elle. Ses mains se serrent sur mes épaules, ses ongles pénètrent ma peau. Je sais quelle vacille vers lorgasme.
Un soupir long et profond séchappe de sa gorge. Comme si la terre se dérobait sous ses pieds, son cri fut sûrement entendu dans tous les compartiments voisins. Au moment de sa jouissance, je plante mon sexe au fond delle.
Blottie contre mon corps, elle ouvre ma chemise dénoue la cravate et laisse mes vêtements pêle-mêle sur la banquette du wagon. Changeant de position, elle se retrouve les genoux sur la baquette les mains contre le dossier. Moi je suis derrière, mon sexe est fiché en elle. Je commence à la prendre avec douceur.
Rapidement je prends de la vitesse, forçant des cris de plaisir. Plus jaccélère plus elle se cabre, emportée par mes coups de reins. Jentre en elle comme une locomotive effrénée. Dans une terrible chevauchée, je la pistonne. Mes coups de reins sont forts et fermes. Elle passe les mains dans son dos, me prenant par les hanches et minvite à la prendre encore plus fort. Je nai plus aucune retenue. Mes coups de butoir écrasent mon sexe au plus profond de sa chatte.
Je noue ses mains dans son dos avec ma cravate. Les liens ne sont pas trop serrés et ne lui font pas mal, mais elle ne peut plus bouger les bras. Je me retire de sa chatte brûlante et vient me positionner devant sa bouche.
Prisonnière de mes désirs, elle ouvre les lèvres et accueille mon sexe. Faisant des aller retour, de tout son corps elle reprend la fellation avec autant dévouement quelle le peut. Sa langue parcourt mon gland. Elle le lèche, le suce, laspire, le cajole autant quelle le peut. Prenant sa tête à deux mains, je lui impose le rythme qui me plait. Je me masturbe avec sa bouche.
Pour lencourager je passe mes mains sous son ventre et reprends possession de son sexe. Alternant entre sa chatte et ses fesses, je la caresse avec un mélange de douceur et de fermeté. Sa réaction est immédiate. Elle pousse sa chatte au creux de ma main pour que mes doigts sy glissent encore plus profondément. Mon index tourne et tourne sur son cul. Dilatant peu à la barrière, je sais quelle va bientôt souvrir.
Je me retire de sa bouche, le sexe luisant de bave, je prends position derrière elle. Elle sallonge sur le ventre sur la banquette, les jambes largement écartées. Dune main, je joue frénétiquement avec son clito. Elle se cambre, moffre son cul. Mon gland violacé gonflé à bloc sappuie contre son anus. Avec un mélange de sa liqueur intime et de sa salive je lubrifie son cul. À la première poussée, il souvre et me laisse glisser à lintérieur.
Létau de son anus se referme sur mon membre. Elle tremble. Mon sexe pénètre en elle. Mes mains sous son ventre cajolent son sexe. Le mélange dexcitation et de douleur la rend folle. Elle pousse des soupirs et des cris. Peu à peu, je prends position dans ses entrailles. Après une dizaine de minutes, je me suis enfoui jusquà la garde. Le passage était étroit, je suis entré avec douceur, délicatesse même.
Elle commence à remuer le bassin. Je lui laisse choisir le rythme, lent et langoureux. Ses fesses soudées contre mes cuisses, nous bougeons en harmonie. Comme les vagues de locéan qui sécrasent contre la rive, mon sexe emplissait ses parois coups après coups, sans relâche. Nous avons accéléré.
Mon sexe prend de la vitesse entre ses fesses. Elle pousse de petits gémissements. Mes coups de reins sont de plus en saccadés. Elle ne contrôle plus sa respiration. Elle est parcourue de spasme de plaisir. Elle couine comme une chienne alors que je laboure son cul à grande vitesse. Jadore lentendre jouir sous lassaut de mon pieu.
Je menfonce au fond de ses entrailles. Je défais les nuds qui retiennent ses mains. Jen ai plus besoin. Je sais que lai conquise, son corps, son esprit, son âme. Une fois libérées ses deux mains glissent sous son corps à la recherche de son sexe. Elle se caresse, stimule son clito et enfonce trois doigts dans sa chatte brûlante.
Je la tiens par les hanches et la tire contre moi. Mon sexe senfonce au plus creux de ses entrailles. Nos deux corps vivrent puissamment. Je sens que je suis au bord de lorgasme. Je me retire de létau de son cul et me plante au fond de son sexe.
Mes cuisses appuyées contre ses fesses, je métale sur elle donnant un dernier coup de butoir. Elle pousse un long râle de plaisir lorsque une première giclée emplie sa chatte. La chaleur de ma semence la porte dans un bonheur infini. Dans des spasmes saccadés je me vide en elle. La ferveur de ma sève se transmet à son corps comme une fièvre de plaisir.
Le train entre en gare et sarrête abruptement. Nous nous sommes rhabillés en silence. Avant de quitter son compartiment, je linvite à maccompagner à mon hôtel. Sans hésiter, elle accepte. Mais dans un sens avait-elle vraiment le choix puisque maintenant je nai plus besoin daucun lien pour la tenir captive.
Jattends vos commentaires,
Comme d'habitude il me fera grand plaisir de vous répondre
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