Chapitre 1/6 : La Vraie Nature De Valérie



Les personnages : Le couple :
- Valérie (Val); l’épouse de 36 ans
- Robert (Bob); le conjoint de 40 ans

La technicienne en architecture :
- Peggy (Peg); une garce de 26 ans aux cheveux roux et court


Valérie est une avocate spécialisée en droit des affaires. C’est une femme genre BCBG qui ne mesure pas plus de 5pi 2po, qui est mince et très jolie. Elle a de très beau cheveux noir qui lui descendent jusqu’au milieu du dos. Elle a une généreuse poitrine, des jambes plutôt longues pour sa grandeur et bien droite qu’elle s’est mettre en valeur au besoin.

Robert, son conjoint est ingénieur civil. Il travaille pour une firme de renon de Montréal et il doit fréquemment voyager à l’extérieur pour superviser des chantiers. C’est un homme de stature athlétique de six pieds. Il a les cheveux blonds, ce qui contraste fortement avec sa petite compagne.

Valérie et Robert vivent en couple depuis plus de 10 ans. Val est de nature quelque peut réservée. Elle aime le sexe bien plus qu’elle ne se l’avoue pas à elle-même. Plutôt coquine et ouverte avec son mec, elle est très réservée avec son entourage. Robert lui, c’est tout le contraire. Il n’arrête pas de draguer toutes les femmes qu’il rencontre, même quand Val est avec lui. Il aime bien la narguer et la rendre folle de jalousie. Il dit que ça la rend très excitante et bien chaude quand ils se retrouvent au lit ensemble.

Val sait bien que son mec a des aventures à l’occasion lors de ses voyages. Elle accepte cette situation à une seule condition. Il doit lui raconter ses ébats avec tous les détails croustillants dès son retour à la maison. Ils commencent habituellement lors d’un petit souper de retrouvaille au restaurent avant de retourner, tout excité, dans leur chaleureuse maison ou ils baisent toute la nuit comme de vrai obsédés.

L’été dernier, Robert est allé superviser la construction d’une tour à bureau à Toronto.

Il a fait la rencontre d’une jeune technicienne en architecture, Peggy, de leur bureau de Toronto. Cette dernière est rapidement tombée sous le charme du séducteur qu’est Bob. Ce que ce dernier ne savait pas, c’est que cette Peg était une vraie nympho.

Elle n’a pas cessé de le provoquer par ses allusions plutôt directes sur le physique des gars du chantier. Tantôt elle parlait des belles fesses bien rondes du soudeur, tantôt des cuisses musclées du menuisier et tantôt des bosses dans les culottes des autres gars qui devenaient de plus en plus proéminentes dès qu’elle leur caressait la nuque.

Ses vêtements de chantier étaient même sexy sur elle. Elle se faisait un malin plaisir à toujours porter un point trop petit. Par exemple, sa chemise de coton léger dont les boutons tenaient avec beaucoup de misère rendait sa généreuse poitrine plus qu’évidente. De plus elle gardait toujours les trois boutons du haut détaché en plus de nouer le bas pour montrer son adorable ventre plat et son nombril décoré d’un joli piercing.

Dès la troisième journée, Bob lui demande de venir lui expliquer les détails de la plomberie après la fermeture du chantier. Peg arrive vers 19h00 et se dirige, par l’ascenseur de service, vers le 21ième étage où Bob a installé son bureau temporaire. À cette heure de la journée, il ne reste que deux agents de sécurité au rez-de-chaussée qui garde l’accès du nouvel immeuble.

Peg; J’ai bien fais d’apporter mon grand sac de travail pour dissimuler des vêtements plus adapter à ce que je veux provoquer. Je vais profiter de la lenteur de l’ascension pour me changer discrètement. Je vais allumer ce beau mec avec mon short moulant sous lequel je ne porterai pas slip. Ma chemise adorée sous laquelle je ne porterai pas de soutien gorge non plus et dont je vais garder pas trois mais quatre boutons détachés cette fois. Il craquera sans problème ce salaud et il sera tout à moi.

Bob; Bon il est 18h30 et Peggy n’arrivera qu’à 19h00.
Je vais en profiter pour appeler Val. Je suis certain qu’elle travaille encore à son bureau au centre ville de Montréal à cette heure-ci. Je vais l’exciter un peut et lui dire que j’attends la technicienne coquine. Ha, ça sonne; un coup, deux coups, … Salut chéri.

Val; C’est toi mon trésor . . . Tu travailles tard ce soir! Est-ce qu’il fait chaud dans ton coin? Ici c’est terrible. Il fait plus de 30° C et je ne te parle pas de l’humidité. Je m’ennui de toi mon amour. J’aimerais tant t’avoir avec moi actuellement.

Bob : Il fait tout aussi chaud ici trésor. Mais je crois que la température va monter encore d’un cran dans quelques minutes, du moins je l’espère. J’attends la petite technicienne coquine dont je t’ai parlé hier. C’est une très jolie poulette tu sais. Je ne sais pas si je vais pouvoir me concentrer juste sur les aspects techniques des plans.

Val; J’aimerais être un petit oiseau pour voir ça.

Bob a complètement oublié de fermer sa web cam. Il l’avait utilisé pour discuter de certains aspects qu’il fallait modifier sur les plan avec ses collègues du bureau de Montréal cet après midi. Elle est donc encore en marche et pointe directement vers la grande table à dessin.

Bob; Tiens, l’ascenseur s’active. C’est Peggy, la petite allumeuse qui arrive juste à l’heure prévue. J’espère qu’elle sera habillée légèrement avec les 32° C qu’il fait ici aujourd’hui. Je te raconterai tout lors de mon retour ma chérie.

Val; J’y compte bien et dans les moindres détails mon amour . . . ! À +

Peg; Salut patron. Il fait encore plus chaud qu’aujourd’hui vous ne trouvez pas?

Bob; Effectivement, et je vois que tu as adopté des vêtements de circonstance!

Peg; Vous ne trouvez pas que j’ai un peut exagérer considérant que l’on est sur un chantier?

Bob; Non pas vraiment. Pour moi, l’habillement doit toujours être adapté à la tâche que l’on désire accomplir.
Et dans ton cas, je crois deviner que tu n’es pas venu pour vérifier la plomberie de l’immeuble.

D’un ton très autoritaire . . . !

Peg; Hoooo mais si, je suis venu pour vérifier la tuyauterie. Mais pas celle qu’il y a dans les murs. C’est la vôtre que je veux mesurer. Je dois m’assurer qu’elle correspond à ce que j’ai imaginé … sur mes dessins. Pour me satisfaire complètement, elle doit être bien rigide et suffisamment résistante pour tenir la route très longtemps.

Val; Tient, j’entends ce que la petite raconte. Ce n’est pas possible, Bob a oublié de fermer sa web cam. Hé, en plus, j’ai l’image. SUPER, pour une fois je vais avoir droit à toute l’histoire en direct. C’est comme à la télé, mais cette fois, c’est mon mec qui est la vedette. Il en fera une tête quand je vais lui raconter tout ce qu’il a fait avant même qu’il n’ouvre la bouche lors de notre souper de samedi prochain. En plus, je suis certaine qu’il me cache plein de détails pervers ce cochon. Mais pas cette fois. Quelle salope cette petite garce. Elle fait tout pour provoquer mon Bob. Aller, pointe toi devant la cam que je puisse voir si tu es aussi coquine que mon chéri l’a dit.

Bob; Viens un peut ici ma petite Peg. J’ai besoin que tu m’expliques comment tu as calculé la rigidité de ce grand tuyau de drainage que tu as imaginé, pardon, dessiner sur ce plan.

Le très grand plan est à plat sur la table à dessin.

Val; Wow! Cette garce est habillée pour faire bander un cheval. Quelle salope elle fait. Regardes-moi ces jambes et ce cul. Tien, elle se tourne. Ce n’est pas vrai, elle a pratiquement les boules à l’air. Juste deux boutons d’attachés à sa blouse et pas de brassière en plus. Je vois pratiquement ces mamelons.

Peg; Dis patron, je peux te tutoyé ?

Bob; Évidemment, tu peux même m’appeler Bob.

Peg; Le tuyau qui est tout en haut du plan est celui qui m’a causé le plus de soucis.
Je manquais de place…. pour l’enfiler….. Dans le trou entre les deux jambes…. de support.

Bob; Cette petite me provoque c’est certain. Elle est toute penchée sur la table pour me montrer les détails du plan. Moi, c’est plutôt les détails de son physique qui m’inspirent. Ces longues jambes et le haut de ces cuisses qui se dévoilent à moi. Je vois le début de ces magnifiques fesses. Elle ne porte pas plus qu’un string c’est sûr. Elle commence à me faire bander cette petite allumeuse. Je vais aller de l’autre côté de la table, en face d’elle pour mieux voir sa poitrine. Ho merde, j’avais pas réalisé que dans cette position, sa chemise ouverte me permet de voir pratiquement toute ses boules. Elle ne porte pas de soutien gorge évidemment.

Peg; Viens dernière moi Bob, ce sera plus facile de comprendre ce que je te montre tu ne crois pas!

Bob; De ce côté-ci, c’est plus qu’évident, mais si tu insistes! Tu as raison, derrière toi, je serai bien plus à mon aise pour . . . . Tout voir. Je m’approche donc tout près d’elle en lui passant un bras autour de la taille. Elle me regarde droit dans les yeux et me fait un large sourire. Je m’aventure un peut en passant ma main dans son dos pour la caresser tout doucement. Elle ne parle plus. Elle se laisse faire. Je poursuis mon investigation en descendant très lentement ma main sur sa fesse droite. C’est le moment ou jamais. Ou bien ce n’est qu’une allumeuse, ou bien elle en veut vraiment.

Peg; Elles te plaisent mes courbes mon beau Bob. Ne te gène pas, je ne suis pas venu pour le boulot ce soir mais pour le plaisir de te plaire mon chou.

Bob; Sur ces derniers mots, elle se tourne la tête vers moi et elle m’embrasse très tendrement. Je comprends que c’est le signal que j’attendais. Je poursuis donc mon tripotage et je pousse mon audace jusqu’à caresser le haut de sa cuisse puis je glisse lentement ma main entre ses jambes. Maintenant, elle me french carrément. Elle recule la tête et me dit….

Peg; Enfin tu y arrives. Depuis le temps que je te désire mon bel athlète. Aller, tripotes-moi bien le cul. Je veux que tu me donnes beaucoup de plaisir ce soir.

Bob; Pas de problèmes mon chou. Tu veux du plaisir, tu va en avoir. Je me colle derrière elle et je glisse ma main vers l’avant sur son ventre. Je descends lentement pour entrer, de peine et de misère, dans son short. Je me dirige vers sa petite chatte.

Peg; Attends un peut trésor, je vais baisser mon zip pour te donner plus de place.

Val; Je mouille comme une vrai salope, c’est pas croyable. C’est plus excitant qu’un film porno ça. En plus c’est MON MEC qui tripote cette petite garce. Je ne peux plus résister, je vais me caresser la chatte comme si c’était lui qui le faisait.

Bob; Hé, mais t’as pas de slip ma petite Peg ! Je vais caresser ta petite chatte comme tu le souhaites alors…. Mais t’es déjà complètement trempé ma cochonne. Tiens, mouillée comme t’es, je vais pouvoir t’enfiler deux doigts d’un coup.

Peg; Ho oui Bob, enfiles-moi tes doigts et fais-les bien bouger. J’ai la chatte en feu et j’ai besoin que tu t’en occupes. OUIII, vas y enfonces-les bien profond que je les sentent bien dans mon ventre. Comme ça oui, bouges maintenant. Masturbes-moi petit pervers.

Pendant plus de 15 minutes, Peg se tortille le cul sous les caresses intenses de son amant du moment. Elle profite pleinement de ces doigts qui lui fourragent la chatte. Ils entrent et sortent sans arrêt si ce n’est pour pincer vigoureusement son clito au passage.

Bob; C’est vrai que t’as la chatte en feu petite garce. Attend, je vais te débarrasser de ton short.

Bob se place en petit bonhomme derrière Peg, il lui empoigne son short de chaque coté et le fait glisser brusquement jusqu’à ces chevilles. Elle lève les jambes l’une après l’autre pour lui permettre de la débarrasser complètement de son entrave. Il remonte ensuite lentement les mains en caressant ses cuisses tout au long. Peg commence à gémir et à frissonner de tout son corps. Bob empoigne fermement ses deux fesses.

Bob; Aller écarte un peut ces jolies petites fesses que je m’occupe te ta petite pelote. Tu vas voir comme ma langue est douce ma chérie.

Val; Ha oui Bob va y lèches-lui bien la chatte. Elle veut jouir alors enfonces-lui bien ta langue dans sa petite grotte comme tu sais si bien me le faire.

Peg; OUI, oui continu mon salaud. Je vais te juter dans la gueule comme une chienne. Ho, tu me lèches le petit trou maintenant. Je n’en espérais pas autant. Vas-y, enfonces ta langue, j’adore ça. Mouilles-moi bien si tu veux m’enculer.

Val; Non, c’est pas vrai! Elle veut se faire enculer cette chienne. J’ai toujours refusé que Mon Bob me fasse ça. Mais il ne m’a jamais dit qu’il le faisait aux autres filles.

Bob; Je veux bien te défoncé le cul salope. Mais avant tu vas me rendre aussi dur qu’un tuyau d’acier. Allonges-toi sur le dos sur la table et place ta tête tout au bout dans le vide. Comme ça, laisses-là descendre vers l’arrière. Super, t’es vraiment docile petite garce. Maintenant, avale mon bat. Fais-le grossir à fond si tu veux que je défonce ton petit cul après.

Val; Aller Bob, fourres-lui la gueule à cette pute. Glisses bien lentement ta grosse queue dans sa bouche. Enfonces-toi jusqu’aux couilles. Oui, comme ça . . . ! Tu sais mon chou, je m’enfonce trois doigts dans la chatte au même rythme que tu t’enfonces dans sa gueule et tu n’es même pas là pour voir ça. Je mouille aussi comme une chienne. Continues comme ça et tu vas me faire jouir et ça, sans même le savoir, pour le moment du moins.

Après plus de 10 minutes et une queue devenu totalement rigide et bien droite, Peg repousse Bob en plaçant ces deux mains sur ses hanches. Ce dernier s’excuse pensant qu’il lui a pénétré la bouche trop loin.

Peg; Soit pas con mon chou. C’est juste que j’te veux maintenant. Je t’ai assez préparé. C’est à mon tour de profiter te ta belle grosse queue bien raide.

Peg se relève et viens se placer debout face à la table à dessin. Elle se penche et appuie ses avant-bras et sa tête au bord de la table. Elle courbe le dos vers le bas de manière à faire relever son cul tout en écartant ses jambes de manière très obscène.

Peg; Vas-y maintenant salaud, bourres-moi bien le cul. Défonces-moi, fais-moi jouir à fond.

Bob; Ok, petite chienne, bouges pas. Je vais te lubrifier un peut la rondelle en crachant dessus. Comme ça ce sera plus facile.

Bob prend maintenant sa queue en main et la dirige vers l’anus de sa petite salope de technicienne. Une fois en position, il l’agrippe fortement par les hanches puis il s’enfonce d’un seul coup tout au fond de son cul.

Val; Mais tu vas la déchirer cette petite en la défonçant comme ça Bob.

Peg; HA OUI ….ENCORE……….. Comme ça salaud, défonces-moi le cul. Pilonnes-moi de toutes tes forces maintenant. Sort jusqu’au bord mais pas complètement. Vas-y DEFONCES-MOI ENCORE D’UN COUP. J’adore ça, OUIIIII……..

Peg se relève légèrement puis place sa main droite entre ses jambes. Elle s’enfonce deux doigts dans la chatte et commence à se masturber avec beaucoup de vigueur en suivant le même rythme que Bob.

Bob; Je ne peux plus tenir, je vais jouir. Je vais t’éjaculer dans le cul petite chienne. HAAAA OUI ça vient ……!

Peg; OUI, laisses-toi aller salaud, je vais JOUUUIIIRRRR MOI AUSSI, OUI COMME ÇA, CONTINU, JE SENS TES JETS DANS MON CUL, OUIIIIII

Val; Ha oui mes salauds, j’ai maintenant trois doigts dans la chatte et deux dans le cul à cause de vous. HAAAAA OUIIIII, JE JOIS COMME UNE VRAI SALOPE À VOUS VOIR BAISER COMME DES BÊTES….

Après avoir repris ses esprit, Val réalise qu’elle a jouie comme jamais. Elle ne pensait jamais se rendre jusqu’à considérer la sodomie comme un acte de jouissance aussi fort. Elle est maintenant prête à considérer la possibilité de la sodomie pour elle même. Cette dernière séance de masturbation qu’elle vient de se donner lui a plut au plus haut point.

À suivre . . .

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