Comment J'Ai Gagné Mes Galons De Pute (3)
Le lendemain, mon mari était absent car il avait été invité à assister un grand prix de formule1 qui se déroulait à létranger. Guy mavait proposé de laccompagner, bien sûr, mais ayant tout de suite réalisé que cétait là une belle occasion pour me gorger du foutre de son fils durant tout un week-end, javais décliné poliment en essayant de cacher ma joie du mieux que je pouvais (heureusement que Guy navait pas, comme son fils, pour habitude de mettre sa main dans ma culotte à tout moment, sans quoi ma chatte de salope maurait trahie: elle était trempée!). Guy ne rentrerait donc que dans la soirée de dimanche. Puisque javais refusé, Guy avait invité Rémy. Mais les deux nuits à lhôtel étaient réservées pour une chambre double, et vu que jai passé le week-end à faire la pute pour Rémy, jimagine que celui-ci a dû de son côté préférer la perspective de dormir dans le lit de son père plutôt quavec son père
Guy mavait annoncé la bonne nouvelle en début de semaine et jy ai pensé pendant tout le reste. Ce fameux vendredi soir donc celui où jai perdu mon pucelage anal javais tout préparé pour profiter au maximum du temps dont je disposais. En rentrant du travail, je me suis vite déshabillée pour revêtir la tenue que javais prévue. Assez succincte, à vrai dire: un caraco noir en dentelle totalement transparent ainsi que des bas à coutures, noirs également, tenus par un porte-jarretelles très mince de couleur identique. Mon maquillage était très appuyé, notamment javais mis un rouge à lèvres rouge vif: je voulais que mon « récipient à sperme » soit bien apprêté pour quand Rémy viendrait sy soulager et quil voit bien mes lèvres sactiver autour de sa queue. En y pensant, je salivais davance! Des mules à très hauts talons complétaient ma tenue. Javais négligé de mettre une culotte et je faisais très chienne!
Quand Rémy est rentré à la maison, il ma trouvé dans cette tenue. Je me suis aussitôt agenouillée pour dorloter sa bite et ses couilles avec ma langue.
-« ce que tu mexcites, petite traînée! Le pied que je vais prendre quand je vais gicler dans tes trous de pute
»
Je lui ai souri amoureusement. Oh! Oui! Avoir le vagin bien rempli par sa bite: à cette pensée, je le sentais qui bâillait denvie. Et puis accueillir Rémy dans mon cul et le laisser y répandre son foutre, cétait le cadeau que je mourrai denvie de lui faire!
-« Oui mon amour, je suis ta pute
»
Jai vu sa bite à nouveau gonflée sortir de son peignoir et je me suis immédiatement penchée pour la pomper avec avidité. Rémy sest écrié:
-« Encore! Tu es vraiment insatiable! Jai envie de te baiser, moi!
- pardonne-moi mon chéri
Cest que jaime trop ton sperme
- Si cest du foutre à avaler quil te faut pour que je puisse te décharger dans la chatte, tu vas en avoir! »
Rémy a pris son téléphone portable. Jétais curieuse de savoir ce qui allait se passer, mais pas au point dinterrompre la pipe gloutonne que je faisais à mon amant ! Quelquun a décroché à lautre bout et Rémy a dit:
-« Salut, Pierre! Je ne te dérange pas? »
Silence.
-« Parfait! Dis-moi, je tappelle au sujet de ma belle-mère
je ten ai parlé, tu sais, la bouffeuse de sperme
oui
eh bien je ne men sors plus! Elle est tellement salope quelle passe son temps à me traire du matin au soir! En ce moment elle essaie de se bâfrer de mon jus pour la deuxième fois de la soirée, alors que ça ne fait même pas une heure quon est ensemble! Pas moyen de lui remplir la chatte et le cul tellement elle est gourmande! »
Silence.
-« Evidemment quelle raffole du foutre! Je te lai dit, je passe mon temps à juter dans la bouche de cette pute! »
Jai émis un gémissement sourd pour confirmer les dires de Rémy.
Cette conversation mexcitait, ça me plaisait que Rémy décrive à cet ami prénommé Pierre la putain que jétais devenue et que jétais heureuse dêtre. Jai calmé le rythme de mes succions pour mieux savourer, pour ne pas que Rémy éjacule trop vite
-« Ca tombe bien! Tas quà passer te les faire vidanger par ma pute
»
Silence.
-« Au contraire, cher ami! Cest toi qui me rends service! Je vais peut-être enfin pouvoir la baiser!»
Silence.
-« Comment?... Bien sûr que non que ça ne la dérange pas! Tiens, pour te le prouver, cest elle-même qui va te le demander
».
Long silence.
Jai arrêté de sucer. Rémy a ôté son sexe de mon gosier pour me tendre le téléphone. Je suis restée stupéfaite. Ca me sidérait quil puisse me demander un truc pareil! Qui pouvait bien-être cet ami avec lequel Rémy venait de parler de moi en termes très crus et quil me demandait de convier pour une partie de jambes en lair? Un copain de fac sans doute
Néanmoins, javoue que lidée de devenir le jouet de deux jeunes hommes le temps dune soirée ma séduite, dautant que je me sentais très disposée à assouvir leurs moindres caprices. Et puis javais promis à Rémy que je serai bien gentille, je ne loubliais pas
Après quelques hésitations, jai fini par prendre le téléphone:
-« Bonjour monsieur
- bonsoir petite pute! » A dit doucement une voix grave. « Alors, il paraît quon a du mal à sempêcher de sucer des bites?
-« oui, cest dur de se retenir, jaime trop ça
J'en veux toujours plus » ai-je répondu sans réfléchir.
Lhomme a rit.
- tu vas être contente alors, ça fait trois jours que je nai pas joui et jai les couilles bien pleines, tu peux me croire. Ca te dirait que je vienne les essorer dans ta gueule?
- Oh! Oui! Sil vous plaît
» Ai-je murmuré.
-« ce serait bien si vous pouviez venir, jai très envie de vous faire gicler avec ma bouche
- daccord, puisque tinsistes, je vais venir! Tembêtes pas pour ladresse, je sais où thabites. Par contre, pour que tu nouvres pas à nimporte qui, on va convenir dun code, ok? Je frapperai deux coups, puis trois coups, puis quatre coups. Compris? Maintenant repasse-moi ton maître, petite chienne
»
Rémy a repris le téléphone, son ami lui a dit quelque chose, il a ricané et a dit « à tout de suite » avant de raccrocher.
Je nai pas songé à reprendre ma fellation: je narrivais pas à imaginer que dans quelques minutes, un homme que je ne connaissais pas allait venir chez moi pour profiter de mes charmes, parmi lesquels figuraient mes talents buccaux. Ca me paraissait incroyable! Le pire, c'est que je souhaitais vraiment que ce Pierre vienne me faire subir les derniers outrages! En quelques semaines, Rémy avait fait de moi une nymphomane qui, sur simple demande, acceptait de se livrer au premier venu. Mon cur avait beau battre la chamade, je nenvisageais pas une seule seconde de refuser de me plier à tout ce que mes mâles pourraient exiger de moi, à commencer par les sucer autant quils le désireraient, bien sûr.
Durant le petit quart dheure qui sest écoulé avant que son copain narrive, Rémy a réajusté son peignoir et sest installé dans son fauteuil préféré. Je suis restée assise au milieu du salon, perdue dans mes pensées, mais je voyais bien aussi que Rémy mobservait avec une curiosité amusée. Soudain, au milieu du silence: toc, toc
toc, toc, toc
toc, toc, toc, toc
-« Tâche de ne pas me décevoir
» Ma glissé Rémy tandis que je me relevais pour aller ouvrir à son invité.
Habillée comme une putain, je me suis approchée de la porte, jai respiré un grand coup et jai ouvert
Jai cru mévanouir tellement le choc a été violent! Sur le pas de la porte, lil narquois, se tenait Pierre D***, 46 ans, le directeur de lhôpital de M***, mon patron!! Voilà pourquoi la voix au téléphone mavait paru si familière! La tête me tournait en repensant à ce que je lui avais dit quelques minutes auparavant
Et que dire de la tenue dans laquelle je lui avais ouvert la porte
Sans faire de manière, mon patron sest avancé vers moi et a plaqué sa main contre ma chatte:
-« surprise de me voir, ma chère? Faut pas
Rémy ma raconté quelle salope tu étais, et daprès ce que jai pu entendre lors de notre petite conversation téléphonique, il a dit vrai. Pas la peine de faire ta mijaurée, ça fait longtemps que jai envie de te faire goûter ma bite, et cest pour ce soir, crois-moi! »
Pierre ma palpé la chatte, le cul et les seins pendant quelques instants, puis il est entré dans le salon où lattendait Rémy. Après lavoir salué, il lui a offert un verre puis il ma ordonné de masseoir sur le canapé, les jambes bien ouvertes. Jai obéi, mais je minquiétais pour la suite. Comment ces deux-là avaient-ils fait pour se rencontrer? (Jai eu la réponse le lendemain: Rémy a tout simplement attendu un soir que je quitte mon travail pour aller voir mon patron. Il a prétendu que cétait une affaire urgente au sujet de sa secrétaire, et Pierre la reçu. Là, Rémy a raconté en détail sa vie avec sa nouvelle putain et il lui a proposé en toute simplicité den profiter. « Inutile de te dire quil a accepté avec joie! » mavait précisé Rémy en me racontant lhistoire)
Pour lheure, Rémy et Pierre sont venus se placer face à moi. Ils ont commencé à tenir des propos salaces, me traitant de salope et de pute, mannonçant quils allaient me baiser par tous les trous et que javais tout intérêt à me montrer bien mignonne. Chacune de leurs paroles mélectrisait lesprit et me procurait dans le bas-ventre des ondes de chaleur qui me rendaient lascive. Puis ils ont commenté mon corps, en tout cas mes seins, mes fesses et ma vulve qui, je le sentais, débordait de ma liqueur. Pierre la remarqué:
-« on dirait quelle mouille, ta chienne
- en permanence! » A répondu Rémy joyeusement.
- « regarde
» a insisté Pierre, « les poils autour de son vagin sont trempés
Quelle pute! »
Sur ce, Rémy ma ordonné de me caresser la chatte. Je le faisais régulièrement devant lui, mais devant lui tout seul! La présence de mon patron ma fait un peu hésiter, mais je savais quen tripotant ma moule juteuse, jallais les stimuler et quainsi ils me rempliraient lestomac de leur foutre. Pendant que je me branlais, jai pensé que dès lundi la vie au bureau ne serait sans doute plus la même, car je savais bien que Pierre nen resterait pas à cette soirée: il mavait sous la main 8 heures par jour et 5 jours par semaine
Ca ma excité et jai senti lorgasme arriver. A ce moment-là, Rémy ma dit darrêter. Avec Pierre, ils se sont approchés du canapé. Rémy sest assis à ma droite, Pierre à ma gauche. Ils mont peloté les seins, le ventre, la chatte, le cul, les jambes. Les quatre mains qui me parcouraient comme si jétais une poupée de chair me faisaient ronronner de plaisir. Leurs doigts ont ensuite investi mes orifices. Lorsque Pierre ma enfoncé le majeur dans lanus, jai ouvert en grand mes jambes que jai posées sur leurs genoux, en bonne salope avide de pénétrations en tout genre que jétais déjà. Ils ont mis chacun deux doigts dans ma chatte puis ils ont tiré doucement chacun de leur côté pour me lélargir et pouvoir, selon Rémy, « mieux explorer le fond de mon vagin de pute ».
-« elle est encore étroite pour son âge! Tu la baises souvent? » A demandé Pierre.
-« Jamais! Je ne peux pas, elle me fait toujours juter dans sa bouche avant! Impossible de la tringler tellement elle me pompe le nud
»
Ils ont éclaté dun rire gras.
- « et tu lencules?
- pas plus, et pour les mêmes raisons. Elle est vierge de ce côté-là. Mais avec ton aide, ce ne sera plus le cas encore très longtemps! »
Rémy et Pierre ont encore rit, puis ils ont continué patiemment à explorer mes orifices avec leurs doigts. Bien vite, jen ai eu deux dans le cul. Hummm! Les mots manquent pour décrire à quel point ça me faisait mouiller quils me traitent comme un morceau de viande, comme une bête détal. Je me sentais ouverte de la chatte et du cul comme jamais auparavant!
Rémy a poursuivi ses explications:
-« Mais tinquiète pas! Que ces deux autres trous soient provisoirement délaissés, ça lui plaît à cette salope. Elle adore bouffer ma queue! Hein, salope, taimes ça me vider les couilles
».
Mon excitation était telle que jai définitivement perdue toute retenue. Jai réclamé en criant:
-« Oh oui, je vous en prie! Donnez-moi vos bites à sucer! »
Pierre ma dit sournoisement:
-« Attention, Véronique! Si tu me suces, tu sais que je vais te gicler mon sperme en pleine gueule et que tu vas devoir tout avaler... Or, je te lai dit tout à lheure, jai les couilles vraiment pleines. Cest ça que tu veux?
- Oui! Oui! Venez vous vider dans ma bouche! Javalerai tout, je le promets! »
Rémy a semblé ravi de ma docilité.
-« Une vraie serpillière à foutre
» A-t-il commenté.
-« Oui Rémy, je raffole du sperme, je voudrais en avaler des litres, tu sais
Vous allez men donner plein, hein? Vous allez bien me remplir de jus
»
Ils navaient pas cessé de me doigter la chatte et le cul pendant que je parlais et jai eu mon premier orgasme de la soirée.
Pierre sest levé en disant:
-« Ta pute me fait bander comme un taureau. Je peux me soulager dans sa bouche?
- mais je ten prie
tas entendu, salope? Va le sucer! »
Je me suis mise à genoux et Rémy est resté derrière moi, assis sur le canapé. Pierre sest déshabillé en un temps record pour faire apparaître une belle bite bien gonflée. Elle était beaucoup moins épaisse que celle Rémy, mais incontestablement plus longue. Une belle tige appétissante, en tout cas! Comme Rémy me lavait appris, je me suis avancée pour lui lécher ses couilles poilues.
-« Pas si vite! » ma dit Pierre.
Quest-ce qui nallait pas encore ? Quel caprice voulait-il mimposer, celui-ci? Je nai pas tardé à le savoir. Avant que je puisse le toucher, jai dû renifler sa bite et ses couilles. Une forte odeur a envahi mes narines. Ca sentait la sueur, lurine et le sperme séché. Il fallait vraiment avoir faim pour sucer une bite pareille. Bien sûr, cétait mon cas et je trépignais dimpatience! Javais envie davoir sa bite dans la bouche, moi! Pendant quelques minutes, jai dû humer les moindres recoins de son sexe négligé. Puis il ma fait bouffer ses couilles et lécher son gland au goût âcre quil a fini par enfourner dans ma gorge. Je dis bien dans ma gorge! Je navais pas lhabitude (pas encore
) car avec Rémy cette pratique était impossible. Mais avec Pierre, les choses étaient différentes: plus fine, sa queue pouvait pénétrer plus loin. En loccurrence, javais littéralement son gland au milieu de la gorge, bien au-delà de la luette. En me maintenant la tête, il sest enfoncé encore un peu plus loin et mon nez est venu toucher les poils de son pubis. Jétouffais et je me suis débattue. En appuyant vivement sur le ventre de Pierre, jai réussi à me dégager pour reprendre mon souffle. Jai senti Rémy se lever dans mon dos. Il ma brusquement saisi les poignets sans dire un mot et me les a attachés avec la ceinture de son peignoir.
-« Une pute doit savoir sucer une queue bien à fond. Parfois, les hommes aiment éjaculer directement dans lestomac de leur suceuse. Pierre va tapprendre
- avec joie
» A conclu ce dernier.
Sans que désormais je puisse me défendre, Pierre a de nouveau introduit sa bite au fond de mon gosier.
-« Nettoie-moi bien la queue, sale chienne! Voilà, comme ça
Bordel ! Tas vu ça Rémy? Je ne lai pas lavée depuis plusieurs jours, mais ça ne lempêche pas de me la bouffer jusquaux couilles
»
Mon instinct de suceuse mavait tout de suite indiqué comment ouvrir ma gorge pour laisser passer la queue de Pierre et jétais fière de montrer que maintenant elle coulissait plus facilement dans mon gosier! Ma « leçon » a duré de longues minutes. A certains moments, Pierre se branlait carrément dans ma gorge à un rythme effréné, puis il ralentissait et menfonçait sa verge le plus loin possible. Il ne me laissait respirer quaprès que mon nez soit venu buter contre son pubis. Pour me reposer il me laissait lui téter la pine, comme jaime. Javais de la bave qui coulait à profusion sur mon caraco et la mouille qui dégoulinait le long des mes cuisses finissait de me rendre toute glaireuse. Fidèle à mes nouvelles habitudes, jai couiné comme une chienne quand il ma finalement remplie de sa délicieuse purée en maintenant sa queue bien enfoncée dans ma gorge. Pas besoin davaler, il ma tout giclé directement dans lsophage! Et il navait pas menti au niveau de la quantité
-« Aaahh! Je débande mais elle tête encore! Quelle merveilleuse putain! » Sest exclamé Pierre, « aucune femme ne mavait jamais aussi bien sucé! Y a encore des progrès à faire, mais ça va me changer de ma femme et des stagiaires
Dire que cest ma secrétaire
Elle na pas fini den avaler, de mon foutre! »
« Jy compte bien! » me suis dis-je en moi-même, tout en espérant que la prochaine fois, il éjaculerait sur ma langue afin que je puisse savourer sa semence. Jai pensé quà présent ça allait être au tour de Rémy de venir se soulager dans ma bouche, mais il sest simplement contenté de me délier les mains et de mordonner de me mettre en levrette. Jai posé mes avant-bras sur le sol et jai tendu ma croupe pour bien faire saillir ma fente. Je devais faire très chienne, car Pierre reprenait déjà de la vigueur. Rémy a dit:
-« Maintenant que tas eu ta ration de foutre, je vais te baiser, petite garce! »
Rémy sest mis derrière moi, il a placé son gland sur lentrée béante de mon vagin de pute (désolée si ce mot revient souvent dans mon vocabulaire, mais cest ce que je suis) et il sest enfoncé en moi lentement, centimètre par centimètre. Contrairement à ce que je croyais, ma chatte na eu aucun mal à accueillir sa queue épaisse. Elle était aux dimensions exactes de sa queue, elle formait un fourreau parfait pour la bite de mon amant, et jai soupiré daise. Quand ses couilles ont touché mon clitoris, jai su quil était bien au fond et jai crié:
-« Ouuii! Vas-y maintenant, ramone-moi la chatte avec ta grosse bite! Baise ta femelle comme elle le mérite
».
Rémy a commencé par me limer doucement. Sa bite frottait bien contre mes muqueuses vaginales et cétait exquis. Que cétait bon davoir une bite dans le ventre, surtout depuis tout ce temps (en effet, Rémy ne mayant rien dit à ce sujet, dans le doute, je ne baisais plus avec Guy, et je le suçais encore moins: javais trop peur de ne pas pouvoir marrêter à temps!).
-« Ouaahh! Salope! Tu pompes aussi bien avec ta chatte quavec ta bouche, à ce que je vois
»!
Cétait vrai! Je sentais ma moule se contracter autour de son membre comme pour laspirer bien au fond. Rémy sest mis à me pilonner un peu plus fort en me tenant par la taille. Jai senti lorgasme monter dans mes reins.
-« Salope! Ce que c'est bon de te baiser
Je crois que je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps
Ca y est, je vais te gicler dedans
Ouuuhh ! Tiens! Prends ça dans ta chatte de pute
»
Il sest enfoncé en moi au maximum, son gland a buté contre mon utérus. Jai senti les palpitations de sa queue contre les parois distendues de mon vagin et son foutre brûlant sest déversé au fond de mon trou. Jai hurlé de bonheur avec limpression de mévanouir. Rémy est resté à lintérieur de moi le temps de se vider complètement les couilles. Pendant ce temps il a déclaré à Pierre:
-« Putain! Sa chatte est une vraie trayeuse à sperme! Je te la conseille! »
(Jouvre ici une parenthèse pour vous dire que cest le surnom de ma chatte: trayeuse à sperme. Au vu des centaines déjaculations que mon vagin a recueilli depuis, je trouve que ça lui va assez bien! Vous connaissiez déjà le surnom de ma bouche récipient à sperme et jaurais très bientôt loccasion de vous dire quel est celui de mon cul
).
Jai senti Rémy presser sa queue pour faire sortir les dernières gouttes de sperme dans mon ventre. Il sest ensuite retiré et un courant dair frais est entré dans mon vagin qui était resté béant après le passage de Rémy. Un peu de sperme sen est échappé et a coulé sur le sol.
-« Ramasse, traînée! »
Huuumm! Jaime quand il me parle comme ça! Je me suis exécutée avec plaisir sous le regard des deux hommes. Toujours à quatre pattes et le cul bien relevé comme une chienne en chaleur, jai lapé les gouttes de sperme répandues sur le tapis. Après, jai mis à plusieurs reprises deux doigts dans mon vagin pour récupérer le plus de foutre possible. Jadore être une salope! En tout cas, le spectacle a dû plaire à mon patron car sa bite était de nouveau tendue à bloc. Assis sur le canapé, lil lubrique, il ma demandé:
-« Ca te fait mouiller dexciter le mâle, hein? Petite raclure à sperme! Tu veux faire ta salope, eh bien je vais ten donner loccasion
Viens me sucer, et à quatre pattes! »
Tandis que je mavançais vers lui, Pierre a mis un préservatif sur le bout de sa queue.
-« Mets-la moi avec ta bouche. Avec ça, tu seras sûre de ne pas en perdre une goutte. Tu vois comme je suis gentil avec toi, petite pute?»
Rémy a applaudi lidée. Je la trouvais pas mal non plus, sauf que je déteste lodeur du caoutchouc. Mais je crois que je suis prête à tout si ça me permet dingurgiter du foutre! La croupe toujours relevée, jai fait de mon mieux pour faire coulisser la capote le long de sa bite. Une fois en place, je me suis mise à la sucer. Lodeur du caoutchouc était encore plus écoeurante que lorsquun peu plus tôt javais goûté à sa bite négligée (de toute façon, jallais devoir my habi car Monsieur le Directeur avait une certaine prédilection pour les jeux un peu cra-cra!). Je me suis cependant e à caresser avec mes amygdales son gland recouvert de caoutchouc du mieux que je pouvais (être une bonne putain, cela demande parfois des efforts!).
Pendant ce temps, Rémy était venu se placer derrière moi pour jouer avec mes trous. Il sest servi du mélange poisseux contenu dans mon vagin pour humecter mon anus, puis il a commencé par me pénétrer dun doigt, puis de deux et enfin de trois. De temps en temps, il les retirait pour baver dans mon cul ouvert. Ca y est, cette fois, je sentais que, après ma chatte, cétait au tour de mon petit cul de passer à la casserole. Rémy a confirmé:
-« Je vais tenculer, traînée! Je suis sûr que tu es une très bonne anale
»
Je me suis concentrée sur la queue que je suçais, pleine dappréhensions mais excitée et curieuse quand même. Rémy ma écarté les fesses et sans plus de précaution il a transpercé mon illet encore vierge avec son gros gland. Heureusement que la bite de Pierre me bâillonnait, sans quoi jaurais hurlé. Mais le plus dur était fait. Rémy sest enfoncé dans mon boyau qui a fini par accueillir sa bite toute entière. Il est resté quelques instants immobile afin de laisser mon sphincter shabi à sa présence, puis il a commencé à me fouiller les entrailles avec son pieu. Mon vagin de pute était crispé par lorgasme qui sannonçait déjà et je tortillais du cul comme une chienne. Cétait la première fois que je baisais avec deux hommes et la sensation était fabuleuse. Embrochée de part en part, javais limpression dêtre une poupée soumise à leur volonté, un simple objet de plaisir dont ils pouvaient disposer à leur guise. La queue de Rémy bougeant dans mon cul me faisait un bien fou et celle de Pierre mempêchait de pousser des cris, de plaisir cette fois!
Pierre a fini par ouvrir les vannes. Il a bredouillé « tiens, salope! ». Jai senti sur ma langue la capote se remplir de sperme chaud. Jai dégluti sa queue et fascinée jai commencé à suçoter le paquet de sperme épais contenu dans le réservoir de la capote, jai joué avec en le faisant rouler avec ma langue contre mon palais, puis jai entrepris denlever la capote pendant que Rémy continuait de menculer (ce qui nétait pas très pratique!). Sans cesser de bourrer mon cul de salope, Rémy a dit:
-« Non mais, elle se croit tout permis! »
Il ma claqué les fesses à plusieurs reprises. Pendant quil me donnait la fessée, il me questionnait:
-« Tu crois sans doute que tout tes dû, petite pute? Tas perdu ta langue? Tu ne peux pas demander poliment à Pierre de te donner son foutre, plutôt que de te ruer dessus comme une affamée? Espèce de chienne mal élevée! »
Voilà maintenant quil me réprimandait comme une gamine devant mon patron! Si on mavait dit un jour que cela me plairait je ne laurais pas cru, mais là, jétais au comble de lexcitation. Rémy a arrêté de bouger.
-« Allez! Demande! »
Jai réfléchi un instant à ma phrase afin quelle soit la plus servile possible et jai levé les yeux vers Pierre:
-« Est-ce que je peux nettoyer votre capote, sil vous plaît monsieur?
- Mais oui, tu peux, petite pute. Tu ne las pas volé
» A-t-il répondu.
La queue de mon amant bien calée au fond de mon trou du cul, jai enlevé délicatement la capote de Pierre en faisant attention de ne rien renverser, et avec un peu de répugnance, je lai portée à ma bouche. Le sperme a coulé sur ma langue. Il avait un drôle de goût, mais il était encore tiède et jai tout avalé avec gourmandise. Jai ensuite retourné la capote pour la lécher sous le regard silencieux des deux hommes.
-« Elle a tout avalé ? » a finalement demandé Rémy, toujours immobile dans mon cul.
-« Bien sûr
» A confirmé Pierre.
Rémy a semblé très satisfait de ma prestation puisquil lui a suffi de quelques va-et-vient pour balancer sa purée au fond de mon cul. Jai senti son sperme chaud se répandre dans mon intestin, je me suis un peu caressé le clito et jai joui avec une rare intensité. Rémy sest retiré de mon cul et est venu sasseoir à coté de Pierre. Jai fixé mon enculeur dans les yeux, j'ai fait pénétrer mes doigts dans mon cul dilaté et je les ai portés à ma bouche pour recueillir son offrande. Rémy ma traité de chienne affamée et de vicieuse puis il ma dit:
-« Jai adoré tenculer, mais ça na pas été facile: tu es serrée! Pierre va donc se charger de télargir le cul et pour ça, il tenculera tous les jours. Comme ça, quand tu rentreras du travail, je saurai que tu as la rondelle bien ouverte et je te déchargerai dans le cul à mon tour. Tu es daccord?
-oui, mon amour
-tu verras, tu ne pourras bientôt plus t'en passer
»
La suite des réjouissances s'annonçait bien! Jallais donc devoir me soumettre aux désirs dun deuxième « éducateur » que je devinais aussi pervers que le premier. Je sentais que jallais adorer et jai frémi de plaisir à cette idée, tout en recommençant à me toucher comme une collégienne. Rémy a préconisé à Pierre de ne pas hésiter à se servir aussi de ma chatte et de ma bouche et à faire de moi sa pute personnelle. Ensuite, Pierre sest rhabillé. Pendant quil reboutonnait sa chemise et refaisait son nud de cravate, jai dû lécher son sexe encore poisseux. Lorsquil a enfilé son caleçon, cest moi-même qui ai rangé sa bite et jai encore embrassé son sexe à travers le tissu avant quil ne remette son pantalon. Pierre a tapoté ma joue comme on laurait fait avec un animal (une chienne par exemple!) et il ma demandé de ne pas être en retard au bureau lundi, car il avait hâte de menfiler par tous les trous. Finalement, il a salué Rémy et il est parti. Je ny ai pas prêté attention, et pour cause! Jétais revenue minstaller confortablement entre les cuisses de Rémy. Sa queue avait été un peu souillée par mon cul et jai donc entrepris de la nettoyer comme je lavais fait avec celle de Pierre. Jétais définitivement mâtée, je le savais, et je me suis bien appliquée. Je parcourais vicieusement de ma langue chaque repli de son sexe débandé, je tétais le gland, je suçotais délicatement le prépuce, je couvrais aussi chaque parcelle de ses couilles ridées de baisers plus tendres les uns que les autres et je me suis même surprise à leur chuchoter « mes petites chéries »! La bite de Rémy a fini par regrossir sous leffet de mes caresses buccales. Jen ai profité pour entraîner Rémy dans ma chambre. Là, il ma baisée dans le lit conjugal jusquà ce quil me jute dans la chatte. Je me suis endormie dans les bras de mon amant vicieux, lentrejambe englué par son sperme.
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