Descente Aux Enfers
Je suis Didier et voici mon histoire. Il y a parfois des secrets trop lourds à porter seul.
Jai 30 ans, je travaille dans la publicité et je suis marié depuis 3 ans à Cécile, comptable dans une compagnie dassurance et de 10 ans mon aînée Nous résidons à Paris et nous navons pas d.
La différence dâge entre nous ne saute pas aux yeux car Cécile entretient son joli corps souple et élancé deux fois par semaine dans une salle de gym et dans les instituts de beauté. Elle tient également à ce que notre coquet deux pièces du XIIIème soit bien entretenu et met un soin tout particulier à ce que tout soit en ordre. Je ny trouverais rien à redire, sauf que je dois bien lavouer je suis plutôt bohême, voire bordélique et jai régulièrement droit à des remontrances de sa part en ce qui concerne mon laisser-aller et mon absence totale de participation aux tâches ménagères.
Nous revenons de vacances et Cécile qui doit reprendre le travail demain, en a profité pour retrouver Martine, sa meilleure amie Elle doit venir prendre le thé à la maison sous le coup de 17 heures au retour de leur leçon déquitation, passion quelles se sont découvert ensemble. Martine est une jolie femme de 45 ans à lattitude arrogante voire sévère et jai parfois du mal à soutenir son regard. Comme elle a des tendances féministes, elle pense probablement que Cécile ne me mérite pas.
Il est midi et je traîne encore en pyjama. Lévier de la cuisine déborde de la vaisselle dhier soir, les cendriers regorgent de mégots et le carrelage aurait bien besoin dêtre récuré. Cécile découragée par ma passivité mais ayant décidé de rester zen pour une fois, se contente de me lancer avant de partir retrouver Martine au restaurant :
« Nous espérons trouver les lieux en état quand nous reviendrons. Je compte sur toi, mon chéri.» Et me voilà seul au milieu de ce capharnaüm
Après avoir pris une longue douche bien chaude, je minstallais confortablement dans le canapé du salon pour feuilleter le dernier magazine que Cécile a acheté hier et qui traite des fantasmes féminins, avec un test de personnalité.
Soudain des coups de sonnette stridents me firent sursauter, me tirant brutalement des bras de Morphée. Ma montre indiquait 16h30. Non seulement javais dormi tout ce temps mais de plus Cécile et Martine étaient en avance ! Le bordel
les engueulades : ça sannonçait mal, ça allait être pénible
Jouvre la porte, la tête basse. Elles sont en tenue déquitation et Cécile entre la première, posant son sac de sport dans le couloir, suivie par Martine qui en fait autant. Je tente une excuse foireuse : « jai une migraine terrible, jai pris de laspirine mais rien ny fait. Je vais ranger un peu quand même »
Cécile effondrée sur une chaise sanglote et je tente de la consoler mais elle me repousse. Martine vient à son tour à son secours. Elle mécarte et prend Cécile entre ses bras.
« Je suis là, ma chérie »
Ses yeux me lancent des éclairs.
« Tu vas encore supporter ce petit con combien de temps ?
Je proteste :
« Je ne vous permets pas Martine »
« Ah oui ? Et bien moi je ne te permets pas que tu la traites ainsi. Tu as besoin dune bonne leçon ! »
Avant même que je nai le temps de lui répondre ou desquisser un geste, Martine me tire brutalement par les cheveux, me jette à terre et me maintient à plat ventre sur le carrelage, un bras tordu dans le dos et sa botte cavalière fermement appuyée entre mes épaules.
Cécile qui a cessé de pleurnicher nen revient pas mais la situation nest pas pour déplaire à ma tendre compagne:
« Tu y vas un peu fort ! Quest ce que tu comptes faire ? »
« Ce que tu aurais dû faire depuis longtemps, ma chérie : le dresser ! Apporte-moi mon sac qui est resté dans le couloir »
Elle en sort une cordelette et se saisissant de mon bras resté libre, mattache les poignets en prenant soin de bien les serrer.
Elle sort une cravache du sac, me la met sous le menton, me forçant à la regarder bien en face :
« Tu vas être puni pour tout ce que tu lui as fait subir, petit salaud »
Elle ponctue la sentence en madministrant une gifle magistrale. Jai la joue en feu et ne peut retenir une larme.
Cécile ne dit rien mais visiblement elle approuve.
Martine baisse alors mon pantalon de pyjama dun coup sec jusquaux genoux. Me voilà cul nu et le sexe à lair. Je suis rouge de honte. Vulnérable et humilié devant ma femme et son amie, je suis traité comme un sale gosse, un vilain petit morveux. Je nen mène pas large.
« Je vous en prie Martine, arrêtez tout ça, je vous fais mes excuses à toutes les deux. Chérie, dis-lui darrêter, tu veux bien ? »
« Martine a raison. Jaurais dû te dresser depuis longtemps. Jai été trop faible avec toi. »
« Je vais changer ma chérie, je te le promets, tu verras
»
« Je ne te crois plus. Tu mas menti tellement de fois. Vas-y Martine, corrige-le comme il le mérite »
La « trahison » de mon épouse me déconcerte. Je ne la croyais pas si dure. Elle ne sétait pas rebellée une seule fois en 3 ans de mariage. La voilà complice de mon bourreau.
Martine est passée derrière moi et commence à cingler mon cul en prenant soin dappliquer un nombre égal de coups sur chaque fesse. Elle augmente progressivement la cadence et ni mes sanglots ni mes supplications nentament sa détermination. Ce qui me fait le plus souffrir cest que ma femme semble jouir du spectacle, prendre plaisir à me voir souffrir.
Au bout dun moment, alors que mes fesses sont devenues brûlantes et meurtries, la douleur fait place à une sensation trouble où se mêlent abandon et plaisir dêtre soumis à cette belle et cruelle créature quest Martine. Je réalise que je suis peut-être en train de vivre quelque chose qui était enfoui dans le plus profond de mon inconscient et je commence à avoir une érection.
« Mais il bande le cochon. Il aime ça on dirait. Ton mari est un vrai chien Cécile». Et un chien qui aime ses Maîtresses on dirait ! »
Elle empoigne ma queue et la serre :
« Tu seras un bon chien pour tes Maîtresses ?
« Aïe, oui, oui
aïe »
« Oui qui ? »
« Oui, Martine »
« Non. On dit « Oui Maîtresse Martine »
« Ou
iiii Maîtresse Martine »
Maintenant tu vas demander pardon à genoux à ta femme, sale chien. Et gare à tes fesses si tu ny mets pas les formes.
Elle me détache mais minterdit de remonter mon pantalon de pyjama. Cest en tant que mari soumis que je dois lui présenter des excuses. Cécile est plantée devant moi, debout, les mains sur les hanches et me toise dun air méprisant. Je baisse instinctivement les yeux. Je tiens à me racheter mais jai encore plus envie dêtre lesclave de ma femme.
« Je te demande pardon ma chérie. Je ne recommencerai plus. »
« Cest tout ce que tu as à me dire ? »
« Je
je ferai tout ce que tu voudras si tu veux encore de moi, Cécile chérie, mon amour
»
« Tout ce que je voudrais, tu en est sûr ? »
« Oui, absolument tout »
« Dêtre ma boniche, mon esclave, de satisfaire tous mes caprices, dêtre puni si tu désobéis ?
« Oui, je le veux mon amour »
« Très bien. Commençons tout de suite. Pour mériter mon pardon, tu vas faire ce que je tavais demandé avant de sortir, me briquer cette piaule du sol au plafond et nous servir le thé. Et puis comme tu es mon esclave tu feras cette corvée à poil. Jaime voir ton petit cul remuer quand tu marches. Autre chose: afin de remercier Martine pour avoir fait ton éducation, tu iras lui faire son ménage deux fois par semaine Cest la moindre des choses, non ?
Notre couple avait besoin dun coup de fouet pour repartir sur de bonnes bases.
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