Chapitre 3 : Retournée Comme Une Crêpe (Suite De Déjeuner En Paix)
Chapitre 3 : Retournée comme une crêpe (suite de Déjeuner en paix)
Pour connaître létat dexcitation dans lequel je me trouvais au moment daller dans cette crêperie avec ma cousine et nos parents, vous pouvez déjà lire lépisode précédent. Sinon, laissez moi encore une fois vous parler de Jennifer, ma cousine coquine qui ma chauffé au plus haut point durant la journée (et toutes les vacances
).
Javais été timoré et quelque part dominé depuis le début de ces vacances, mais cela allait changer. Je le sentais, jallais embrasser ces lèvres pulpeuses, puis ces seins magnifiques et rentrer dans ce minou luisant de mouille. Apres mure réflexion, je pense que Jen avais prévu de me baiser dès le départ, mais quen petite fille dévergondée quelle est, elle a joué à mexciter pour que linstant nen soit que plus torride. Ce quelle fit avec perversité et fausse innocence mêlées, comme tous les jours.
Ca a vraiment commencé à lapéro, au mobile home, ou nous trinquions aux vacances avec les parents avant daller manger. Le canapé a vite été saturé, et jen profitais pour peloter le cul de Jen assise presque sur moi. Cétait assez timide au début, quelques furtifs passages de ma main au bas du dos, puis après quelques verres, ça devint de plus en plus insistant. Elle me fusillait du regard des quelle pouvait mais elle était dans lincapacité de se dégager sans éventer cette situation scabreuse. Jai commencé par faire semblant de me rehausser sur ma position pour caresser ces courbes sensationnelles a travers le tissu de la jupette noire très vaporeuse quelle portait ce soir, et quelle avait agrémentée dun débardeur à bretelles blanc sous lequel on devinait directement le contour des seins trahis par des tétons biens fermes. Je laurais enfilée la, devant tout le monde tellement je bandais.
Puis de caresses suggestives en petits yeux coquins, on arrive au resto, et on sinstalle sur une table en longueur, ce qui fait que je me retrouve contre le mur, face à Jennifer et son décolleté vertigineux, qui semble absorbée par une vengeance quelconque.
Soudain, je sens un pied qui me caresse le sexe à travers létoffe du pantalon, et je vois ma cousine faire comme si ne rien nétait, discutant avec ses parents. Puis elle me décoche un clin dil discret, mais bien assez provocateur et coquin pour embraser mes sens (si besoin était
). Mmmhh cest bon, je sens sa plante de pied frotter mon sexe, il se contracte, se gorge de sang et se dilate...oh putain, jai chaud ! Je deviens de plus en plus rouge, je transpire. Elle profite alors dune discussion parentale agitée pour me passer discrètement un mouchoir en tissu blanc. Je le prends (cette fois cest moi qui la fusille du regard) et constate quil est humide. Je le déplie alors, et la, stupeur ! Jen mavait donné son string en plein milieu du repas ! Je le replie vite en boule et le porte a mon nez en faisant semblant de me moucher. Quelle odeur fabuleuse ! Sa mouille avait une senteur de grenadine, comme un bonbon acidulé, ca sentait la chatte bien fraîche de jeunette, et ça ma fait a peu près le même effet que sniffer un chiffon imbibé déther. Jétais complètement défoncé ! Je fais semblant de faire tomber des choses sous la table pour mater vicieusement le con que Jen mexhibais tendancieusement en écartant les cuisses à chaque fois.
Ni une ni deux, jenlève une chaussure et la chaussette qui correspond sous la table, puis commence à grimper le long de cuisses longues et galbées, pour arriver dans une zone beaucoup plus chaude et humide. Ca y est, je masse son minou à laide de mon gros orteil. Elle est surprise, essaye de serrer les cuisses mais il est déjà trop tard.
Les questions finissent par fuser sur sa santé, et elle quitte la table prétextant une petite fièvre. Mauvaise joueuse, pensais-je quand tout à coup, elle se retourne et me demande de la ramener au mobile home. Je me levais donc et vis que la chaise où elle était assise semblait joliment trempée, et jespérais que personne ne le remarque. Ouf on sort à lair frais, elle continue de simuler un malaise, je la prends par la taille. En fait cest elle qui me dirige. On arrive sur la plage, déserte, calme. Le silence est brisé à intervalles réguliers par le remous des vagues. Elle se retourne, braque ses yeux sur les miens. La petite fille en apparence sage de la crêperie a complètement disparu, ses yeux brillent à présent de lubricité.
Jen suis profondément troublé, nos respirations saccélèrent brutalement quand elle se colle a moi, frottant son bas ventre au mien. Pendant tout ce temps, elle continue à me défier du regard. Nen pouvant plus, je lui att la nuque des deux mains et lembrasse goulûment. Nos salives se mêlent, coulent sur nos mentons. Au bout de plusieurs apnées intenses, une main se libère et vient peloter les seins superbes de cette coquine, qui commence à plus trop savoir ce qui lui arrive. Elle gémit de manière saccadée, signe que son rythme cardiaque saffole. Très autoritaire, je lui enlève le débardeur, et cest ainsi que la belle se malaxait la poitrine en jupette, le cul à lair sur la plage avec les reflets de la lune. Cétait presque irréel.
Excité comme un taureau par cette sirène soffrant a moi, je me déshabille aussitôt, présentant un sexe dressé à ma cousine haletante.
Je lembrasse a nouveau en lui pinçant les tétons, et je constate quils sont tout durs et dressés. Je mamuse alors à les toucher puis les pincer pour au final les sucer avec délectation, en les mordant par moments. Littéralement déchaîné par un orgasme mammaire, Jen hurle et me saute dessus, enserrant ma taille de ses jambes. Elle se déhanche en frottant mon dard contre sa chatte.
Nen pouvant plus, jatt ses fesses, les écarte, et dun coup de reins puissant pénètre dans le minou si convoité de ma salope de cousine. Elle pousse un hurlement sauvage en rejetant sa tête en arrière. Sa respiration est complètement désordonnée, elle transpire beaucoup pendant que je la tringle comme un porc, face a locéan. Mon braquemart, raide comme jamais, coulisse à merveille dans cette petite chatte inondée qui maspire complètement. Je suis au septième ciel, déconnecte des réalités, ma cousine seule mimporte et je redouble de violence dans mon déhanchement. Elle non plus ne se maîtrise plus des tout, alternants cris rauques et gémissements de plaisir, les seins palpitant du fait dune respiration anarchique, en bougeant ses hanches de manière a encore mieux sempaler sur ma queue en ébullition. Nos bas ventres se cognent avec violence, déclenchant à chaque fois des hurlements de jouissance à sen fendre les tympans, quand soudain, je sens que je vais jouir.
Mon sexe est plus dur que jamais, frissonne de la base au gland, je vais tout lâcher. Jen est dans un état second, au bord de lévanouissement, sa tête rebondit sur mon épaule en couinant de plaisir. Je latt et lui roule une pelle bien baveuse tout en la pilonnant violemment.
Elle défait ensuite la ceinture quelle avait formé autour de ma taille avec ses jambes, membrasse la bouche, puis le cou, arrive sur mes tétons quelle mordille, lèche mon ventre tout couvert de sperme, mouille et sueur mêlés, puis suce tendrement mon sexe a moitié bandé couvert lui aussi des mêmes épices que mon bas ventre. On se rhabille à la lueur de la lune sans briser ce silence paisible et beau. Nous rentrons au camping enlacé en se jetant de temps à autre des sourires calmes et détendus.
Cette soirée fut formidable, jétais comblé... comment aurais-je pu savoir que ce nétait que le début de nos pérégrinations érotiques ?
Bisous coquins et à la prochaine.
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