Une Premiere Avec Ma Petite Femme
40 ans 1m59, 50 kg 90c voila celle avec qui je partage mes jours depuis presque 7ans et que j'aime par dessus tout et qui peu à peu est véritablement devenu ma femme mais aussi ma maîtresse.
Un samedi soir rentrant d'un souper chez des amis un arrêt pipi sur une aire d'autoroute prés de tournai en Belgique, je sors du véhicule et remarque à l'entrée du petit bois plusieurs hommes regardant dans notre direction l'endroit doit être réputé mais nous n'en savons rien soudain 2 hommes s'approchent et commencent à se masturber. Mon épouse indignée me fait démarrer le véhicule de suite, ma main sur sa cuisse je la caresse pour la rassurer et remonte sous sa petite robe qu'elle porte ce jour là, ses bas auto fixant laissent un morceau de peau que je caresse et remontant encore plus haut je sens l'humidité de son sexe.
Cela t'as fait de l'effet on dirait
Non pas du tout
Mais pourtant ça chauffe on dirait !
Non non elle me répond.
je fais demi tour en prenant la première sortie et roule pour rejoindre le parking après plusieurs kms un parking est annoncé, je m'y engage ce n'est pas le même mais nous nous y arrêtons et je reprends mes caresses sur ses jambes tout en l'embrassant amoureusement, je lui relève le bas de sa robe et lui retire son jolis petit slip de dentelle afin d'accéder à son sexe, soudain mon regard est attiré à l'extérieur. Un des deux hommes de tout à l'heure nous ayant sans doute suivi suivait de prés la scène qui se déroulait sous ses yeux mais à l'intérieur de notre Renault espace.
Elle fut d'abord prise de panique et remis sa robe sur ses cuisses mais je parvins à lui remonter et reprendre mes caresses sur son adorable petit abricot qui sans qu'elle ne le veuille s'humidifiait de plus belle.
Rassurer sans doute l'homme s'approchât contre la vitre de son coté et se masturbait de plus belle en contemplant ma femme se faire caresser par son mari devant lui...
Je surpris le regard de ma femme sur ce membre et lui demandât si elle voulait ouvrir la porte, elle me menaça de tout arrêter, je repris donc mes caresses mais je sentais l'excitation monter en elle je remis le contact discernement et ouvris un peu sa fenêtre sans qu'elle réagisse aussitôt une main se posa sur son visage et commença à lui caresser la joue alors qu' entre ses jambes je lui dégustais son sexe trempé de cyprine, j'ouvris complètement la vitre de façon à laisser plus d'aise à ce jeune homme qui s'empressa de passer la tête afin de la prendre dans ses bras et de la caresser plus ouvertement moi toujours entre ses cuisses pour lui procurer du bien être et regardant les mains de cet homme avec lequel nous n'avions pas échangé un mot prendre peu à peu possession des seins de ma femme.
Notre complice ouvrit la portière afin d'être plus à l'aise dans ses caresses et aussitôt mon épouse la mère de mes s empoigna son membre bandé pour le branler, moi je m'assis sur mon siège et les contemplas, les mains de l'homme descendirent entre ses jambes et la masturba deux doigts plantés dans ce petit vagin que je connais si bien et qui s'ouvrait à d'autres mains, il débusqua rapidement son clitoris et la branla là juste sous mes yeux pendant qu'elle le suçait mais déjà d'autres curieux arrivèrent
Je connais un endroit plus calme si vous voulez, qu'il nous dit.
Je regardais ma femme palettante, la main de l'homme toujours enfouie entre ses cuisses et elle avec sa queue bien en main.
Tu as envie lui dis je ?
Elle se défendit mollement alors nous l'avons suivit.
l'endroit était désert et très rapidement nous avons repris nos ébats, lui la tête entre les cuisses largement écartées se faisait brouter par un inconnu pendant qu'elle me suçait, nous sommes sortie de la voiture lui appuyé sur la portière se faisant sucer à son tour, moi derrière, la prenant profondément dans son vagin détrempé, désirant prendre le petit plaid et nous allonger, je quittais son fourreau humide et entrait dans la voiture en sortant je fut surpris de la voir dos à lui se faisant prendre debout sa queue profondément enfoncé dans sa petite chatte, ma femme là devant moi se faisait baiser pour mon plus grand bonheur et ce qui par la suite nous donna une complicité sans égal
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