Maria D'En Face

Maria

Maria est ma voisine de pallier, je vis dans un immeuble d’une vingtaine de personnes. J’en connais quelques uns mais sans plus sauf Maria que je croise au moins un jour sur deux et qui cause sans arrêt…
J’en arrive à sortir de chez moi sur la pointe des pieds, car si elle m’accoste, c’est foutu. Elle vous tient une demi-heure sans problème à vous parler de tout et de rien et honnêtement ce n’est pas très intéressant.
Un matin d’hiver, ma voiture n’a plus voulu démarrer…par -2°.
Entendant sans doute mes nombreux coup de démarreur, elle est venue voir ce qui n’allait pas, elle est aussi très curieuse. Je lui explique que la voiture ne démarre pas et que je vais devoir me rendre au boulot en taxi.
Elle a insistée pour que je prenne sa voiture, « j’ai pas besoin aujourd’hui » me disait-elle, « prenez la, ça me dérange pas du tout ». J’ai donc accepté, ce qui m’arrangeait aussi, faut bien l’avouer.

Petite parenthèse concernant Maria, elle doit avoir 45/50 ans environ, elle vit seule, je pense qu’elle a une fille, qui vient la voir de temps en temps. Elle vit dans l’immeuble depuis plusieurs années car je l’ai toujours connue. Elle est bien conservée pour son age, c’est la bonté même, elle est toujours là pour aider mais qu’est-ce qu’elle parle !
Je pense que tout l’immeuble la fuit à cause de cela…je remarque que c’est toujours chez moi qu’elle vient, pour un oui ou un non, pas d’œufs, plus de sel, elle a été cherché mon courrier, elle m’offre un bouteille de digestif de son pays, elle me prête sa voiture, elle nettoie ma partie de pallier, réceptionne mes recommandés et colis,…
Soit elle m’apprécie vraiment, soit elle n’a personne d’autre à qui parler.

Ce jour-là en lui rapportant sa voiture et voulant la remercier, je lui ai proposé, avec un peu de réticence, de venir manger samedi soir chez moi, en guise de remerciement. Invitation qu’elle a acceptée sans hésitations.

Bonne ou mauvaise chose…on verra bien samedi.

Samedi 18h30, on toque à la porte, j’ouvre et voici Maria les bras plein de paquets. Je la fait entrer et le moulin à parole commence, « j’ai apporté, voici pour vous pâté et fromage de Pologne (elle est née à Kielce), mon frère fait aussi alcool lui-même, très fort mais bon sentir ».
Et me voici avec plein de produit certes excellents mais il va falloir un an pour tout manger…
Pendant que je m’occupe de tout ceci, mettez-vous à l’aise, retirez votre manteau, j’arrive.
Je dépose tout dans la cuisine et en retournant dans le salon, je l’aperçois sans son long manteau… jupe rouge, bas noirs et chemisier crème, elle est toute maquillée et parfumée. J’ai un peu de mal à reconnaître notre Maria, en dehors de son look de pute, elle reste une belle femme.

On s’installe dans le salon en vis-à-vis, et l’apéro commence, elle me parle de l’immeuble, de sa famille, de son chat qui a fugué, de sa fille qui ne vient pas très souvent la voir, de sa ville natale….
2h sans pouvoir en placer une…, au passage, elle ne veux plus de Mme K..............,
Mais Maria.

Nous passons à table et là le ton change, elle me pose des questions et curieusement…elle m’écoute sans m’interrompre, ce qui est assez inhabituel. Elle à l’air de s’intéressée à mon boulot à ma famille, allez ! C’est sympa…elle n’est pas si casse-couilles que ça finalement.
Durant le repas, je ne cesse de mater son soutien rouge qui apparaît sous son chemisier, c’est vraiment de mauvais goût, mais ça me fait de l’effet.

Le repas se continue dans une excellente ambiance, et le vin descend très vite…la deuxième bouteille est quasi morte ! Et bien elle a une bonne descente Maria, ça lui donne des couleurs d’ailleurs, à moi aussi.

La troisième bouteille fortement entamée, la discussion vire et deviens plus intime, elle me parle de la solitude depuis son divorce (mari alcoolo), elle n’a plus d’amies ici car elles sont rentrées au pays, elle a l’impression que les autres locataires l’évitent car elle cause toujours (Ca n’est pas faux).
Le hommes ne s’intéresse plus à elle, j’essaie de la réconforter habillement, n’oublions pas qu’elle pourrait presque être ma mère…
Elle me dit qu’à 48 ans, elle sait toujours y faire avec les hommes, et que celui qui voudrait un peu s’intéresser à elle ne le regretterait pas.
Excité comme un bouc, je me tapais la trique de l’année, du titane !
Il fallait bien que je me lève pour servir dessert, mais avec une trique pareille, dur dur (c’est le cas de le dire)

Au bout de quelques minutes elle se lève pour aller à la toilette, j’en profite pour débarrasser et la mater aussi…il faut que je me calme !
De retour des waters, elle se rassieds et me dit « si toi vouloir goûter alcool de mon frère, très bon pour digérer ». Allons bon, on va essayer…
Je sers un petit verre à chacun, qui doit être bu d’une traite. Et hop tout d’un coup….Pouah c’est du Kérosène ce truc, c’est du jus de sabot de bouc ou quoi…ça dégraisse en tout cas.
« Si tu veux on peux passer au dessert, si tu as encore un peu de place » lui dis-je.
« J’ai deux ou trois desserts à te proposer ça dépend de tes goûts »
« Je mange tout, choisi pour nous, sortir pas tout du frigo »
………………….petit blanc (de réflexions)
Bon si c’est moi qui choisis le dessert, je te choisis toi !
(Aujourd’hui plusieurs mois après cette soirée, j’ignore toujours pourquoi je lui ai sorti ça…un vrai truc de beauf)
Je l’ai vu devenir toute rouge, moi aussi d’ailleurs, ne sachant pas vraiment comment réagir, je lui prend la main et lui dit qu’elle me plait beaucoup (alcool aidant) et que j’ai très envie d’elle (c’est très creux, mais bon…).
Je me lève, elle aussi, on se regarde dans les yeux et je l’embrasse en glissant mes mains sous son chemisier. Elle me fourre sa langue en bouche, déboutonne mon jeans en douceur.
Mains glissent sur ses fesses et c’est encore bien ferme tout çà !
Je me retrouve avec le jeans sur les chevilles et mon caleçon suit très vite, elle s’agenouille et commence à me sucer à fond, j’ai résisté moins d’une minute !! Elle à tout avalé sans s’interrompre…houlala la nuit va être longue…
Maria retire mon jeans et caleçon et me prend par la main en direction de la chambre, je viens d’éjaculer comme un boeuf et ma trique continue…Elle me demande de me coucher sur le lit et s’assieds à califourchon sur mon ventre. Maria retire son chemisier qui vole dans un coin de la pièce et ensuite viens le tour de son soutien. Pas mal la poitrine, ça pend un peu mais il y a de la matière. Elle m’embrasse tout en déboutonnant ma chemise, elle embrasse mon torse, mes tétons, mon nombril et de nouveau une fellation plus courte cette fois-ci. Mon pénis bien en érection, elle le tient d’une main et me lèche les couilles.
Trop bon, je deviens fou je vais crever !!!
Ensuite elle se positionne de nouveau au dessus de moi et s’empale sur ma queue, en fait elle ne porte pas de culotte !!! Et hop, le va et vient commence et je donne, je donne…..et je décharge…waouh elle sait bouger en tout cas. Elle se retire et me lave !!!
Nous sommes à présent étendu côte à côte sur mon lit, elle a gardé sa jupe et ses bas.
Je la caresse longuement. « Et si nous prendre bain maintenant ? » me dit-elle, bon d’accord pour le bain. J’ouvre l’eau chaude, quelques boules d’huiles essentielles et des bougies pour l’ambiance. Maria entre dans la salle de bain entièrement nue avec un léger sourire, (elle est vraiment bien foutue pour son age) elle se dirige vers moi et m’embrasse goulûment.
Nous avons pris le bain ensemble, elle m’a savonné et moi aussi d’ailleurs et nous sommes retournés dans la chambre pour le second round, je me suis occupé d’elle. C’était vraiment super, je pense que l’on s’est endormi vers 4h du matin.
Voici 8 mois que nous sommes ensemble, Maria avait raison, elle sait s’occuper des hommes. Environ 14 ans nous séparent et j’en suis pourtant très amoureux, nous vivons quasiment ensemble tellement on se voit souvent. Vivre sur le même palier çà crée des liens. Voila c’est notre Histoire, mise on-line avec son accord.

Greg et Maria