Les Fantasmes D Isabelle 4
LES FANTASMES DISABELLE N° 4
(se reporter aux Fantasmes dIsabelle N°3)
Jentendis Isabelle séloigner dans le couloir avec Jean Marc. Je savais que cétait un prétexte pour quils se retrouvent tous les deux. Aussitôt mon cur se mit à battre un peu plus fort.
La porte du bureau claqua après quIsabelle soit entrée dans la pièce.
-Tu as lair pensif Jessey ? Me demanda Fany en se levant.
-Non un coup de fatigue peut être
-Tu veux boire quelque chose ?
-Non je crois que jai mon compte pour ce soir ! Je ten remercie.
Je me mis à regarder la silhouette de Fany en train de rallumer une bougie sur le buffet laqué blanc du salon. Je la trouvais vraiment belle, fine, mince, classe, avec de belles petites fesses rebondies. Mon esprit se mit alors à fantasmer sur elle, oubliant quelques instants labsence dIsabelle et le trouble qui menvahissait.
-Tu as apprécié notre restau ?
-Cétait super.
-serais-tu contrarié ?
-Dis
tu nes pas jalouse de voir Jean Marc avec Isa dans cette chambre ?
- Si, comme toi, mais cela mexcite un peu pas toi ?
-Que vont-ils faire, tu crois ?
-Daprès toi ? Isabelle semble apprécier Jean Marc !
-Tu ten es aperçue ?
-Je connais mon oiseau. Je crois quil la veut ton Isa ! Il a envie de la goutter.
-Ahh ! Tu es douée pour lire dans les pensées !
-Je suis une femme Jessey
Ne crois tu pas que je ne tai pas vu me regarder et me déshabiller du regard ?
-Moi
non
bredouillais je très mal à laise.
-Pinocchio ! Je ne te plais pas ? Tu nas pas apprécié mes petites caresses au restau ?
- Hum, (je me raclais la gorge) je suis sensible
-Jai vu cela
tout au moins je lai senti
-Difficile de rester stoïque face à de telles caresses
Fany
Fany revint vers moi et se planta les mains sur les hanches à un bon mètre de mes genoux.
-Tu nentends rien ?
-Non
-Viens ne fais pas de bruit on va écouter ce qui se passe dans le bureau de Jean Marc
-Tu es voyeuse ?
-On ne peut rien voir il ny a pas de trou de serrure, mais on peut, peut être entendre
-Et si, ils sortent ? On aura lair bête non ?
-On dira tout simplement que lon venait les chercher.
Je me levais, remettant mes vêtements en place et Fany me prit la main en mentraînant vers la porte au fond du couloir. Elle était bien refermée. Nous nentendions rien de spécial. Fany sapprocha avec mille précautions et me fit shhhuuutttt avec son doigt devant la bouche.
-Ecoutons.
Fany colla son oreille contre la porte. Je restais en retrait.
-Tu entends quelque chose ?
- Shuuuuttt ! Jécoute
il lui demande de se déshabiller.
Je sentis ma gorge serrer. Lémotion et lexcitation montaient en moi. Mon cur tapait fort dans ma poitrine.
-Et alors ? Lui demandais-je sur un ton inquiet
-Je nentends plus rien. Attends
.
- oui ?
-Elle semble hésitante
il lui demande une deuxième fois de se déshabiller
-Ahhhh
-Ca mexcite
.attends
- je
.
-Il lui demande de lui faire voir sa chatte je crois quelle sest déshabillée à présent
Je sentais que lémotion disparaissait pour laisser place à une certaine excitation qui me prenait tout le bas ventre. Fany tout en ayant loreille collée contre la porte, posa sa main sur ma braguette bien à plat.. Pour ressentir la bosse que faisait à présent mon sexe.dans mon Jean
-Il lui demande si elle sépile ?
Avec dextérité les doigts de Fany firent descendre le zip de ma fermeture éclair
-Je suis excitée me dit elle. Jaimais me faire déshabiller par une femme.
Je ne répondis pas, regardant Fany défaire ma ceinture écarter mon pantalon et plonger sa main dans léchancrure de mon caleçon.
-Cela texcite aussi on dirait ?
Je ne répondis pas, jétais comme figé, le sexe à lair devant cette femme accroupie en train dépier les mots et les bruits qui venaient de la pièce. Me regardant, tout au moins mon sexe libéré elle le caressa dans un long va et vient afin de lériger au maximum. Jétais très sensible à ce genre de caresse et surtout dans ce genre de situation très particulière.
-Il lui demande de retirer sa culotte ! Ton Isa va passer à la casserole mon Jessey !
Mon sexe eut un soubresaut dexcitation.
-Je mouille tu ne peux pas savoir !
-Cest stressant lui dis je !
Elle me lâcha le sexe qui resta tendu vers le haut et retira son oreille de la porte. Elle se leva et entreprit de défaire la fermeture de son pantalon de lin. Je prenais conscience de cette scène dun érotisme extrême. Derrière cette porte jimaginais Isa nue se montrant à jean Marc, et là en face de moi Fany retirant son pantalon en évitant de faire le moindre bruit. Elle me fit un sourire complice alors que je découvrais son ventre plat sous lequel un magnifique string blanc avec une légère dentelle sur les côtés recouvrait avec beaucoup de peine son pubis. Sa peau uniformément bronzée tranchait avec le blanc de sa minuscule culotte.
-Jaime ton sexe me chuchota t-elle en rangeant ses escarpins sur le côté du couloir
Il est beau et a une belle couleur. Je naime pas les sexes dhomme lorsquils sont tout blancs.
-Que font ils ? Demandais je inquiet
Fany me fit signe dapprocher delle. Elle me reprit en main mon sexe que je sentais aussi dur que du bois, gonflé de veines sur toute sa longueur. Je navais jamais vu mon sexe aussi déformé. Fany tout en me tenant le sexe de sa fine main ornée dune magnifique bague recolla son oreille contre la porte. Elle souriait comme pour se donner du courage.
-Il lui demande de sallonger par terre et décarter les cuisses. Me dit elle en me faisant un clin dil.
Limage dIsa doublait la scène que javais sous les yeux. Je limaginais sexécutant, se mettre en position et montrer à Jean Marc cette intimité que jaimais tant. Le sexe dIsabelle était très beau. Parfaitement épilé, elle passait beaucoup de temps dans sa baignoire à entretenir son sexe, à lépiler, à lui mettre des crèmes adoucissantes. Son corps était presque celui dune jeune fille, mince, un ventre parfaitement plat, une toison dorée qui se limitait qu au dessus de sa petite fente.
Lorsque son sexe était très excité, il souvrait gorgé de sang et de désir avec deux belles lèvres couleur chair, comme une corolle.
Fany continuait toujours à tenir mon sexe dans sa main et à me caresser de haut en bas, le regardant avec envie
et loreille collée à la porte. Sa deuxième main écarta le dessous de son string, là où se trouvait lentrée de son sexe. Je vis une petite auréole humide, petite tâche su sa culotte qui trahissait ses motivations. Elle se mit à pénétrer un doigt dans son intimité.
-Je nen peux plus me dit elle à voix basse
cest super excitant tout cela !
-Et alors que font ils ? Dis moi
-Il est en train de la prendre en photo shuuuutttt
La main de Fany enveloppa mes bourses et je sentis quelle les malaxait avec beaucoup de douceur, faisant rouler dans le creux de sa main mes deux bourses gonflées et prêtes à offrir toute leur semence. Jai rarement été autant excité quà ce moment présent.
-Il lui demande de le sucer
ah
cest ce que Monsieur préfère le plus !
-Elle adore la fellation !
-Moi aussi ! Isa avale le sperme ?
-Souvent mais si lhomme ne lui plait pas elle ne laccepte pas. Elle est très difficile.
Je me demandais quand elle allait abandonner ses caresses manuelles pour poser sa belle bouche parfaitement dessinée sur mon sexe brûlant.
Jimaginais la bouche dIsa se poser sur le sexe de Jean Marc. Jallais jouir je le sentais et afin de me retenir, je me pinçais fortement la base de mon membre. Ceci avait la particularité déviter le déclenchement du processus de léjaculation. Cette action que je faisais me sauvait parfois
prolongeant ainsi mon érection et mon plaisir plus longtemps. Cest un Yogi qui mavait appris cette technique.
Fany voyait parfaitement que jétais plus que mur, chaud, en ébullition totale.
Je ne refusais pas cette offrande et je me baissais afin de prendre dans ma bouche les 3 doigts humectés de plaisir si féminins quelle me tendait. Je me mis à les sucer lentement aspirant dans ma gorge ce liquide au goût si subtil de la femme.
Je levais les sourcils afin de lui faire comprendre que je souhaitais connaître la suite. Elle replaça ses doigts dans son sexe.
-Je lentends sucer et gémir Jean Marc
Je ne pus mempêcher à cette image de prendre mon sexe en pleine main et de me baisser pour le présenter à la hauteur de sa bouche. La position nétait pas aisée.
Fany quitta sa position de guet pour prendre dans sa bouche mon sexe qui nattendait que cette caresse. Je nallais pas pouvoir résister trop longtemps. Elle donna de petits coups de tête pour faire entrer et sortir de son palais mon membre tendu.
Jaimais la douceur de ses lèvres sur mon gland et je devinais la douce sensation de sa langue senroulant autour de lui. Puis elle mabandonna le sexe humidifié de salive pour remettre son oreille contre la porte
-Il est en train de jouir il lui demande davaler son sperme
Je remis mon sexe dans la bouche ouverte de Fany au moment où derrière la porte on entendit très distinctement le râle de Jean Marc
Il jouissait avec force crachant sa liqueur dans la gorge dIsa.
A cet instant je sentis Fany autant excitée que moi se mis à me sucer plus fortement aspirant toute ma semence dans un gargouillement indescriptible. Elle ne laissa rien séchapper de sa bouche ; Les yeux fermés elle dégustait en femme avertie les effluves salés qui inondait à présent le fond de sa gorge.
Elle se retira un instant de cette étreinte buccale pour mieux avaler mon sperme, passant sur ses lèvres sa langue experte et faisant replonger dans sa bouche mon sexe soulagé, apaisé. Elle finissait de me nettoyer avec cette bouche divine. Je sentais venir delle lodeur caractéristique de mon sperme.
-Shuuutttt je vais écouter
-Je ne pouvais plus me retenir Fany !
-Ce nest pas fini
-Que font ils ?
-Il lui demande encore décarter les cuisses !
-Ah..Ils remettent cela. ?
Sans me répondre Fany se leva après avoir fait un bisou à mon sexe qui allait vers le repos et ni une ni deux retira son slip détrempé par son excitation. Maline elle me le fit sentir. Je lui retins la main afin de mieux menivrer de cette odeur ou un parfum discret se mêlait avec son parfum de femme. Elle attrapa à nouveau mon sexe à demi détendu alors que je maintenais plaqué son string contre mon nez.
Je me délectais de cette odeur et pour rien au monde je noublierai cette odeur si particulière qui viens du fond du sexe de nos amantes.
Fany se mit face à moi et me demanda :
-Tu me trouves jolie ?
-Tu as un corps de top modèle Fany
jaime ton sexe il est beau.. ; Comme je les aime.
Fany se retourna pour me montrer toutes les facettes de son corps. Ses seins étaient de moyenne grosseur, pointus avec une pointe brune. Adorables. Je plaquais lune de mes mains contre lun deux, lenserrant afin den apprécier la douceur et lélasticité.
-Attends je vais écouter.
Accroupie je pus admirer le bas de son dos et ses fesses menues, merveilleusement cambrées
Les fesses dune femme faite pour le désir des hommes, lamour, les caresses. Elle était vraiment belle Fany et très classe
rien dune femme vulgaire
la classe à létat pur
une peau merveilleusement dorée à souhait sans lombre dune marque de maillot.
-Il lui dit quelle mouille comme une fontaine
il la suce. Viens écoutes !
Je mapprochais de la porte, le sexe toujours emprisonné dans la fine main de Fany et je plaquais avec mille précautions mon oreille contre le plat de la porte. Celle-ci faisait tympan et amplifiait à merveille les bruits venant de lintérieur.
Jentendis parfaitement les gémissements peu dissimulés dIsa. Et les lapements que faisait la bouche de Jean Marc en se plaquant sur le sexe ouvert et inondé dIsa.
Ma réaction fut immédiate mon sexe se remit à grossir et à reprendre sa forme dattaque
-Elle est en train de prendre son pied me chuchota Fany
-Elle adore se faire lécher la chatte.. Elle est capable de prendre son pied une multitude de fois
-Moi aussi jadore cela et jespère bien avoir ma récompense tout à lheure
-Jai envie de te sucer si tu savais ! Tu mas fait jouir comme un dingue !
-Jadore le goût de ton sperme coquin !
Pendant que nous nous recollions nos oreilles contre la porte à laffût du moindre bruit venant de lintérieur du bureau, je me mis à caresser les reins de Fany, puis à descendre sur ses fesses, passer entre elles, toucher légèrement son anus, puis menfoncer en elle de mon index au moment où elle se mit à mieux se cambrer. Puis en me courbant je passais ma main entre ses jambes à la recherche de son sexe que je trouvais inondé comme une fontaine secrète. Jintroduisis deux de mes doigts dans sa grotte intime les animant de petits va et vient.
Appréciant cette initiative elle écarta les jambes en position et déposa sur mes lèvres un baiser, comme une récompense.
-Alors ?
-Il lui fait lamour
-Jentends parfaitement Jean Marc souffler
-Dis donc il y va de bon cur !
-On entend son ventre battre contre les fesses dIsa
-Tu lentends elle ?
-Oui elle pousse des cris étouffés comme si elle était sous un oreiller !
-Non elle doit être la tête dans le fauteuil
-Il est en train de la sodomiser on dirait
écoutes ?
-Elle se fait prendre
tout simplement
-Shuuuutttt
-Non je connais Isa.. ; Quand elle pousse des petits cris comme cela cest que le mec est dans ses reins !
Je neus pas le temps de me recoller loreille contre la porte lorsque nous entendîmes nettement le feulement dIsabelle en plein orgasme et les ahanements de Jean Marc poussés dans son action de pilonnage des fesses de cette femme offerte à son rut de mâle en chaleur.
Isabelle se remit à jouir une deuxième fois au moment où Jean Marc dans un cri profond se vidait dans ses entrailles.
A ce moment Fany
excitée me prit par la main, se baissa pour ramasser ses chaussures et ses vêtements éparpillés dans le couloir et mentraîna avec elle
-Viens
je vais exploser
viens suis moi
Nous entrâmes dans leur chambre à coucher
-Viens me faire lamour me dit elle en plaquant sa bouche contre la mienne et en enfouissant sa langue à la recherche de ses pulsions. Elle jeta à même le fauteuil ses vêtements et les miens suivirent sur les siens. Elle coupa la lumière, ferma le verrou de la chambre et mentraîna vers le grand lit spacieux recouvert dune multitude doreillers.
Elle mattira sur elle, me faisant littéralement tomber. Nos bouches ne se quittaient plus, nos langues se cherchaient se suçaient, senroulaient,.
Elle me branlait avec plus de violence, elle avait faim damour et de sexe
cette passion des femmes qui nattendent que le mâle les prenne et les assouvisse
Je croyais être dans un rêve, bourré dérotisme le meilleur film érotique de ma vie
Javais une belle femme qui prenait son pied à côté avec un homme presque inconnu et jétais dans cette chambre avec une femme délicatement belle au corps des plus beaux tops modèles.
Je me dis que ce rêve était merveilleux et quil ne fallait pas quil sarrête. Alors comme un fou jembrassais ses seins, puis son ventre, jécartais ses cuisses devinant dans la pénombre de la chambre un sexe entièrement épilé. Jembrassais lintérieur de ses cuisses lui arrachant des gémissements de plaisir, je suçais ses doigts de pieds , pétrissais ses mollets puis je remontais vers le haut de ses jambes et après avoir respiré à pleines narines son odeur de femme transformée en femelle, langue tendue jentrais dans son sexe bouillant et détrempé
comme un petit phallus
ma langue entrait sortait, entrait sortait entrait sortait, écartait les lèvres de son sexe, suçait son clitoris tendu et affolé
.elle se mit à jouir
proche du hurlement
Puis je recommençais à lécher ses muqueuses brûlantes et inondées de sève secrète
Je savais ce que lon entendait par lexpression « une femme chaude ».
Mon sexe se frottait contre lédredon du lit comme si je lui faisais lamour
je ne me contrôlais plus
jétais devenu un sexe à moi tout seul et Fany aussi
Cétait cela faire lamour
et il ny avait pas dexpression de « baise » dans cela
javais une sainte horreur de ce mot
je nai jamais « baisé » une femme
pensais je
jaimais avant tout lui faire lamour, lui montrer et lui faire ressentir combien elle pouvait être femme
femme et encore femme
Jai toujours aimé les femmes..Pour leurs secrets..Pour les mystères qui entourent leur vie
je les aime lorsquelles savent se lâcher ou se relâcher et lorsquelles savent se donner.
Fany à présent me suppliait de la prendre, ses deux pieds posés sur le lit, elle balançait son bassin vers ma bouche, à la recherche du plaisir, de lextase
latteinte vers léternité quoffre la jouissance
elle explosa une nouvelle fois totalement dans ma bouche, secouée de spasmes en criant..
-Nonnnnn Nonnnnn Nonnnn
Alors je la pris par les genoux et écartant ses cuisses à nouveau, japprochais mon sexe vers le sien que je sentais ouvert à la pénétration. Je la pris par la taille et doucement je menfonçais en elle pour lui faire sentir le plaisir de la possession. Elle hoqueta dès quelle sentit senfoncer mon membre dans ses chairs brûlantes
Cette sensation que procure le sexe dune femme sur notre membre lors de la pénétration est inoubliable, enveloppant, presque sécurisant
la rencontre qui sait donner la vie.
Chaleur, douceur, humidité, odeur..effluves
bruissements
chuintements
claquement des bourses chargées contre les fesses, dont la séparation est noyée de liquide de la femme femelle offerte.
A cet instant présent avant que nos corps se donnent à coups de bassin
lextase est à son comble..Je reste immobile en elle
appréciant me délectant de toutes ses sensations éperdues
goûtant avec bonheur le plaisir à létat pur
celui que lon dit la possession.
-Nonnnnn NOnnnnn criait Fany
.prends moi prends moi, viens jouir dans moi
je suis à toi
je suis à toi.. Sa voix chavirait comme un chagrin
Elle nattendait à présent pour sassouvir, que loffrande de mon sexe à son sexe
de nos corps prêts à entrer dans la danse infernale de lamour
Faire lamour a vraiment sa vraie signification.. ; et lauréole dhumidité qui sécoule du sexe de cette femme sur lédredon et qui sagrandit
est la preuve de son immense plaisir.
Faire lamour est un moment divin.. le moment où lon accède à lunivers, à limmensité de linfini
il y a Dieu près de ceux qui font lamour me disait un sage un jour.
Mais avant dentrer dans cette danse particulière qui fait de la possession dun corps, latteinte à la volupté et à lextase, je me retrouvais à nouveau entre les jambes de Fany dans un tête à queue presque hystérique, où nos bouches navaient de cesse que de sucer, mordiller, lécher, gober, chacun de nos sexes. Je sentais Fany couler de chaque côté de ma bouche tant elle donnait son corps au plaisir. Je la sentais pomper mon gland avec ferveur, recherchant le goût de ma dernière jouissance
son vagin souvrait pour mieux libérer sa chaleur et son parfum suave. Nous avons joué lamour ainsi sans pudeur, sans retenue. Puis Fany se mit à 4 pattes sur le lit et moffrit sa croupe cambrée à mes ébats. Je ne pus me retenir enfouissant ma langue dans son anus et la pénétrant par à-coups. Je sentais son anus se relâcher et se préparer dans cette excitation à une pénétration dun membre calmant le feu qui naissait.
Puis jenfouissais ma bouche mon nez dans cette fontaine infernale
jen voulais encore et encore.
-Viens
viens en moi
fais moi jouir je ten supplie
viens
Alors la folie me reprenant dans mes entrailles, libre de toute conscience je plongeais mon sexe dans le sien qui se resserrait pour mieux lappréhender
je le ressortais pratiquement détrempé et je menfonçais dans ses entrailles, forçant à peine ce petit anneau, quelques poussées de mon bassin pour la remplir et je replongeais dans son sexe
cet échange fut interminable passant de son sexe à son anus de son anus à son sexe
Au moment où jallais à nouveau ressortir elle cria
-Nooooooooooooonnnn et agita plus fortement son bassin sous moi et je la sentis éclater dans un orgasme si fort que je restais planté en elle sans bouger.
-Prends moi, viens
.défonces moi
je ten prie..
La danse infernale recommença.. ; son sexe son anus son sexe son anus
nouveau spasme nouvel orgasme de Fany la tête dans un oreiller
Puis je sentis monter en moi, lannonce de ma jouissance et méclatais en spasmes entre ses reins. Je la tenais par les fesses écartées et laissais mon sperme sécouler totalement dans ses entrailles
Jétais à bout de souffle, couvert de transpiration mon ventre se vidait de façon interminable. Fany passa une main sous elle et me malaxa mes bourses.
-Wouahhhhh fit elle
quel pied ! Je suis heureuse de te connaître
mais doù es tu déjà ?
-Je te lai dit je suis originaire de lIle Maurice. Mon village sappelle Mont Choisy.
Je relâchais lemprise de ses fesses et doucement je retirais mon sexe de son petit puits encore animé de petites convulsions. Je me mis sur le côté regardant dans la pénombre Fany toujours dans la même position. Une déesse de lamour.
-Nous avions vraiment besoin de faire lamour.
-Oui, répondis je lexcitation était trop forte trop intense !. Je posais ma main sur ses fesses et pour me rendre compte de ce que javais pu lui offrir, jenfonçais simultanément un doigt dans son anus détendu et un doigt dans son sexe.. ; Deux sensations tout à fait différentes. Je sentais mon sperme qui sécoulait lentement de son petit trou pour aller rejoindre les lèvres ouvertes de son sexe, puis sétirer et tomber sur lédredon.
-Tu ma remplie me dit elle
je te sens couler !
-Jai joui merveilleusement.
-Viens reposons nous
Le calme était revenu
la tempête est passée.
-Que font ils ?
- Ils prennent une douche tu nentends pas
-Viens dormons un peu. Le temps adoucit les maux.
Je pris Fany dans mes bras après quelle ait disposé autour de nous ses oreillers
je sombrais heureux, repus dans un lourd sommeil
le Nirvana.. ; était ce cela ?
Lextase. Fany sendormit très vite sa main autour de mon sexe maintenant au repos ?
(Nos histoires avec Isabelle sont des histoires vraies, nous aimons lamour et le faire et cest un hommage, avec son autorisation que je vous en raconte les plus belles saveurs. Ecrivez nous si vous avez apprécié nos récits. Isabelle participe avec moi à ces rédactions et nous aimons nous retrouver autour de notre clavier et revivre fortement chacun de notre côte les vraies sensations qui nous conduisent au bonheur, celui daimer et dêtre aimé)
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