Première Sodomie
En ce mercredi après-midi, Aurélie retourne chez elle, et revient environ 3/4 d'heures après. Vers 17h30, Laure quitte le travail. Aurélie me passe alors un coup de fil.
- dis-moi, tu te sens prêt pour une petite partie de jambe en l'air ?
- et bien, ma foi, oui, pourquoi ?
- je ferme la porte et j'arrive, déshabille toi en attendant, ne garde que ton caleçon.
Je fais donc ce qu'Aurélie me demande, je mets mes habits dans un tas sur le fauteuil, mon caleçon toujours sur moi. Peu après Aurélie arrive.
Elle porte une robe en vinyl noire moulante, très décolleté (jusqu'en dessous de ses seins) et largement ajourée sur les cotés (avec de faux lacets sur toutes les parties découvertes. Aucun doute n'est laissé sur le fait qu'elle n'a pas de soutien gorge. (Sous sa robe, elle porte un string en résille). Elle a aussi des collants noirs en filet de poisson très large. Dans ses pieds, elle chausse une sorte de paires de rangers à talons aiguilles. De longs gants noirs en latex couvrent ses mains. Enfin, dans sa main, elle tient un gros sac de sport, qu'elle pose sur mon bureau.
Aurélie sort alors un collier de son sac, qu'elle me passe autour du cou, puis elle sort une laisse qu'elle vient fixer au collier. Elle me retire alors brusquement mon caleçon, puis elle sort alors un martinet de son sac, et commence à me caresser le sexe avec, avant de me frapper brutalement l'entrejambe avec les lanières, ce qui me fait pousser un cri de douleur
- hum....tu vas souffrir esclave...
Elle m'oblige ensuite à m'allonger par terre, en me tirant le sexe et les couilles, ce qui n'est vraiment pas agréable. Une fois allongé sur le ventre, Aurélie vient poser un pied sur mon dos, et je souffre en sentant la pointe de la chaussure sur mon dos, puis elle me fouette les fesses. Je pousse de nombreux cris qui ont l'air de satisfaire Aurélie, mais pas moi. Elle m'écarte alors les jambes, puis sans m'avertir et sans réfléchir insère brusquement la pointe du martinet dans mon anus, ce qui me fait pousser un nouveau cri de douleur.
Après avoir retiré le manche du martinet, elle me retourne, Puis me domine, en posant son pied gauche sur mon ventre et en appuyant de tout son poids. Chaque fois que je pousse un cri, Aurélie hurle de plaisir.
Elle me déplace un peu, me permettant partiellement de m'asseoir, mais une bonne partie du poids est sur ma tête. Soulevant légèrement sa jupe, elle vient simplement s'asseoir sur mon visage, puis croise ses jambes, son pied gauche posé sur mon ventre. Elle retire ensuite une cigarette de son sac, et un briquet, puis l'allume et fume lentement en étant assise sur mon visage. Je fais des efforts pour rester en position, et, j'ai un début d'érection en me rendant compte que son cul et son con ne sont séparés de moi que par un simple bout de tissu.
Après avoir fini sa clope, Aurélie se relève, me laissant enfin respirer, mais aussitôt dirige ses mains vers mes couilles qu'elle compresse douloureusement l'une contre l'autre au creux de ses mains. Je pousse un long cri de douleur, presque aussitôt couvert par des soupirs de plaisirs de ma partenaire.
Elle me fait ensuite me lever, et sort une ceinture muni d'un gode violet. Elle l'enfile sous sa jupe, se rapproche de moi et me donne un grand coup de genoux dans le sexe et les couilles, m'arrachant alors un cri de douleur et me coupant le souffle. Aurélie ne me permet pas de reprendre mon souffle, elle me relève et plaque sa jambe contre mes couilles, puis approche sa langue de mes tétons pour les lécher, puis les mordiller. Elle me mord plusieurs fois les tétons en mordant de plus en plus fort, m'arrachant finalement de nouveaux cris de douleurs, mais elle apprécie vraiment sa séance. Aurélie m'étrangle quelques instants, puis prend des menottes dans son sac qu'elle me passe aux poignets derrière mon dos.
Elle me retourne alors, puis m'oblige à me plier. De ses 2 mains gantées, elle m'écarte les fesses et insère brutalement son gode dans mon cul, me laissant pousser un nouveau cri de douleur.
Elle retire finalement le gode de mon cul, me fait me lever et me traîne vers le canapé. Détachant les menottes, elle m'allonge alors, sur le fauteuil, me tirant de manière à ce que mon arrière train soit relevé sur les reposes bras.
Elle insère ensuite à nouveau son gode dans mon cul et recommence à me ramoner, mais cette fois je suis face à elle et je la regarde me prendre. Elle commence doucement le temps de m'habi et je reprends du plaisir. Lors de mes premiers soupirs, sa main gauche vient saisir ma bite et la serrer fortement et ses mouvements de sodomie lui permettent de me branler partiellement en rythme. Je prends doublement mon pied, encouragée par les soupirs d'Aurélie après les miens. Elle lâche finalement ma bite, et je prends la relève en me masturbant devant elle pendant qu'elle accélère sa fréquence de pénétration. Nous prenons tous les deux du plaisir, et j'essaye de me branler au rythme ou elle me défonce. Elle m'écarte bien les jambes pour voir ce que je fais.
Soudain elle accélère brusquement, et j'ai du mal à suivre sa cadence mais je soupire de plus en plus de plaisir, tandis qu'elle même se concentre sur ma pénétration. Je pousse des râles plus sonores quand je me mets à éjaculer sur mon ventre, et Aurélie se retire définitivement de mon anus.
- Alors, tu as aimé ?
- Pas trop le début, mais la fin était délicieuse...
- tu peux donc rayer un des éléments de ta liste maintenant...et te nettoyer un peu.
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