Dérapages Contrôlés ( 2 )
Cest hier que jai eu cette aventure avec le fils du boulanger. Je suis seule mes grands-parents travaillent. Je décide donc daller faire un tour dans le patelin ! Et je rencontre le garçon dhier qui discute avec un copain. On sembrasse, il me présente. On parle un peu, et le copain trouve un prétexte pour nous quitter. Restée seule avec lui, nous marchons tranquillement côte à côte, parlant de choses sans importance. Chemin faisant, on passe devant le domicile de mes G- parents.
- Jai soif, pas toi ?
Je linvite à entrer pour boire quelque chose, car il fait chaud. On entre, on sinstalle dans la cuisine, il prend un jus dorange comme moi. On reste debout, il est un peu gêné de se trouver seul avec moi. Il est devant moi, je regarde la bosse qui apparaît dans son pantalon.
- Attends, jai quelque chose à te montrer !
Je vais dans ma chambre. Je sens quil est derrière moi, me suit en silence. Soudain je me retourne, il est là, bras le long du corps, interdit, mexamine de la tête aux pieds.
- Cest là que tu dors ?
Je décide de le provoquer. Je mapproche de lui, me frotte, lembrasse en cherchant sa langue, passe ma main dans son entrejambes, appuie sur les couilles. Je sens une bosse qui déforme de plus en plus son pantalon. Il me repousse
- Quest ce quy te prend, tes parents risquent darriver !
- Non, ça ne risque pas, ils sont au travail !
- Jai plus rien à faire chez toi, je men vais !
Il se retourne et se dirige vers la porte. Je latt par le bras, le retient.
- Pourquoi tu mas suivi dans ma chambre ?
- Je ne sais pas, par curiosité!
- Cest tout, ten est sur ? Je vois à la bosse de ton pantalon que cest parce que tu as envie de moi !
Je mavance, me colle contre lui, mais cette fois attaque directement la ceinture, puis la braguette. Il me repousse brutalement des deux mains.
- Fout moi la paix, javais soif, cest tout !
Mais jai eu le temps de déboutonner la ceinture, douvrir la braguette, le pantalon tombe à ses pieds, lentrave.
- De quoi as tu peur, je ne te plais pas ?
- Si, bien sûr !
Je reviens à la charge, me plaque contre lui, frotte mon ventre contre son sexe, met ma tête sur son épaule, dune main je comprime sa queue au travers du boxer. Il pose ses mains sur mes fesses, remonte ma jupe doucement, passe dessous. Il est sur ma peau, je nai pas mis de culotte. Il est surpris, jécarte les jambes, il passe sa main entre, la met sur ma vulve, lenserre, la caresse, je mouille.
- Tes toute mouillée !
- Cest parce que jai envie de toi !
Je le sens troublé par sa découverte, lécarte de moi, att la ceinture du boxer, tire vers le bas. Son sexe est tellement gonflé et raide que jai du mal à descendre le boxer, mais il finit par rejoindre le pantalon. Il a lair honteux de dévoiler son érection, cache sa bite avec sa main. Je lui dis :
- Approche-toi pour que jenlève ton tee-shirt !
Il se dégage de lentrave de ses vêtements, sapproche, me laisse faire, et le voilà à poil devant moi. Je descends mes mains le long de son corps, maccroupit devant lui, att la queue rouge et raide comme du bois, sert la tige derrière le gland violacé, le prend en bouche.
- Quest ce que tu fais ?
Je ne réponds pas, absorbe la bite en entier, aspire le gland, le suce avec douceur, passe la langue sur les couilles, les soupèse.
- Arrête, arrête, je vais gicler !
Je continue à le sucer. Je sens le gland gonfler, la tige se raidir. Soudain il matt par les cheveux, se cambre et menfonce sa queue en fond de gorge, ses mains bloquent ma tête. Il envoie tout par jets saccadés, cest épais, jétouffe, avale, déglutit, ça me coule sur le menton. Il me lâche la tête, recule:
- Tas eu c que tu voulais, jtavais prévenu ?
Je ne peux pas répondre, me relève, fonce au lavabo, recrache le surplus, me rince la bouche, lave le visage, soulage ma vessie, fait une petite toilette intime, me parfume un peu.
- Tu te promènes toujours sans culotte ?
- Bien sur que non.
- Jai envie de te voir nue !
- Déshabille-moi !
Il se lève, sapproche timidement, déboutonne mon chemisier, il est fébrile, ses mains tremblent. Le chemisier tombe au sol, la jupe suit. Je recule, me présente à lui dabord de face, puis de dos, me retourne, me penche un peu en avant, écarte les jambes, glisse ma main entre mes cuisses, enserre ma vulve, enfonce un doigt dans mon trou.
- Comment tu me trouves ?
- Tu es belle ! Enlève ta main ! Laisse moi voir !
Je mapproche de lui, lui prends la main, la plaque sur ma vulve. Il presse mes lèvres gonflées, introduit un doigt dans la fente, le glisse jusquà mon trou dans lequel il entre. Je vais prendre une serviette dans larmoire, létends sur le lit, mallonge dessus, écarte les cuisses. Il regarde ma toison, ne quitte pas mon sexe des yeux.
- Viens !
Il hésite puis sallonge à côté de moi, sappuie sur un coude, regarde mon bas ventre. Jai limpression que cest la première fois quil voit une chatte de près.
- Tas déjà fait lamour ? Touché le corps dune femme ?
- Non, hier cétait la première fois !
- Tu mas juste pénétré et lâché la purée tout de suite! Jappelle ça baiser, pas faire lamour !
- Je tai pourtant bien remplie !
- Aller, caresse mes seins, suce les bouts, tu vas voir comme cest bon, ils vont durcir !
Je suis excitée, je sens que je mouille, lui ne rebande pas, il vient de se vider dans ma bouche. Son sexe est à ma portée, je le caresse pendant quil couvre mon corps de baisers. Il descend de plus en plus vers ma chatte, fourre son nez dans ma toison. Je remonte les jambes, les écartent au max, cambre et relève le bassin, mexpose.
- Mets toi entre mes jambes !
Il passe par-dessus moi, se place à genoux entre mes cuisses, ouvre ma fente, mes grandes lèvres recouvertes de poils sont gonflées. Il a lair de faire des découvertes. Il glisse un doigt à lintérieur, sarrête à lentrée du vagin
- Ouvre-moi, mets deux doigts dans mon trou, fais les tourner !
Il entre ses doigts en entier, son pouce appuie sur mon clito. Un flot de mouille envahit ma fente
- Quest c qui tarrive ?
- Cest rien, continue, écarte bien les lèvres, enfonce bien tes doigts !
Il a comprit, les fait tourner dedans, les ressorts, tire sur les nymphes, remonte vers mon clitoris. Deux doigts le décalottent, il appuie sur le petit bouton rose qui émerge et durcit.
- Cest ça le clitoris ?
- Oui, caresse le petit bouton, dégage le bien !
Mon bas ventre se cambre, je pousse un cri. Il paraît étonné, recommence, insiste, le roule entre deux doigts, je ne tiens plus, couine de plus en plus fort. Je me redresse, relève la tête, regarde son sexe, il est de nouveau en érection, pointé vers moi. Jatt sa tête, tire, la fourre entre mes jambes, appuie sa bouche sur mon sexe.
- Vas-y, lèche-moi !
Il glisse sa langue au fond de ma fente, suce les nymphes, titille le clito du bout de la langue, aspire ma mouille, passe sa langue à lentrée du vagin.
- Viens, prends-moi !
Il se couche sur moi, je prends sa queue, lappuie sur mon clito, la glisse dans ma fente, elle se bloque devant mon trou. Il pousse, lentrée lubrifiée, déjà ouverte par ses doigts, se dilate, le gland passe sans peine, le reste suit, il est au fond de moi, sarrête, ne bouge plus. Pourvu quil ne lâche pas la purée tout de suite ! Je remue doucement le bassin, me cambre, je sens ses couilles frotter contre mon cul.
Le voilà parti, il commence de lents va et vient, sort, rentre, va de plus en plus loin en moi. Cest bon de le sentir à lintérieur de moi, je goûte ces instants magiques, jaccompagne chaque coup de bite. Il va de plus en plus vite, je sers mon vagin, emprisonne ses reins entre mes jambes pour bien le maintenir sur moi. Ses coups de queue sont de plus en plus rudes, il me lenfonce jusquaux couilles, je les sens taper contre mon cul, il me ramone terrible. La tension monte en moi, ma respiration saccélère, mon cur bat la chamade, je suis partie. Cest le nomment quil choisit pour menvoyer plusieurs giclées au fond du vagin, ressort, entre de nouveau, finit de se vider. Je crie
- Ouiiiiiiiii, vas-y, plus fort, encore Oh ouiiiiiiiiiiiii, jen veux !
Je me cambre, bloque sa queue au fond, défaille, jai chaud, retombe. Cest fort, quel orgasme. Cette fois il ma fait jouir. Il ne bouge plus, est là, aplati sur moi, récupère. Sa queue est toujours à lintérieur, je sers mon vagin pour bien la sentir, la garder en moi le plus longtemps possible. Je mets les bras sur son dos, je ne veux pas quil ressorte tout de suite.. La queue, toujours enfoncée jusquaux couilles, diminue, je sens le gland qui recule dans ma gaine, je contracte mes muscles du vagin, comprime le gland, relâche, recommence, je veux quil reste en moi.
Que se passe-t-il ? Je sens que le gland, augmente de volume. La tige gonfle et se raidit, sallonge. Je la sens qui se redresse.à lintérieur de moi Un soubresaut, le gland toujours en retrait, envoie une giclée au fond de ma gaine. Je nen reviens pas, il en a encore ! Il sort de moi, donne un coup de rein, entre sauvagement, se rue au fond de moi, ressort, recommence, il sacharne dans mon ventre. Voilà quil gicle de nouveau, cest pas possible, cest bon, cest chaud. Chaque coup de piston me fait crier de plus en plus fort :
- Ohhhhhh, Ahhhhhhhh, Ouiiiiiiiiiiii, défonce-moi !
Je perds la tête, jai limpression que mon cur sarrête, je respire difficilement, décolle, plane. Encore un orgasme, plus fort que celui de tout à lheure Il ma encore bien servi, je le repousse, sa bite quitte mon antre, le sperme coule dans ma fente, dans la raie des fesses, sur mes cuisses, sur la serviette tellement il y en a. Je me lève, sorts de la chambre, vais dans la salle deau, il me suit. Je minstalle sur les toilettes, ouvre largement les cuisses, écarte les bords de mon trou, vide mon vagin, en profite pour me soulager la vessie, messuie. Il me regarde, intéressé.
- Cest la première fois que tu vois une femme pisser ?
- Oui, moi aussi jai envie que tu me regardes.
Je me lève, lui laisse la place, le regarde viser la cuvette, le jet est un peu dispersé, il arrose un peu les bords. Puis il vient vers moi, me dit :
- Laisse moi te laver !
- Si ça te fait plaisir !
Je lui donne un gant de toilette, il le mouille, lenduit de savon, le passe entre mes cuisses, dans ma moule, le rince, recommence. Jai besoin de plusieurs passages tellement mon sexe est enduit de sperme, il en coule encore. Il messuie, saccroupit devant moi, mécarte bien les jambes, dégage mon clito, y passe sa langue, le suce, laspire, il bande. Ses lèvres tirent sur mes nymphes, sa langue va jusque dans mon trou. Je mouille, cest bon. Mais on a plus le temps, je le repousse :
- À moi maintenant, passe-moi ta queue, je vais la laver !
Il se met devant moi, je la prends en main, lenduit de savon, fait coulisser ma main sur sa queue, la lave soigneusement, la rince, lessuie. Voilà quil rebande, cest pas vrai. Je donne une tape dessus. Il me retourne brutalement, me plaque le buste sur le lavabo, passe ses jambes entre les miennes, les force à sécarter.
- Quest ce qui tprend ?
Je sais ce qui va se passer, je remue le cul, place ma fente à hauteur de sa bite, il la glisse dedans et dun coup de rein menfile. Il me burine sec, chaque coup est accompagné dun : Han, han, han. Jai chaud, je fatigue, donne un coup de cul, me dégage.
- On a plus le temps, ça fait deux heures quon baise, tu dois partir !
On retourne dans la chambre, on se rhabille, je vire la serviette au sale, ouvre en grand la fenêtre, la pièce a besoin dair. On repasse dans la cuisine, on crève de soif.
- Tu sais, javais un peu peur, je nai jamais baisé, je tai déçu ?
- Non, pas du tout, tu mas fais jouir deux fois.
- Je navais jamais fouillé un sexe de femme. Tous ces plis, ce petit bouton rose, la fente ! Ca a un drôle de goût !!.
- Tu apprends vite, jai mouillé terrible quand tu as introduit tes doigts puis fais bander mon clito ? Tu as goûté ma cyprine, taimes ça ?
- Non cest âcre! Et toi mon sperme, fallait pas me sucer !
- Je ne voulais pas que tu gicles en entrant dans moi, comme hier ! Les préliminaires, ça ta permis de connaître le sexe dune femme, et à moi, davoir vraiment envie de me faire sauter. Aller, mes grands-parents vont rentrer du boulot, faut pas rester là ! Quest ce que tu as fais de la culotte que jai laissée chez toi hier ?
- Je ne savais pas quoi en faire, elle était toute collante, je lai mise à la poubelle.
- Taurais pu la mettre dans un sac plastique et me la rendre !
- Je ne voulais pas que ma mère la trouve !
Je vais refermer la fenêtre, il retourne chez lui, les couilles bien vides. Je lembrasse sur la joue, lui dit :
- À demain, entre nous, pour une première fois, tu baises pas mal. Quest ce que tu mas mis ! Je sens quil en coule encore !
Il passe sa main sous ma jupe, touche ma vulve, elle est de nouveau collante.
- Remets une culotte, reste pas le cul nu ! Bye, bye !
Suite au prochain épisode !
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