Dérapages Presque Contrôlés ( 3 )
Le lendemain je pars à sa recherche, entre dans la boulangerie, achète du pain. La mère est au comptoir, son père au fournil, il vient de remonter du pain chaud. Je fais le tour, passe par derrière, grimpe à létage Je frappe discrètement à la porte de sa chambre. Pas de réponse, jouvre doucement, passe la tête, personne. Je redescends sans faire de bruit, rentre chez moi.
- Jamène du pain frais !
Je rentre dans ma chambre, bouquine, mallonge sur mon lit, repense à laprès midi dhier. Jai baisé sans capote, pas de risque de MST, il est puceau. Je préfère ne pas en utiliser, quand je suis sûr du cheval que ou qui me monte ! Le contact direct de la bite le long des parois du vagin est bien plus agréable que celui du caoutchouc. Sentir les jets de foutre qui me remplissent et se répandent dans mon ventre, cest mieux que de le récupérer dans le réservoir de la capote. Je mennuie un peu, remonte ma jupe, écarte ma culotte, menfile un doigt, cest bon mais ça ne vaut pas une bite ! Je décide de sortir, de me promener dans la campagne. Jarrive près dune ferme. Des champs autour des bâtiments, des vaches au large, à lécart un grand hangar plein de bottes de paille ou de fourrage. Il commence à pleuvoir, traverse le champ, cour vers le hangar. Je suis dessous, massois sur une botte de paille en attendant la fin de laverse. La pluie cesse aussi rapidement quelle est survenue. Jentends des bruits étranges, des gémissements, des petits cris du genre de ceux que jémets quand je baise. Je tends loreille, essaie de déterminer doù ça vient, longe les bottes de paille. Je trouve une sorte de tunnel très étroit qui senfonce entre deux murs de paille dau moins 3 m de haut. Je my engage, ça tourne à droite, je continue, encore un angle droit vers la gauche cette fois. Javance prudemment, les bruits se rapprochent, la curiosité lemporte, il faut que je sache ! Jarrive face à un espace libre dont le sol est recouvert dune grosse couverture marron.
- Quest ce que tu fous là, ça tintéresse ?
Dun coup il sort de la fille, fait un bond vers moi. Ma vue est attirée par un mandrin énorme, dressé, rouge, luisant de cyprine, supporté par une paire de roubignolles velues. Trop tard, cet instant dhésitation mest fatal. Jessaie de faire demi-tour pour menfuir, mais il matt par derrière à bras le corps, me soulève. Je pédale dans le vide, agite les bras, tente de me dégager, il est beaucoup plus costaud que moi, mes efforts sont inutiles, avec mon mètre soixante et mes 45 kg, je ne fais pas le poids.
- Non, laissez-moi !
- Arrête de gigoter comme ça !
Il me ramène près de la fille, je continue à magiter. Il lui dit :
- Enlève-lui sa culotte !
Elle passe les mains sous ma jupe, je me débats, tente de la repousser, mais elle réussit à attr lélastique de la culotte, tire, peine à me la retirer, la jette par-dessus les bottes de paille. Il me pose au sol, me tire en arrière, elle laide à me faire perdre léquilibre. Je me retrouve dos sur le sol, je me débats, il matt par les jambes, les relèves, jai le cul en lair, les épaules au sol, il dit à la fille :
- Mets-toi à califourchon sur elle !
Jessaie de len empêcher, la repousse, essaie de libérer mes jambes en pivotant sur les épaules, rien ny fait. La fille passe au-dessus de moi, sagenouille, me coince les bras, jai ses fesses sur ma poitrine, je la vois de dos.
- Calme-toi, reste tranquille !
Il vient sur le côté, bite en main, je vois lénorme gland dau moins 5 cm de diamètre, peut être plus, la tige un peu moins grosse, lensemble faisant au moins vingt cm de long, les burnes velues pendantes entre des cuisses énormes.
- Regarde bien, tout ça cest pour toi !
Il me reprend aux chevilles, dit à la fille :
- Remonte sa jupe !
Elle la remonte sur mon ventre, jai la chatte à lair. Je nen peux plus, je suis coincée, mattends au pire, je sais ce quil va se passer maintenant.
- Tas un beau cul, je vais tla mettre !
- Non, je ne veux pas !
- Veux ou pas, tu vas y avoir droit !
Je maintiens les jambes serrées, je résiste, tente de lui faire lâcher prise, je ne veux pas quil me pénètre, lengin est trop gros, trop long.
- Allez, écarte tes cuisses !
- Non, pas question !
Comme je refuse, il me les écarte sans ménagement, se place entre elles, passe ses bras dessous, soulève mon cul, appuie les mains au sol. La fille recule. Je peux voir son sexe de femme au-dessus de moi, ouvert, mouillé, jai envie dy introduire mes doigts, mais elle me tient les bras.
Pendant ce temps, il sallonge sur moi. Jai les pattes en lair, les jambes écartées au max, mon sexe est exposé, les lèvres sentrouvrent. Il place sa bite sur ma fente, lénorme gland louvre, glisse entre les nymphes, se bloque devant mon trou. Il pousse, je me contracte, remue le cul pour lui échapper, ça ne veut pas entrer, ne peut pas entrer, il me fait mal, le trou doit être trop petit, je nai pas envie, ne mouille pas. La fille me dit :
- Ne résiste pas, ça sert à rien, crois-moi. Il va te lenfiler !
- Pas possible, cest trop gros, ça ne peut pas rentrer !
- Cest dur à passer mais une fois à lintérieur, on shabitue !
Il se redresse, se met à genoux.
- Elle est ouverte, prends-lui les jambes, tire les bien en arrière, écarte les à fond, remonte son cul.
Elle me met dans la position demandée.
- Bien, ça devrait être bon ! Tiens la comme ça pendant que je lemmanche !
Il prend sa queue, écarte mes grandes lèvres, glisse son gland au fond de ma fente, avec son pouce appuie sur mon clito, je sens une décharge dans le bas ventre et, malgré la situation, un nouveau flot de mouille menvahit. Sa queue est devant mon trou, il pousse
- Aie, vous me faites mal !
- Détends-toi, ça va rentrer !
En effet lentrée, assouplie par les doigts, bien lubrifiée, e par le gland, se dilate. Il pousse plus fort, cest dur, ça résiste, mais le bout arrondi du gland senfonce, il va me déchirer, jen ai les larmes aux yeux, crie.
- Aie, aie, aie, non, jai trop mal !
Il me fait mal, cest vrai, mais le gland entre doucement, je le sens mouvrir, le muscle cède. Ca y est, le gland est passé et la bite avance inexorablement dans mon vagin, lélargit, je sens le gland progresser le long des parois. Le voilà au fond, il pousse encore plus fort.
- Aie, ouille, vous allez me défoncer !
- Jvais tla rentrer en entier !
- Cnest pas possible, elle est trop longue !
Jai chaud, ça me fait mal, ma gaine sétire, la queue senfonce dans mon ventre. Il pousse de plus en plus fort pour mintroduire sa bite jusquaux couilles, ça y est, je les sens contre mon cul. Je sers mes muscles du vagin, .comprime cette queue monstrueuse qui me donne envie de pisser. Maintenant quil est bien au fond de moi, il ne bouge plus, reste en position, attend que je laccepte en moi.
Voyant quil a réussi à me pénétrer, quil na plus besoin delle maintenant, la fille sest relevée puis sest allongée à côté de moi.
- Bon, tes calmée ? Jvais pouvoir y aller ?
Je cambre le bassin pour bien laccueillir, remonte mes cuisses, le cul, je nai plus mal, au contraire. Il nattendait que ce signal pour commencer un pilonnage intensif. Je gémis à chaque coup de bite, je mouille de plus en plus, je mhabitue à la dimension de cette queue qui me ramone, je me mets à laccompagner. Il va de plus en plus vite, soudain il se passe quelque chose en moi, je crie
- Ahaaaaaa, Oh oh ouiiiiiiiiiiiiiiii !
Je perds la tête, mon cur semballe, jhalète, crie encore plus fort, me cambre, jouit, retombe, jai chaud, je suis anéantie, ferme les yeux..
Il ma vu jouir, sort subitement de moi, il na pas éjaculé. Mon vagin se referme lentement, mes organes, horriblement distendus, reprennent doucement leur place, je ressens comme un grand vide dans mon ventre, il y manque quelque chose.
Il se relève, prends son énorme phallus dans la main, regarde la fille.
- À toi maintenant !
Elle se retourne, se met sur le ventre, écarte les cuisses, cambre les reins, relève haut le cul, le présente prêt à être emmanché.
- Tu peux venir, je suis prête !
Il se place entre ses jambes, ouvre la fente et y présente son énorme vit quil a toujours en main. Elle pousse un cri strident quand il senfourne direct dans le vagin. La bite disparaît dans son ventre du premier coup, elle couine à chaque va et vient du piston.
Il ma abandonné sur le sol, jupe remontée, ventre à lair, cuisses largement écartées, sexe ouvert, distendu, trempé. Je me relève vite fait, jai les jambes qui flageolent, rabaisse ma jupe, les regarde un instant. Ils sont soudés lun à lautre, elle suit la cadence, son cul va au devant des coups de butoir, elle crie de plus en plus fort. Il la pilonne hard.
Je nattends pas la suite, en profite pour me sauver pendant quil la burine. Il ma violée, cest vrai, mais, malgré tout, jai eu un orgasme très fort. Ca doit être dû à la dimension du membre qui ma ramoné. Jai pris un risque, je lai payé ! Ce qui est arrivé est de ma faute, je ne peux pas me plaindre, jai été trop curieuse, tant pis pour moi. Jarrive à lair libre, jentends un grand cri suivi dautres moins forts, la fille vient de jouir, cest évident. Heureusement quil ne sest pas vidé dans moi, mais après tout peut être que jaurais aimé sentir son foutre minonder.
Je rentre chez moi, mes grands-parents ne sont pas encore rentrés du boulot, je mallonge sur mon lit, repense à lénorme braquemart que je viens de me faire enfiler. Je nen ai jamais vu daussi gros, un gland super violacé dau moins 5 cm de diamètre, peut être plus, se détachant bien dune tige à peine moins grosse et très rouge, veinée, dure comme du bois, le tout faisant à peu près une bonne vingtaine de cm sans les couilles, un véritable gourdin. Et les roubignolles, quel paquet ! Je nai jamais vu de bite aussi importante et nen ai jamais eu, jusquà présent, daussi grosse et longue dans moi. Et dire que je viens de me faire ramoner par un tel goupillon, je nen reviens pas quun tel engin a pu me pénétrer et me faire autant de mal en entrant puis autant de bien en coulissant dans moi, den sentir le manque quand il ma quitté pour entrer dans lautre ! Jai limpression de le sentir encore en moi, que je suis encore ouverte, quil me manque quelque chose dans le ventre. Jai encore perdu une culotte, pas de chance.
Je vais dans la cuisine, ma grand-mère vient de rentrer et est en train de préparer le repas du soir.
- Quas tu fais cet après-midi ?
- Je me suis promenée dans les champs. Il est tombé une averse, heureusement jétais à proximité dune ferme. Il y a un grand hangar plein de bottes de paille, je me suis mise à labri.
- Ah, oui la ferme des
. . Petite exploitation, travaillent dur, gagnent peu. Il y a le père et la mère, la soixantaine, proprios, le fils, un costaud, la quarantaine, et sa femme 38 ans je crois. Ils ont un gamin de 10/12 ans et ont avec eux une nièce qui doit avoir dans les 18 ans et qui leur donne un sérieux coup de main. Une belle jeune femme ma foi, ressemble pas à une fille de ferme, mais ?
Je ne dis rien, mais je pense que cest elle qui se faisait sauter par son oncle tout à lheure, avant et après que celui ci me baise ! Je comprends pourquoi ils ont choisi le hangar, loin de la ferme, personne ne peut lentendre, car cette fille, vraiment belle par ailleurs, un peu plus grande et légèrement plus étoffée que moi, est plutôt bruyante quand elle baise.
Mes vacances continuent, il me reste encore une bonne semaine, donc à suivre...
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