Dérapages Non Contrôlés ( 4 )
Le lendemain après midi, je me promène de nouveau dans le village, je ne connais personne. Je retournerais bien vers le hangar, mais je nose pas.
La boulangerie ferme pendant lheure du midi, je ne peux quand même pas aller voir sil est dans sa chambre.
Je suis à la sortie du village, décidée à aller faire de nouveau un tour dans la campagne. Soudain je tombe nez à nez avec le copain. Il est surpris autant que moi, Je lui demande :
- Tas pas vu le fils du boulanger ?
- Non, je nsais pas où il est, je ne lai pas vu aujourdhui.
- Pas grave, jvais me promener seule, il fait beau.
- Jpeux taccompagner ?
- Si ça te fait plaisir !
Et nous voilà partis, on marche côte à côte, en silence. Je sens quil a envie de me demander quelque chose. Effectivement !
- Mon copain ma raconté ce que vous avez fait ensemble !
- Ah, et tu las cru ?
- Oui, moi aussi jaimerais te voir nue, il paraît que tu es très belle !
- Voyez-vous ça, tu ne manques pas de toupet ! Quest ce qui te fait croire que jai envie de me foutre à poil devant toi !
- Tu las bien fait pour lui, je suis son copain.
- Et alors ! On na rien fait du tout, il sest vanté. On est juste rentré chez moi pour boire un jus de fruits.
- Pourtant il ma dit que tu lavais fait rentrer dans ta chambre et que tu tétais déshabillée entièrement devant lui !
- Ca ne va pas la tête ! Ninsiste pas, cest non ! Tes trop jeune !
On continu la ballade, je le sens gêné, il ne dit plus rien, jai repoussé sa proposition, il est déçu. Je lexamine dun peu plus près, finalement il est beau gosse, un peu jeune, peut être bien que je peux me le faire, après tout pourquoi pas. Mais ma réputation risque den prendre un coup. Lautre lui en a déjà parlé. Je ne sais pas ce quil lui a raconté. Je dois passer pour une fille facile ! Je vois le hangar au loin.
- Tu as quel âge ?
- Heu, 15, presque 15 et demi
- Tu as déjà vue une femme nue, je veux dire en vrai, devant toi ?
- Non! jsais pas comment my prendre avec les filles, ma copine ne veut pas se mettre nue devant moi, elle se laisse caresser, cest tout.
- Tu lui as demandé de se foutre à poil, comme ça, direct, comme tu viens de le faire avec moi ? Ce nest pas étonnant quelle a refusé !
- Non, on se promenait. On sest allongé dans les blés. On ne pouvait pas nous voir. On sest embrassés, jai passé ma main sous son tee-shirt, caressé ses seins. Elle na pas voulu que je la passe dans son sous tif. Alors jai essayé dans le jean. Elle ma laissé louvrir, passer ma main sur sa culotte entre ses jambes. Jai voulu écarter les bords pour caresser son sexe, elle sest relevée tout dun coup, ma dit : Non tu vas trop loin ! Je lui ai dit : Laisse moi te déshabiller, tu es belle, je voudrais te voir toute nue ! Laisse moi toucher tes seins, ta chatte ! Elle ma répondu : Pas question, aller, on vire de là de là ! Demande ça à une autre !
- Et cette autre cest moi, tes gonflé quand même ! Tes un peu jeune pour ça, mais après tout, tu mes sympathique. Viens, je connais un endroit tranquille, je vais juste te montrer comment une femme est faite, mais pas touche, juste voir, jure-moi que tu ne diras rien à personne.
- Oui, je jure ! Tu veux bien faire ça pour moi ?
Et je lentraîne à travers champs. On arrive près du hangar, jinspecte les alentours, déserts, pas de bruit dans la paille, je crois quon peut sy aventurer. Pourvu que personne ne vienne, je tente la chance, sinon je risque encore de me faire emmancher, mais cette fois devant ce gamin !.
- Viens, suis-moi sans faire de bruit.
Je mengage dans le passage, il est derrière moi. On arrive dans lespace libre entre les bottes de paille.
- Comment tu connais cet endroit ?
- Je lai découvert par hasard en voulant me protéger de laverse, lautre jour. Bon, ne bouge pas, je vais te montrer ce que tu veux savoir.
Je méloigne de lui, tourne autour de lui, prends des poses, il reste là, bouche bée, a lair de tomber des nues.
- Enlève ton tee-shirt !
Il me regarde, étonné, ouvre de grands yeux, semble navoir pas compris.
- Alors, ça vient ! On ne va pas coucher là ! Enlève aussi ton jean !
- Cest pas ce qui est convenu, tas accepter de me montrer, cest moi qui a envie de te voir nue !
- Et alors, je ne vais pas me foutre à poil devant toi si tu restes habillé !
Il hésite, réfléchi, pèse le pour et le contre, ça doit lui sembler logique, sexécute, je sens sa gène, il ne sattendait pas à ça. Il se retrouve en boxer. Je lexamine, manifestement il bande, vu la déformation du tissus. Je crois que si je veux en tirer quelque chose, je vais devoir le vider avant de lintroduire en moi. Je noublie pas quil est puceau, donc chargé à bloc ! Décidément, je vais me taper tous les puceaux du village, si ça continu !
- Approche-toi !
Je le regarde, il est rouge de confusion, figé, interdit, cloué au sol.
- Tu veux me voir nue, oui ou non ?
- Oui, jai envie ! Tas promis de te déshabiller !
- Alors fait ce que je te dis ! Ensuite je tiendrais ma promesse !
Je viens sur lui, me colle à lui et en même temps mets ma main sur son sexe, le sert. Il recule, tremble, essaie de repousser ma main.
- Touche pas à ma queue, on a pas convenu !
Je ne lâche pas ma prise, de lautre main écarte lélastique du boxer, passe une main dedans, att la queue, la caresse, astique le gland. Je le sens paniqué, je mapplique, le branle, ma main glisse le long de la hampe, comprime et caresse le gland, titille le méat, il se laisse faire, émet de petits grognements. Ce nest pas long, la bite se redresse, je sers le gland, il gicle dans ma main, sur lui. Jenlève ma main, lessuie sur son ventre, sur le boxer, ça sent le foutre, il en avait une bonne réserve. Il me regarde, confus.
- Pourquoi tu mas branlé ? Regarde, jen ai plein sur moi !
- Pour te faire du bien, ten avais envie, je tai calmé, taurais pas pu résister devant une femme nue. Maintenant déboutonne mon corsage !
Ses mains tremblent, il sattaque aux boutons, mais arrivé à la moitié, il louvre, mes seins sont nus, il sen occupe aussitôt.
- Javais dit pas touche, juste regarder, enlève-moi le chemisier et la jupe ! Ca suffira pour aujourdhui, ten aura assez vu !
Je me retrouve la poitrine à lair. Il reste interdit, ne bouge plus. Je regarde le boxer, manifestement je lui fais de leffet !
- Alors, cest pour aujourdhui ou pour demain, quest ce que tu attends, tu veux voir ma chatte ?
Il dégrafe ma jupe, elle tombe à mes pieds. Reste ma culotte. Il tire sur lélastique, veut la faire descendre
- Non, attends un peu. Enlève ton boxer ! Montre-moi ta queue !
- Non, tu mas déjà branlé, je tai laissé faire, à toi de me montrer ta chatte !
- Daccord, je vais te la montrer puisque cest surtout elle qui tintéresse! Mais avant, approche-toi !
Il enlève le jean qui lui entrave les pieds, se rapproche de moi. Avant quil ne réagisse, je descends le boxer, la bite jaillit comme un diable hors de sa boîte. Elle est de taille très moyenne, le gland est bien marqué, les couilles pas très grosses.( au jugé il est monté en 3,5 x 14 ) Il est rouge jusquaux oreilles, il bande dur. Il essaie de cacher son sexe avec ses mains.
- Pourquoi tu te caches ? Je viens de te branler et je sais ce quest une bite en érection. Aller, laisse moi la voir !
Je le fais se retourner, jadmire son petit cul, donne une tape dessus. Il est pas mal comme mec, je ne suis pas en manque, loin de là, mais il me plaît !
Il se tourne vers moi, simpatiente car soudain il senhardit, ses mains attnt ma culotte, la baisse sans hésiter. Surprise par sa réaction, je le laisse faire, la culotte tombe à mes pieds. Il fixe ma toison, colle sa main entre mes jambes et sans hésiter entre un doigt dans ma fente.
- Tes toute mouillée ! Cest vrai que tu es belle, mon copain ne ma pas menti !
- Tas eu ce que tu voulais, touché un sexe de femme, tas même mis un doigt dedans, cest plus que ce quon avait dit, rhabille toi, on sen va.
Il a lair déçu, ses yeux ne quittent pas mon bas ventre. Soudain il se colle à moi, prend mes tétons en bouche, pétrit mes seins. Ils deviennent durs, mes tétons sérigent, ma respiration saccélère, je mouille, je sens que je suis foutue, jai de plus en plus envie de lui. Je prends sa queue, elle est raide, dure comme du bois, je caresse le gland, passe ma main tout au long de la tige. Jai chaud, mon cur semballe, je me laisse tomber sur le sol, mallonge, écarte les cuisses en grand. Il est surpris par mon attitude, nen revient pas, na pas lair de comprendre que cest le moment tant attendu.
- Mets-toi à genoux entre mes cuisses, ouvre ma vulve avec tes doigts. Tu veux savoir, regarder à lintérieur ! Tu peux toucher pour mieux voir.
Il ouvre mes lèvres poilues, découvre les replis qui cachent le clito, écarte les nymphes, glisse son doigt jusquà mon trou, lentre dedans, le ressort, revient sur le clito, le fait rouler entre deux doigts, le décalotte, il bande, sort de sa gaine.
- Caresse mon clitoris, oui, comme ça, sort bien le petit bouton rose! Passe le bout de ta langue dessus !
Sous son action, je cambre le bassin, remue le cul, pousse des petits cris de plaisir, gémis. Un flot de mouille envahit ma fente.
- Quest ce qui tarrive, tu pisses ?
- Non, je mouille, cest pour lubrifier mon vagin. Glisse deux doigts dedans pour mouvrir, fait les tourner.
Il me les enfile, les ressorts. Je me redresse, latt pas la queue, tire, il saplatit sur moi. Je guide la bite devant mon trou, mais là, au moment où je la lâche, il donne un coup de rein et senfonce dun seul coup jusquau plus profond de moi. Surprise, je pousse un cri. Il commence alors de lents va et vient, entre, ressort, va de plus en plus vite, de plus en plus loin dans moi. Je laccompagne, il memmanche jusquaux couilles, a lair dy prendre goût. Soudain je sens que je suis partie. Ma respiration devient haletante, mon cur chavire, je perds le tête, menvole, plane, je change de planète, suis sur un petit nuage, crie :
- Ohohohoouiiiiiiiiiiiiiiii
Je jouis et en même temps la queue, à larrêt au fond de mon vagin, se contracte et à chaque soubresaut menvoie une giclé de foutre, me remplit, cest bon, cest chaud, je transpire, reviens doucement sur terre.
Il reste immobile sur moi, lui aussi récupère. Sa queue ressort lentement, la voilà dehors. Cest sa première baise, ses premières giclées dans une femme, pas trop mal réussi. Il ne lui reste plus quà mettre son savoir au service de sa copine ! Je le repousse, on se relève, du sperme sort de mon vagin, coule le long de mes cuisses. Je prends ma culotte, la remet, me rhabille, lui en fait autant. On sort du hangar, je jette un regard aux alentours, rien en vue. Je passe derrière le hangar, maccroupi, relève ma jupe, écarte ma culotte, vide ma vessie, mon vagin. Il ma suivi, me regarde pisser.
- Tas jamais vu une femme pisser ?
- Non bien sûr, elles le font toujours en cachette ! Pas comme nous !
On regagne la route, il entame la conversation :
- Quest ce qui fait que tu as osé me demander de me mettre à poil ?.
- Javais peur au début, je voulais juste voir. Je nosais pas te demander de peur que refuses et que tu te moques de moi !
- Je ne sais pas pourquoi jai accepté que tu me vois nue, je voulais juste te faire plaisir en te montrant comment une femme est faite, enfin pas plus que ce que tu mas demandé. Je navais pas envie que tu me touches !
- Quand tu tes allongée et que tu as ouvert tes cuisses, je croyais que tu voulais juste me montrer ta fente. Seulement tu mas dit de magenouiller entre elles et douvrir ta vulve. Tu mas dit de mettre mes doigts à lintérieur de ton sexe. Je me suis souvenu de ce que les copains mont dit : quand la fille écarte les cuisses, ça veut dire quon peut sallonger dessus, ouvrir les lèvres, glisser la queue dans la fente. Elle se bloque devant lentrée du vagin, ensuite on pousse, ça souvre et on entre dedans. On en parle beaucoup entre nous au lycée. Surtout ceux qui ont une petite amie, ils racontent ce quils font ensemble. Quelques fois ils se vident dans la fille, ou dehors sur son ventre quand elle ne veut pas ! Toi tas bien voulu dedans.
- Dhabitude une fille ne se montre pas comme ça à un mec. Cest à lui de savoir ce quil faut faire pour quelle mouille. Jespère que tu as bien vu mon sexe en détail. Tu nauras certainement pas dautres occasions den voir un de si tôt ! Tu ne tes pas mal débrouillé pour une première fois.
- Pourquoi tu mas fait venir dans ta main, tu me voulais dans toi, taurais pu attendre.
- Jai vu que tu bandais. Alors je me suis dit : si jamais on va plus loin, il ne faut pas quil vienne en entrant !
Je tai promis de te montrer mon sexe, rien de plus, mais jai eu envie de toi quand tu as touché mon clitoris, que tu las excité au point de me faire mouiller, mis tes doigts dans mon trou pour louvrir. À ce moment là seulement jai voulu tavoir en moi. Une femme, il ne faut pas la brusquer, il faut la caresser, la mettre en condition, attendre son signal, il faut quelle souvre, mouille. Cest elle qui se donne, pas le mec qui la prend ! Cest pas comme un mec, lui bande tout de suite, ne pense qua enfiler sa queue dans la femme, vider ses couilles dès quil est dedans. Le mec doit pouvoir faire des va et vient à lintérieur du vagin jusquà ce que la fille le contracte et se cambre, respire plus vite, il doit sentir quand elle est prête à jouir ! Cest le moment pour lui denvoyer ses jets de foutre au fond delle ! Cest ce qui sest passé avec toi. Aujourdhui. Et tu as pu attendre que jaie un orgasme parce que je tai vidé une première fois bien avant que tu nentres en moi. Aujourdhui, pour la première fois, tu as connu la douceur dun vagin, pénétré à lintérieur du ventre dune femme, il ten reste encore beaucoup à découvrir pour la faire jouir.
- Je tai demandé de voir ton sexe, tu me las montré, je ny croyais pas en te demandant ça. Tu as fait encore mieux puisque tu mas permis de te baiser. Cest sensas, jaime. Tu voudras bien quon recommence ?
- Peut-être. Tu es le premier garçon auquel je permets de voir et de fouiller mon sexe comme tu las fait.
On arrive devant chez lui, je le quitte
- Aller, salut, surtout tu mas juré, tu connais pas le hangar, tas pas vu mon corps, on a pas baisé, juste promené, daccord ? Gardes ça pour toi !
- Bye, à plus !
Je rentre chez moi, jai besoin dune douche, ma culotte me colle au cul, du foutre me coule encore le long des cuisses. Ces puceaux, même en prenant la précaution de les vider avant la baise, il leur en reste toujours assez pour men flanquer une double dose ! Je dois aussi laver ma culotte, elle est collante de sperme et je ne veux pas que ma grand-mère sen aperçoive. Je suis convaincu que ce jeune mâle ne saura pas garder sa langue, il sera trop fier de pouvoir raconter ça à ses copains, je ne me fais aucune illusion là dessus !
Quelles vacances, jy vais tant et plus, lisez la suite
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