Dérapage Non Contrôlé ( Suite 5)
On est samedi après midi, je vais en ville avec ma grand-mère. Cette semaine a été riche en coups de bites, cest plus quavec mon copain, jai essayé trois queues, dont une qui ma fait, en entrant, plus de mal que celle qui ma fait sauter la pastille ! On est dans le centre commercial. Soudain je crois reconnaître la fille qui baisait dans le hangar. Elle passe devant nous, accompagnée dune femme plus âgée et dun garçonnet. Elle ma vu, pas de doute, mais a fait semblant ne pas me connaître. Et dire que je lai vu à poil en train de se faire baiser.
Ma grand-mère me dit :
- On vient de croiser la fermière et sa nièce !
- Ah bon
Mine de rien je regarde la fermière. Cest une belle femme, je pense à son mec qui la trompe avec cette jeunette, là je ne pige pas, elle est plus belle.
On fait nos courses, jen profite pour me racheter des culottes, parce quau train où ça va, je vais devoir me trimballer le cul nu ! Puis je vais au cinéma, je rentrerais par le car du soir. Ma grand-mère est daccord.
La semaine suivante je suis de nouveau seule toute la journée. Je reste à la maison, lit, regarde la télé, vais me promener, prends le car, je vais en ville, ne rencontre personne. Je commence à franchement mennuyer. Je me sens seule pendant la journée. Je mets un jean et un tee-shirt léger, il fait chaud.
Je pars faire un tour dans la campagne, ne rencontre personne. Je vois le paysan au loin, il est sur son tracteur et regroupe des meules au bord de la route. Je continue mon chemin, passe à côté, lui cri :
- Bonjour !
- Salut, quest ce tu fais par ici ?
- Je me promène
- Tes déjà montée sur un tracteur ?
- Non !
- Viens, jtemmène faire un tour ! On va chercher du fourrage !
- Cnest pas de la paille ?
- Bon ! Alors tu viens ?
Je passe dans le champ, je crois que je prends un risque, mais il est au boulot et ça va mamuser de faire un tour sur cet engin ! Je grimpe à côté de lui, le tracteur, conçu pour mettre des bottes en tas, a un toit ren, mais les portes ont été enlevées parce quil fait chaud.
Il est torse nu, en short, recommence à bosser. Les vibrations du tracteur me fond un drôle deffet dans le bas ventre, je crois que je mouille un peu ma culotte. Je me souviens soudain que jai eu mal quand il me la mise, je ne tiens pas à renouveler lexpérience. Il ma parce que jai interrompu sa baise, jétais loccasion, il a sauté dessus. Nimporte qui en aurait fait autant. Dailleurs il ne sintéresse pas à moi, continue son boulot, et mon jean me préserve, je suis moins sexy quen jupe et la situation nest pas du tout la même.
Ca fait bien une heure quil travaille, il ne dit mot, ne sintéresse pas à moi. Il me dit :
- Jen ai marre, je rentre, jai une de ces soifs !
- Moi aussi, il fait chaud là dessus !
Il se dirige vers la ferme. Avant dentrer dans la cour, je lui dis :
- Laissez moi ici, je vais rentrer chez moi, merci !
Il ne répond pas, on arrive dans la cour de la ferme il arrête le tracteur, descend.
- Suis moi, on va boire un coup, ensuite je reprends le boulot, toi tu fais ce que tu veux !
- Ok, je viens.
On entre dans la ferme, il va dans la cuisine, je le suis. Elle est grande, fait toute la largeur de la maison
- Y a personne là dedans, y sont tous barrés, merde y a qumoi qui bosse ! Jen ai marre ! Quest cque tu veux boire ?
- Ne vous dérangez pas pour moi, de leau ça me suffit
- Traverse le couloir dentrée, va dans le salon, installe toi sur le canapé, jarrive.
Il me ramène un coca bien frais, a pris une bière pour lui. Il sinstalle dans un fauteuil.
- Dites donc, la maison est grande. Les chambres sont en haut ?
- Oui, tu veux visiter. ? Tu vois, ces portes donnent dans chacune des chambres des parents, ils sont vieux et ont du mal à monter à létage. Et à côté il y a la salle de bain et les toilettes, en partie sous lescalier. Tu es en vacances dans le coin ?
- Oui, chez mes grands parents
- Tas quel âge ?
- Presque 18, pourquoi ? (Je sais pas pourquoi mais je me vieillis dun an )
- Jme doutais que tétais une jeunette ! Jte croyais bien plus jeune que ça ! Pas habituée à la campagne, ça se voit.
La conversation part sur un sujet dangereux. Il faut que jen change, il y a risque de dérive et je ny tiens pas. Je regarde le short, je crois quil bande.
- Un peu plus de deux ans, pourquoi ? Vous savez bien que je ne suis plus vierge ! Vous me faites visiter la maison ?
- Oui, viens, jte fais visiter et ensuite je retourne au boulot.
Je me lève, je le suis. Face à lentrée, lescalier. De part et dautre la cuisine et le salon Il passe devant moi, on arrive sur un palier, en face, une salle deau, des toilettes, à gauche un couloir, quatre chambres, deux de part et dautre du couloir. À droite une porte donnant dans la grange.
- Jpeux utiliser les toilettes ?
- Bien sur !
Je me soulage, il y a une douche, lavabo, bidet, jen profite pour me faire un petit rinçage intime. Je reviens sur le palier, il mattend. Il ouvre la porte de la grange, je passe devant lui, reste dans lencadrement de la porte.
- Tu vois, ici on est au dessus de la cuisine, plus loin on est au dessus des anciennes étables, maintenant cest le garage des voitures.
- Cest immense. Il reste un espace entre chaque planche qui forme les murs, pourquoi ?
- Cest pour laération de la grange quand on y mettait du fourrage, maintenant ma femme y étend son linge comme tu peux le voir, et là, sur la table, elle le repasse.
En effet, sur des fils à linge il y a des draps et toute une lessive qui sèche. Sur le côté, une grande table style rustique recouverte dune couverture repliée en plusieurs épaisseurs, et un fer à repasser. Il y a aussi deux chaises ordinaires. Il est derrière moi, me pousse dans la grange en me prenant aux hanches, il se colle à moi, je sens une énorme bosse contre mon dos. Alors que je ne my attend pas, il passe un bras sur ma poitrine, glisse la main sous mon tee-shirt, me sert contre lui, la plaque sur mon sein, le pétrit.
- Tu ne portes pas de soutien gorge ? Enlève ton tee-shirt, je veux caresser tes seins !
Je suis surprise par la rapidité de lattaque, je nai pas le temps de réagir, lautre main dégrafe mon jean. Il tombe à mes pieds, et la main sinsinue dans ma culotte. La voilà sur ma chatte, son pouce appuie sur mon clito alors quun doigt tourne dans lentrée de mon vagin. Je sens que je mouille terrible ! Jusquà présent tout se passait bien, je nai rien vu venir. De toute façon dès cet instant je sais que je suis foutue, il a une stature de rugbyman, une queue en rapport avec sa musculature, ça ne sert à rien de lui résister, jen ai déjà fait lexpérience dans le hangar à paille. Je préfère éviter quil me la rentre de force, comme cest parti je vais y avoir droit. Je me suis encore fourré dans une situation pas possible. Le mieux cest de gagner du temps pour lui échapper, mais son énorme engin appuyé au bas de mes reins me fait envie.
- Laissez moi tranquille, il est tard, je dois rentrer chez moi avant que mes grands-parents reviennent du boulot !
Il me retourne, att mon tee-shirt, je me défends, il le passe par dessus ma tête, jai la poitrine à lair. Il admire
- Dis donc, tu as vraiment de jolis petits seins !
Il se met à les caresser, les pétrit, suce les tétons, ma poitrine durcit, un flot de mouille envahit ma fente. Il descend ma culotte, le tout est à mes pieds, je les dégage. Cette fois je suis nue, il recule, admire mon corps, ma chatte, revient, y plaque la main, ouvre la fente, enfonce un doigt dans le trou.
- Je navais pas vu que tu étais aussi belle, lautre jour tes restée habillée. Dis donc, tes trempée, approche toi, jvais tla mettre !
- Non, pas tout de suite ! Ouvrez moi dabord, jveux pas avoir mal, votre queue est tellement longue et grosse !
Il me soulève, massoie au bord de la table, jécarte mes cuisses en grand. Il ouvre mes lèvres, y colle sa bouche, aspire mon clito, agasse le bouton, le suce.
Il labandonne, menfile dabord un doigt dans le vagin, le sort, en met un deuxième, force un peu pour écarter les bords du trou, y ajoute un troisième, les fait tourner, les enfonce en entier, les retire, recommence, me dilate lentrée. Je nai jamais mouillé autant, une vraie fontaine. Ma respiration est rapide, mon cur bat la chamade, je ne tiens plus, je suis partie, il me la faut dans moi !
- Venez, je suis prête, prenez moi !
Il enlève son short, quitte le slip, lengin monstrueux se dévoile à ma vue. Jai peur, je vais avoir mal, je le sens, il est beaucoup trop gros, même agrandi par ses doigts, ça ne va pas rentrer facile. Il se place devant lorifice du vagin, me relève un peu le cul, pousse :
- Allez y doucement, forcez pas, faut que ça entre en douceur !
Je mouvre, il pousse plus fort, le bout arrondi du gland pénètre.
- Aie ! Cest trop gros, ça me fait mal !
Le muscle cède, ouf ! la collerette du gland vient de franchir lobstacle, ça y est il est dedans, il pousse plus fort, le gland dilate ma gaine, la queue progresse, il est au fond de moi. Jai chaud, javais tellement envie de lui quil na pas eu beaucoup de difficultés pour me pénétrer, je me suis ouverte facilement. Il commence de lents va et vient et à chaque fois quil est au fond, sarrête, pousse plus fort, sengage à chaque fois un peu plus profondément en moi. Jaccompagne ses coups de butoir par des mouvements du bassin.
Oh là là, ça y est, ses couilles touchent mon cul, il est entré en entier, mon ventre est comblé.
Il me redresse, tire, me prend sous les fesses, quitte la table. Je maccroche à son cou, il est debout, jai sa bite toujours en moi, je passe mes jambes sur ses hanches. Il me tient sous les fesses, me fait monter et descendre sur son pieu, donne des coups de reins sauvages pour mieux sencastrer. Je commence à pousser de petits cris, je ne vais pas tarder à venir. Il sassoie sur la chaise, il est toujours en moi, ne ma pas quitté depuis quil ma pénétré. Face à lui, cuisses largement ouvertes, je monte et descend sur ce mandrin qui me comble le ventre. Je pose les pieds au sol, me débranche, change de position, lui tourne le dos, memmanche de nouveau sur la bite dressée à la verticale, et la chevauchée recommence. Il se lève et sans sortir de moi, me soulève, memmène au bord de la table, me dépose dessus, et cette fois mallonge le dos sur la table. Il grimpe sur la table, jouvre les cuisses en grand pour laccueillir de nouveau, il me monte dessus, senfourne, me burine dur, accélère ses va et vient. Soudain il se bloque au fond de moi. Je sens que cette fois je suis partie, cambre mon bassin, pousse un long cri :
- Ho là Haaaaoui ! oui ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Il met la main sur ma bouche pour mes cris de jouissance. Je sens que le gland enfle, la bite se contracte et envoie des jets de foutre par saccade au fond de moi, chaque jet me fait chavirer. Je ne suis plus là, retombe, défaille, je nen peux plus, abandonne, ferme les yeux. Quel orgasme ! Jen ai rarement eu daussi fort. Il reste sur moi, dans moi, finit de se vider.
Comme dans un rêve, jentends le bruit dune voiture qui roule dans la cour. Des portières claquent. Lui aussi a entendu. Il me quitte, le sperme coule dans ma fente, il remet slip et short en vitesse, me dit tout bas :
- Grouille toi, rhabille toi vite fait et file par la porte au fond. Fait pas de bruit ! Ca descend jusque dans le champ, passe derrière les bâtiments, ne te fait pas voir, moi je passe me laver la queue avant de les rejoindre. Si ça ta plu, demain trois heures au hangar.
- Quest ce que vous mavez mis, ça me coule le long des cuisses !
Je fais ce quil me dit, enfile culotte, jean et tee-shirt en vitesse, file. Je suis dehors, ouf !
Mais le foutre coule hors de mon vagin, mouille ma culotte et lentrejambe de mon jean, je crois que ça se voit, il men a lâché une sacrée dose, il faut que je rentre chez moi vite fait, pour me laver, me changer. Comment je vais pouvoir cacher ça ?
Manque de pot, quand jarrive ma grand mère est déjà là. Jentre vite fait, file dans ma chambre.
- Quest ce qui tarrive, tu ne viens pas me dire bonsoir ?
Je reviens dans la cuisine, lembrasse. Je la vois plisser le nez plusieurs fois, sniffer.
- Vas prendre une douche, reste pas comme ça. Mets tes affaires dans la machine à laver, je vais faire une lessive. Jespère que tu nas pas oublié de prendre la pilule ?
- Ne tinquiète pas mamy, je prends toujours mes précautions. Comment tas deviné ?
- On ne me la fait pas ! Où tu tes fait mettre pour partir comme ça sans te laver ? Il ten a foutu une sacrée dose ! Jespère que personne ne tas vu dans cet état !
- Je ne crois pas. Tu diras rien à maman !
- Quand même, sil ny avait pas de quoi, tu aurais dû lui dire de ne pas se vider dans toi !
- Oui, bien sur, mais mon orgasme est beaucoup plus fort lorsque le mec gicle au fond de moi juste au moment où je chavire, tu dois connaître ça, toi mamy !
.
A suivre
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!