Promenade A La Campagne

Après une trentaine de minute en voiture, nous sommes arrivés dans un petit village et ce jours la c’était le jour du marché hebdomadaire, j’avais prétexté auprès de ma femme que j’allais marcher à la campagne alors qu’elle devait rester travailler comme d’habitude le samedi. Mes s n’ayant pas pu venir passer le week-end avec moi, je profitais de l’occasion pour prendre avec moi mon amie.
Je descendis le premier de la voiture et fis le tour de la voiture, elle ouvrit la porte et commença à descendre de la voiture en écartant ses jambes je vis ses jambes fines aux dessins harmonieux, elle est très belle pas très grande, très fine, je souris intérieurement car enfin je pouvais faire une promenade avec elle tranquillement à la campagne, rien que elle et moi.
Depuis plusieurs années que je la connais à travers internet et le téléphone, je ne l’ai vu qu’une fois et encore cela n’avait durée que 2 minutes, juste le temps de lui déposer quelques petits cadeaux assez spéciaux, car avec elle je partageais un secret et pas des moindres, tout avait commencé alors que je tchatchais sur un site sous le pseudo philmohammedia, j’étais rentré sur le site en question, je sélectionnais le pays Maroc car j’habite dans ce beau pays depuis plusieurs années et je commençais à contacter les femmes, quelques unes répondirent à mes salutations, puis une femme parmi toutes les femmes répondait à mes attentes, elle m’avoua qu’elle aime les hommes forts et autoritaires, nous échangeâmes nos adresses hotmail de façon à communiquer plus facilement, nous nous représentâmes plus en détail et avons commencé ainsi notre relation intellectuelle.
Elle ferma la porte de la voiture et nous prîmes la direction opposée au marché, nous traversions la route et nous nous engageâmes dans les chemins tranquillement. Après avoir traversé la route je pris sa main et la mis à l’intérieur de mon pantalon, elle ne fut pas surprise de sentir mon sexe gonflé de désir et brûlant.

Elle me regarda, sourit et fit hummmmm, je passais mon bras derrière son dos et fis en sorte que ma main soit sur ses fesses que je caressais et tapotais en même temps. Nous marchions et parlions en même temps de tout de rien, de nos envies de nos désirs.
Quelques minutes plus tard, je l’embrassais sur la joue et je remarquais que deux jeunes hommes qui sortaient de l’adolescence était derrières nous, je dis à mon amie, tu vas tourner la tête et tu leurs fers un clin d’œil et un beau sourire, elle le fit sans discuter, car il faut savoir que notre si important et inavouable secret est qu’elle aime être soumise complètement à un homme dominateur et il se trouve que je le suis et que je ne conçois pas une relation sans cela, ce qui me rend malheureux d’ailleurs dans mon couple car ma femme ne le fait que pour me faire plaisir et rien de plus.
Ma mains tapotait d’avantage ses fesses et les pinçaient de temps en temps, nous continuâmes a marcher tranquillement et elle recommença à les regarder, à sourire et à faire quelques clin d’œil à chaque fois que je lui en donnais l’ordre, ces deux jeunes hommes nous suivaient en gardant un peu de distance, pas trop loin de façon à pouvoir bien voir ma main poser sur ses fesses et de temps en temps je passais mes mains sur ses cheveux long et soyeux en même temps je regardais les garçons et je leur fis un sourire et un acquiescement de la tête pour les inciter à nous suivre, ce qu’ils firent sans hésiter, nous les entendions rire et parler à voix haute entre eux.
Au bout de plus de 45 minutes de marche, j’aperçus sur mon flan droit une maison abandonnée, je dis à mon amie
- salope tu vas me montrer à quel point tu es bonne
- oui maître me répondit elle.
Nous allâmes vers la petite maison, je levais le pouce vers les garçons et leur fit un petit signe pour qu’ils nous suivent.
Nous rentrâmes dans la maison, je l’attrapais par les cheveux et l’attirais vers moi et lui dis d’un ton sec et ferme :
-suce moi salope.
Je jetais mon blouson par terre avant qu’elle se mette à genoux devant moi, je me tenais droit devant elle, elle à genoux, regardais ma braguette, elle posa sa main sur mon sexe, le sentit dur, elle ouvrit la braguette sortie mon sexe, le regarda et le bout de sa langue se promenait dessus je lui empoignais la tête et m’enfonçais complètement dans sa bouche.
- comme ça sale chienne, suce-moi ainsi.
Je laissais des râles échapper de ma gorge assez fort de façon à être sur que les deux jeunes hommes m’entendent bien.
J’aperçus une ombre et eus la satisfaction de voir qu’ils répondaient à mes espérances, ils étaient là, je continuais donc mon plan.
Alors qu’elle me suçait avec passion, je me retirais et la remis debout je lui ouvris sa chemise de façon à laisser apparaître ses seins, je commençais à les caresser puis les frappais, je fermais mon pantalon et lui fit un clin d’œil en lui disant
- maintenant ça commence putain, je vais sortir et les faire rentrer je veux que tu leurs vides leurs queues.
- Oui maître
Je sortis et je fis signe aux garçons de rentrer, ils ne se firent pas prier je les suivais à l’intérieur, ils restèrent bouche ouverte devant le spectacle qui s’offrait à eux.
Elle était debout entièrement nue devant eux, elle se caressait les seins puis ses mains descendaient sur son ventre ses cuisses et remontait vers son sexe qui brillait, elle était excité et toute mouillée.
Quelques instant passèrent et je poussais l’un des garçons vers elle, elle se jeta à ses pieds puis entreprit de lui ouvrir son pantalon, elle le fit descendre jusqu'à ces chevilles et descendit ensuite sa culotte, son sexe était gonflé de désir, le garçon était rouge de désirs et regardait cette chienne en pleine action, sa bouche qui glissait lentement sur ce sexe et ses yeux qui ne quittait pas l’autre garçon, elle le pompait et il ne tarda pas à éjaculer dans sa bouche, elle lui lécha bien le sexe de façon à ne rien laisser sur celui-ci. Elle le repoussa et l’autre garçon vint se mettre en face de cette ravissante pute, le sexe dressé d’excitation, elle commença à le sucer et cela ne dura pas bien longtemps avant qu’il éjacule à son tour et elle lui fit la même chose qu’au premier garçon.
Elle se redressa en faisant bien attention de mettre son cul bien en vue, je m’approchais d’elle sous les yeux ébahis des deux garçons, je tenais ma queue dans ma mains et me plaçais derrière elle je fis rentrer ma queue entre ses cuisses dans vagin d’un coup sec, elle était mouillé, ça ressemblait à un océan. Je m’approchais de son oreille et lui murmura
- salope maintenant je vais sortir de toi chienne et ce sont les garçons qui vont te baiser chienne en même temps
- oui maître en sandwiches, merci maître
je me retirais et me levais, les garçons comprirent de suite un ce mit devant et la caressa en l’ embrassant maladroitement, elle le fit s’allonger sur le dos, elle écarta les cuisses au dessus de lui et commença à descendre sur lui, elle guida son sexe de façon à ce qu’il rentre dans son vagin, le deuxième garçon se mit derrière elle et entreprit de la pénétrer par l’anus, il n’eut pas de mal à la pénétrer, les deux garçons commençaient à bouger de façon simultané en elle, elle ne tardait pas à émettre des gloussements de jouissance et d’encouragement pour les deux garçons, ils étaient de plus en plus entreprenant, j’avais toujours la queue sortie de mon pantalon, je m’avançais vers eux et ordonna à mon amie.
- suces moi putain, suces moi bien putain.
Ca y est mon amie avait trois sexes en elle et elle se démenait comme une folle, une vrai pute, elle bougeait, râlait de plaisir.
Quand le premier éjacula, il sortit de son vagin avec un air satisfait et fatigué, puis le deuxième éjacula dans son anus et en ressortir en s’asseyant par terre pour reprendre ses esprits, il nous regardèrent un peu puis s’habillèrent et prirent la poudre d’escampette, nous étions juste mon amie et moi, elle continuait à me pomper la queue, je me laissais éjaculer en elle, me léchait le sexe puis le remit dans mon pantalon en fermant ma braguette, elle déposa un baiser sur ma queue a travers mon pantalon.
- habilles toi putain, nous allons rentrer
Nous reprîmes le chemin du retour vers la voiture, mais nous allions prendre d’abord une bouteille d’eau avant dans le petit village.
Nous avons pris la route aussitôt pour rentrer, elle me suça encore sur le chemin du retour et je déchargeais encore en elle.