Je Suis Dans Ma Chambre

Je suis dans ma chambre et j’attends une visite nocturne promise pour 22 heures trente voire onze heures…
Soudainement, dans le noir, une main se pose sur ma cuisse.
Je n'entends plus ce souffle que j’avais perçu à l’ouverture de la porte.

Le silence, CE silence, un instant, tout est arrêté, comme on dit, suspendu.
Tout est arrêté mais mon cœur bat à toute vitesse, le sien aussi sans doute, il s'agit d'une seconde, l'équilibre, le moment où…
Il le sait, il a gagné, j'entends son souffle, court, à nouveau.

Ma belle mère dort, ou fait semblant, dans la chambre à coté…Elle sait que je vais faire l’amour avec un baiseur qui vient pour me faire jouir…elle le sait…elle va entendre mes râles de plaisir et aussi ceux de mon amant, qui ne va pas se retenir au moment de l’orgasme. Tant pis pour elle…Elle va être frustré, mouiller et peut-être même se gamahucher en pensant à ma petite chatte bien remplie par un gros membre…Je flippe…de plaisir. Elle va entendre Géraldine jouiiiiiiiir, ouiiiiiiiiiiiiii, jouiiiiiiiiir, de toute sa chatte, de tous ses nichons, jouiiiiiiiiiiiiiiir en sentant un gros manche lui défoncer la motte. Je suis finalement excitée, très excitée, car je vais lui montrer que je suis une baiseuse qui prend son pied sans complexe…

Légèrement, j'écarte un peu les cuisses pour lui montrer que j’attends avec impatience.
Oh, pas besoin de çà, il a compris le salaud !
Sa main remonte doucement du genou vers mon ventre offert à sa convoitise, j'offre mon entrejambe à ses subtilités, je chavire.
Il me caresse sur mon string et J'ADORE çà ! Il a du s'en apercevoir car il ne tente pas le moindre doigt, au contraire, il me fait languir en s'éloignant lentement. " Hooooooooo, je mouille terriblement, mon dieu que c'est bon et comme il me le fait bien !
Mon clito est tout gonflé et il s'amuse à le presser, mon string est trempé, presque autant que dans les vestiaires de l’hôpital quand j’avais sucé Germain…je gémis de bonheur.

"Haaaaaaaaaaa", il joue. "Hoooooooooo", qu'il continue !
A me laisser aller comme çà, j'ai glissé dans le lit, je m'étends de plus en plus, mes jambes bien écartées pour me livrer au maximum. Pas un mot, juste des : « huuuuuuum » et des : « hooo ». Un doigt qui se faufile jusque dans ma raie, une petite pression juste au petit trou, comme çà pour voir. Je m'abandonne. Et tu en profites. Salaud ! Ne vas pas trop vite. J'aime quand tu me touches ainsi.
Sa main, décidément ne tentera rien sous mon string ! Il me fait mourir d'impatience.
Je n'en peux plus, moi aussi je veux en profiter !
Je pose ma main sur la bosse de son jean’s… oh là là si c'est pas de l'érection çà !
D'une main malhabile j'ouvre sa braguette. Putain de jean’s à boutons ! C’est bien plus facile avec les fermetures éclair ! J’ai du mal. Il stoppe un instant sa caresse pour m'aider, je replace tout de suite sa main entre mes jambes, je t'en supplie ne t'arrêtes pas !
Le jean’s, les boutons, le slip, un vrai parcours de combattant. Difficilement je sors son sexe turgescent. C'est une queue lourde, grosse, pas encore tout à fait raide comme je les aime. J'ai refermé ma main dessus, bien fermement mais bien lentement aussi, je le branle c'est à lui de gémir maintenant. Je devine le spectacle de ce va et vient et je m'enfonce de plus en plus dans le lit. J'ai bientôt la tête au dessus de sa queue. Hum, je tire ma langue vers sa bite tendue. Hooooooooo, il bande son corps pour que je l'atteigne, haaaaaaaaaa, je le suce enfin.
Je le sens moins pressant il se laisse sucer, téter. Et masturber aussi !

Sa main est toujours sur mon sexe mais elle ne bouge plus…je dégouline pourtant. Quelle excitation ! Et quel enfoiré de baiseur!
Je le prends bien en bouche maintenant, j'ai trouvé ma positon, allongée au-dessus de lui et ma jambe repliée, je peux le sucer bien au fond, il peut me doigter bien profond. S’il veut.

Par de petits coups de langue j'entame ma caresse, sur le gland d'abord puis je descend "tranquillement" le long de la verge, je lèche bien en pressant, - qu'il sente ma langue sur son corps-, j'insiste vers le bas pour aspirer les boules, je sais maintenant que les hommes aiment tous çà !!! « Ooooh, claro que si », qu'il aime çà lui aussi. Mes doigts courent doucettement en même temps tout le long, une petite branlette en bas et une petite sucette en haut, mon salaud crapuleux n'en peut plus! Il me jette ce qui doit être des horreurs dans les oreilles. Tu peux me traiter de salope, de tailleuse de pipe, de bouffeuse de gland, de suceuse d’obsédé, ou d’avaleuse de sperme, de petite salope, de jolie pute ! Et après tout, oui je suis tout ce que tu dis et ouiiiiiiiiiiiii j'aime çà.
Ce que je vois, en tous cas, c'est que çà fait son effet.
Sa bite enfle encore un peu, s’il était possible, il doit être au bord de l'explosion. Je prends sa queue en entier et je l'avale goulûment. Maintenant je m'applique, je fais mon va et vient les lèvres bien serrées, j'aspire à la "montée", je respire à la "descente", sa queue est bonne et de plus en plus chaude, de plus en plus gluante, il mouille un max, je lui mordille le gland histoire de l'inquiéter un peu, il a mis une main sur ma tête, il n'appuie pas, il a peur que je n'avale pas… oh s’il me connaissait mieux (sic ! ) Il saurait… Il saurait que Germain m'a bien dévergondée, de la bouche et des doigts, après que lui, le salaud, m’ait bien montrée la voie du stupre et de la fornication, que ce fut délicat pour moi, au début, car je n'aimais pas çà, et puis on s'y fait. Mais le sperme est bien meilleur !
Bueno, bueno mon gars, je crois que t'es à point. Il n'aura pas fallu bien longtemps. Quelques coups de langue bien donnés, quelques aspirations bien inspirées et voila le queutard aux abois.
"Haaaaaaaaaaa" je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis, "hoooooooooooo" saloooooooooooooope !
Je suis un peu prise de court, d'un souffle me direz vous, il sursaute, sa première giclée sur ma joue, dommage c'est la meilleure généralement. Je ne rate pas les suivantes. Sa bite en pleine bouche je bois à satiété le sperme de ce baiseur. Sa semence a le goût de la luxure. Lentement il s'écoule au fond de ma gorge, j'essaye d'en garder un peu pour le plaisir, juste pour le plaisir.
Nom de Dieu…c’est plus de mon âge…
JP à bien déchargé et à du mal à s'en remettre. Je sens dans sa poitrine son cœur qui va à 100 à l'heure. Des soubresauts encore, des spasmes de plus en plus éloignés et de moins en moins forts, il se calme. Il respire un grand coup pour trouver ses esprits. Il me voit étendue, là tout contre lui, mon chemisier froissé, les jambes repliées prêtes à s'ouvrir comme un fruit mûr, je ne dis rien mais je n'en pense pas moins, j'espère qu'il va s'occuper de moi maintenant, j'en ai tellement envie !
Je veux passer sur sa bite ! Je veux passer sur sa bite de queutard qui me fait mouiller et jouir !!!
Je veux sentir le gland chaud et dur venir écarter les lèvres de ma motte maintenant bien bombée…une vraie chatte de petite pute qui se fait prendre chaque fois qu’elle peut.

Pas besoin de parler, rien qu'en le regardant, rien qu'en m'étirant un peu il a compris.
"Haaaââââââââââ"… juste un petit sursaut quand sa main reprends "le droit chemin ". Comme tout à l'heure sa main caresse ma grosse motte, ma belle motte bien repue de queue. Oooooooooh, çà suffit, tu peux y aller franchement maintenant. Je prends sa main et la fourre directement dans mon vagin, le string "n'existe plus" il a deux doigts dans mon con ruisselant et je suffoque à respirer si vite.

"Huuuuuuuum"…moi aussi j'apprécie ! Il a gardé ses deux doigts dans ma vulve en feu et il va et il vient lentement, si lentement qu’en même temps son pouce appui sur le clito. "Hoooooaa", je me laisse aller.
Intérieurement je jubile : fais ce que tu veux, je suis à toi, branle moi bien, "oui c'est çà", je suis ta chienne, ton objet, prends moi… s'il te plait "…Ooooo", tu vois j'ai les cuisses écartées au maximum et ta main est dedans, continue comme çà ". Elle te plait ma petite chatte ? " Oh que oui elle te plait- hein mon salaud - une petite chatte, bien coulante, bien chaude, bien ouverte, bien mouillée, bien… bien…. A toiiiiiii. "HHHHHAaaaa", je n'en peux plus, je gigote dans tous les sens, j'essaye de relever les fesses pour qu'il aille plus loin, j'en profite pour enlever ce string qui me gène encore, "allez" plus fort tu vois bien que j'aime çà, je suis ta pute du jour profites-en ! Un salaud qui se paye une tranche de fourette salace et crapuleuse çà n'arrive pas tous les jours
En même temps, son autre bras n'est pas resté inactif. Il a ouvert mon chemisier et me caresse un sein. Le salopard ! Il me titille le mamelon, le pince, le tire. "HOooo", c'est ce que je préfère, il va me rendre dingue à me prendre comme çà, si çà continue moi non plus je ne f'rais pas long feu.
"Waaoo" de pire en pire, je ne me contrôle plus, à mon tour de lui jeter mes mots à la tête, mais discrètement, je ne suis pas une "expansive", je crie dans mon for intérieur mais personne ne m'entends: "Tu t'en souviendras de ta petite salope hein? T'aimes çà mon cochon hein, oh ouiiiiiiiiiiiiiiiii, c'est çà, que tu me branles bien ! Que ta queue est bonne ! Encore, j’en veux encore, ton jus dans ma bouche, hoooooooooo ! D'ailleurs tu rebandes ! Chouette je vais pouvoir me le mettre !
" Ouiiiiiiiiiiiiiiii vas-y je n'suis pas loin de jouiiiiiiiiiiiir, je suis ta salope hein ? Elle est bonne maintenant la petite Géraldine. "
Je n'ai pas le temps de poursuivre mon discours, il m'a rentré un doigt dans l’anus et je jouis comme une folle ! Ce mamelon qu'il me presse et un doigt dans chaque orifice je suis partie ! "HAAaaa", je râle, je jouis je ris, je souffle, je ferme les yeux, je ahane, je jouis encore je le regarde…
T'es content hein. Tu l’as faite jouir cette petite salope… hein ? "HAAaaaa". "Hooo". "Ah". "Oooooooooooooooh". Quel orgasme ! ! ! Quel pied ! ! !

Immobile, je suis étendue là, les yeux hagards, je ris, il sourit, le regard sur mes seins, immobile.
Sans avoir compris comment je le retrouve sur moi, avec sa bite énorme qui vient se placer face à ma chatte et qui d’un coup rentre bien au fond…je pousse encore un cri en sentant cette masse venir me remplir. Les mains cramponnées à ma croupe ronde et fessue de jolie salope, je le sens qui me tire vers lui pour défoncer ma chatte avide de queue…il souffle dans mon cou et murmure des « horreurs » qui me font mouiller et continuer à jouir. J’accompagne ses coups de rein par une houle de mon bassin de manière à bien le faire rentrer dans ma grotte jouissante.
Ses mouvements s’accélère, ses râles aussi…(et la cloison qui est fine doit bien répercuter notre partie de baise dans la pièce à coté). Je suis excitéeeeeeeeee, mais excitéeeeeee…dans un râle énorme, qui fait écho à mon orgasme, il se vide en moi à longs jets puissants. Je sens les frémissements de sa bite qui déchargent le sperme dont je suis devenue accro…Ouiiiiiiii, encooooooooore, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, jouiiiiiiiiiiiiiiiiiis en moi, jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis fort, jouiiiiiiiiiiis bien profooooond, rempliiiiiiiiiiiiiiiiis moi……AAAAAAAAAAhhhhhhhhhhhhhhhh salaud !!!