Ma Cousine Amandine 12.
AMANDINE
Par lequel commencer ? Les trois garçons sont devant moi attendant ma réponse, leur bite me met en transe et alors que, jusquà présent je mimaginais cet état réservé à quelques personnes de foi et dans certaines circonstances, voilà que je pense me rapprocher dun sentiment intérieur si fort que je ne me contrôle plus.
Je trouve quils sont si craquants, prêts à me donner plein damour, et jen ai la preuve avec leur parure en offrande, une merveille de beauté.
Jai beaucoup de mal à faire un choix, je ne voudrais pas décevoir deux des garçons en privilégiant le troisième.
- Cest, cest, cest, bégayé-je, très compliqué de choisir, vous êtes tous les trois adorables de me faire goûter aux plaisirs de la chair.
- Ne te prends pas la tête, fait Théo, nous ne sommes pas jaloux les uns des autres, cest un dilemme embarrassant pour toi soit, mais quel quil soit nous le respecterons évidemment.
- Tu vas les sucer de toute façon tous les trois, sassure Camille, le mieux cest que tu sautes de lun à lautre et que tu les fasses tourner rapidement, tu verras que leur plaisir sera maintenu intact et même peut-être décuplé.
- Oui, réponds Théo, voir, que tu nous pipes en suivant et en revenant plusieurs fois à nous, est super bandant.
Marion les place les uns à côté des autres et Camille me fait mettre à genoux, sans même réfléchir je mapproche dHugo le premier à ma droite, après tout je nai encore même pas touché sa bite et cest lui qui ma fait monter au ciel, alors jai décidé dinaugurer le festin avec lui sans faire plus de commentaires pour ne pas faire de mal aux autres.
Mon cur bat à 100 à lheure, vais-je être à la hauteur ? Comment procéder ? Je me pose plein de questions, mais avec la bienveillance de filles dont je soupçonne une compétence exceptionnelle je ne suis pas trop angoissée, jai confiance en elles pour me donner les bons conseils.
Arrivée à quelques centimètres de la bistouquette dHugo, je la découvre encore plus grosse que tout à lheure, en tous cas cest limpression que cela me fait.
À genoux devant, je ne peux mempêcher de songer aux multiples fois où je me suis trouvée dans cette position pour prier, mais cette fois ce nest pas pour remercier ou implorer le petit Jésus, Marie ou ses saints !
Mon dieu est devenu le démon et jassume pleinement mon revirement, je veux goûter aux péchés de luxure, tant pis si je renie 18 ans de fidélité à mon ancienne religion, je fais vux dobéissance à ma nouvelle théosophie : la recherche physique et psychique de lépicurisme.
Jai hâte dexpérimenter ce désir de faire du bien à un garçon, de lui faire une pipe comme disent mes voisines.
Japproche ma main de la cuisse dHugo, je la pose et je caresse sa peau bronzée en remontant, et inévitablement je tombe sur ses deux petites balles qui me brûlent la main et que je manipule délicatement.
Hugo est le seul à être intégralement épilé, jai limpression de toucher une statue grecque dun athlète dénudé mais son intimité est bien plus étourdissante car ma sculpture vivante est chaude et animée, et son pénis na rien à voir avec la petite chose minuscule que jai observée dans certains musées ou sur certaines photos.
Je place ma tête de côté, je sors la langue et la rapproche de sa bite jusquà la toucher pour connaître ma toute première sensation que procure le contact de celle-ci sur le sexe dun garçon. Jaccomplis cette acte avec tact, sans précipitation et je ne suis pas déçue.
HUGO
Debout devant Amandine, si belle, si sensuelle, si douce, je mabandonne à elle, elle peut faire ce quelle veut de moi et de mon chibriape comme lappelle Apollinaire. Mon émotion est aussi visible que celle dAmandine mais complètement différente de la première fois où Marion ma sucé. Aujourdhui pour cette fille cest une découverte, sa timidité sa peur de mal faire me touche particulièrement contrairement à la fois où ma voisine, experte en la matière, mavait pris en main et en bouche, sans lui faire offense elle en avait sucées des kilomètres avant comme on dit.
Sa main flâne sur ma cuisse jusquà frôler le commencement de mes couilles, la caresse est exquise et sans brusquer les choses elle sort sa langue qui parcourt la longueur de mon zob de la base jusquau sommet et finit en frétillant comme un petit poisson sur le bout de mon gland en insistant sur le méat.
Plusieurs fois elle arpente ce chemin en changeant chaque fois de côté et en maintenant avec sa main ma hampe pour que sa langue reste en permanence au contact de ma bite.
Je suis bien décontracté sauf du gland qui désire ardemment proposer une demande dasile à cette cavité si proche.
Je regarde ses yeux qui mobservent aussi, ils pétillent de bonheur, dun geste dencouragement avec mes deux mains sur sa tête je linvite à engloutir ma bite, ses lèvres se posent sur lextrémité, des lèvres pulpeuses et humides qui enserrent mabite et coulissent lentement le long de celle-ci entraînant la peau et décalottant ma bite dans sa bouche dont la langue câline mon gland.
Ses premiers aller et retour engloutissent quun tiers de mon gourdin, mais après quelques minutes elle lenfonce de plus en plus profond, le frottement de ses lèvres douillettes sur le corps spongieux de ma queue mallume fortement, je sens que je peux défaillir dun instant à lautre. Cest pourquoi je demande un entracte et propose à Amandine de continuer sur mon voisin qui se trouve être Théo et auquel je suis ravi de passer le relais.
A suivre.
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