La Vie En Communauté

On apprend beaucoup dans la vie en communauté. Voici une histoire que j’aime raconter à mes copains : Il y a de ça quelques années, lorsque j’avais 19 ans, j’habitais en colocation avec plusieurs personnes. A l’époque j’étais un peu moins ronde : Brune cheveux long, 1,61m, 82kg, Nous étions cinq. Trois filles et deux garçons. Un des deux garçons, gay, ne s’intéressais aux filles que pour le coté amical le deuxième était en couple avec l’une d’entre nous (Estelle). La deuxième fille, Julia, découvrait une vie amoureuse trépidante, plaisait, allumait, sans papillonner (elle était plus jeune que nous et plus naïve), et quand à moi, je savais tout de tout le monde, de leur sexualité, mais je ne pratiquais jamais rien, complexée.
Nous avions un rituel, tous les soirs. Je passais dans chaque chambre pour papoter. Je chouchoutais tout le monde, jusque dans des contacts tactiles. Je massais mes amies et cela dérapa une unique fois. Avec Julia, la plus douce et jolie (métisse, brune aux cheveux long ondulés, 1,61m, mince mais avec de jolies formes rebondies), ce fut tendre. Elle me caressa à son tour un jour sous le prétexte que ça m’aiderai à dormir. J’étais assise sur elle, en chemise de nuit courte, en lui massant son dos nus quand elle me dit « allonge-toi, je vais te relaxer » je m’exécutais sur le ventre, anxieuse. Elle m’enleva ma chemise de nuit, et je me retrouvais en culotte de coton rose. Elle commença ses caresses. Mon dos…ma nuque…je la sentais aller aux frontières de ma culotte, et effleurais mes seins (100C) sur les cotés. « Retourne-toi ». Gênée, je continuais d’obéir. Elle me banda les yeux, et retourna sur moi, commença à me caresser les seins, ils pointaient. « T’es grosses, mais t’es bien foutue quand même ! » dit-elle en s’attardant délicatement sur les tétons. Et elle continua de les soupeser, de la caresser, toujours avec douceur, elle se pencha pour en mettre un à sa bouche, je la sentais proche…et la porte s’ouvrit brusquement.

« C’est mon t…tour ! Désolé, si tu me cherches je vais fumer une clope. » Un peu confuses, nous nous rhabillâmes et je sortis sans un mot. Julia, elle, avait un petit sourire. J’allais rejoindre Estelle. Elle était plus sulfureuse, une jolie crinière blonde, 1, 68m, pas loin de 56kg, une attitude moderne, épanouie, et des yeux qui réclamait le plaisir. Son mec avait eu la chance de la retenir à une époque où elle changeait régulièrement de copain. Mais pour combien de temps ?
Elle fumait sa clope sur la terrasse. Je la rejoignis, et nous discutâmes comme si de rien n’était. Et en plein milieu elle me demanda « Tu as déjà embrassé un fille ? » Je n’eu pas le temps de répondre, qu’elle m’apposa un baiser furtif sur la bouche. « Tu sais qu’avec Julia on se roule des pelles des fois ? » Je ne savais que dire. « Masse-moi dans ta chambre, je ne veux pas que mon mec nous mate ce soir. Une fois dans ma chambre, elle me poussa sur le lit « je vais finir ce que Julia a commencé. Elle m’enleva ma chemise de nuit et se jeta sur un sein pour le caresser en suçant l’autre, elle était plus passionné que Julia. Bientôt, elle ne tarda pas à m’écarter les jambes et à me lécher la chatte avec gourmandise. Nous entendîmes un cri de jouissance et Julia, nue, la chatte encore luisante de mouille vient nous rejoindre, elle prit le relais d’Estelle ? Ca se voyait qu’elle avait jouis en se touchant, ses coups de langues étaient affamés. Et pendant qu’Estelle jouait avec mes seins et mes tétons, je lui léchais sa chatte. Une première pour moi, mais j’étais tellement excitée !!! Julia me doigta en mordillant mon clitoris. Je n’en pouvais plus. Je criais de plaisir trop fort peut-être puisque le mec d’Estelle frappa à ma porte « tu penseras à la vaisselle, dis ! » Je sortais, me rhabillant en vitesse, laissant mes amies s’amuser toutes les deux. Il me vit essoufflée et dit « C’est ton tour ce soir. Et trouve toi un mec ! Ca te met dans un état de te toucher ! ».

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