La Petite Salope
La petite salope va se faire défoncer... elle va se prendre de la bonne et grosse queue...
Allongée sur son lit elle sent une bouche venir avaler son clito, qui maintenant ressemble à une petite bite... elle se laisse aller sans pudeur, les cuisses bien écartées pour que s'ouvre bien sa chatte, maintenant ombrée par une toison toute frisée.
Elle gémit doucement et sent une houle de stupre venir lui titiller les pointes des nibards...elle réalise comment elle a changée en trois ans.
Elle se fait tout à fait à sa nouvelle sexualité de femelle qui jouit chaque fois qu'elle peut.
Maintenant, elle se déshabille en voiture pour laisser ses cuisses nues visibles à ceux qui sont à coté ou sur le trottoir, pendant qu'une main habile lui tripote l'entre cuisse en écartant l'élastique de son string. A la renverse sur le siège elle laisse cette main de salaud lui rentrer dans la chatte, lui pincer les lèvres pour les exciter...elle sait qu'on peut la voir du dehors mais elle s'en moque...elle veut jouir et qu'importe comment !
Si on lui avait dit, il y a un an, qu'elle en serait capable, elle aurait rie au nez de l'impudent, alors que maintenant elle est prête et disponible, tout de suite, pour une bonne saillie, n'importe où.
L'autre soir, c'est dans une voiture, garée dans un endroit sombre qu'elle s'est à moitié dévêtue, le chemisier ouvert pour bien dépoitrailler ses nibards et le jean baissé sur ses cuisses, pour bien offrir sa chatte à la caresse...ses mains ont empoignée la grosse bite du mec qui la tripotait de partout et l'ont conduite à sa bouche qui, aussitôt, a avalé cette masse de chair. Elle était trempée à tordre suçant goulûment ce membre vultueux qui suintait de bonheur. Elle en jouissait dans sa tête de petite salope bien dévergondée, car la veille, elle avait fait presque pareil à un collègue de travail qui lui avait passé aussi les mains partout dans une autre rue tout aussi déserte.
Elle n'en avait même plus honte ou vergogne...elle voulait s'affirmer femme, salope, baiseuse...
Son amant, à qui elle avait tout raconté, l'en avait complimenté, lui disant qu'une bonne petite femelle avait tout à fait raison de se faire plaisir et pendant qu'elle racontait ce qu'elle avait fait, en coulant comme une fontaine, il lui avait rentré dans la chatte une bite de bonne taille qui l'avait faite quasiment hurler de bonheur.
Peu après elle s'était rendue chez ce collègue, qui l'avait entreprise plus gaillardement en lui bouffant la chatte, lui paluchant les nibards et en se faisant branler. La queue de celui là était plus longue que celle de son amant mais moins grosse et toute lisse. Elle s'était contentée de le masturber, promenant ses mains sur le membre raide du type, le secouant, faisant glisser la peau de haut en bas en se laissant manger le sexe, tout en pensant à son amant à qui elle avait envoyé un texto, pour dire qu'elle allait "boire le café" chez Germain...(putain de café, fort et sans sucre)...elle se sentait bizarre et se retenait, alors qu'elle aurait du se laisser aller, mais il lui restait encore un petit quelque chose du passé qui l'empêchait de passer totalement à l'acte. Elle n'avait pas voulu quil lui mette sa longue queue dans la chatte. L'autre était rageur, il croyait qu'il allait pouvoir enfoncer sa bite dans le petit con de Géraldine, mais non elle n'avait pas voulu.
Tant pis pour lui...elle se vengeait...
En racontant tout ça à son amant elle s'était mise à s'exciter en voyant sa réaction. D'habitude, un type qui sait que, sa maîtresse ou sa femme, s'est faite tripoter, voire sauter par un autre mec est plutôt en colère...Là, rien de pareil...elle avait vu sa grosse queue devenir encore plus grosse, plus vultueuse, plus rouge, pendant qu'il se penchait sur sa vulve pour se mettre à la lui bouffer...elle sentait cette bouche lui aspirer tout le sexe et elle pensait aussi à l'autre bouche, celle de Germain, qui avait fait pareil.
D'un coup son amant s'était relevé d'entre ses cuisses et elle l'avait sentie s'enfoncer puissamment dans son con ruisselant. Elle ne savait ce qui la faisait le plus jouir...la queue qui la prenait avec force, les coups de rein qui lui défonçaient la vulve, le récit qu'elle continuait de faire, le souvenir de la bouche de Germain lui mangeant le ventre ou les mots salaces de son baiseur qui lui disait qu'elle était devenue une vraie salope, une vraie baiseuse, une presque pute...qui avait de la chance, car elle allait continuer dans les voies de la fourette pour jouir encore et toujours.
Les mains cramponnées à sa croupe GQR lui pilonnait le ventre, s'enfonçant comme dans du beurre, lui bouffant les pointes de seins, continuant à l'exciter en lui parlant à l'oreille et en se faisant préciser ce qu'elle avait fait avec l'autre.
Salope...elle se sentait salope...même un peu pute elle était d'accord, elle était bien...pleine, jouissante, avide, gémissante, remuant son gros cul de femelle pour bien se faire emmancher, se mettant même à crier en disant: "ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, encore, plus fôôôôôôrt, vas yyyyyyyyyyyyyyyy, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii je suiiiiiiiiiis une saloooooooope...baise moi, ouiiiiiiiiiiiiiiiiii, baise moi, mets ta grosse queue, prends mon copain électriiiiiiiiiiiiiiiiiiique, que je sente ce que ça fait d'être prise par deux bites de salauds....tu es un salaud, tu me baises comme un salauauauauauauauad...tu me fais jouir, jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir, ââââââââââââhhhhhhhhh arrête, arrête...non n'arrête pas, contiiiiiiiiiiiiiiiiiiiinu.
Elle avait joui, dans un torrent de cyprine qui avait inondé la queue de son amant, pendant qu'il lui lâchait dans le ventre tout le sperme de queutard qu'il avait dans les couilles.
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