Entre Copine
Lors dune conversation très banale entre copine je déclare que le mardi, après les cours, mon fils va chez ma mère et dort aussi chez elle et que pour profiter de cette journée de célibataire sans je vais aller au cinéma.
Pendant la conversation, un docteur pour qui je travaille me demande si elle peut venir avec moi, si j'y vais seule et à quelle heure. Je lui réponds: en sortant à 14 heures, que j y vais seule et quelle peut venir avec moi si elle en a envie. Mais à une seule condition : quelle arrête de me balancer du "vous" long comme le bras et quelle connaît mon prénom.
Donc nous partons ensemble pour notre salle obscure.
Toute la séance se passe tranquille. Malgré quelques petites mains baladeuses sur les jambes et les genoux. Mais bon, je sais quau travail elle a une réputation de croqueuse de femmes. Cela ne me dérange pas. Mamuse plutôt. Titille ma curiosité. Si en plus de plaire aux hommes je plaisais aussi aux femmes. Pourquoi pas, ça pourrait être amusant. Il parait que ça vient de mon parfum. Ça plairait beaucoup à mon amant, lui qui me parle toujours de baise à trois. Je pourrais lui apporter deux femmes. Et tout ça que pour moi, car le médecin en question et franchement allergique aux hommes. Donc jaurai rien que pour moi un homme et une femme.
Tout en regardant le film je pense à mon amant et à sa venue nocturne, ainsi que de la surprise quil aurait si il trouvait dans le lit sa maîtresse avec une autre femme, en train de se doigter consciencieusement et de mouiller comme deux fontaines. Je pense que cette situation lexciterait fortement.
Jai de plus en plus de mal à me concentrer sur le film et laisse partir mon imagination à mes délires sexuels. Surtout que la main se fait de plus en plus entreprenante et que je me laisse faire. Puisque maintenant elle est entre mes jambes et que ma chatte commence à réagir aux caresses.
Je ferme les yeux discrètement pour ne pas faire remarquer que japprécie ses caresses et pense à la main de mon amant pour faire un transfert de personne.
A la sortie nous allons manger un morceau au Mac Do tout proche mais lambiance et un brin plombée, plutôt tendue.
La copine me regarde droit dans les yeux et dit : "Géraldine, tu me plais terriblement. Je sais quil y a un homme dans ta vie, que tu aimes les queues et pas vraiment les mollusques".
Heureusement quil n' y a pas grand monde et que nous sommes dans un coin retiré. Je prends une jolie couleur pourpre aux joues et sens la chaleur monter.
"Je tai entendue le dire au vestiaire, sur le coup ça ma bloquée, je voulais te parler de mon attirance envers toi, mais venant de ta part ça ma fait sourire et ça ne ma pas fâchée. La preuve je suis ici avec toi". "Tu nas jamais eu ce style de relation. Tu nas jamais couché avec une femme. Cest pas comme avec un homme mais cest bien aussi, tu devrais essayer et avec moi si tu veux."
On monte chez moi pour récupérer les affaires de ma copine. Je la brusque un peu car cette situation me gêne, je ne suis pas habituée. La relation avec cette femme me fait un peu peur. Et puis mon amant ne devrait plus tarder à arriver. Mais je suis toujours entre deux. Je commence à le connaître et on en a parlé je sais que cette situation lui plairait assez. Et je voudrai aussi lui montrer à quel point jai changé. Et de quoi je suis capable. Capable de me faire une femme pour lui plaire plus encore. Jai beau bouger la copine elle nest pas décidée à partir. On dirait qu'elle sent que j'attends quelqu'un...Si elle ne part pas je vais me retrouver dans le même lit, entre un homme et une femme qui devient très entreprenante. Devant mon inertie ses mains commencent à me déshabiller.
Je reste debout et ne bouge pas. Je me laisse faire, je commence à trouver ça agréable et ça excite ma curiosité et pas que ma curiosité
moi aussi.
Elle me pousse vers la chambre et là je me dis que maintenant, quoique j'ai envie au fond de moi je vais passer à la "casserole".
Tout en me suivant elle se désape à une vitesse grand V, ne conservant que ses bas retenus par un porte jarretelles et ses talons. Sa robe est partie au sol en défaisant trois boutons et comme moi elle est torse nu.
Elle me pousse dans la pénombre de la chambre et m'embrasse à pleine bouche. Ca me fait drôle, je n'ai pas l'habitude, ou c'est l'idée que je m'en fais, car après tout j'ai déjà embrassé plusieurs mecs...là c'est plus doux, moins brutal...j'aime assez finalement.
Ses mains habiles continuent de courir sur mon corps, passant des seins aux fesses, du cou au ventre, puis elle me fait mettre sur le lit...
Maintenant c'est cuit je ne peux plus reculer...d'ailleurs je me rends compte que je n'en ai pas envie, je me rends compte que j'ai envie qu'elle continue...
Si JP me voyait il nen reviendrait pas. Son bébé pute, allongée sur son lit en train de se faire caresser, doigter, manger, jouir sous les mains dune femme dont je ne connais même pas le prénom.
Elle a écarté mes cuisses et enfonce doucement un doigt souple dans ma motte gorgée de suc, avec le pouce elle presse sur le clitoris...ââââhhh, salope, ouiiiiiiiiiii salope elle sait y faire. Maladroitement je commence à lui pétrir les nibards. Ils sont copieux. (JP aimerait)...
Mais, comme prévu justement, il arrive, se déshabille comme à son habitude dans la salle à manger et se dirige vers la chambre et là quelle surprise... Il me voit complètement nue, haletante éperdue dans la jouissance inattendue que me procure cette femme aux formes pleines et sensuelles.
Il nous regarde le spectacle lui plait car sa grosse bite se dresse aussitôt. Il se branle en nous voyant faire. Les yeux fermés je nai pas remarqué sa présence. Ma copine ne voulant pas paraître coincée continue de me gamahucher à pleine main, pendant que sa bouche aspire délicatement mes seins aux pointes tendues et dures. Elle sait y faire la garce
les yeux fermés je pourrais presque penser que cest mon salaud crapuleux, si ce nétait la caresse des cheveux de cette femme qui me frôlent la poitrine.
Sa bouche vient effleurer la mienne comme un papillon
instinctivement mes lèvres sentrouvrent et je sens sa langue revenir doucement en picorer le pourtour.
Cest étrangement léger et bon. Rien de délirant, mais une certaine torpeur mitigée de langueur
Ca y est je suis en train de gouiner et ça ne ma pas faite partir en courant. Il faut dire que jattends JP, me demandant comment il va trouver le spectacle, sans savoir quil est déjà là en train de masturber un gros membre qui gonfle de plus en plus.
Ma copine ma fait rouler sur le coté et prenant une de mes jambes la passe autour de ses hanches pour libérer ma belle chatte bombée. Je coule, je coule vraiment, tant depuis tout à lheure elle a su caresser ma fente avec un art consommé. Jai toujours les yeux fermés mais je sens le lit bouger derrière moi et deux mains chaudes et viriles se mettre à me pogner les hanches
Hein
qui est-ce ? Je reconnais le parfum de mon amant et comprends que ma copine préfère me partager avec un mec plutôt que de rien avoir
Complètement allumée par lérotisme salace du moment je me laisse aller à cette situation des plus crapuleuses.
Je plane total
Ma copine rentre maintenant deux doigts dans ma chatte me murmurant à loreille des douceurs qui me font fondre : « tu es comme du miel, ta chatte ressemble à un fourreau de velours et soie, ta chair est tendre comme celle dun bébé
» et ce, toujours en me rentrant ses doigts plus profondément dans le ventre. Derrière, je sens la grosse bite de JP qui sinsinue entre mes cuisses pour venir coulisser dans la fente de ma vulve, heurtant au passage les doigts de cette femme qui ne se dérobe pas et entreprend de caresser le gland qui vient se poser pour continuer à gonfler.
JP membrasse dans le dos, faisant monter des frissons dans toute ma colonne vertébrale. Ma copine, maintenant, enfonce sa langue dans ma bouche et sa salive me délivre une sorte danesthésiant qui me plonge dans une sorte de torpeur jouissive. Jai envie de plus
il me faut une bonne pénétration, une bonne bite pour me combler
mais, la femme sentant mon désir, veut me posséder la première et demande où est mon copain électrique
Elle le prend dans le secrétaire et se remet entre mes cuisses, puis, doucement lenfonce entre les lèvres de ma chatte
Cest salement jouissif.
Je me sens femelle, salope, jouisseuse, pute...ouiiiiiiiiiiiii, pute, c'est le mot, dans le sens de celles qui baisent pour le plaisir de baiser et rien d'autre. Je me fais baiser; je suis entre deux personnes qui s'occupent de moi, me caressent, me font jouir, me pénètrent de leurs doigts; je sens sous ma chatte une grosse queutasse qui va bientôt me défoncer pendant qu'un gode me démonte la motte...
Une femme me fait jouir, avec un olisbos, pendant quun mec appuie sa grosse verge sur mes fesses. Les lèvres de ma copine sont toujours sur ma bouche et elle picore en me disant de me laisser aller, que je suis bien, que je suis bonne, que je vais jouir, que je ne dois penser quà moi
que nous allons lenvoyer au septième ciel et quelle veut que je jouisse autant avec elle quavec JP.
Je suis sur un petit nuage de bulle. JP recommence à présenter sa grosse queue à lentrée de ma chatte, puis, profitant dun retrait du gode senfonce dune seule poussée bien au fond. Je hurle de plaisir
ma copine me mord les lèvres comme pour me punir de ne pas jouir delle, puis se remet à me tripoter la motte, nhésitant pas à frôler le membre qui rentre et sort à une cadence de plus en plus rapide. Elle joint sa main libre à celles de JP et la sarabande recommence sur mes seins dont les pointes semblent doubler de volume. JP mine de rien laisse glisser ses mains sur la poitrine de ma copine qui a, au départ, un mouvement de recul
mais comme jy mets les miennes elle se laisse aller en fermant les yeux. Salope que je suis, coincée entre une femme et mon amant
qui profite largement de la situation, qui me pénètre comme un malade, qui paluche lautre pute qui, je le sens sénerve en me sentant partir de plaisir. Elle saisit mes seins et les mord comme JP sait le faire, pinçant les pointes, malaxant leur masse pour les aspirer entre ses lèvres sensuelles.
Je ne sais plus ou jen suis, qui me fait jouir
je ne laurais pas cru si on me lavait dit il y a un an. Certes, ce serait mieux si cétait deux mecs, je le dis et même jy pense de plus en plus, sachant quil y en a un qui nattends que ça
et quen plus je sais, maintenant, que jy prendrais du plaisir. Deux mecs pour me bourrer
aaaaaaaaahhhhhh, cette évocation me procure un orgasme de salope qui fait presque sarrêter mes deux copuleurs. La copine, prenant le gode me lintroduit de nouveau dans la chatte. Ca rentre sans coup férir tellement je suis trempée. JP, appuyant sa queue contre mon anus pousse doucement et sintroduit lentement en me disant que je suis bonne, que je suis salope, que cest lui qui ma faite comme je suis devenue
quil veut bien me prêter à dautres, mais que je suis à lui et quensuite cest lui qui viendra me reprendre, pour enfoncer sa grosse bite là où dautres auront rentré leurs doigts ou leurs queues
Je tremble de jouissance
ce mec est un salaud
il me donne envie de faire ce dont je ne me serais jamais crue capable
juste pour lui montrer que je peux le faire, juste pour lui montrer que je deviens la bonne petite salope qui va lexciter avec son beau cul de baiseuse, la belle petite pute qui se prendra de la bite pendant quil la regardera jouir
Je menvoie de nouveau en lair en sentant ma copine bouger le gode tout au fond de ma vulve en rut, en sentant ce gode venir au contact de la grosse queue de mon amant qui maintenant me bourre comme un malade, à grands coups de rein, ses mains cramponnées à ma croupe de femelle
Cest salaud, mais alors salaud
Pute, ouiiiiiiiiiiiiiii, je suis sa pute, il me fait jouiiiiiiiiiiiiiiir ce queutard, et elle aussiiiiiiiiiiiiiiiii, la salope, ouiiiiiiiiii, la salope
elle sait y faire
âââââââââââhhhhhhhh, elle me bouffe la bouche et ses mains viennent attr les hanches de JP pour lui faire augmenter la cadence de sa pénétration, comme si cétait elle qui me donnait de la queue
Je nen peux plus
dans un long râle et dans un cri de gorge je pars du cul, de la chatte, de la bouche, du ventre
je sens la houle memporter, au bord de lévanouissement
la bite de JP enfle dans mon ventre, je la sens se mettre à vibrer et, dun coup, son hurlement de plaisir me tétanise, pendant que ma copine se met à gémir son plaisir en me suçant les lèvres. Elle jouit en laissant ses mains caresser mon dos ainsi que la poitrine de JP, qui lui se met à lui palucher les seins doucement. Je mendors entre ses deux salauds qui mont éclatée. Jai joui, joui, joui
Ils mont rendue encore plus salope et pute quavant
Je vais recommencer... JP
oui je vais recommencer
tu vas être fière de moi
ta salope.
Ton bébé pute va te surprendre
tu vas pouvoir te branler en sachant tout ce quelle est capable de faire
!
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