Rencontres Gay Au Cinéma 2

J'étais debout, adossé au mur du fond de la salle, les bras pendant le long du corps. Un homme est venu me rejoindre et s'est mis dans la même position. Il a effleuré ma cuisse de sa main et n'obtenant aucune réaction, il la plaqua sur mes fesses en glissant un doigt dans la raie. Il tourna la tête vers moi et chuchota à mon oreille :
- Tu baises ?
L'assaut était tellement brutal que j'ai écarté sa main et répondu non. Ce n'est pas que je voulais pas, mais j'aurais aimé d'abord une approche timide, progressive, des caresses furtives, des tentatives presque apeurées, bref, des préliminaires.
Un autre homme est venu. Celui-là, fut le bon. Il s'est approché doucement, a commencé par des frôlements si légers qu'on aurait dit qu'il avait peur de mes réactions. Pourtant, si on venait dans ce lieu, c'était bien pour la même raison. Mais j'ai aimé ça. Les frôlements se sont faits petit à petit plus appuyés et enfin sa main s'est posée à peine une seconde sur ma cuisse. Aucune réaction ? Donc elle est revenue, est restée un peu plus longtemps. Sûr de ne pas être refoulé, mon voisin commença à me caresser en remontant centimètre par centimètre vers la ceinture du pantalon. Voyant que je me laissais faire, il passa sa main dans mon dos et caressa tendrement mes fesses. Puis, il se tourna face à moi et colla son corps contre le mien. Ses deux mains étaient sur mes fesses et pressaient mon pubis contre le sien.
Sa tête était dans mon cou. Je le sentais qui haletait.
Il s'écarta légèrement et s'attaqua aux boutons de ma chemise. Il écarta les pans et promena ses mains brûlantes de désir sur mon torse. Il caressa mes épaules, mon dos et mes hanches puis essaya de passer ses mains dans le pantalon pour caresser mes fesses. N'y parvenant pas, il posa une main sur mon sexe, pour s'apercevoir qu'il était raide. Il descendit lentement la fermeture éclair et glissa ses doigts sous l'élastique du slip.

Il sortit l'objet de son désir et retourna s'adosser au mur. Sa main enserrait la peau de mon sexe et ses mouvements découvraient puis enserraient à nouveau le gland si sensible de mon sexe. Il continua jusqu'à l'éjaculation. Puis il remit mon sexe dans son logement et revint se placer face à moi.
Il dégrafa ma ceinture, écarta mon pantalon et posa ses mains sur mes fesses, à même la peau. Collé contre moi, il déposait des bisous dans mon cou et soudain, glissant un doigt dans la raie, il l'introduit dans mon petit trou en poussant le plus loin qu'il put. De son autre main, il se branlait. Arrivé à l'orgasme, il éjacula contre le mur, se rhabilla et partit.