Ma Jolie Tante Estelle (1)
Bonjour ! Je mappelle Aurélien, jai 19 ans, et je voudrais vous raconter ce qui mest arrivé lété dernier, pendant un séjour en Provence, au mois de juillet. Mes parents sétant absentés plusieurs semaines aux USA pour affaires, ma tante Estelle sest proposée de moffrir des vacances dans leur villa située dans larrière pays Varois. Cest une région superbe, il y fait très beau. La villa dEstelle et Pierre est totalement isolée: le premier voisin est à 4 km. Elle est construite en «U» autour dune piscine magnifique à débordement, dans laquelle nous nous baignons le plus souvent nus, nayant rien à craindre des voisins.
Au début, cette nudité me gênait un peu, mais les naturistes savent quon sy fait très vite, et maintenant cela ne me dérange plus du tout de me promener nu dans la maison. Ce qui mamuse tout de même, cest que, chez Estelle, cette nudité, naturellement de rigueur dans et autour dune piscine, se pratique aussi très facilement dans la maison. Cela mamuse de lapercevoir vaquer à ses occupations de maîtresse de maison, toute nue, et non gênée... Mais sans aucune pitié pour moi... car elle na rien dune vieille tante. Elle affiche superbement ses trente-deux printemps, et cest la plus jeune (et la plus espiègle) soeur de ma mère. Pierre, son mari, est un peu plus âgé (ou plutôt moins jeune): il frise les quarante ans...
Il faut avouer que des vacances là-bas sont des vacances de rêve ! Au réveil, nous sommes noyés de lumière par un soleil radieux, salués par de nombreux chants doiseaux. Les matinées sont généralement consacrées à faire des courses et traîner dans les ravissants marchés provençaux. Laprès-midi une bonne petite sieste, puis la piscine, puis la piscine
et encore la piscine. Le pool-house est très confortable, et nous y passons le plus clair de notre temps. Nus, nous jouissons dun sentiment de liberté totale, et nous en profitons au maximum.
Cet après-midi là, je suis seul avec Estelle, Pierre ayant été retenu à Toulon.
À poil, je suis assis à lombre, sous le pool-house, avec un énorme jus de fruits bien frais, et je feuillette une revue de planche à voile. Estelle, seulement vêtue dune chaînette en or autour de la taille, vient de sortir de leau et, sans se sécher, sallonge sur une grande serviette, à plat-ventre, les jambes ouvertes, soffrant avec un plaisir évident à la chaleur des rayons du soleil. Elle arrange son appui-tête, pose ses bras le long de son corps et me demande dans un soupir:
- Dis, Aurélien, quand je serai bien séchée par le soleil, tu pourras me mettre de lhuile dans le dos ?
- Oui, bien sûr !
Javoue que cette idée-là me séduit plutôt. Pouvoir la toucher... Sa peau, uniformément bronzée, encore décorée de gouttelettes, invite à la caresse tellement elle est belle. Son épiderme, très bronzé, a presque lapparence de la peau de ces femmes noires à la peau si douce...
La chaleur du soleil fait rapidement son travail, et Estelle minvite à venir lui badigeonner le dos. Il me faut me concentrer car ma nudité risque de dévoiler mes pulsions, sil marrivait de... Heureusement, pour le moment il nen est rien, et je laisse tomber mon journal, saisis la petite bouteille dhuile solaire, et vais magenouiller près dEstelle, sur sa gauche. Elle a le visage tourné de lautre côté.
- Tu men mets bien partout, ok ? Je ne le fais pas moi-même, car après jen ai plein les mains...
Probablement une vieille habitude de la plage, avec le sable...
Je verse un peu dhuile dans ma main droite et je la pose sur son dos. Cest un délice de douceur ! Lhuile est douce, la peau encore plus, et je létends consciencieusement, concentrant mon travail sur les épaules, le dos, et les reins. Mon geste est lent, doux, accentué. Estelle émet un ronronnement de satisfaction...
- Mmmmh ! Tu sais que tas les mains vachement douces...
- Ben avec lhuile, ce nest pas difficile...
-Oui, cest vrai, mais quand même.
Je poursuis ma caresse dorsale, un oeil sur ses ravissantes petites fesses bien fermes...
Elle insiste:
- Vas-y ! Continue à bien men mettre partout... Et noublie pas les jambes !
Javais oublié les jambes ! Cela me donne un petit répit. Mais ce qui me gêne, cest que je commence à bander, et je ny peux rien. Elle ne sest aperçue de rien, puisque son visage est tourné de lautre côté. Prudemment, je me déplace à hauteur de ses cuisses pour huiler les mollets. Ses jambes étant légèrement écartées, je distingue parfaitement son sexe dans sa touffe de poils intimes... Je répands lhuile sur un mollet, puis sur lautre avec beaucoup de douceur, sachant que cette douceur lui plaît...
Elle insiste encore
.
- Cest bon
mais naie pas peur, Aurélien ! Tu peux aussi men mettre sur les cuisses, et sur les fesses...
Là, linvitation me provoque une érection totale, indissimulable, sans équivoque... Mon gland est totalement décalotté, presque arrogant. Heureusement Estelle a toujours les yeux fermés, et savoure ouvertement mes caresses huileuses et chaudes...
Je pose encore de lhuile sur une cuisse, puis sur lautre, nosant pas aller plus avant. Quand je pense que mes doigts passent à quelques centimètres de ce temple de plaisir !...Tiens ! Il me semble avoir senti une légère contraction des muscles fessiers! Je mets cela sur le compte dune chatouille ou de je ne sais quoi dautre...
- A lintérieur des cuisses aussi, nhésite pas...
Sa voix avait changé... Toujours sans un mot, je passe ma main huileuse à lintérieur de ses cuisses, assez rapidement, comme un professionnel... Mon érection est au maximum, et je nose envisager le moment où elle va sen apercevoir...
- Aurélien ! Noublie pas les fesses, tu veux bien ? Car sinon, le soleil ne va pas me rater...
Oh non ! Je noublie pas les fesses.
Tantôt la main droite, tantôt la main gauche sy promène, assez furtivement, certes, mais suffisamment pour mentretenir une splendide érection.
Estelle apprécie manifestement la caresse... Elle ronronne, gardant toujours les yeux fermés...
- Oh oui, Aurélien, tu as des mains magiques... Continue... mets-en bien partout... partout...
Et ce faisant, je la sens soulever légèrement son fessier, comme si elle voulait aller au-devant de mes caresses. Alors ma main droite qui était en train de remonter le long de lintérieur de sa cuisse ralentit son parcours, et continue de monter, avec beaucoup plus dinsistance. Mes doigts touchent les poils de son sexe et sy attardent un peu. Je mattendais à une protestation, mais non ! Cela lui arrache un soupir presque bestial...
Je continue mon voyage digital qui arrive à la raie des fesses, passe sur lanus lentement, très lentement, puis arrive sur le bas des reins. Il ny a, je crois, plus aucune équivoque sur ce que je souhaite, et sur ce quelle désire. Mes doigts redescendent doucement. Je sens ses fesses se tendre vers mes doigts... Là ! Voilà !...Elle se dévoile enfin...
- Oh oui !
Que cest bon, ça! Continue... Oh oui...
Je marrête quelques secondes sur lanus, pour voir... Confirmant son acquiescement, elle tend son cul à la rencontre de cette caresse... Mon doigt accentue la pression sur son petit trou et y pénètre en partie, favorisé par lhuile qui rend tout facile.
- Oh oui, Aurélien, Ouiiiiii ! Oh que cest bon... !
Estelle soulève le buste sur ses bras tendus, cambrant encore plus ses reins. Sa position, ventre encore au sol et jambes écartées, accentue le rebondi de ses fesses brillantes dhuile et de soleil. Elle a toujours les yeux fermés, visage vers le sol, savourant cette caresse intime. Je la tiens au bout de ma main, offerte, sabandonnant au plaisir... mon doigt fouille son intimité, chaude, mouillée, et glissante à souhait... Sy mélangent ses intimes sécrétions et lhuile solaire...
Tout nest que douceur, tout nest que caresses pénétrantes. Mes doigts se glissent tour à tour dans le vagin, puis sur lanus, indifféremment. Mon pouce force doucement lorifice anal, et cest maintenant par ses deux orifices que je la tiens... dune main, avec deux doigts...
Alors seulement, elle tourne son visage vers moi, le regard chaviré par le plaisir. Elle aperçoit mon érection qui lui provoque un sourire de gourmandise sur les lèvres
- Mon ptit Aurélien... Ce que tu me fais est un véritable délice... Et je vois que ça tinspire plutôt !...
Alors, elle se déplace légèrement, le regard fixé sur mon sexe au garde-à-vous, et approche doucement son visage. Je sais quelle va me sucer et cela me trouble beaucoup. Mes doigts sactivent dans sa chatte et dans son cul. Cela lui fait encore fermer les yeux, lisolant encore pour quelques secondes dans son plaisir quelle distille avec parcimonie... Puis elle se laisse tomber sur mon sexe, lengloutissant dans sa gorge, et le maintient très serré entre ses lèvres.
Elle murmure je ne sais quoi, grogne, gémit, gourmande, puis lâche sa proie, et, les lèvres dégoulinantes de salive, lève son visage vers moi. Je nai quà baisser légèrement la tête et nos lèvres sunissent doucement, tendrement, avec beaucoup de complicité.
Alors, je la repousse gentiment.
- Attends Estelle, tu vas voir... Reste comme tu étais, à plat ventre...
- Que vas-tu faire, jeune fou ? sexclame-t-elle en riant...
Et sans un mot, je me mets derrière elle, entre ses jambes ouvertes, prend aussi appui sur mes bras tendus de part et dautre de ses épaules, dans la même position que pour faire des pompes...Mon sexe est bandé, bien raide, et bien dur.
Je le pose entre ses deux fesses. Le contact de nos deux peaux, maintenant huilées à souhait, est un délice de douces sensations. Mon sexe se glisse entre les deux fesses, et je mamuse à my frotter, sans la pénétrer, juste me caresser avec ses fesses.
Appréciant cette douce pression, et sachant le plaisir quelle me procure, elle accentue les mouvements de son bassin, le tendant rythmiquement en arrière, me prodiguant de merveilleuses caresses masturbantes avec ses fesses (je devrais écrire festurbantes !). Je me branle entre ces deux parties charnues si chaudes et si douces...
Puis doucement je viens mallonger sur son dos, savourant la douceur et la chaleur de sa peau sur mon ventre, et celles de ses fesses sur mon sexe. Je continue de my frotter, me servant delle pour assouvir mon plaisir bestial. Mon bassin ondule effrontément, sans retenue. Allongé de tout mon long contre elle, ma bouche peut lui mordiller loreille, et je lui murmure:
- oh Estelle... Que cest bon de sexciter comme ça! Tu aimes cela... ?
- Oh oui, mon Aurélien, cest bon... tu me caresses bien le cul avec ta bite... oh oui, cest bon...
Et moi de continuer mon mouvement obscène du bassin... Elle aussi bouge beaucoup... Et dun coup, sans que je le veuille, mon sexe glisse et la pénètre, dans le vagin... Nous nous immobilisons, presque surpris. Je la sens retenir sa respiration. Je sens que seul mon gland la pénétrée, par la douce chaleur qui le baigne... Je continue doucement et à très faible amplitude mon petit va-et-vient...
- Oh mon salaud ! Tu mas enfilée... Oh que cest bon... vas-y ! enfonce-toi bien... vas-y,...Aurélien, je ten supplie...
Mais moi, je veux absolument me délecter du moment présent. Alors, je contre son mouvement de cul qui aurait tendance à me faire la pénétrer trop vite. Non ! je veux contrôler... doucement.....
Alors, je linvite à se mettre simplement à quatre pattes. Elle obtempère sans broncher, le cul tendu, offerte... les cuisses encore ouvertes. À genoux entre ses jambes, je saisis les fesses à pleines mains, les écarte, ouvrant cette chatte que je sais si chaude et si humide. Jy pose mon gland à lentrée. Oh ! Cette douce petite chaleur qui me donne des frissons dans tout le dos. Et dans ma tête, le fait dêtre certain que, dans les secondes qui viennent, je vais enfiler ma tante...
Et je pousse tout doucement. Attentivement, je contemple ma tige de chair, juste en dessous de lanus distendu, qui senfonce, millimètre après millimètre. Estelle est aux anges, elle gueule presque, haletante, le verbe plein de soupirs et de «oh oui...» quelle ne retient plus. Elle-même, dune main, sécarte une fesse, impudiquement offerte. Mon sexe senfonce... senfonce. Jarrête, savourant leffet obtenu. Mon pouce se pose sur lanus et sy glisse aussi, doucement sans difficulté, favorisé par toute cette huile qui, mélangée à la sueur, constitue le meilleur lubrifiant.
Soudain, jeffectue de brutaux mouvements de va-et-vient. Mon excitation monte vite, et je me sens devenu vraiment comme une bête... Estelle se donne totalement à ce rapide et brutal ramonage. Cest bon, il faut poursuivre... Je libère mon engin et le pose doucement sur lanus... Le bout de gland y est déjà appuyé... Je nai plus quà pousser avec beaucoup de douceur... Estelle hurle son plaisir, hurle son enthousiasme de se faire bientôt enculer...
Je la sens détendue, bien huilée, consentante. Et je pousse tout doucement... Il me faut fournir un petit effort, il y a un obstacle à vaincre. Estelle maide, sécartant les fesses des deux mains, totalement soumise. Elle-même pousse dans lautre sens pour favoriser cette pénétration inattendue. Et bientôt, je sens autour de mon gland, puis de ma verge, une tension annulaire qui coulisse facilement le long de ma tige... et me voilà entièrement introduit dans son anus, ne pouvant aller plus loin... Je la tiens bien... bien emmanchée. Elle repose ses épaules au sol, et dune main se caresse, et de lautre me tripote les testicules. Elle halète, prononce des insanités, même des grossièretés. Elle na plus aucune retenue. Offerte, baisée, enculée, Estelle est à ma merci.
- Le salaud ! Il ma enculée...Oh que cest bon ! ... je suis enculée... pour la première fois ! ... Oh que cest bon...
Doucement, avec beaucoup de patience, je tente un recul prudent. Mon sexe ressort sans problème... je repousse à nouveau et il sy enfonce aussi facilement. Et toujours cet anneau intérieur qui menserre et coulisse le long de ma verge. Alors, je commence un lent va-et-vient anal, total, profond, complet, savourant ce muscle qui me serre si fort. Pour moi aussi, cest la toute première fois que jencule une femme, et cette sensation est vraiment fantastique... Estelle narrête pas de gémir, un peu de douleur, mais beaucoup de plaisir, car dans sa tête cela lui donne certainement du plaisir de se sentir ainsi avilie, enculée, soumise...
D'ailleurs, elle se masturbe de plus en plus fort, de plus en plus vite... Je sens que le plaisir monte et je ralentis très fortement mes va-et-vient, pour que ce moment suprême béni des diables se prolonge encore plus longtemps. Je ne bouge presque plus, mais je sens encore le plaisir monter doucement, je sens mon sexe se tendre, je sens mon gland grossir, je sens limminence de la solution finale... Je ne bouge plus... espérant que tout va se calmer pour durer plus longtemps.
- Estelle, je vais venir... je vais venir... Estelle, je vais jouir, ça vient...
- Oh oui, jouis mon Aurélien, vas y...
Jessaie bien de retenir ce moment sublime, intense, fort, renversant... mais cest plus fort que tout et je ne peux résister. Brutalement vaincu, je capitule sans condition, et me déverse en pleine puissance dans les entrailles dEstelle. Cette éjaculation lui provoque un délire verbal insensé! Le verbe est salé, obscène et les jets de mon sperme lui provoquent son orgasme, à son tour... Je gicle par saccades, je sens ses muscles internes me serrer de plus en plus fort. Puis mes pulsions éjaculatoires diminuent vite, cessent et bientôt tout se ramollit. Je me retire doucement... flasque, sans vigueur, vidé, lessivé... épuisé, mais prêt à recommencer...
Calmement, elle se retourne, assise, passe ses mains derrière ma nuque, et avec un grand sourire, membrasse...
- Merci mon Aurélien... Tu sais, cest la toute première fois ! ... Je ne lavais jamais fait, car je pensais que cela faisait vraiment mal... Mais finalement, quand cest bien fait !...Cétait délicieux !
- Moi aussi, cest la première fois !
- Que tu baises ?
- Non ! Que jai ce type de... pénétration...
- Mais alors ! Cest une première ! Quand je vais dire ça à Pierre !
- Pourquoi ! Tu vas lui en parler ?
- Pourquoi pas ? Cela te gêne ?
- Moi non, mais... je sais pas... ces choses ne se disent pas...
- Pas entre lui et moi, mon petit Aurélien...
Et elle se réinstalle confortablement à plat ventre sur sa serviette... Je veux en savoir plus:
- Alors avec Pierre, tous les deux, vous vous dites tout ?
- Oui, tout ! Cela fait partie de la règle du jeu dès que nous avons décidé de vivre ensemble. On fait ce que lon veut, mais on se le dit... cest tout !
- E il nest pas jaloux ?
- Tu parles ! Ca lexcite même quand je lui raconte quelques aventures... Et puis, quest ce que cela veut dire être jaloux, si tout le monde y trouve son compte ? Moi je suis bien, à vivre avec lui, et cest pour cela que nous restons ensemble. Je ne lui en veux pas sil se saute une autre femme ! Je lui demande seulement dêtre prudent, cest tout!
- Ah bon ! ... cela me surprend plutôt !
- Écoute mon ptit Aurélien, la jalousie est un acte de faiblesse
il me semble que lindividu, pour se rassurer vis-à-vis des autres, ressent la nécessité idiote de leur montrer quil est blessé dans son amour-propre... Donc, il fera tout pour ne pas perdre la face. On retrouve ce trait de comportement dans certaines cultures contemporaines, parfois issues directement du moyen-âge. On devient violent, on tue, on fait même, juste pour ne pas perdre la face. Alors, tu comprends...bla bla bla... bla bla bla... bla bla bla
Je ne lentends plus. Assis à côté delle, je ne vois que ses fesses, son adorable petit cul que je viens de pénétrer, denfiler, de sauter, et dans lequel je viens de gicler. Je me remémore la peau huileuse, la chaleur caressante, lanneau musculaire pendant la pénétration. Cette excitation lente dans son cul... Ce plaisir qui monte... qui monte...
- bla bla bla... bla bla bla.... alors tu comprends, moi je nen fiche de ce que les autres pensent... tes daccord?
Je retombe du ciel, arraché de mes rêves... Plus terre-à-terre quelle, je demande:
- Dis, on recommencera ?
- Tas pas écouté ce que je viens de dire !
- Non ! Excuse-moi ! Mais par contre, je nai pas oublié ce que lon vient de faire... et ça, ça ma bien plu...
Elle éclate de rire.
- Tu sais, à moi aussi, ça ma bien plu... Oui, je te promets, on recommencera...
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