22 Les Flics !
Mars 2003
Quand je suis parti de chez moi, dimanche soir, il pleuvait très fort et je pensais quil serait impossible de baiser dans la nature avec ce temps là. Mais au fur et à mesure que je roulais vers le nord le temps se dégageait, il ne pleuvait plus du tout, il faisait 11°.
Je suis passé à laire du Bois du Juré, mais il ny avait personne.
Lorsque je me suis arrêté à laire de lautoroute A30, il était déjà 21:45. Une seule voiture une Ford blanche - était stationnée à lécart. Je mapproche à pied, sans succès. Je fais le tour des WC et je repère plusieurs inscriptions identiques : « recherche rencontre bi le 31/03/03 voiture blanche ». Cest aujourdhui, et cest une voiture blanche
Pendant ce temps un jeune homme de 25-30 ans sest approché et sest glissé dans un cabinet et laissé la porte entrouverte. Je ne le voyais que de dos. Il est resté très longtemps. Il a changé plusieurs fois de cabinet sans oser se laisser approcher. Je suis maintenant habitué à ce genre de comportement et je pensais que je ne devais pas lui convenir.
Enfin, je réussis à le croiser dassez près pour pouvoir lui parler : « Tu es seul ? Tu veux que je te suce ? » En fait il était très timide et mon apparence a dû limpressionner : je pouvais être son père !
Nous nous sommes éloignés de la lumière des toilettes. Une fois dans le noir, je lui ai mis la main à la braguette et jai cherché sa bite. Jai trouvé une belle queue et des couilles bien rasées avec un vaste prépuce. Il ne bandait pas encore mais quand je lai eu en bouche, sa pine sest raidie rapidement. Je lai sucée avec gourmandise jusquà ce que je pense quil devait bientôt jouir. Je me suis alors placé derrière lui et je lai branlé avec ma main droite. Je navais plus la bouche pleine et jai pu lui parler. Je lui ai dit quil ne devait plus avoir peur des vieux, quils en avaient envie de bites, eux aussi ! Brusquement, il a éjaculé de nombreux et de longs jets de sperme très blanc.
On sest dit au revoir et il sest éloigné. Cest à ce moment que jai vu que plusieurs voitures étaient arrivées entre temps. Je suivis un grand type qui sengageait dans les sous-bois. Il devait bien connaître les lieux car il a trouvé un passage dans le grillage, donnant accès à une belle forêt de pins. Après quelques enjambées il sest adossé à un arbre et a commencé à se branler. Sans hésiter, je me suis jeté sur cette belle grosse bite déjà raide et je lai enfournée dans ma bouche. Il était excité et me traitait de salope et autre nom, ce que je napprécie pas trop ! Je lui proposais de menculer : daccord ! Une capote, un peu de gel lubrifiant, et me voilà appuyé à deux mains contre larbre avec sa pine dans le cul. Il balançait de grands coups de reins et me pénétrait bien à fond. Soudain, un léger bruit me fit tourner la tête : un autre homme sétait approché silencieusement de nous fasciné par lenculade. Je lui fis signe dapprocher et de se placer près de moi. Avec son aide, je réussis à extraire de son jean sa verge toute raide et je le suçais aussitôt. Je ne lavais pas pompé plus de 2 ou 3 fois que déjà il éjaculait dans ma bouche : je ne my attendais pas ! Toujours sodomisé énergiquement par le premier, je recrachais le tout, en caressant sa queue toujours dure.
Cest alors que les lumières de plusieurs lampes torches ont soudainement balayé la pinède. Un fourgon était arrêté toutes portes ouvertes dans la zone éclairée par les toilettes : les flics ! Sans hésitation, nous nous sommes séparés tous les 3. Cétait la panique, chacun pour soi ! Je me suis enfoncé très loin dans le bois et je me suis immobilisé derrière un des troncs les plus larges.
Je suis reparti du parking à 22:30. Jétais en retard mais personne ne mattendait. Arrivé à Charleville, jai pris ma chambre à lhôtel et je suis allé au square Bayard, un peu échaudé tout de même de mon aventure avec la police. Tout de suite, jai trouvé un type sympa denviron 40 ans et on sest peloté derrière la palissade. Il ma caressé le cul et les couilles pendant que je lui suçais le dard. Quand je lai terminé à la main, il a juté au sol tout son sperme, transparent et très liquide. Il ma dit que les flics passaient parfois, mais sans sarrêter.
De retour à lhôtel, je me suis épilé les aisselles, la poitrine le cul et les couilles avec de la crème dépilatoire. Je lai fait 2 fois sur mes couilles. Je naurais pas dû, car ça ma brûlé comme un coup de soleil !
Le lendemain vers 20:30 je suis retourné au square Bayard. Jai eu du mal à trouver quelquun. Un type en survêtement blanc se trouvait tout seul derrière la palissade. Je lui ai sucé la queue : une très grosse bite recourbée vers le haut et tordue vers la gauche. Je ne lui ai pas proposé de menculer car elle était trop grosse. Il voulait que je lui morde le gland. Je lui ai dit que javais peur de lui faire mal. Brusquement, il est parti « Alors si tu as peur de me faire, je me tire ! »
Je marchais un peu et je rencontrais un jeune homo très gentil, avec qui javais déjà discuté au mois de janvier.
Décidément, trop de flic ce week-end !
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