La Découverte Du Sexe Sous Toutes Ses Formes

Depuis quelques temps, Maud et moi, après nos aventures de province, étions de nouveau dans la capitale. Jeunes sans s, les sorties étaient faciles, et nous allions souvent sur les grands boulevards, au cinéma, au restaurant et au théâtre. Le Sentier était proche et il nous arrivait d’aller dans ce quartier le soir regarder les nombreuses boutiques de mode. Ce quartier regorgeait à l’époque de prostituée, que nous pouvions regarder en passant, aguicher les hommes venus pour cela.

Maud un jour m’a avoué que le passage dans ces rues l’émoustillait. Elle m’a demandé si j’étais excité à la vue ces jolies femmes vendant leurs charmes, et même, « tu sais, la prochaine fois que nous passons par là, cela m’exciterai de savoir laquelle tu choisirais… ».

Quelques temps après, nous passons rue blondel ou de nombreuses femmes stationnent, alors me dit elle, « quelle jolie fille choisirais-tu ? », piqué au vif, je lui indique une grande blonde pulpeuse, au moins 95 C de tour de poitrine, 1.75 m, poitrine largement visible au milieu d’un minuscule chemisier, de longues jambes mises en valeur par des bottes à hauts talons, de belles cuisses laissées visible par une jupette, arrivant au ras des fesses.

Le temps passe encore un peu, et fantasmant lors d’une bonne partie de fesses, nous revenons sur la belle choisie, rue Blondel. Et si tu lui demandait « combien elle demande pour ses prestations » tu me raconteras… Après un détour à la sortie du bureau, je passe voir cette belle, je discute son prix, ses prestations…La suite avec Maud est déconcertante, elle me demande tout benoîtement de monter avec cette fille et de lui raconter. Pour voir ses réactions, après quelques temps, je rentre en retard du bureau, alors Maud me demande, alors dis-moi comment elle baise…je lui ai confirmé seulement que mon retard n’avait rien à voir avec cela, que toutefois à force de me pousser, je finirais bien par aller coucher avec cette belle prostituée.

A chaque relation sexuelle, elle revenait sur le sujet, « baise moi comme tu aimerais baiser la belle pute, … ». Finalement, j’ai rencontré cette belle prostituée, LOLA, effectivement le déplacement en valait la peine, elle était magnifique, rasée, des fesses rondes et fermes, des seins rebondis juste un peu tombant donnant à cette femme quadra une sensualité étonnante, sa prestation était sans reproche, fellation experte, plusieurs positions, à l’écoute du plaisir. En rentrant, Maud se doutait cette fois ci que mon retard était motivé par la jolie blonde. Très excitée, Maud m’a demandé de lui raconter, point par point mon passage rue Blondel. Elle m’a demandé de la baiser pendant mon récit, Maud a jouit comme une folle. Après, cette bonne partie de fesses, Maud m’a demandé « Jo, j’aimerai avoir une fois dans ma vie, une fois faire l’expérience de l’activité de LOLA, aide moi à le réaliser, demande à LOLA, de me prendre avec elle pour une matinée… ». J’ai demandé à réfléchir, quelques jours après, nous avons convenu des limites, des précautions, je suis allé voir LOLA, (non sans avoir profité de mon passage pour un bon moment de plaisir). LOLA a été surprise, mais elle a accepté en disant « mais les petits cadeaux seront pour moi ». Une rencontre entre LOLA et MAUD a été organisée, leur échange est resté un « secret entre femmes ». Le jour fixé, j’ai accompagné comme convenu MAUD qui portait un sac contenant la tenue conseillée par LOLA, MAUD monte alors à la chambre indiquée par LOLA (Je suis autorisé à être un voyeur extérieur).

Maud maintenant arrive sur la rue, elle est vêtue d’un tailleur rouge, plutôt moulant, la jupe est remontée pour arriver en haut des cuisses et laisser au moindre mouvement voir la naissance des fesses. Elle porte des bas noirs dont ont aperçoit le haut avant la découverte de la chair. Elle est perchée sur des hauts talons d’une quinzaine de centimètres qui viennent accen la courbure des reins et la rend plus grande car elle ne mesure que 1.
65 m. Le haut du tailleur est porté directement sur la peau à l’exception d’un soutien gorge qui visiblement ne couvre rien de son 95 C et ne sert qu’a soutenir et compresser ses seins. Le plus choquant est pour moi son maquillage, lèvre très rouge, yeux très maquillés et souligné de noir, ce qui tranche avec ses cheveux auburn. Dans un premier temps, elle reste appuyée contre le mur à côté de la porte de l’hôtel, un puis deux hommes dont un de couleur, conversent avec elle, visiblement les propositions ne conviennent pas. Voyant cela, elle cherche à accrocher les regards des amateurs de rondeurs callipyges, elle fait quelques pas sur le trottoir, puis revient vers sa place puis recommence. L’effet ne se fait pas attendre, un homme jeune, environ 25 ans, l’aborde, visiblement, ils tombent en accord. Maud, rentre dans le couloir suivi de son client. Mon cœur ne fait qu’un tour, même si l’on a voulu cette expérience tous les deux, c’est dur de voir sa femme « monter ». J’observe de l’extérieur, elle ne prend pas l’ascenseur, préférant l’escalier pour montrer ses fesses et certainement mieux exciter l’homme qui va la baiser dans quelques instants.

Je n’ai pas a attendre, entre sont départ de la rue et la descente de son premier client moins de 15 minutes se sont passées. A peine l’homme à disparu rue Saint Denis, que Maud est de nouveau à son poste, elle n’a pas un regard pour moi sur le trottoir d’en face, cette fois, visiblement un homme d’une soixantaine d’année, qui visiblement l’avait vu monter, et l’attendait, l’aborde, à la durée du marchandage on devine, qu’il souhaite plus qu’une simple « passe » et la discussion dure un peu, avant qu’il ne disparaisse avec MAUD, dans le couloir, puis dans l’ascenseur. Cette fois, l’attente est longue, plus d’une demi heure, presque 40 minutes. L’homme redescend, je décide de le suivre et de l’aborder, pour savoir… je le ratt rue Saint Denis, je l’aborde en lui demandant si la « pute » qu’il vient de prendre « fait un bon travail », j’aimerai bien monter avec elle, mais … Je lui propose de prendre un verre, il accepte, chacun prend un demi, et les renseignements attendus arrivent.
Selon lui, il lui a proposé, de rester plus longtemps avec elle, et de pouvoir se faire sucer, puis de la sucer en 69, de la baiser en levrette, il lui a demandé la sodomie qu’elle a refusée, mais a consentie à se faire décharger sur la chatte et les fesses. Il m’a avoué avoir été surpris par la qualité de la pipe qu’elle lui a fait, « profonde jusqu’aux couilles » et « baveuse », sans capote, il m’a indiqué également qu’elle avait un cul d’enfer, et qu’il espérait bien pouvoir l’enculer une autre fois. Selon lui, c’est une occasionnelle et il ne faut pas hésiter, ce sont les meilleures, car elles aiment cela … il n’a pas voulu me dire le prix payé…Nous nous sommes quittés et je suis allé de nouveau rue Blondel, elle n’était pas sur le trottoir, j’ai demandé à Lola qui était là, si tout allait bien. Elle m’a répondu qu’elle avait, sur ses conseils accepté de prendre deux de ses clients simultanément et qu’ils étaient dans la chambre avec elle. Elle a ajouté, comme cela son expérience sera totale, elle risque d’être fatiguée après, car se sont deux bon compères, bien montés et exigeant la soumission en rapport avec le « cadeau » versé. Je pense également que tu peux aller l’attendre en face la chambre comme le font certains clients. Sur ces conseils je suis allé attendre, en effet ce fût long, j’entendais, quelques grossièretés, du genre « aller tend bien ton cul, salope, que Pierre te lèche la rondelle avant de t’enculer », « vient suce moi, mouille ma bite de salive, ça glissera mieux, pour te sodomiser »… qu’il est bon ton cul…..Ben, décharge lui dans la chatte…. Oui, je viens ». Visiblement Maud encaissait sans trop rien dire, puis tout à coup, « mes salauds, vous m’avez eu, je jouis, je jouis, encule moi bien à fond comme une bonne salope que je suis… » « Viens me finir à la bouche belle salope… ». Le silence se fait, encore quelques minutes et je vois sortir les deux compères, l’un basané, très brun, mesurant certainement 1.90m, bel homme quinquagénaire, l’autre plus trapu, un peu laid la bonne cinquantaine, mais souriant, il me fait un coup d’œil en passant devant moi et me dit « tu ne regretteras rien, c’est une bonne pute ».
Maud est derrière la porte entrouverte, je m’approche, elle m’ouvre elle est totalement nue, nous nous étreignons. Je lui demande « ça va , c’est dur, tu regrettes », la réponse vient « c’est ni dur ni rien, je ne regrette rien, j’ai vécu ce que je souhaitais…), nous nous asseyons sur le bord du lit, elle me dit embrasse moi, ce que je fais en lui passant la main sur la chatte pour la caresser, elle écarte ses jambes et ses fesses, son sexe est gonflé et son anus boursouflé, je lui demande si elle a mal, elle répond par la négative et m’avoue avoir pris, malgré elle, un plaisir inconnu jusqu'à ce jour. Je bande à me faire mal, je lui demande de me sucer à genoux en me montrant son cul dans la glace, dans cette position je vois son anus encore dilaté et sa chatte gonflée, ensuite je la pénètre en levrette, son sexe est chaud, lubrifié de sécrétions, je n’y tiens plus je lui demande de la sodomiser, elle me dit oui, « encule moi, j’en ai envie » à peine j’ai commencé à la pénétrer que Maud jouit, je sent ses muscle culiers se contracter spasmodiquement, je me laisse aller.


Par la suite Maud ma raconté sa vision des choses.


Le premier à monter avec moi était le jeune homme. En prenant l’escalier, je comptais bien l’exciter en lui montrant mes fesses comme me l’avait conseillé LOLA, le comble pour lui c’est que j’avais décidé de ne pas porter de culotte ou de string. Il m’a fait remarquer que j’avais un beau cul qui lui faisait envi. Arrivé dans la chambre, je lui demandé de me donner « mon petit cadeau » dont nous avions parlé avant de monter. Je me suis ensuite déshabillée en gardant mes bas, tout en lui demandant de bien vouloir se mettre à l’aise. Il s’est mis nu à l’exception de ses socquettes !. Nous sommes passés au lavabo, et tout en lui lavant la bite, je lui ai demandé son prénom « André », je lui ai indiqué que je m’appelais Marie. Tout en le lavant, il s’est mis fortement à bander, je l’ai décalotté à plusieurs reprises (sa bite était assez épaisse mai courte avec un gland pointu) et je lui ai demandé s’il souhaitait mettre un préservatif, il m’a dit non pour la pipe et oui pour te baiser.
Il a pris place sur le lit, et en lui parlant doucement, j’ai commencé à le sucer, en me plaçant de manière à ce qu’il regarde mes fesses et ma chatte dans la glace d’en face. Après quelques instant, je lui ai demandé de venir entre mes jambes pour me baiser, il ma demandé de me prendre en levrette, je me suis prêtée à sa demande après lui avoir mis une capote, il s’est introduit rapidement et après quelques mouvements, il s’est retiré et m’a demandé de le finir avec une pipe. Je souhaitais le « terminer vite », je lui ai fait sans capote, une pipe « baveuse », il est parti rapidement en déchargeant copieusement dans ma bouche un sperme un peu acre, que je suis allé cracher dans le lavabo avant de me rincer la bouche avec le désinfectant que m’avais passé LOLA. Le garçon s’est vite rhabillé, je lui ai ouvert la porte encore nue, puis après quelques ablutions je me suis habillé et j’ai repris ma place pour recevoir d’autres propositions.

Pour ma deuxième rencontre les choses se sont compliquées.

Je suis abordée par un homme entre 50 et soixante ans, grand, certainement plus d’un mètre quatre vingt. Plutôt bel homme, il me demande franchement si j’accepte la sodomie, me réponse étant négative, il me demande quelle seront mes exigences, s’il reste un long moment avec moi, en acceptant un 69, puis qu’il me décharge sur les fesses…nous sommes tombés en accord et nous sommes montés dans la chambre.
Je lui ai indiqué que je m’appelais Marie, il me dit s’appeler Jacques. Jacques m’a demandé de garder mes bas, il s’est totalement déshabillé. L’homme était bien fait de jolies fesses rebondies, un corps qui avait certainement été celui d’un sportif, velu, toutefois le sexe était ou rasé ou épilé. Nous sommes allés vers le lavabo, sa bite était imposante au repos surtout par sa longueur et ses couilles bien pendantes, malgré mes caresses en la lavant cette belle bite, qui se décalottait facilement (laissant découvrir gland en forme de grosse prune allongée) est restée au repos. Il ma dit, ne t’affole pas Marie, je suis doux et je te préparerais bien, j’ai une bite longue mais tout rentrera sans te faire mal… Il s’est allongé sur le lit et ma demandé de m’accroupir au dessus de sa bouche comme pour uriner, il m’a ensuite demandé de me « poser sur sa bouche », Jacques a alors, pendant un temps qui ma paru interminable, léché, du clito en haut de la raie des fesses, en aspirant mes lèvres intimes, introduisant sa langue profondément dans ma chatte, puis titillant mon anus, je devais penser à « autre chose » pour ne pas partir dans sa bouche, malgré qu’il me disait, laisse toi aller ma belle. Fatiguée de la position, je me suis mise a genoux, en lui prodiguant une bonne pipe, mes deux mains (l’une au dessus de l’autre) entourant sa bite, son gland dépassant encore largement. Ma chatte était devenue sensible au possible, elle me semblait gonflée, a ce moment, il me demandé de m’allonger sur le ventre sur le lit, en me disposant deux gros coussins sous le ventre, les jambes serrées, il s’est introduit dans ma chatte, poussant petit à petit sa longue bite jusqu'à ce ses couilles tapent sur mes fesses, il ma dit pousses sur ta chatte et ton cul fait les sortir, comme cela je vais ensuite pouvoir te pénétrer totalement sans te faire mal. Il était visiblement prêt à jouir, car il arrêtait puis reprenait, j’en profitais pour essayer de le faire jouir en lui aspirant la bite avec ma chatte. Il m’a demandé de me mettre en levrette sur le coin du lit, debout derrière moi il m’a totalement pénétré d’un seul coup, je sentais son gland cogner sur le font de mon vagin, et ses couilles le long de mon clito, il ma longuement baisé en se retirant, chaque fois, presque totalement, puis reprenant possession totalement de ma chatte. Il me parlait, « tu la prends bien ma grande bite, écarte toi bien, que je te tringle comme une bonne salope » « tu es petite, mais tu aimes te faire baiser par des hommes grand et bien monté »… « Avoue que tu aimes… » Pour l’exciter je lui disait « met moi bien défonce moi », enfin, a ciglé sur mon anus, trois ou quatre grands jets de sperme, qui se sont écoulés sur ma fente de chatte pour mourir sur la serviette que nous avions en dessous de nous. Pendant que je me lavais sur le bidet, il ma dit « alors tu es nouvelle, tu seras là tous les jours je pense, la prochaine fois j’espère bien pouvoir te sodomiser, ma réponse a été simple, je n’ai pas pour le moment fixé mes présences éventuelles, quant à la sodomie, chaque chose en son temps…

De retour dans la rue, je rencontre LOLA, elle attend mon départ pour reprendre sa chambre en attendant, elle discute avec « les copines de boulot ». Elle vient vers, moi m’embrasse, elle me dit, je t’ai permis cette expérience, j’ai un service à te demander, aujourd’hui, c’est le jour de deux de mes clients qui viennent régulièrement passer un long moment ensemble avec moi. J’aimerai qu’ils ne soient pas déçus de mon absence, reçois les, évidemment, leurs habitudes sont assez folles, mais ils savent rendre les moments agréables, ils sont polis, propres. Je lui devais bien mon accord, cela a été conclu immédiatement. Elle a ajouté, attention double pénétration, sodomie, délicatesse, mais aussi fermeté… le plus dur étant de ne pas se laisser aller à jouir … au moins trop rapidement, il ne regarde pas pour un cadeau somptueux. Nous étions encore à parler, deux hommes s’approchent, « Alors, LOLA, on vient s’amuser un peu avec nous » LOLA, explique que je suis une nouvelle de passage, qu’elle me chaperonne, évidemment dit-elle, elle est petite et pas blonde, mais regardez quel cul et quel paire de seins… En fait LOLA, venait de conclure le marché pour moi, et les deux compères me suivent dans l’ascenseur. Dès que la porte se ferme, ils se mettent à me peloter, en disant qu’ils allaient bien s’amuser avec moi. Arrivés dans la chambre, mes deux compagnons me donne le « cadeau », comme l’avait annoncé LOLA, il est somptueux, mais comme convenu c’est elle qui gardera tout, pour me permettre de vivre cette expérience. Allez vite, on se déshabille, on sera plus à l’aise pour faire connaissance. Connaissance, oui, ils viennent faire leurs achats dans le sentier, ils sont commerçants de mode féminine en province. L’un est basané, très brun, mesurant certainement 1.90m, il dit se nommer Pierre, bel homme quinquagénaire, l’autre plus trapu, l’autre laid cinquante ans sinon plus, il se fait appeler Ben. Pierre me demande de venir m’asseoir sur ses genoux, il m’explique qu’ils seront sympathiques avec moi qu’il faut me détendre, avant tout, il me demande de bien vouloir accepter un lavement anal, pour éviter de tout gâcher avec « un peu de caca », m’a réponse est « s’il le faut ». Je m’allonge sur le lit à sa demande, il fouille dans le sac qu’il avait avec lui, sort une poire à lavement, se dirige vers la salle de bain, il revient, me lève les fesses en passant un bras son mon ventre, introduit la canule après m’avoir enduit l’anus de salive, puis doucement il presse sur la poire, le liquide envahi mon intestin, dès que cela est terminé, je vais vite sur les wc pour évacuer, il me demande de revenir, puis recommence une nouvelle injection, et me dit de regarder si l’eau coule claire, signe que j’ai tout évacué. En fait il devra recommencer, une nouvelle fois. Pierre, est immense, certainement plus d’un mètre quatre vingt dix, Ben doit mesurer tout au plus un mètre soixante dix. Cette fois c’est Ben qui me parle, tu sais Marie, nous sommes des suceurs et lécheurs de chatte et de cul, nous allons te sucer à tour de rôle et ta jolie petite chatte aspirée longuement, deviendra enflée et sensible ainsi que ton trou du cul, pendant que l’un te sucera, toi tu prendras l’autre en bouche. Ils me demandent de me mettre couché sur le dos, la tête en coin de lit, Pierre investit immédiatement ma bouche, pendant que Ben me met un coussin sous les fesses, et se met immédiatement à me sucer, aspirer alternativement la chatte et l’anus. Effectivement, il aspire soit chaque lèvre à la suite l’une de l’autre, soit il aspire totalement la chatte, en tirant vers lui, de plus, il me met un, puis deux doigts dans le cul. Pierre me triture les seins, en restant debout, il se fait sucer le gland, il est totalement disponible car il est circoncis, puis entre sa queue dans ma bouche. Comme je suis une habituée des gorges profonde et à sa grande surprise, je lui att les fesses et l’attire au fond de ma bouche et brusquement tout au fond de ma gorge, il entre ainsi, sa bite jusqu’aux couilles, il gémit en me disant que je suce merveilleusement bien «LOLA avait raison tu es bonne, recommence encore », il ajoute « aspire la bien Ben, fait lui grossir sa chatte et son cul de petite pute ». Cela dure, ma chatte me brûle, j’ai la bouche et la figure barbouillée de salive. Ils se décident à changer, Ben a une bite tout aussi grosse que le grand Pierre, il tient à bénéficier du même traitement que son compère et je lui accorde, Il dit au bout d’un moment « je vais lui décharger dans la gorge, elle me fait trop bander », je n’ai pas trop à attendre pour qu’il mette à exécution son souhait, alors que je venais de l’enfoncer au fond de ma gorge, j’ai senti ses spasmes, et son sperme chaud couler directement vers ma gorge, sans passer par ma bouche. Il y a maintenant près de 45 minutes qu’ils me besognent, j’ai l’entre cuisse et l’entre fesses en feu, ils se relèvent quelques instant et me font admirer ma chatte dans la glace, elle toute boursouflée, rouge et extrêmement sensible, mon anus est ressorti et tout aussi boursouflé. Je suis debout, Ben a totalement récupéré, il me présente une queue toute raide, et me dit, Marie prépare toi, penche toi en avant, présente tes fesses que je t’encule un peu. Il présente le bout de sa bite sur mon anus, il me force, salive sur ma raie, malgré mes effort pour me prêter en poussant sur mon trou du cul, j’ai mal, mais il me pénètre lentement mais totalement, il me lime un long moment, puis se retire. Pierre, me demande, alors, de le prendre par le cou, il passe ses mains sous mes jambes et accrochée à lui, il me repose sur sa bite dressée, il m’embroche par la chatte sans ménagement, il me fait monter et descendre à son gré, je sens cette bite me cogner au fond du vagin et me frotter les parois de ma chatte gonflée et en feu. Il s’assoit sur le lit, puis s’allonge, sur le dos, tout en me gardant empalée sur sa bite. Ben s’allonge à côté et me demande de venir sur lui, il rentre dans ma chatte, et m’écarte les fesses à deux mains « aller tend bien ton cul, salope, que Pierre te lèche la rondelle avant de t’enculer », Pierre me lèche l’anus, puis me prend au cul, je suis prise par la chatte et le cul, ils me liment à grande vitesse ces salauds, je n’en peu plus. Toutefois, mon plaisir monte, je me laisse aller à jouir et dit avec force « vous m’avez eu, bourrez moi, défoncez moi, bien à fond comme une bonne salope que je suis… » Je reçois maintenant Ben qui se laisse aller dans ma chatte, il décharge pour une seconde fois, tout aussi copieusement, Pierre me dit en se retirant de mon cul, « viens me finir à la bouche », au moment de jouir, il me fait mettre sur le dos les jambes relevées, me met sa grosse bite dans ma chatte déjà pleine du sperme de son compère, en quelques minutes, il m’inonde totalement le sperme ressort et me coule entre les fesses. Pierre, me masse la chatte avec son sperme, en me faisant remarquer que je suis pleine comme une femme que l’on veut engrosser.

Avant de me quitter, Ben m’a proposer de me retrouver un après midi, dans un club, où des femmes viennent occasionnellement se donner à quelques hommes sur des rendez vous pris à l’avance organisée par la maîtresse des lieux. Il a souligné, la qualité du lieu et de ceux qui le fréquentent, il m’a donné le n° de téléphone de Madame Paule…

Comme convenu, la matinée c’est arrêté là, j’étais cassée physiquement, moralement je restais sereine, j’avais vécu ce que je souhaitais, je savais, j’avais vu. J’ai remercié LOLA, qui restera une amie. Rentrés à la maison, je n’avais qu’une envie prendre MAUD, j’ai littéralement « sauté sur ma compagne » nous avons fait l’amour longuement avant de jouir comme des fous. Pendant que je la sodomisais nous avons reparlé de Madame PAULE :

« Alors, pense tu allez chez madame Paule ? »
« Salaud, tu le voudrais ? »
« Je ne saurais te le refuser »
« Je ne dis pas que cela ne m’excite pas…

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