Ma Jolie Tante Estell (2)
Pierre revient vers sept heures. Cest un type jovial, gai, très attachant. Nous prenons un rafraîchissement sur la terrasse, dans les rayons du soleil descendant. Nous rions de bêtises quil nous raconte sur sa journée. Devant nous, le paysage est magnifique, et les grillons commencent çà et là à accorder leurs archets...
Toutefois, je me sens quelque peu gêné vis à vis de Pierre. Pendant la préparation du repas, alors que je passais laspirateur dans la piscine, je les ai entendu parler, rire, dans la cuisine... Et une fois à table, Pierre a lair content, au clin doeil quil me fait.
Le soir, après le repas, nous sommes toujours sur la terrasse qui domine toute la vallée. Le ciel sest incendié avec le soleil couchant. Les grillons ont trouvé leur partition. Estelle sest habillée dun tout petit short, restant les seins à lair. Pierre aussi est en short. Comme ils sont habillés, ou si peu, jai quand même enfilé un maillot, par pudeur, ou politesse. Je suis adossé au pat de la terrasse. Ils sont là tous les deux tranquilles, assis dans la balancelle en train de boire, et de flirter gentiment.
Moi je pense à ce que jai vécu cet après-midi, et cela me redonne des idées... qui commencent à monter et à prendre pas mal de place dans mon maillot. Heureusement que je suis habillé. Je les vois qui se chuchotent des choses qui doivent être amusantes, car Estelle rit de bon coeur. Elle est à moitié vautrée sur son mari, et il la cajole gentiment, simplement.
Après quelques minutes à sortir des banalités, Estelle me regarde avec insistance, comme indécise, un sourire prometteur au coin des lèvres.
- Pourquoi me regardes-tu comme cela ? Demandais-je
- Ben... je me demande si je ne vais pas recommencer ce que nous avons fait cet après midi...
Là, je me sens gêné. Je sais quelle a dû lui en parler, mais je nen suis pas sûr... Et Pierre dintervenir, jouant peut-être la comédie.
- Ah bon ? Et quavez-vous fait cet après midi ?
Elle sassied droite, et prend une allure décidée...
- Et bien figure toi, mon chéri, que notre jeune invité ma tout simplement en-cu-lée !
Elle avait bien insisté sur chaque syllabe, me laissant stupéfait !
- Cnest pas vrai ! Et çétait bon ?
- Justement ! Cétait génial ! Et bien moi, mon chéri, tu me croiras si tu veux, mais ça ma laissé un goût de reviens-y.
Et elle se lève, pose son verre, et presque nue, ouvrant le bouton supérieur de son short, elle sapproche de moi, me prend par le cou, et membrasse à pleine bouche, prenant possession de moi comme au cours dun viol... Je sens son bassin se coller à mon ventre, sy frottant avec beaucoup de volupté. Tout en lui rendant son baiser, je jette un oeil vers Pierre. Il est là, toujours assis, et il nous regarde. Il a glissé sa main dans son short, et la bosse remue régulièrement... Et il commente le spectacle...
- Oui chérie, tes super comme ça avec lui... Je tassure, tu es vraiment bandante...
A mon tour, pendant ce baiser démoniaque à défroquer un moine, jai posé mon verre, et mes mains libres s'égarent sur les seins bien fermes. Je sens la respiration dEstelle perdre de sa tranquillité. Elle pose sa main sur mon sexe, et à travers le maillot, le prend à pleine main. Se mordant la lèvre inférieure, avec délice, elle murmure:
- Oh! Cette bite.... dis ... tu vas me la remettre ? Hein... mon cochon... tu aimes bien menculer ? Ça te plaît, hein?
Et brutalement elle sagenouille devant moi, mabaisse le slip, et mon engin se libère en se balançant. Elle me saisit aux hanches. Elle reste quelques secondes, là, semblant admirer mon braquemart devenu immobile, bien dressé vers le ciel étoilé. Et se tournant vers Pierre:
- Tas vu comme il est bien monté, le gamin? ...
Puis elle approche sa bouche, les lèvres arrondies, dépose un baiser, puis deux, en me regardant.
- Elle est bonne ma chérie?
Là, je ne réponds pas, car je ne sais pas à qui Pierre sadresse !
Elle a la bouche pleine... se contente de murmurer je ne sais quoi. Moi, je me donne totalement à cette caresse buccale, tendant mon bassin en avant. Il me plaît de lui montrer mon ascension vers le plaisir... Je la regarde, je me saisis la bite, la retire de sa bouche, et je me branle juste le gland, très rapidement, là, tout près de son visage. Elle adore, contemple, apprécie... Et sa bouche gourmande reprend ses droits... que je lui abandonne dun grand coup de reins...
Après avoir posé son verre, Pierre se lève, entièrement nu, son énorme sexe bandé pointant sur son nombril... Il avance vers sa femme, la relève doucement, lembrasse dans le cou, et la pousse contre moi, se collant lui-même contre elle. Coincée entre nous deux, nous la tenons par nos mains, nos ventres, nos bassins.
- Tu vas donc refaire ce que tu as fait avec Aurélien... tu vas me montrer ?... Dis...Tu veux bien ?
Elle ne peut répondre. Ma bouche est collée à la sienne, mes mains sur ses seins... Pierre lui abaisse son petit short, elle lenjambe, et nous voilà tous les trois, nus, bandés, collés lun à lautre, à la merci des mains de tous, offerts, consentants, bas-ventres contre bas-ventres. Pierre et moi la caressons, la pelotons... Elle se donne totalement à nos caresses, même les plus intimes. Il ny a plus dintimité... Tout se prend, se touche... Elle-même passe ses mains partout, me branlant, branlant son mari derrière elle.
A côté de nous trois, il y a une petite tablette, et, avec Pierre, nous apercevons la bouteille dhuile solaire en même temps.
Après avoir reposé la bouteille, Pierre saisit sa femme aux hanches, applique son braquemart entre les lobes fessiers généreusement huileux, et le voilà quil entame la même danse que javais déjà dansée dans laprès midi.
- Cest comme ça que tas fait, Aurélien ? Elle ma raconté, tu sais, et cest vrai que cest vachement bon ! ...
Ses coups de bassin sont lents, amples. Il se caresse avec le cul dEstelle. Je vois son sexe, bandé à lextrême, monter et descendre entre les deux fesses tremblotantes et huileuses. Estelle se donne à cette caresse avec beaucoup de plaisir. Accrochée à mon cou dune main, elle me branle de lautre... Sa main masturbatrice, devenue rapidement huileuse aussi, est un délice... Ce qui me plaît, ce sont les mouvements de bassin de Pierre qui sexcite vraiment entre les fesses de sa femme...
- Ah que cest bon... de se branler comme ça... Regarde Aurélien, elle mexcite bien... et toi aussi elle texcite.. Hein ? Tu veux changer ? Venir à ma place ? Allez! Viens!... que je vois comment tu te branles avec son cul!
Estelle ne bouge pas, reste dans la position où elle était. Elle se prête volontiers à notre jeu. Pierre se dégage en continuant de se branler, je prends sa place, pose mon engin contre les fesses dEstelle et me colle à elle de toute ma peau possible... Les jambes, les cuisses... Je la tiens par la taille, légèrement courbée en avant, et je mactive entre ses fesses comme une bête...
- Regarde-le notre Aurélien ! Le cochon ! Elle est bonne ! Hein ?
Estelle, suspendue au cou de son mari, lembrasse et le branle aussi. Elle tourne son regard vers moi, comme pour apprécier le plaisir quelle me donne. Puis elle se penche sur lui et le suce.
Soudain, Pierre se dégage, tenant sa femme par la main, et lattire vers un matelas de plage posé juste à côté. Il sy allonge sur le dos. Il nest pas nécessaire de faire un dessin à Estelle. Je la vois, de dos, enjamber son mari, un genou de part et dautre, et se coucher sur lui. Le spectacle est super. Le cul dEstelle, ouvert, offert, se frotte au sexe de Pierre, qui ne la pas encore pénétrée. Cest une vision dintimité violée qui mémeut beaucoup. Je magenouille entre les jambes de Pierre pour mieux voir et me délecter de cette délicieuse indiscrétion.
Ils sont en train de sembrasser, de se frotter lun contre lautre, conscients du merveilleux spectacle lubrique quils moffrent. Et ne mécoutant pas, je fais ce que je navais jamais fait... mais je ne peux men empêcher... Cela me paraît tellement dans lordre normal des choses... Je saisis le sexe de Pierre à pleine main... Il est dur, très dur sous mes doigts, sa peau glisse dans ma main, et me voilà en train de le branler, de faire ce geste que je navais jamais fait avant et qui me plaît beaucoup. Du coup, avec la main gauche, jintroduis mes doigts dans la chatte offerte dEstelle. Cest doux, cest chaud, cest très mouillé, ça glisse tout seul.
La tige de chair de Pierre dans une main, mes doigts dans la chatte dEstelle, mon pouce à lui titiller lanus, et me voilà en train de branler totalement à moi tout seul ce couple. Cest vraiment extraordinaire de pouvoir réaliser cette double masturbation en toute simplicité, presque naturellement, en douceur... Cest vrai ça ! Quand on est plusieurs, pourquoi branler un homme ne serait quuniquement réservé aux femmes?
- Ça vous plaît, ce que je suis en train de vous faire...?
Ils ne répondent même pas... occupés quils sont à réagir aux pulsions obscènes que je leur provoque. Leurs bassins vont au-devant de mes pressions, de mes glissements, de mes pénétrations digitales...Ils se donnent tous les deux, presque avec enthousiasme... et soudain... pourquoi pas !... Sans réfléchir plus dune seconde, je me penche et prends le sexe de Pierre en bouche. Il la senti et donne un coup de bassin consentant. Estelle tourne la tête pour voir...
- Oh le cochon... cest super, oh... ça mexcite... Vas- y Aurélien... branle-moi... fort... fort... oh oui... Oh, mon chéri...Ça mexcite de le voir te sucer... Oh oui Aurélien!...Suce le bien...
Je mactive de la bouche et de la main gauche... Et faire ce qui ma toujours fasciné est à portée de main... là, je nai quà le faire... Alors de ma main gauche, jécarte les lèvres de la chatte dEstelle, pose le gland de Pierre sur cette partie si rose, si douce et si intime, le fait bouger comme je le ferais avec un gode... Je la branle avec un gode vivant... Je sens sous mes doigts lirrésistible appel du sexe, lirrésistible besoin de pénétration, lirrésistible nécessité de possession dun sexe par lautre... Jai limpression de les brancher, comme des prises...
Pierre pousse du bassin, Estelle ondule des fesses, et hop ! la totalité du braquemart de Pierre disparaît, englouti entre les lèvres vaginales . Elle hurle, il gémit, et sactive fortement, vite, avec frénésie. Je contemple, amusé, comme un voit son jouet fonctionner... Ça fonctionne, ça coulisse, ça fait «floc floc»... Admirateur, je me branle doucement, contemplant ce couple qui baise à grands coups de reins à dix centimètres de mes yeux... Le cul dEstelle est merveilleux, pénétré ainsi par ce barreau de chair vivant quil investit à chaque coup de bas-ventre...
Au-dessus de la chatte gavée, ladorable petit trou du cul... étoilé, légèrement dilaté par la pénétration de cet après-midi. Pourquoi ny avais-je pas pensé plus tôt ? Cest le moment de remettre ça ! Je saisis la bouteille dhuile et en verse carrément au-dessus du petit trou du cul..., et de suite, jen étale partout entre les fesses... Estelle est aux anges... Elle hurle presque à Pierre:
- Oh mon chéri... je crois quil va encore menculer... comme cet après-midi ! Oh oui mon amour, ta femme chérie va se faire enfiler par deux bites en même temps ! Mon rêve... mon fantasme ! ...
Je bande vraiment fort, surtout en sachant ce quil va arriver... car je saurai reconnaître les sensations déjà connues. Mes doigts titillent son petit trou... pendant que je prends position, debout, jambes fléchies... Je positionne mon sexe sur cet endroit si intime...
- Pierre ! Arrête de bouger, sinon je ne vais pas y arriver...
Mon gland est maintenant au centre du muscle anal... Bien huilé... Et je pousse doucement... Ça souvre... le passage devient accueillant... Pierre recommence doucement à coulisser... moi, je pousse encore et encore...
- Oh oui ! Mon chéri, il le fait... il mencule... jen ai deux... oh oui cest délicieux!...
Et je sens autour de mon gland coulisser lanneau de chair étroit, massurant ainsi que je lai bien pénétrée, et à fond.
-Ça y est... il ma enculée... oh oui, les gars... allez-y maintenant... branlez-vous dans mon cul... oh oui... je vous sens bien, tous les deux... je suis pleine... oh oui... cest délicieux!...
Et avec Pierre nous commençons une danse rythmée, cadencée, nous projetant régulièrement au plus profond de son intimité. Tout coulisse parfaitement bien... Tout est doux, tout est chaud, tout nest que plaisir... Estelle est comme une folle, totalement dévoilée, comme une bête en rut, assaillie par ses deux mâles qui sexcitent sur elle, et dans elle... Cest le plaisir brut pour le plaisir pur... la gestuelle alternative inlassablement désirée à chaque pénétration, insatiable, à chaque enfoncement... Avec Pierre, nous avons le rythme... Sur mon sexe je sens la pression du sein.
Bientôt, le dénouement nest plus loin... Tenir cette femme enculée ainsi, alors quelle est elle-même empalée sur son mari, mexcite fortement, et je sens lorgasme monter, monter... Jessaye de ralentir, de stopper tout mouvement... pour retarder lexplosion... Pierre aussi ne bouge plus, Estelle aussi, et moi, je lutte pour faire reculer lorgasme et durer plus longtemps. Mais même sans aucun mouvement, le plaisir monte, monte...
- Oui, je vais jouir... je vais tout lâcher...
- Moi aussi,... je vais y aller, oh oui ! Cest bon.... ça vient ! Oui..Oui...
Et tout explose... violemment! Nos sexes, Estelle... notre tête... envoyant par saccades régulières nos spermes au fond de ses entrailles... Les spasmes nerveux éjaculateurs de Pierre se répercutent sur mon sexe... Tout se vide, tout sécoule, tout se liquéfie... tout bascule...
Je mécroule sur Estelle, sans mêtre retiré...
Quelques minutes passent pendant lesquelles nous reprenons nos esprits...
Coincée entre nous deux, Estelle embrasse gentiment Pierre comme pour le remercier, tourne la tête et membrasse à mon tour...
- Génial ! Vous avez été tous les deux géniaux ! Ça été pour moi une première et cest fantastique... Hein Pierre ? Dites! Nous recommencerons ?
Protestation de Pierre :
- Encore !
Puis, plus conciliant...
- Mais quand tu veux ma poule, lui répond Pierre... Mais laisse-nous le temps de récupérer...
Et en effet, nous eûmes loccasion de recommencer souvent.
Estelle se donnait à nous sans aucun complexe, nous appelait, nous réclamait, parfois nous suppliait. Cétait devenu un jeu... Ces quatre semaines de vacances furent noyées dans un véritable trio-délire sexuel. Il ny eut pas de limite, pas dinterdit, beaucoup de plaisir, le plaisir pour le plaisir...Elle savait me provoquer, nous provoquer, nimporte où, n'importe quand et je ne résistais pas, maccouplant à elle, la pénétrant là où nous étions... devant ou avec Pierre, dans la maison, sur le bord de la piscine... Elle nous redemanda plusieurs fois la double pénétration... Psychiquement et physiquement, cela avait lair de lui convenir...
Mais je crois que cétait surtout lambiance qui, au départ, a jeté les bases dun climat extrêmement favorable. Nous nous régalions... Juste par plaisir, juste pour le plaisir, juste pour notre plaisir. Nous baisions, nous nous masturbions ensemble ou mutuellement... simplement... tout simplement... tout doucement... et nous jouissions... parfaitement conscients du fait quil ny a aucun mal à se faire du bien... y compris ensemble...
Et nous nous faisions beaucoup de bien... tous les trois, ensemble...
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