Les Routiers (2eme Partie Et Fin)
Ils se sont placé autour de moi, tout en se branlant Émile dit : « allez les mecs, sortez vos bites »
Ils ont ouverts leurs braguettes et ont sortis leurs matos, « à toi, Henri »dit Emile de plus en plus excité « donne la lui », Henry ne sest pas fait prié, il sest planté juste devant moi, un fameux paquet était a ma portée, jai gobé sans attendre sa bite molle, elle a durci rapidement , henry dit « mmmmm, elle a une bonne bouche »quand il a été bien raide, il se retira et dit « à toi George » un petit trapu a pris sa place, 50 ans bien tapé, gros bide, bite plus petite, mais bien épaisse , je fis une bouchée de ce nouveau sucre dorge, Je devenais de plus en plus excité.
Puis ce fut le tour de Fabien de placer son membre dans ma bouche, Fabien était le plus jeune une quarantaine année , le plus poilu aussi , pendant que je suçais avidement Fabien, le dernier male du nom de Marcel pris ma main gauche, car la droite était occupée a soupeser les boules épaisses du pomper, il y mis sa bite et jai senti quil désirait avant sa pipe, une bonne branle, jai directement activé mon poignet en tenant fermement sa grosse bite, jai senti de suite que cétait la plus grosse et la plus épaisse, Dés que son membre fut bien raide, jai changé ma bouche de bite, javais bien tâté de la main, javais affaire à un solide morceau, un bon 22x6, il y avait juste la place dans ma bouche pour la glisser, un régal, pendant que je pompais les deux mecs devant moi à tour de rôle, des mains se baladaient sur mon corps, pelotage des fesses, caresse des testicules, petite branle rapide, titillement de ma rondelle, pincement tétons, ils marmonnaient des mots crus tout en se branlant, jentendais : salope, petite pute, elle est bonne, ainsi que des râles de males, mon excitation montait et ils le sentaient
les cochons
Moi aussi je sentais quils voulaient plus, sans doute aussi leffet de « meute » jétais le « gibier » et jaimais cela.
Des phares de temps en temps passaient furtivement sur le groupe, malgré que nous étions caché par les remorques, George dit: « allons dans mon bahut les mecs, nous seront plus à laise »
Marcel agrippa mes cheveux et dit « viens par ici, salope » nous nous sommes diriger vers une remorque, George ouvrit larrière, il alluma une petite lampe au plafond, nous sommes monté dans le camion,
Toujours agrippé à mes cheveux, le bras musclé de Marcel me dirigea au milieu du camion, je me suis remis sur la couverture position à genoux.
Emile toujours nu resta près de moi et mobligea de nouveau à le pomper, pendant que ma langue courrait sur le gland humide, jai remarqué du coin de lil que les 4 autres se mettaient à poils, jadore mater des mecs virils à poil, très excité jai enlevé la bite de ma bouche et jai dis « oui, mes chéris vous êtes beaux à poil »
Ils se sont dirigés vers moi, bites à la main et Marcel dit « te tracasse pas, cest surtout à poil que lont va te faire déguster, salope, on arrive », ils y a eu un bruit général dapprobation.
Henry est passé derrière moi, sest couché sur le dos, mis la tête entre mes cuisses, a commencé à lécher mes boules avec la langue, les 4 autres se sont présentés debout devant moi bites gonflées de désir et le pompage a recommencé pour ma plus grande joie , je virevoltais entre les glands humides et gonflés de désir, jai senti que Henry changeait de place, il a reculé légèrement, il est maintenant à hauteur de mon cul, ses mains ont écartés mes fesses, cela libera ma rondelle, et le cochon y glissa la langue, jai frissonné de bonheur, je me suis laissé aller sur son visage, il gémit car il savait que jappréciais sa caresse. Il savait y faire le coquin !
George a dit, « vas y Henry mouille la bien »
Je suçais et branlait comme un fou car je savais ce quil mattendait, les males rugissaient de plaisir.
Emile dit « Cela suffit Henry, laisse la place » « oui, dégage Henry, ont va la prendre » dit une autre voix, Fabien dit « attend Emile », jai ce qui faut, Fabien se dirigea vers ses habits et reviens avec un tube de vaseline, il pris une noix sur un doigt, les autres me firent coucher sur le dos, deux bras poilus et musclés tenaient mes jambes écartées, jétais bien ouvert, mais un peu stressé en me souvenant de leurs calibres je dis « allez doucement les mecs » « pas de soucis » dit Marcel « nous avons lhabitude des salopes comme toi » et il rit grassement.
Fabien déposa la noix sur ma rondelle, je mouillais comme une cochonne, javais envie de males en rut et jallais être servi, Fabien tout poil dehors se mis à genoux, mis son gland devant mon trou et me dit « alors, chérie envie dune bonne bite » le salaud, il savait que cette parole allait me rendre fou, je dis « oui, mon cochon prend moi comme une salope » et doucement il me pénétra, jai ressenti une petite douleur, puis un plaisir, il senfonça plus et le plaisir menvahi complètement « ouiiii chéri lime-moi » ce quil fit sous les encouragements des autres qui me mataient en se branlant, Marcel ( la grosse bite) vient sur ma figure déposer ses couilles, je les ai léchées comme il faut, il a gémit, sa tête est partie en arrière de plaisir.
Fabien a crié « au suivant » je râlais de plaisir, la tournante commençait.
Emile ma enfourché, ma labouré la rondelle, javais le feu au cul, ses coups de reins étaient très rapides, jaime être prise, je gémis de plus en plus fort, Marcel se retira pour mater le groupe bite à la main, je nen pouvais plus, jai repoussé Emile et me suis mis à 4 pattes fesses en lair. Jai dit « venez les mecs, prenez-moi comme cela défoncez-moi, je veux de la bite »
George nen pouvait plus non plus, il dit « à moi, je vais la défoncer » et il me défonça dun coup de rein, sa queue bien épaisse se fraya un passage entre mes cuisses, heureusement les autres avaient déjà bien limé pour agrandir le trou, il fit quelques vas et vient et trop excité éjacula en hurlant de plaisir, dés que George sest retiré jai dis « allez au suivant bourrez-moi, mes salauds » Henry le bon lécheur me rempli de nouveau, il sagrippa à mes hanches, mes gémissements redoublaient « tu es une bonne salope » dit Henry je répondis dans un râle « oui, je suis une bonne salope »
Henry dit « à toi Marcel déchire-la »
« Oui, vient Marcel bourre-moi avec ta grosse bite jai envie dun vrai male, encule-moi».
Dun bon Marcel est arrivé entre mes cuisses et ma pénétrée, mon dieu, quelle queue, elle a eu difficile à entrer malgré le sperme humide de George qui traînait sur mon trou, mais une fois dedans, un délice, le rythme aller retour de ses coups de reins, un vrai régal, jétais aux anges, un vrai mâle me prenait.
Henry, Emile Fabien sont devant moi et me remettent à tour de rôle leurs bites en bouche, George est assis dans un coin, il joue doucement avec sa bite molle, un léger sourire aux lèvres, je pense quil est content de sa performance et profite du spectacle.
Jentends Marcel rugir de plaisir, fameux baiseur le Marcel et quel coup de queue, de temps en temps il me tape sur les fesses, il a des mains de vrai male, je lencourage un peu « bourre-moi, ouiiiiii, jaime ta bite, salaud, vas-y, fais-moi ma fête»
A force de bien pomper les 3 autres males, jai senti que leurs glands étaient gonflés de désirs et de jus, ils allaient décharger, je me suis activé encore un peu et ils mont déversé tour à tour leurs jus dans la bouche, dans des gémissements de plaisirs et quelques mots vulgaires « sale pute » « pompe encore salope » « tes bonne », à peine le dernier a éjaculé que je sens mon pilonneur se raidir dun coup, il se retira de mon cul et dans un râle lâcha sa semence sur mon dos avant de sécrouler de bonheur.
Ils mont remercié en cur, mont dit de ne pas hésiter à repasser de temps en temps sur ce parking car ils aimeraient encore être vidangés, Je suis rentré doucement en voiture chez moi les fesses en feu, la bouche avec un arrière goût de males, et heureux de cette nuit de folies avec des routiers.
Oui, jai vidé 5 hommes et jai aimé cela un soir sur un parking.
Oui, je suis une salope et jaime la bite.
Bernard
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