Les Avantages Du Métier
Pour des raisons qui paraîtront sans doute évidentes par la suite je préfère raconter cette histoire en utilisant des pseudonymes.
Je me présente, je mappelle Gaël jai 34 ans et je suis enseignant dans une faculté. Je nai jamais eu de difficulté particulière à rencontrer des femmes. Cest pourquoi contrairement à certains de mes collègues je ne pensais guère au « fantasme de létudiante ». Cependant, il ne faut certainement jurer de rien. Les faits ont eu lieu il y a maintenant trois ans.
Le jour de la rentrée universitaire a systématiquement lieu une réunion de présentation entre léquipe dencadrement et les jeunes étudiants. Cest toujours quelque chose de terriblement fastidieux, mais il faut se plier à cette exigence, cela fait partie du jeu. La rencontre avait lieu à 8h du matin. Ce jour là javais fait la fête jusque tard dans la nuit et était donc légèrement à côté de mes pompes pour cette réunion pédagogique. Je me suis donc installé dans un coin de lamphithéâtre attendant patiemment mon tour de parole et impatiemment de pouvoir sortir. Pendant une heure jai eu le temps de scruter lauditoire. Je me suis étonné à regarder de manière assez soutenue une jeune étudiante. Jai mis cela sur le coup de la fatigue, mais je la trouvais fort à mon goût. De ce que je voyais cétait une belle brune qui avait lair davoir la tête sur les épaules et un sacré regard. Ce qui dordinaire est une séance de sest transformé en une scène de matage tout à fait plaisante. Jai fini par faire mon intervention, puis par quitter la salle. Cependant je pensais à cette jeune fille que jaurai dans un de mes enseignements dans les mois à venir. Le lendemain en y repensant je trouvais ça finalement stupide et puérile. Les mois ont passé et je pensais avoir mis cet épisode de côté.
Pourtant à mon premier cours de cette période là jai vu entrer cette fille, passer devant moi en disant « bonjour » comme tous les autres étudiants. Mais seulement son salut a eu une réception toute particulière chez moi.
Seulement les semaines ont passé, elle était tout le temps là. Toujours impeccablement vêtue, à la fois élégante et sexy. Elle continuait de me troubler par sa seule présente. Il est difficile davoir des contacts avec les étudiants en amphithéâtre et jessayais de me raisonner en me disant que ce coup de cur nétait que passager. Cette résolution na duré quune semaine. La dite étudiante a débarqué à mon cours un matin étant vêtue dune robe marron assez « fashion » avec une encolure en « V » laissant entrevoir un décolleté ne tombant pas dans le vulgaire qui a attiré mon regard. Mais mes yeux ont été attirés par ses jambes. Elle portait des collants noirs et des bottes de la même couleur. Des jambes magnifiques, qui semblaient très musclées et fort bien dessinées. Cette vision ma totalement chamboulé. Je ne savais plus où me mettre, lexcitation montait en moi. Tant bien que mal jai réussi à faire mon cours. Le soir en rentrant chez moi jétais décidé, il fallait que je laborde. Jétais persuadé de ma bêtise, mais je ne pouvais me contrôler. Une fille comme elle avait certainement 10 hommes autour delle, mais il fallait que jaille vers elle. A la suite des journées où je la voyais ma tête était pleine de son physique, de son regard, de son sourire.
Un merveilleux hasard a voulu quelle vienne dans mon bureau la semaine daprès me demander un renseignement.
Javais de lavance alors je me suis installé à la terrasse du café voisin en lattendant. Le café aurait certainement aggravé mon agitation, alors jai opté pour une menthe à leau. Tout en sirotant ma boisson et fumant une cigarette je lai aperçu au loin. Elle portait elle aussi un jean avec une chemise en soie couleur framboise et une veste. Comme à son habitude elle était radieuse, élégante et séduisante. En revanche ce qui ma surpris était la froideur de son visage. En effet, elle ma toujours paru quelquun de très souriant, joyeux et ce soir là je la trouvais sombre ce qui changeait, mais pas la nature de sa beauté.
Nous nous sommes rendus au restaurant en discutant. Elle était de compagnie très agréable. Durant le dîner nous avons abordé le sujet qui la préoccupait, puis je lui ai posé pas mal de questions la concernant. Son visage sest au fur et à mesure détendu pour redevenir celui que je connaissais. Au détour dune parole je me suis lancé en lui demandant si elle avait un prétendant. Elle ma répondu que oui ce qui ne ma pas étonné mais jai perçu un petit pincement sur son visage. Je lui en ai fait part. Et très sincèrement elle ma répondu quelle était en train dessayer de reconstruire avec un ex une relation à distance et que ce nétait pas toujours facile. A ce moment je me suis dit que cétait plutôt mal barré pour mon entreprise de séduction. Le dîner sest achevé et nous sommes allés marcher. Nous nous sommes arrêtés dans un parc et assis par terre. Jai sorti mon paquet de cigarettes. La sachant fumeuse je lui en ai proposé une. Elle a accepté en me remerciant tout en expirant le premier souffle de nicotine. Cette cigarette ma donné une énergie inestimable. A la suite alors quun certain silence cétait installé, je lai regardé. Elle ma comme à son habitude rendue mon regard. Puis jai posé une main sur sa joue et mes lèvres sur les siennes. Je lai embrassé. Elle a semblé interdite. Mais nos visages sont restés relativement proches. Elle sest mordu très légèrement la lèvre, ma regardé fixement, ma souri et à son tour ma embrassé. Ce baiser ma transporté. Elle embrassait divinement bien, avec une sensualité et une douceur incroyable. A cet instant javais complètement perdu pied. Mon fantasme était en train de se concrétiser et de belle manière. Nous nous sommes embrassés un moment, sa main était dans mes cheveux ; Charlotte était à la fois douce et je sentais un air sauvage.
A peine la porte refermée je lai plaquée contre en lembrassant fougueusement. Elle a fait semblant de protester une seconde, puis ma souri de manière complice. Je bandais furieusement et elle sen rendait compte ce qui ne semblait pas du tout lui déplaire. Elle ma de nouveau embrassé en me caressant les cheveux puis elle a arraché ma chemise. Cela ma de prime abord surpris, mais jétais ravi. Elle me plaisait de plus en plus. Dans une demi voix je lui ai demandé si elle était sûre delle, elle ma répondu que certainement le vin y était pour quelque chose mais que peut être valait-il mieux arrêter de parler et agir. Il ne men a pas fallu plus pour la renverser sur le lit et minstaller au dessus delle. Jai recommencé à lembrasser fougueusement. Elle gémissait légèrement ce qui a eu pour effet de mexciter encore plus. Je nen pouvais plus, mon jean me serrait affreusement. Je lui ai défait sa chemise et jai pu profiter de sa féminité. Sa poitrine était de taille correcte. Charlotte nétait pas une poitrinaire, mais ses seins étaient fermes et droits. Son ventre plat et musclé. Jai senti quil sagissait dune sportive à la vue de son corps parfaitement dessiné. Je lui ai enlevé son jean et nai pas fait de détail avec son string. Elle était nue et face à moi. Elle ma embrassé et en me fixant dans les yeux ma dit « jai envie de te sucer ». Je ne me suis pas fait prier. Je me suis allongé, elle sest accroupie à côté de moi et a commencé à défaire mon jean. Enfin elle allait me libérer. Mais elle a fait traîner les choses en me massant, sa main était entre mon jean et mon boxer et elle tâtait la bosse à présent bien dessinée. Elle semblait se délecter de ma souffrance. Elle sest assise à califourchon sur moi et ma embrassé tout en frôlant son intimé contre moi, histoire si possible de mexciter encore plus. Puis certainement prise de pitié pour moi elle ma défait complètement mon jean. Jétais en boxer, ma bite me faisait mal tellement Charlotte mexcitait. Elle a posé sa bouche sur le tissu suivant la courbe de mon sexe, elle a recommencé ceci avec sa main puis avec sa langue.
Puis elle a baissé mon boxer. Mon sexe sest érigé devant ses yeux. Elle a eu un regard coquin qui ne ma pas échappé, semblant être ravie de mon matériel. Mes couilles étaient elles aussi bien gonflées. Charlotte a commencé par me masser de sa main le sexe. Elle avait pris soin dhumidifier sa main auparavant. Ses mouvements étaient précis et savant. On sentait une bonne maîtrise de la pratique. Tout en me massant les boules elle a commencé à donner des petits coups de langues rapides et réguliers sur mon gland. Cela me faisait frissonner de plaisir. Puis les coups de langues ont commencé à durer plus longtemps et elle a fini par prendre lextrémité de ma verge dans sa bouche et à laspirer doucement. Sa main massait toujours mes boules tandis que lautre me caressait le bas ventre. Elle faisait cela tout en continuant à me fixer du regard. Elle était torride. Puis sans que je vienne venir elle a ouvert plus grand la bouche pour prendre mon sexe quasi entièrement. Là a débuté un mouvement de va et vient buccal très plaisant. Elle serrait les lèvres sur mon sexe tout en donnant parfois un tour de langue à ma queue à lintérieur de sa bouche. Sa caresse buccale a duré et lexcitait réellement. Elle branlait de temps à autre la base de mon sexe en suçant le reste, puis à plusieurs reprises elle allait jusquà la base et là je donnais des coups de rein pour que ma verge aille bien au fond de sa bouche.
Puis je lui ai fait signe de se mettre en 69 pour que je puisse goûter à son minou. Comme je lavais vu tout à lheure elle était entièrement épilée. Je me suis rendu compte quelle mouillait. La fellation semblait lui procurer beaucoup de plaisir. Jai donc passé un coup de langue rapide, puis introduit deux doigts dans sa chatte tout en la titillant de ma langue. Je nai pu mempêcher de constater quelle pratiquait certainement fréquemment la sodomie. Cela ma donné des idées pour la suite. Dans la mesure où elle me suçait depuis un bon moment je lai prise et allongée sur le lit. Je lai embrassé longuement tout en la doigtant énergiquement. Puis je me suis installé pour la sucer de manière plus approfondie. Son minou était un vrai régal. Sans trop de problème je pouvais lui enfoncer trois doigts. Elle gémissait et guidait mes initiatives par des sons plus ou moins aigus et répétés. Son ventre musclé se contractait. Charlotte semblait tout à fait libérée. Profitant dun moment de ralentissement de ma part elle sest légèrement levée et ma dit « baise-moi Gaël ». Sa voix était sensuelle, chaude. Je me suis approché delle lui ai mis ma verge dans sa bouche en faisant des mouvements rapides. Puis je me suis installé au dessus delle et tout en lembrassant je lai pénétré dun grand coup de rein. Elle na pas protesté, bien au contraire celui a semblé lui plaire. Même dans cette position Charlotte était tout sauf passive. Là où certaines femmes se contentent décarter les jambes, Charlotte accompagnait de mouvements de bassin mes coups de rein. Par ailleurs très tactile, elle me touchait énormément le corps. Ajoutons à cela quelle nhésitait pas à crier un peu et à mencourager, que demander de plus pour un homme ??!
Jai pu apprécier sa nature athlétique par la suite de notre étreinte. Nous avons enchaîné les positions différentes. Je ne pensais pas cela possible, elle avait 21 ans et était une vraie déesse du sexe. Son corps transpirait à peine mais elle déployait une énergie incroyable. Alors que javais le sentiment de donner des coups de rein assez violents elle ma demandé de la baiser encore plus fort. Là elle sest mise sur le dos, a écarté et tenu ses jambes en hauteur et ma dit « défonce-moi ». Jai obéi à ses ordres. Le bruit de mes couilles retentissait de plus en plus fort. Charlotte semblait apprécier et me mordait dans le cou. Le rythme était littéralement frénétique. Javais très envie déjaculer. Je suis sortir vite de sa chatte et ai introduit ma verge dans sa bouche en la baisant comme si cétait son minou. Elle se débrouillait tout à fait bien avec cette pratique. Mon sperme a enfin giclé et je ne fus presque pas étonné que Charlotte avale tout. Elle a ensuite continué à avoir ma queue dans sa bouche en la nettoyant et jouant avec.
Quelques minutes plus tard Charlotte est allée fouiner dans son sac et a sorti ses cigarettes. Nous avons savouré cette pause nicotinique au lit tout en se caressant. Elle était restée nue et semblait très à laise dans son corps le contraire aurait été difficilement compréhensible-. Puis elle ma dit quelle prendrait bien une douche. Avant de se diriger vers la salle de bains elle ma embrassé sensuellement. Jétais renversé. Nous avions produit du très très bon sexe tous les deux. Elle a du rester 20 bonnes minutes sous la douche et elle sest installé près de moi en sortant. Je suis allé à mon tour maccorder cette douche. Nous venions de faire lamour, mais javais très envie de recommencer et surtout de la sodomiser. Ce quelle mavait montré jusque là était parfait et je voulais tester sachant que ça serait certainement la seule fois. Jai donc pris mon temps dans la douche.
En sortant de la salle de bains Charlotte fumait une cigarette paisiblement. Je lai embrassé de nouveau. Et au fur et à mesure jai commencé de nouveau à bander. Cela na pas semblé lui déplaire. Tout en lembrassant je la doigtais légèrement. Une fois que sa chatte mouillait jai commencé à lui titiller le petit trou dun doigt sec. Puis je lai légèrement mouillé à laide de sa chatte humide et jai recommencé. Tout en embrassant de nouveau Charlotte je lui ai demandé si elle était daccord pour que je la sodomise. Elle ma répondu par laffirmative. Je lui ai demandé de se mettre à quatre pattes sur le lit pour que je puisse préparer le terrain. Jai craché dans son anus et ait enfoncé un doigt. Ca rentrait sans problème alors jen ai mis deux. Puis je me suis présenté à Charlotte pour quelle me suce un instant. Elle la une nouvelle fois divinement fait. Ensuite jai de nouveau craché dans son trou, massé ma verge avec la salive de Charlotte et jai poussé un grand coup de rein dans son anus. Le passage sest fait. Dun deuxième coup de rein jai senti que je pouvais faire des mouvements. Je mettais des claques sur les fesses de Charlotte tout en lenculant. Elle mencourageait à aller fort et vite. La taille de mon sexe dans son anus ne semblait pas la gêner. Jétais aux anges. Javais une vue imprenable sur son corps. Elle criait et haletait. Je la défonçais à grands coups de reins. La sensation dans son anus était incroyable. Pendant dix bonnes minutes je lai pistonné à fond, elle criait de plus en plus fort ; je tirais ses cheveux légèrement. Malheureusement jai très vite eu envie déjaculer tellement son petit trou mexcitait. Et là je suis sorti de son cul et je me suis branlé au-dessus de sa poitrine. Jai giclé sur ses seins puis de mes doigts je lui ai fait lécher le sperme. Cétait de nouveau sublime. Cette fois nous ne sommes pas allés à la douche. Je caressais le corps de Charlotte tout en lembrassant, je lui dis quelle était divine. Elle me répondit que cétait excellent aussi pour elle. Malheureusement elle avait un petit ami et cela allait en rester là. Nous avons fini par nous endormir côte à côte. La nuit a été courte. 4heures plus tard nous avons ouvert les yeux. Charlotte semblait réaliser lampleur des choses. Elle ma confié quelle navait jamais trompé un de ses copains. Elle se sentait coupable et ça ma attristé. Elle a préféré ne pas tarder et sen aller. Nous nous sommes dit « à bientôt ».
La semaine suivante a été éprouvante pour moi. Lorsque je lai vu en cours je nai pu mempêcher de nous revoir durant cette nuit torride. Charlotte elle mévitait du regard. Lorsquelle est passée devant moi jai remarqué dans son cou un suçon et cela ma piqué au vif. Les semaines ont suivi et se ressemblaient, je narrivais pas à loublier mais je métais résigné. Alors que lannée universitaire était finie jai retrouvé Charlotte à une soirée. Nous étions complices. Elle ma avoué quelle navait jamais cessé de penser à moi, que je lui plaisais et quelle navait pu continuer avec son petit ami. La nuit qui a suivi a été encore plus bouillante que la précédente. Je pourrais faire nombre de récits car voilà maintenant trois ans que jai une relation avec Charlotte. Nous sommes tombés amoureux et vivons ensemble.
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