Leslie Re10

Leslie RE10 – Les récits érotiques
Les moments d’égarement de Shanna - Chez Serge et Carla, drôle de journée qui se termine avec Aïcha

Après le déjeuner, il a fallu que je retourne dans ma chambre accompagnée d’Aïcha pour qu’elle me prépare pour la future visite qui allait arrivée.
Pendant qu’elle me maquillait, Aïcha m’a dit :
- Hormis le fait que tu ne sois pas consentante sur ce qui va suivre, tu vas craquer en découvrant ses dessous.
Puis une fois que je fus prête, Aïcha disparue pour laisser place à une créature du troisième genre, Barbara est une ravissante brune aux yeux bleus, très féminine.
Debout avec des escarpins aux talons de neuf centimètres qui allongent ses jambes gainées de bas tenus pas des jarretelles tendues sur la peau blanche de ses cuisses qui sont à peine masquées par une jupe en cuir noire ultra courte
Elle me provoque du regard et me laisse admirer les courbes de son corps, le haut de son corps est enveloppé par un corsage de satin noir qu’elle dégrafe pour me montrer sa poitrine, tenue par un soutien-gorge à balconnet laissant la pointe des seins dressés hors de leur balconnet.
- Ne perdons pas de temps, ma chérie, viens me suce ! Dit-elle.
Elle soulève sa jupe pour me montrer sa queue contenue dans sa culotte en dentelle de satin et plaquée contre son ventre. Je regarde ce membre circoncis au gland épais et sa hampe qui va en s’élargissant jusqu’à la racine.
Barbara est déjà en érection.
- Allez occupe-toi d’elle ! M’ordonne-t-elle en souriant.
Obéissant à ses paroles, je me place à ses genoux et pose mes mains sur ses jambes et les remontent jusqu’à la lisière de ses bas, puis, tout en caressant ses cuisses fuselées, ma bouche va à la rencontre de sa queue.
Puis tandis que mes lèvres continuent la caresse sur sa queue tendue au travers de l’étoffe de sa culotte, je l’entends gémir et son corps se tendre, alors une de mes mains se glisse dans sa culotte en satin pour saisir son sexe et le libérer de son étreinte de tissu.



Barbara frissonne de plaisir lorsque je prends son sexe en bouche et gémit doucement quand mes lèvres démarrent un va et vient sur sa queue tendue.
- Je vais t’enculer, me dit-t-elle en me lançant un regard torride.

Je vais maintenant être l’objet de son désir, elle m’allonge sur le lit, sur le dos, et avec détermination, elle replie mes jambes sur ma poitrine et brandit dans sa main un gode d’une taille démesurée.
- Laisse-moi faire, tu n’as pas le choix, me dit-elle à l’oreille.
Et sans un mot de plus, elle le fait glisser doucement dans le sillon de mes fesses et, sans me quitter des yeux, elle passe à l’action. Une douleur lancinante me traverse le ventre lorsque mes chairs s’écartent sous la pression continue de son pieu qui m’empale.
Barbara me regarde et un air amusé emplit son visage quand elle voit mes jambes brasser désespérément l’air pour tenter d’échapper à son étreinte.
Puis son membre remplace le pal et Barbara s’active dans mes chairs pendant de longues minutes, je n’ai qu’une hâte c’est que cet enfer prenne fin…
Beaucoup d’hommes ne comprennent pas la différence entre le fait de se faire enculer dans la contrainte et celle de se faire enculer dans le don de soi. Quand on se donne à un homme, ou une femme équipée, c’est un don que l’on fait en toute conscience et dans la confiance, on se donne et surtout, pensant à rien d’autre que ce cadeau en espérant donner le plaisir et en avoir aussi. Sous la contrainte, tout est douleur, avilissement et peur, comment prendre du plaisir ainsi. Dans un cas on aimerait que cela ne finisse jamais et mourir dans cet état de grâce emportée par le plaisir, alors que dans l’autre chaque seconde est un enfer.

Entre-temps, Barbara à jouit en moi et a quitté la chambre, me laissant seule sur mon lit et les entrailles remplies de sa jouissance. Sans attendre Acha je suis partie prendre une douche.

Le reste de la journée du jeudi fut disons calme pour le peu qui en restait, un diner tranquille entre Serge et Carla, servi par Aïcha qui n’arrêtait pas de de me faire des clin d‘œil, puis une fois le diner terminé, retour dans ma chambre accompagnée d’Aïcha, qui une fois enfermées, me dit :
- Nous allons passer la nuit ensemble !
- Toute la nuit ? Demandais-je.

- Oui toute la nuit à nous aimer si tu le veux !
Avec elle je pense soudain que je vais peut-être vivre une nuit d’amour, sans contrainte et sans soumission, juste une nuit pour notre plaisir…

Elle est nue, sans artifices, mais avec seulement un collier en satin et son tablier de soubrette, peu de temps après, elle s’assoit devant la coiffeuse pour se maquiller, je dois signaler que c’est la première fois que je vais la découvrir maquillée.
Pendant ce temps je patiente debout près d’elle et en la voyant se transformer petit à petit sous l’effet du maquillage et ne peux empêcher mon sexe frémir et se redresser.
Quand elle se lève je découvre une autre Aïcha, sublime et très désirable, je contemple cette superbe jeune fille en bandant comme une damnée …
Consciente de sa beauté et de sa féminité, elle s’exhibe un instant devant moi, puis soudain elle se pend à mon cou en déposant ses lèvres sur les miennes.
Puis lorsque ses lèvres s’entrouvrent pour laisser passer sa langue qui entre dans la mienne, sa main saisi mon sexe et je sens qu’elle prend conscience de mon trouble.
Alors toujours sans un mot elle m’entraîne vers le lit en me disant de sa douce voix :
- J’ai envie de toi !
Et sans plus de formalités elle s’allonge sur le dos en m’attirant vers elle.
Baisers et caresses se succèdent dans le silence troublé seulement par les petits gémissements qui sortent de la bouche d’Aïcha.

Sa respiration s’accélère et sa petite poitrine se soulève en cadence lorsque je lui caresse la vulve en m’attardant sur son clitoris.
J’attends qu’elle soit bien mouillée pour lui doigter la chatte d’un doigt, puis un deuxième.
Au bout d’un instant du jeu de mes doigts en elle, elle se cambre en s’offrant encore plus à mes caresses.
Je me mets entre ses jambes qu’elle écarte pour s’offrir et pose mon gland contre ses lèvres vaginales, puis doucement je l’empale jusqu’à la garde.
Une fois de plus, je réalise que la volupté peut déclencher le plaisir, cette liberté de se donner ou de recevoir librement n’est que bonheur, à cet instant je revis et rêve de liberté.

Mes va et vient sont lents, mais puissants, je sens qu’Aïcha apprécie et c’est le souffle court, qu’elle m’implore d’une voix suppliante :
- Ne me fais pas jouir trop vite, j’ai envie que nous prenions le temps car je ne sais plus ce que c’est que de jouir de plaisir sans contrainte, et je t’avoue que même si je suis une soumise de nature avec toi je découvre une autre forme de jouissance…
Je m’arrête un instant pour la laisser souffler et elle rajoute :
- Je crois que j’aime cette liberté, c’est la première fois que je me donne sans contrainte !
Je lui fais l’amour et je retrouve les sensations de plaisir, le temps passe et je vais et vient en elle, quand soudain je la vois s’agiter frénétiquement et je sais qu’à cet instant, elle vient d’atteindre le point de non-retour.
- Laisse le plaisir t’envahir dans la totale liberté, lui dis-je en amplifiant mes va-et-vient.
Elle se livre à moi en écartant les cuisses pour mieux s’offrir à moi, ses mains s’agrippent à mes hanches et je sens ses ongles s’enfoncer dans ma chair, puis une vague de jouissance l’emporte et elle devient fontaine, le corps secoué de spasmes.
Je me retire rapidement pour voir Aïcha jouir en laissant s’échapper les gouttes de jouissance de sa chatte dans d’ultimes soubresauts.
Puis ne lui laissant pas le temps de sortir de son orgasme, je m’enfonce à nouveau en elle en lui disant :
- Tu coules comme une fontaine.
- C’est la première fois que ça m’arrive.
Nous passons un long moment à faire ainsi l’amour, dans le don total, en nous embrassant sans cesse à pleine bouche, le plaisir l’envahit plusieurs fois et c’est naturellement que je jouis en elle dans l’unisson de nos gémissements.

Nous faisons une pause, allongées sur le lit, dans les bras l’une de l’autre, sur le côté elle de dos collé à moi, de fait, mon sexe est collé à ses fesses et lorsqu’elle bouge un peu la peau douce de ses deux lobes caresse ma verge qui se redresse.

Mon membre, qui devenu dur, s’insinue dans la raie de son postérieur et vient se coller à l’entrée de son anus, il s’incruste un peu dans l’orifice d’Aïcha qui sursautant.
- Oh non, pas par-là, je suis trop étroite, proteste-t-elle d’une voix inquiète.
- Tu n’as jamais été sodomisé ? Lui demandais-je.
- Si bien-sûr, mais j’ai tellement été et j’ai tellement souffert que j’en garde sue de mauvais souvenirs.
Bien que je la sente pleine d’appréhension, elle n’a pas bougé et rajoute :
- J’ai envie de m’offrir à toi et te donner mon intimité, mais je redoute tellement la souffrance.
Alors, comme pour me prouver son désir de s’offrir, elle s’allonge sur le dos en travers du lit, les fesses juste au bord et me demande de me placer entre ses jambes.

M’exécutant je me mets à genoux entre ses jambes, face à elle, puis je pose ses jambes sur mes épaules, je découvre alors son petit trou plissé complètement fermé. Lorsque le gland de mon sexe effleure son anus, Aïcha frémit et me dit :
- Doucement, entre doucement !
Alors doucement j’appuie ma verge contre son anneau et contre toute attente je le sens d’ouvrir un peu, alors je continue et il cède, cette position est idéale pour les sodomies car elle permet une pénétration plus profonde, alors je dois être douce ...
Elle se raidit quand ma verge glisse dans sa grotte, et je contemple une fraction de seconde son visage qui exprime la surprise, la bouche ouverte et la poitrine palpitante, elle me fixe intensément du regard et gémit quand je m’enfonce lentement dans son étroit conduit et dans un gémissent je l’entends me dire :
C’est trop bon !

Prête à jouir, je fais une pause pour prolonger le moment avant de m’enfoncer à nouveau.
Aïcha mobilise ses muscles internes pour serrer mon sexe en elle, tout en gémissant de bonheur
Puis en sentant son œillet tressaillir et se contracter un peu plus, je sais qu’elle ne va pas tarder à jouir.
- Achève-moi, je n’en peux plus, me supplie-t-elle en écartant encore plus les cuisses.
Et elle jouit relâchant tous ses muscles internes et se laisse aller dans le plaisir total au bord de l’évanouissement.
- Tu jouis du cul, ma chérie, lui dis-je en la regardant dans les yeux.
Aïcha ferme les yeux, épuisée de fatigue, puis allongées sur le lit, nous finissons par nous endormir dans les bras l’une de l’autre.

Le jour commence à peine à pointer lorsque je me réveille, Aïcha est debout sur le côté du lit et je constate qu’elle est nue ornée de son collier de satin, mais elle porte une culotte couleur chair trouée sur le devant, d’où sort un gode noir.
En fait en regardant je vois qu’Aïcha s’est équipée d’un gode double sans ceinture retenue sur elle par la culotte trouée.
J’ai déjà vu ce genre de gode souvent utilisé par les lesbiennes, la partie vaginale, une extrémité bulbeuse, est enfoncée dans la vulve de la pénétrante et est retenue à l'intérieur du vagin par les muscles pelviens et une partie striée est destinée à stimuler son clitoris en ondulant dessus, souvent afin de maintenir ce gode bien en place lors des pénétrations la partenaire le portant porte une culotte spécialement conçue avec un trou laissant passer la partie gode
La partie gode est d'une bonne longueur, seize centimètres et d'un diamètre raisonnable, trois centimètres et demi, avec un gland parfaitement formé dont l'extrémité est relativement fine et la hampe comporte des veines très réalistes.

Sans me laisser le temps de réagir, elle monte sur le lit et se place entre mes jambes et pose aussitôt mes chevilles sur ses épaules
Allongée sur le dos et écartelée, je suis totalement offerte à ses désirs.
- Je vais faire l’amour comme un homme et ce pour la première fois pour moi, me souffle-t-elle à l’oreille.
Tenant le gode d’une main, elle le pousse lentement dans mes fesses en collant ses lèvres contre les miennes pour boire mes gémissements, lentement elle pousse le gode pour l’enfoncer entièrement en moi.
C’est une première pour Aïcha et tandis qu’elle fouille mes reins de plus belle, elle regarde le pal aller et venir en moi.
Puis elle ressort pour regarder ma rosette complètement ouverte et d’un coup de rein, elle me transperce avec une facilité qui la déconcerte, entrant le pal complètement en moi.
- Je t’ai empalée jusqu’à la garde ! S’exclame-t-elle.
Aïcha presse ses mains sur mes épaules en me plaquant contre le lit, j’entends les claquements du bassin de Aïcha contre mes fesses, elle gémit et me dit :
J’adore les sensations du gode en moi quand je te sodomise, me souffle-t-elle à l’oreille.
Puis elle me fait jouir entre ses mains, le pal toujours en moi et elle rajoute :
- J’adore quand tu fais la fille, s’exclame-t-elle.

A suivre…

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