Du Bonheur À L'Horreur 3
Je me réveillais seule dans le lit de Carlos qui devait déjà être parti travailler en ce vendredi matin. En effet cétait la veille de mon mariage et je me réveillais dans le lit du patron de mon fiancé qui mavait baisé toute la journée de la veille. Je regardais mon portable qui me montrait un message de mon Julien.
« Bonjour chérie jespère que tu as passé une bonne soirée avec tes potes et que vous navez pas fait trop de bêtises. Passe une bonne journée avec tes parents et on se voit demain devant lautel. Je taime tellement Adèle »
Ce message touchant me fit fondre en larmes et me culpabilisa dêtre si faible et manipulable. Jai été totalement sous lemprise de ce gros porc de Carlos que je trouve pourtant répugnant physiquement. Moi la jeune femme si timide et prude avec mon corps de déesse avait été totalement dominé et javais joui un nombre incalculable de fois. Il fallait absolument que je reprenne ma vie en main et que je redevienne la fiancée modèle que jétais pour que nous reformions ce couple si parfait avec mon beau Jullien. Pour cela il fallait que jévacue le démon qui me possédait et qui me faisait prendre tellement de plaisir et surtout qui mempêchait de résister et de repousser les avances sexuelles de ces hommes. Cest pourquoi je pris la décision de rendre visite au père Emile dès ce matin afin de confesser mes péchés et quil maide à régler tout cela avant quil munisse demain à lhomme de ma vie.
Je partis en vitesse de cette villa du mal et me rendis chez mes parents ou jallais passer ma dernière nuit de célibataire. Heureusement mes parents nétaient pas chez moi et je pus entrer et filer directement prendre une bonne douche. Je me changeais et enfila une petite robe blanche dété sur des sous-vêtements sage blancs également.
Jécrivis un petit message à Julien pour lui répondre de son message de ce matin.
« Bonjour chéri oui hier la soirée était super mais tu mas beaucoup manqué.
Je pris la route vers la petite église de mon village denfance il était 11h du matin. En effet le père Emile était le prêtre exerçant dans cette église depuis ma plus tendre enfance. Cest lui qui ma baptisé, communié et à qui je rends visite régulièrement pour des confessions. Mais jamais je ne lui avais rapporté quel quonques pêché dordre sexuel. A vrai dire il y a deux jours mes expériences sur ce sujet étaient vraiment très limitées. Cest un homme de petite taille 1m60 et assez gras. Il doit bien avoir 65ans maintenant. Cétait le parfait cliché du curé moyenâgeux mais il ma toujours paru très sympathique et empathique. Javais totalement confiance en lui.
Léglise était en réparation et les ultimes travaux été en cours de finalisation pour le grand jour de demain. En arrivant je vis dailleurs 3 ouvriers en train de peindre la dernière partie qui devait être rénovée. Ces trois hommes ressemblaient à des gitans et paraissaient sales et vulgaires. Ils me dévisagèrent quand je passais devant eux pour entrer dans léglise. Jentendis même quelques sifflés.
En entrant je vis Emile installé sur son pupitre en train de répéter son office de demain. Il parut surpris de me voir mais agréablement surpris. Il vint me faire la bise avec son grand sourire.
- Bonjour Adèle, je suis content de te voir. Tu es venu voir que tout était prêt ?
- Bonjour mon père, a vrai dire je suis venue me confesser comme cest la tradition avant de se marier.
- A très bien ! Parfait même si jimagine que cela va être rapide, tu es si sage.
A ces mots je fondis en larmes devant lui. Il me prit dans ses bras avec une douceur très rassurante.
- Que se passe-t-il mon . Ne pleure pas comme ça. Tu es si belle cest dommage.
- Désolé mon père cest que jai pêché très gravement ces deux derniers jours.
- Viens, on va se mettre dans le confessionnal et tu vas me raconter ça dans les moindres détails et je suis sûr que quoique tu ais fait le seigneur saura te pardonner.
Ainsi nous nous dirigeâmes vers le confessionnal. Je masseyais dans cote et le père Emile ouvrit la petite trappe de lautre cote. La confession pouvait démarrer.
- Je técoute mon
- Mon père jai pêché. Jai succombé aux plaisirs de la chair
- Ah je vois, vous navez pas pu attendre le mariage avec Julien cest ça ?
- Oui enfin cest vrai que nous avons fait deux ou trois fois lamour et nous nous sommes déjà touchés et fais du bien mais toujours avec culpabilité et nous sommes reste très sage.
- Je me doute Adèle de nos jours ce genre dengagement nest pas souvent tenu tu sais. Et je suis persuadé que vous avez fait ces actes avec amour et retenu. Pas besoin de fondre en larmes
- Oui mon père mais cest autre chose qui ma poussé à venir vous voir.
-
- Avant-hier nous avons été invités avec Julien a un repas chez son patron et nous avons beaucoup bu. La situation a échappé a notre contrôle et ses collègues nous ont entrainé dans des jeux sexuels des plus sordides.
- Comment ça ?
- Je ne me souviens pas de tous les détails mais je suis à peu près sûr davoir couché avec ses deux collègues.
- Soit plus explicite Adèle jai besoin de savoir létendu des dégâts.
- Jai pratiqué la fellation, la sodomie et même la double pénétration et pas avec mon mari.
Je ne pus me retenir déclater en sanglots en racontant cela a cet homme qui me connaissait depuis toute petite. Sa voix quant à lui paraissait saccadée
- Ma pauvre Adèle, il me semble que votre faiblesse et votre manque de courage vous ont poussé à commettre ses horreurs. Mais je suis sûr que vous êtes les victimes dans cette histoire.
- Cest ce que je pensais mon père. Même si le plus grave et que jai pris beaucoup de plaisir. Les sensations que jai senties sont fortes et agréables.
- Oui le corps est parfois traitre ma belle. Tu dois apprendre à vaincre ces pulsions. Vous en avez parler avec Julien au réveil jimagine ?
- Non hier jai commis lirréparable
Jai dû revoir les collègues de mon mari pour récupérer des affaires sans que Julien ne soit au courant
Et je suis retombé dans la dépravation et cette fois sans alcool
- Tu veux dire quen plus de tout cela tu as commis ladultère ?
- Oui avec 4 hommes différents durant toute la journée en prenant énormément de plaisir même si je culpabilise énormément.
- Ecoute moi attentivement Adèle. Je ne vois quun seul traitement pour ce genre de péchés mais tu dois me promettre de me faire confiance car seulement comme cela ton âme et ton corps pourront être libéré de ce démon.
- Je vous fais entièrement confiance mon père. Je veux retrouver ma vie davant et ma pureté je ferais tout ce que vous me demandez
- Très bien. Alors cela va se dérouler en 5 parties : Linspection, la punition, la collaboration, la médication et la rédemption. Pendant tout ce processus qui va prendre toute la journée tu ne pourras plus parler. Cest bien clair ?
- Oui mon père
- Bien donc en sortant de ce confessionnal tu vas me suivre et je ne veux plus entendre le son de ta voix avant la fin de la journée ou tu atteindras la rédemption et le pardon pour tes péchés.
En sortant le père Emile memmena dans une pièce a larrière de léglise. Cétait une petite salle avec un lit, une table, une armoire. Cétait glauque et lambiance était un peu maussade à lintérieur. Cest là que devait dormir le père Emile et je le plaignais. Il prit place sur une chaise.
- Ma belle Adèle nous allons commencer par linspection. Pour cela je vais te demander de te mettre à nue et de te révéler a moi. Jai besoin de comprendre létendue de tes symptômes afin de les corriger. Enlève ta robe !
Bien que la situation devînt malsaine je savais quil savait ce quil faisait et était prête a tout pour régler ce problème. Je fis donc tomber ma robe et me retrouver en sous vêtement devant ce vieil homme.
- Cest bien continu je dois te voir comme dieu ta créé
Je dégrafais donc mon soutien-gorge et fis glisser ma petite culotte le long de mes cuisses. Jétais nue avec ma peau mate, mes petits seins parfaitement fermes avec mes tétons que le froid faisait dresser, mes fesses parfaitement bombées et mon pubis épilé parfaitement.
- Tu es vraiment magnifique Adèle. Tu ressembles à un ange. Viens sur mes genoux mon que je commence à voir ce qui ne va pas.
Timidement je mapprochais de lui et vins massoir sur ses genoux dos a lui. Je sentis une bosse imposante sous son pantalon toucher mes fesses.
- Nai pas peur je vais caresser ton corps pour voir quelles zones provoquent chez toi ces pulsions dont tu mas parlé tout a lheure.
Il commença par caresser mes épaules, ses mains froides me firent frissonner puis passa lentement sur mon cou. Il mit ses mains dans mes longs cheveux bruns, caressa mes joues, passa un doigt sur mes lèvres. Ses caresses étaient très douces et sensuelles et inconsciemment ma respiration saccélérait. Il descendit ses mains sur ma poitrine quil soupesa puis massa doucement. Ses mains recouvrant entièrement chacun de mes seins il les pressait sans forcer pour passer ensuite à mes tétons quil pinçait doucement en les tordant un petit peu. Moi je commençais à me dandiner de plaisir sur ses jambes.
- Je vois que ton corps réagit beaucoup à ces caresses Adèle. Je commence à comprendre ce qui ne va pas.
Il continua en descendant ses mains le long de mon ventre puis caressa mes cuisses dabord sur le dessus pour arriver vers lintérieur. Il les écarta dailleurs lentement et plongea une de ses mains vers mon intimité. Au premier contact de ses doigts sur mon clitoris je ne pus retenir un gémissement. Il caressa mon clitoris qui était trempé et commença à introduire un puis deux doigts dans ma chatte.
- Tu es trempé ma pauvre Adèle. Cest bien plus grave que je ne le pensais.
Il me doigtait maintenant sans ménagement dune main, lautre étant sur ma bouche pour retenir les gémissements que jémettais sans le vouloir. Sans me prévenir il me souleva et mallongea sur la table et, tout en continuant de me doigter, commença à membrasser. Je répondais à son baiser enflammé, nos langues se chevauchant. Puis il suça mes tétons un par un pour enfin descendre entre mes cuisses. Il commença à laper mon intimité qui était complètement trempé. Je ne pus retenir longtemps un orgasme dévastateur. Il cessa ainsi son uvre et se releva.
- Je naurais jamais pensé que tu étais si dépravé Adèle. Jaurais dû le voir bien avant. Moi qui te croyais si sage tu me déçois vraiment. Retourne-toi met toi a 4 pattes et cambre-toi bien jai encore une zone à explorer.
Honteuse et consciente de mon malheur je mexécutais tendant bien ma croupe au prêtre. Il plongea deux doigts dans mon vagin pour les humidifier et les introduit dans mon anus. Il commença à faire des mouvements circulaires à lintérieur tout en les faisant aller et venir. Je ne mis pas longtemps à sentir le plaisir remonter en moi. Ce quil put remarquer à ma respiration et aux petits bruits sortant de ma bouche. Il continua jusquà ce que jatteigne un autre orgasme symbole de ma luxure.
- Bon le bilan est désastreux ma petite. Tu es infestée de partout par le malin. Cela va être compliqué de corriger tout cela mais nous allons y arriver. Je te préviens cela ne va pas être une partie de plaisir. On va passer à la punition. Jai remarqué trois zones les plus érogènes à combattre. Tes seins, tes fesses et ton entrejambe.
Il me demanda de me mettre debout, ventre sur la table. Je le vis se diriger vers larmoire et en sortir des cordes. Il me ficela les jambes aux pieds de table et les mains aux pieds opposé. Cette position mettait mes fesses bien en évidence. Emile fis le tour de la table et mintroduit une balle dans la bouche quil noua derrière ma tête. Cétait inconfortable et mon attente dura un moment dans cette position jusquà sentir une énorme fessée sabattre sur ma fesse gauche suivit dune autre sur la droite. Je criais mais cela était étouffé par la balle. Des larmes commençaient à couler le long de mes joues.
- Tu vas souffrir petite vicieuse. Tu nas ce que tu mérites pour être une petite salope.
Les fessées senchainaient à un rythme soutenu aggravant a chaque coup la douleur. Le supplice sarrêta a 30 et mes fesses devait être bien rouges. Je pensais quEmile allait maintenant me détacher, je me trompais lourdement. Après un petit instant une douleur immense envahit mes deux fesses, je hurlais de douleur pleurant maintenant avec des grosses larmes.
- Ça fait mal hein ? Petite chienne. Le martinet a boules cest tout ce que comprenne les putes dans ton genre.
Je ne reconnaissais plus lhomme à qui je confiais mes secrets depuis 20ans. Il me parlait crûment et vulgairement, jassumais que cétait pour vaincre mes démons. Il me frappa avec son outil une bonne trentaine de fois je sentais par moment une lanière simmiscer entre mes fesses frappant directement mon anus ce qui dupliquer la douleur. Complètement abattue et resignée je me laissais faire quand il dénoua mes liens cependant ce nétait que pour attacher mes mains à un crochet au plafond. Jétais cette fois suspendue les bras tendus en lair.
Il entoura mes seins de corde quil serra très fort ce qui était très douloureux. Je vis dailleurs rapidement mes seins changer de couleur et devenir rouge vif. Il attacha deux énormes pinces sur chacun de mes tétons ce qui me tordit douleur. Je cherchais son regard pour lui procurer de la pitié mais je ne vis que rage et détermination. Il partit me laissant ainsi seule avec ma souffrance une bonne vingtaine de minutes qui me parurent une éternité. Quand il revint il enleva les pinces recula et frappa avec le martinet sur mes seins. Je passais du soulagement a la douleur en un dixième de seconde. Emile avait le regard haineux et frappait à intervalle régulier sur mes seins. La bave coulait abondamment sur mon menton et je manquais de mévanouir. Enfin il arrêta et retira les cordes autour de mes seins que je ne sentais plus.
- Il reste une dernière étape Adèle pour finir ta punition.
Il écarta mes jambes et positionna une pince sur chacune des lèvres de mon sexe avec un petit poids ainsi quune autre sur mon clitoris. Cétait vraiment horrible la douleur que je ressentais mais je ne cherchais mémé plus à crier sachant que cela était inutile.
- Jai une messe à effec je reviens dans une heure. Tiens le coup tu sais que cest pour ton bien.
Cette heure fut lune des plus longue de ma vie surtout quen plus des poids sur mon sexe, la douleur dans mes bras devenait vraiment puissante ainsi que mes mâchoires qui étaient distendues depuis un bon moment. Emile revint enfin et me libera de tous mes supplices. Je mécroulais par terre. Il me souleva et me déposa sur le lit.
- Cest bien tu as fini la deuxième étape, repose-toi un moment je viendrais te chercher pour la collaboration.
Je mendormis un bon moment je pense et fus réveillé par Emile qui me caressa les cheveux tendrement.
- Réveille-toi mon , Il est 17h cest lheure de la collaboration. Enfile cette tenue et rejoins-moi dans la nef.
Il me tendit une tenue de bonne sur que jenfilais avant de sortir le rejoindre. Tout mon corps était douloureux mais jétais déterminée à suivre le processus du père Emile.
- La collaboration consiste à effec une bonne action et à en faire profiter la société. Pendant que tu dormais jai réfléchi, tu vas aller voir les ouvriers dehors. Ils ont fini la rénovation de léglise et cest vrai que nous ne les avons pas payés beaucoup. Je pense que ce serait bien que tu aille dans leur bungalow avec ce panier de nourriture et que tu partages le repas avec eux. Et remet cette lettre au chef cela indique que tu ne peux pas parler mais que tu peux les aider sils ont besoin de quoique ce soit pendant deux heures.
Dans mon fort intérieur je me demandais si le père Emile était naïf ou si cétait intentionnel mais vu comment ces 3 hommes mavait sifflé en arrivant ce mot nallait pas signifier la même chose pour eux. Je ne voulais pourtant pas gâcher tout ce que javais enduré et ne rompis pas mon vu de silence. Je me rendis donc avec le panier de nourriture et la lettre devant le bungalow des ouvriers situé derrière léglise.
Je frappais à la porte toujours dans ma tenue de nonne. On mouvrit la porte étonné, je tendis donc la lettre. Lhomme était vraiment le stéréotype du gitan mendiant de métro sale et vulgaire. Il devait avoir la cinquantaine, il lut la lettre et avec un grand sourire dont il manquait des dents il me fit rentrer. Le bungalow était en fait une sorte de vestiaire avec des cabines de douches au fond, une toilette, une table centrale et des casiers. Des posters de femmes nues recouvraient les murs et lodeur dans cette pièce était vraiment forte, un mélange de sueur de clope et durine. Les deux autres hommes étaient assis torses nus en train de fumer leurs clopes en buvant une bière de fin de journée. Ils parurent aussi surpris de me voir entrer avec leur collègue. Les trois hommes se ressemblait beaucoup, vieux, sales, des dents en moins, poilus, des horreurs. Je déposais le panier garnit sur la table sans un mot.
- La petite vient partager un repas avec nous les gars. Et surtout elle a fait vu de silence et est là pour nous aider si on a besoin. Hahah
- Je crois rêver une petite nonne vient nous aider cest gentil ça
- Oui cest un petit cadeau du prêtre pour nous remercier de la rénovation.
- Bon bah on va bien en profiter ça serait bête de refuser haha
Les trois hommes me scrutaient du regard et commençaient à mentourer.
- Par contre les gars je nai pas très faim mais cest lheure de la douche et je pense quon va avoir besoin daide pour ça.
- Cest clair cest compliqué de se savonner tout seul et surtout quon est bien sale avec cette journée de boulot.
- Dabord elle va nous montrer la marchandise la cochonne.
- Ouais surtout que tu nous as bien ignorer quand on ta sifflé tout a lheure
- Cest clair tu vas payer ça
- Allez fou toi à poil on ne se douche pas habiller
Je pleurais mais je savais que mon sort était scellé et que cela faisait partie de ma rédemption. Je retirais donc ma robe de nonne et me retrouva nue au milieu de lassistance.
- Ouah vous avez vu les marques sur ses fesses et ses seins
- Elle a dû déguster la garce
- Cest quil ne rigole pas Emile haha
- Bon au moins on sait quon peut y aller fort avec cette garce
- Hahah quest ce quelle est bonne ! Jai limpression de rêver aucun poster narrive à la hauteur
- Ouais et jen ai baisé des putes mais aussi belle et jeune jamais. On a deux heures les gars alors on va se régaler.
Ces commentaires étaient le comble de lhumiliation surtout venant de ces trois mecs que je méprisais il y a 5h
- Bon cest moi qui commence
Celui qui mavait ouvert et qui devait être le chef me prit par main et memmena dans la cabine de douche. Il se déshabilla vite et je pu découvrir une grosse bite dau moins 25cm. Il alluma la douche ou nous étions assez serré
- Allez ma grande tu vas me laver maintenant
Toujours dans mon silence je pris le savon sur le côté et commença a lui savonné le torse puis les bras, son ventre bedonnant, son dos
Il était couvert de poils. Pendant ce temps lui en profiter pour me tâter les seins à pleine mains et sans aucun tact. Quand jeu bien laver son corps il lui restait son sexe que je savonnais rapidement.
- Ça tu vas finir de la laver avec ta bouche cochonne
Il me mit donc à genoux et introduit son gros sexe entre mes lèvres, pris ma tête entre ses mains et commença à imprimer un va et vient de plus en plus profond et de plus en plus rapide. Je ne le suçais même pas vraiment, ma bouche était juste réduite à un trou ou cet homme se déchainait. Il était maintenant bien au fond de ma gorge et me boucha le nez, je commençais à et à baver fortement. Il fit durer ce supplice un bon moment avant de lâcher. Il me releva, membrassa à plein bouche en me mordant la langue puis sans attendre me retourna souleva une de mes jambes et me pénétra dune traite. Heureusement que la situation mexcitait et que je mouillais sinon la douleur aurait été forte. Là jeu seulement du plaisir car son sexe me pénétrait bien profond et je gémissais fortement. Ces deux collègues ont dû entendre car le rideau de douche souvrit.
- Vas-y Hakim fait profiter un peu les autres cest insoutenable de lentendre couiner avec sa petite voix de princesse.
Le dénommé Hakim la bite bien au fond de ma vulve me souleva et mallongeant sur la table repris son va et vient. Les deux autres se mirent nus et exhibait deux bites de dimension égales à celle dHakim. Ils me les présentèrent à mon visage et lodeur était infecte. En effet Javais lavé celle dHakim avant de la sucer, là jallais devoir sucer ces chibres puant le sperme de la veille et lurine. Je neus pas vraiment le choix, lun deux monta sur la table et se positionna a califourchon au-dessus de mon visage et y introduit intégralité de son sexe mon nez plongé dans ses poils pubiens.
Jen était réduit à létat dobjet. Au bout dun moment les rôles tournèrent et Hakim prit une pose pendant que celui au-dessus descendit me baiser laissant ma bouche au dernier.
- Tu nas pas de chance ma belle juste avant que tu arrives on sest branlé donc on nest pas près déjaculer.
Moi en tout cas jen été bien à 3 orgasmes car il faut lavouer ces trois hommes sont moches vulgaire mais quest ce quils sont bien montés. Après une autre rotation je fus placé à 4 pattes par terre Hakim se plaça derrière, mis son chibre à lentrée de mon anus pris mes beaux cheveux dans une main et mencula dune traite en tirant ma queue de cheval en arrière. Je gémis fort entre douleur et plaisir me faisant chevaucher hardiment. Les deux autres se placèrent même devant mon visage et je les suçais à tour de rôle ou il se passait mon visage.
Enfin Hakim sallongea sur le dos, sa bite toujours dans mon cul jétais sur lui. Et un des ouvriers me pénétra par devant. Je subissais ainsi ma deuxième double pénétration et la sensation de plaisir intense dêtre ainsi remplie me revint en mémoire. Surtout que les deux hommes étaient parfaitement synchronisés. Je jouissais tellement bruyamment que le troisième debout au-dessus de moi métouffa avec sa bite. Ça y est jétais pénétrée de toute part. Ce manège dura les deux heures ou les rôles séchangeaient. Jeu au moins 6 orgasmes et eux finir par éjaculer tous les trois sur mon visage me recouvrant entièrement de foutre.
- Tu peux aller prendre une douche salope. Tu nous as bien vider.
- Grave tu es la bienvenue si un jour tu en redemande car cest rare des chiennes comme toi.
Rompu physiquement et mentalement je pris une douche enlevant toutes les traces de semences. En sortant de la douche je me rhabillais rapidement et sans un regard pour mes tourmenteurs sortit du bungalow. Javais encore une fois pris énormément de plaisir à cette humiliation des plus dégradante. Heureusement grâce à cela javais finis la troisième étape de mon traitement et jallais bientôt redevenir la fiancée parfaite et lépouse idéale pour lhomme parfait.
Il était maintenant 19h et je retrouvais Emile dans la salle ou je fus torturée. Il mattendait nu, allongé sur son lit, je pus découvrir le corps obese du prêtre avec néanmoins une très grosse bite lui aussi, un bon 30cm. Cela me choqua car cet homme était comme un parrain pour moi.
- Ah te voilà ! On va pouvoir passer à létape suivante. La dernière avant la rédemption que jai appelé la médication. Pour cela je vais devoir soigner tes trois orifices démoniaques.
Emile se leva se dirigea vers la table ou été placé une coupe et une assiette avec des hosties.
- Je vais boire le sang du christ et manger son corps. Comme serviteur divin je te transmettrais ce sérum a travers mon sperme. Il faudra que je traite tes trois orifices pour que cela soit vraiment efficace en prenant soin de ne pas laisser libérer le liquide divin.
Emile était dun charisme étonnant et sa thèse me paraissait logique étant donné son rôle de prêtre dévoué et seul dieu pouvait corriger mes pulsions démoniaques. Emile but donc la coupe entièrement et mangea au moins dix hosties.
- Mets-toi nue mon et remontre-moi ton corps si jeune de petit ange.
Je mexécutais et le sexe du père Emile se dressa quasi instantanément. Il me prit dans ses bras, membrassa langoureusement, mallongea sur la table et me pénétra. Il commença de grands aller et retour et le plaisir monta en moi jétais vraiment insatiable. Cela ne mis pas longtemps avant quil déverse son foutre au plus profond de moi. Il prit immédiatement un crucifix de bonne taille et remplaça son sexe par ce dernier.
- Voilà comme ça le sérum ne sort pas et a le temps dagir
Il me retourna écarta mes jambes et comme prévu plaça son sexe devant mon anus préparé par les trois ouvriers. Il neut aucun mal à menculer jusquà la garde et jeu un autre orgasme. Il me pénétrait moins violement que les ouvriers cétait agréable et tendre. Au bout dun moment il se raidit et éjacula encore, cette fois dans mes intestins. Il remplaça son pénis par un cierge. Javais donc maintenant un crucifix devant et un cierge derrière ce qui ne facilita pas ma position accroupit quEmile mobligea à adopter.
Il présenta son sexe fraichement sortit de mon anus devant mon visage. Il commençait à ramollir je le pris donc vite en bouche pour lui redonner de la vigueur. Heureusement Emile étant un prêtre il ne devait pas être habitué à tant de sexe et ma fellation ne dura pas très longtemps avant quil ne se déverse une ultime fois dans ma bouche. Javalais toute la semence contente de terminer cette médication.
- Je suis fier de toi Adèle, tu es venue me voir, mas confié tes péchés et surtout tu mas fait confiance sur la manière de les régler. Maintenant tu vas pouvoir retirer les objets de tes orifices, te rhabiller et rentrer chez tes parents. Après une bonne nuit de sommeil tous tes tourments auront disparu et tu pourras te concentrer sur ton avenir avec Julien. Tu atteindras alors la rédemption
- Merci mon père. Je savais que je pouvais vous faire confiance
- Je sais que ça a été difficile ma princesse mais des fois le chemin du bonheur est semé dembuches et tu les as toutes passé avec succès. Je te laisse maintenant, repose-toi bien passe bien le bonjour à tes parents et on se voit demain devant lhôtel pour que je te marie
- A demain mon père.
Je sortais donc de léglise, meurtrie mais satisfaite de cette journée car javais sauvé mon âme et mon corps et demain ma vie allait changer à jamais. En arrivant chez mes parents je pris une autre douche, dîna avec eux et repue et stressée mendormais dans mon lit denfance attendant demain avec impatience pour atteindre ma rédemption et me marier sereinement.
A suivre
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