La Moiteur Du Climat Tropical
Un climat tropical est à la fois chaud et humide, il tempère les zones situées entre léquateur et le tropique du capricorne c'est-à-dire des pays au goût dexotisme.
La culotte de Vanessa aussi était chaude et humide, et voilà un moment que jaimerai goûter à lexotisme de sa liqueur
Mois de Mai 2007, sur les bancs de la fac dAix-en-Provence, la chaleur commence à donner le tournis. Le cours est barbant et Vanessa assise tout près de moi est plutôt dévêtue.
Vanessa, en quatrième année elle aussi, depuis que je la connais, combien de pensées coquines a-t-elle fait germer dans mon esprit ? Combien de débuts dérection en fantasmant sur sa poitrine ? Cest une métisse, elle a un sourire timide, un parfum de miel et des seins de rêves.
Elle mexcite trop, jai complètement lâché le cours et je la matte lourdement.
« Quest ce que tas ! Suis le cours un peu ! Tu me mets mal à laise »
« Je suis sincèrement désolé Vanessa mais tu mas possédé »
« Tu es trop distrait, puis cest vrai que la chaleur est insoutenable, » elle me fait un grand sourire
et un regard qui en dit long.
On est suffisamment bien placé pour que personne ne voie sous la table, lamphi est quasiment vide en cette fin de semestre. Personne aux alentours, et surtout sa copine pot-de-colle a eu la bonne idée de boycotter ce cours, loccasion est trop belle
Je caresse sa cuisse par-dessus sa jupe, surprise, elle se laisse faire et mime quil ne se passe rien. Je continue ce jeu polisson, je lui malaxe la cuisse avec empressement et déborde de plus en plus vers son intimité. Au bout de cinq minutes de ce petit massage, la température a sacrement augmenté, elle respire plus fort et moi aussi
Jentreprends une excursion en zone tropicale, mes doigts écartent son string, elle est très chaude et très humide. La caresser ici est un délice, sa toison est entretenue, la sensation de sa moiteur sur mes doigts mexcite de plus en plus.
Heureusement la pause arrive. On en profite pour plier bagage. On déambule dans les couloirs en se tenant par la taille à la recherche dune salle vide. En cette période lobjectif est vite atteint.
On peut enfin libérer nos ardeurs. Elle est assise sur un bureau, les jambes écartées, je lui caresse lentrejambe, elle est toujours très moite, elle me caresse la queue a travers le jean. On sembrasse profondément. La légère odeur de son sexe dégoulinant mélangée à lodeur de nos sudations envahissent la pièce, et chargent latmosphère dexcitation. Je glisse un doigt, puis deux, les remues rapidement, elle a sorti mon sexe et me branle avec fougue. Après quelques instants de ce traitement sa respiration devient saccadée et profonde, elle ferme les yeux et laisse sa tête partir en arrière. Elle pousse des petits cris. Elle empoigne mes cheveux et me plaque la tête contre ses seins que je bouffe littéralement, elle gémit encore plus. Je nen peux plus, tenant fermement ma queue je plonge en elle. Sa chaleur menvahit, elle pousse un cri, je calque le rythme de mes coups de hanches sur sa respiration. Puis, au bout de quelques minutes de ce traitement divin, jaccélère le rythme, les vas et viens sont fougueux. Jempoigne ses cheveux et les tire en arrière. Elle hurle son plaisir. Ses cris, son odeur, sa chaleur et le bruit de ma queue butinant son con me font défaillir. Nos râles intenses se mêlent, et, la queue raidie dans son antre dégoulinante, je jouis en trois spasmes puissants remplissant son con de mon jus.
Enlacés là, sur ce bureau, tremblant encore, transpirant doublement pour vaincre la chaleur, je me retire en un mouvement laissant séchapper mes sécrétions de son trou béant.
Une dernière fois lodeur de son intimité menivre les sens, et avec elle, je me remémore déjà la douceur de la fièvre tropicale.
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