Cours Particuliers
Je suis actuellement en deuxième année à la fac et pour me faire un peu dargent de poche, jai décidé de donner des cours particuliers en mathématiques (étant assez calé dans cette matière). Deux jours après avoir mis mon annonce dans la boulangerie de mon quartier, je reçus un coup de téléphone dune mère un peu affolée voulant donner des cours à son fils martin élève de TES. Après avoir convenu du tarif et de ma méthode de travail, nous avons convenu dun premier rendez vous. Donc je suis arrivé chez martin comme prévu le mercredi suivant à 14 h. Un très beau garçon, dun mètre 80, bien musclé (il devait passer plus de temps à faire du sport quà faire des maths) mouvrit la porte. Il portait un jogging blanc et un tee shirt. Après les présentations, je le suivis dans sa chambre, jen profite au passage pour mater son petit cul. Nous arrivons dans sa chambre, on sinstalle à son bureau et le cours commence, ma jambe frôle de tant en temps sa sienne, aucune réaction de sa part. Pendant le cours je mate comme un malade son entre jambe, il a lair davoir un sacré morceau dans le slip, a un moment il sest aperçu que je le matais mais na rien fais pour mencourager à aller plus loin. Le cours se finit et on se donne rendez vous pour le samedi. Au bout dun mois nos rapports étaient devenus très sympas. Je me permettais de mettre ma main sur ses épaules, parfois sur sa cuisse bien sur en toute innocence.
Le mercredi 10 octobre, je pris place à côté de lui, comme d habitude. Il portait son survêt blanc et un débardeur blanc qui me permettais dadmirer ses muscles. A un moment je fis tomber le stylo, alors que je le ramassais, jen ai profité pour lui mettre ma main sur son paquet comme, il ne réagis pas, alors que javais toujours la tête sous son bureau afin de ne pas voir sa réaction jaccentuai ma pression sur sa bite qui a commencé à grossir. Martin me poussa sous le bureau, sortit sa bite, et me lenfonça dans la bouche.
Le samedi suivant, dés que jai franchi la porte de sa chambre, Martin me dit : « mets toi sous le bureau ».
Jobéis, Martin baissa son pantalon et viens se placer comme la dernière fois. Je le suçais, pendant ce temps Martin faisait ses devoirs. Au bout de 10 minutes, Martin serra ses jambes et jouis dans ma bouche. Ce petit manége dura jusquau samedi 1 décembre, je suçais 2 à 3 fois par semaine Martin, jamais il ne mas touché ou embrassé : jétais un peu frustré de la situation mais cela me plaisait bien.
Donc le samedi 1 décembre, après sa pipe, Martin me demandait si javais déjà couché avec une fille. Il mexpliqua quil était puceau et que lui et sa copine devait faire lamour pour la première fois la semaine prochaine profitant du départ de ses parents. Il me dit quil aimerait bien faire un essai avant le grand saut, je lui répondis quil pouvait profiter de mon cul pour cela. Il me demanda de me raser le cul car il ne pourrait pas sil voyait un poil. Donc le mercredi suivant, jarrivais avec le cul rasé et propre. Martin avait déjà tout préparé : les capotes, le gel. Il me dit de me déshabiller et de mallonger sur son lit, il me recouvris dune couverture me disant quil ne voulais pas me voir, il tira sur mes jambes afin damener mon cul au bord du lit. Martin me bouffa le cul, me lécha la rondelle puis prit le gel et en mis une goutte sur mon trou et sur ces doigts, il menfonça délicatement un doigt et commença à mélargir la rondelle, puis je lentendis déchirer une capote et se linstallais. Quelques secondes après je sentis son membre sur ma rondelle, il poussait lentement, son membre progressait en moi. Puis lorsque ses couilles ont touché mes fesses, il a attendu quelques secondes avant de commencer à me pistonner, il me baissa lentement retirant parfois sa bite de mon cul avant de la remettre. Martin alterne les coups de bite rapide et les moments un peu plus lent, afin de ne pas jouir trop vite je pense, il me baissa pendant 15 bonnes minutes puis dans un dernier coup de rein, il se planta tout au fond de mon cul et se mis à jouir. Il se retira, alla dans la salle de bain sans un regard pour moi ou une caresse, je compris que je navais plus qua me rhabillé. Il revint tout habillé puis me demanda : « alors, cétait comment ». Je lui répondis : « pas mal, pour la première fois » Il en était tout fièr comme un vrai môme, puis me dis bon maintenant on bosse.
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