Voyage A Cuba...Découverte De Nouvelles Expériences

Je suis tombée amoureuse d'un garçon étant très jeune et je suis restée avec lui jusqu'à l'âge de 19 ans. Il m'a laissé après 5 ans de vie en commun, seulement 2 semaines avant mon anniversaire. J'étais absolument anéantie, je n’avais plus le goût de rien, je me suis juré de ne plus jamais regarder un autre homme et j'ai englouti des litres de glace devant la télévision. Un jour, ma copine Sara me dit:
-Dis-moi Julie, que fais tu pour ton anniversaire?
-Ben rien, je compte faire un souper avec mes grands-parents et mes parents mais avec ce qui est arrivé la semaine dernière, je vois cette date arriver comme un enfer.
-J'ai une meilleure solution pour toi ma chérie, je t'emmène en vacances à Cuba, on va fêter tes 20 ans en grands et tu vas rencontrer les mecs les plus adorables là-bas.

Sara est une grande brune, elle a de petits seins pointus et de belles fesses rebondies, elle a de très grandes jambes avec de fines chevilles. En bref, elle pourrait être mannequin sans problème et elle le sait. J'habite avec elle et un soir sur deux elle ramène une nouvelle conquête à la maison. Pour ma part je suis de taille moyenne, j'ai de longs cheveux blonds et je suis très athlétique. Ma passion c'est la danse, j'ai vu tous les films de danse possibles et l'idée d'aller à Cuba danser la salsa me plaisait énormément. C'est pourquoi j'ai accepté sa décision avec joie et deux jours plus tard, je me trouvais assise dans un avion en direction de deux semaines de plages, de mer, de danse et d'hommes!!!

L'hôtel était superbe, nous avions un immense balcon avec vue sur la mer et la suite comportait deux chambres:
-C'est que tu sais, me taquina Sara, je n'ai pas envie de t'entendre jouir trop fort, ça me dérangerait dans mon sommeil!
La première journée, nous sommes allés à la plage nous baigner, l'eau était bonne. Nous avons trouvé une petite crique isolée et Sara me proposa d'enlever nos maillots. J'hésitais un peu mais j'ai finis par accepter.

Après tout, nous étions faites de la même façon et j'avais déjà vu ma coloc en très légère tenue. J'ai enlevé mon maillot et je me suis allongé sur ma serviette. Sara me proposa de me mettre de l'huile alors j'ai accepté. Elle commença a me masser tout en me mettant de la crème en passant ses mains sur mon dos, mes fesses, mes jambes, le galbe de mes seins et mon cou. Il était clair qu'elle n'était plus exactement entrain de me mettre de la crème toutefois mon corps aimait ses caresses et en redemandait. Je sentais mon sexe qui commençait à devenir humide et mon corps réclamait plus de caresse encore. Mon bassin se soulevait légèrement et elle comprit ma demande. Elle me fit retourner et m’embrassa tout doucement puis sa langue ouvrit doucement ma bouche, se fit plus insistante et le contact de nos deux langues provoqua une décharge électrique qui me traversa le corps. Notre baiser devint passionné et nos langues se mélangeaient dans un ballet que rien ne semblait arrêter. Mes mains caressaient son corps si beau et pétrissaient ses seins avec passion. Elle m'enlaça et notre étreinte devint de plus en plus intense, nos corps réclamant le plaisir. Je la plaquai sur le sol et je lui léchai un mamelon. J'y allais doucement au début mais bientôt, emportées par notre envie, je me mis à lui lécher avidement le corps entier. En même temps, mes doigts caressaient son sexe ouvert et offert à mes caresses. Son clitoris rouge et tendu m’excitait terriblement, autant que ses soupirs et ses gémissements. Je descendis doucement jusqu'à l'entrée de son sexe et introduisit doucement ma langue dans son vagin sous les cris de plaisir de Sara:
-oh oui, mmmmmm, Julie c'est bon, ne t'arrête surtout pas, continuer ma belle, oh oui vas-y....
Ses encouragements me firent redoubler d'efforts. Je commençais à lécher son sexe de l'entrée de son vagin vers le haut, jusqu'a atteindre son clitoris, puis de haut en bas. Je recommençais mon manège jusqu'à la voir haleter. J'introduisis fougueusement ma langue dans son vagin et entrepris de caresser l'intérieur. Le sexe de Sara dégoulinait et je buvais cette liqueur douce-amère mais au combien délicieuse. Mes assauts continuèrent de plus belle et ma langue ne laissa aucun répit à Sara, la léchant partout, sans oublier un seul recoin de son sexe et de ses bourrelets de chairs. Soudain, je sentis Sara se contracter, se raidir et elle poussa un cri de jouissance si délicieux aux oreilles. Elle retomba inerte sur sa serviette et me dit :
-Tu ne perds rien pour attendre Julie, je pense qu'il est temps de t'offrir ton cadeau d'anniversaire et de te montrer comment l'utiliser.

Elle sorti de son sac une boite que j’ouvris et dans laquelle se trouvait un gode-ceinture. Transparent et bleu ce gode avait une taille impressionnante et les irrégularités sur le dessus semblaient vraiment propices pour prendre son pied. Avant que j’aie pu dire quoi que ce soit, Sara l'avait attaché autour de sa taille et me renversait sur la serviette. Je n’avais pas vraiment besoin de préliminaires, disons que le fait de m'occuper de ma copine m'avait déjà suffisamment excité. Sara se positionna sur moi en m'ouvrant doucement les jambes. Elle m'embrassa langoureusement et sensuellement, faisant monter le désir à chaque coup de langue. Elle se mis à me demander des choses sur un ton plutôt coquin et chose étonnante, je me plus à lui répondre sur le même ton:
-As tu envie de moi, veux tu que je te pénètre?
-Oh oui Sara, j’ai envie de toi, viens me défoncer.
Elle ne se fit pas prier, elle positionna le gland à l’entrée de mon sexe et m’empala d'un seul coup fort et puissant. Je poussai un cri de plaisir. Je sentis mon corps se raidir et être envahi de plaisir. Sara se mit à faire des allés retours dans mon sexe, allant toujours plus fort et plus loin. Cela ne dura pas longtemps: je fus prise d'un orgasme si intense et fort que je ne me souviens plus de se qui s'est passé après.

J'ai retrouvé mes esprits quelques minutes plus tard. Sara était allongée à coté de moi, le regard malicieux et coquin. Elle m’embrassa tendrement et me demanda si j'allais bien. Je lui répondis que j’allais bien, que j’avais du prendre du soleil parce que j'avais fais un drôle de rêve. Elle me demanda:
-Quel genre de rêve as-tu fais pour te mettre dans un état pareil ?
-Tu sais très bien de quel genre de rêve je parle.
-Ah bon, me dit-elle l'oeil malicieux ?

Tout en rangeant nos serviettes, je me demandai si tout ça n’était effectivement pas un rêve mais la vue de trois hommes qui nous regardaient passer plus loin me détrompa. À moins de me tromper gravement, la bosse que formait leur maillot de bain était suggestive et la caméra vidéo qui tournait dans le vide à coté d'eux me rappelait un vague souvenir de bruit de mer et de mouille salée mais divine.

À suivre...