Un Vrai Cauchemar.
Une violente dispute éclate entre Virginie, ma ravissante épouse, et moi, Renaud. En fait, je lui reproche de passer trop de temps, avec ses copines.
Virginie le prend très mal. Elle monte senfermer dans sa chambre. Après maintes excuses, elle ne veut rien savoir.
Je descend au salon, me sert un whisky.
«Ca lui passera...cest une simple dispute, comme beaucoup de couples ont dans la vie.»
Je mallonge sur le canapé, et massoupit.
Au bout dun quart dheure, Virginie sort de sa chambre. Elle est vêtue dune courte jupe, dun chemisier, et de hauts escarpins.
-Mais...ou vas-tu dans cette tenue.
-Je vais me faire baiser, répond-elle, ce soir, cest une autre queue que la tienne que jaurai dans la chatte...et jespère quelle sera plus grosse.
-Non Virginie...je ten supplie, ne fais pas ça. Tu sais que je taime. Ne me trompe pas pour une simple dispute...
Mon épouse claque la porte, et sen va.
Par la fenêtre, je vois sa voiture séloigner.
Après quelques courtes minutes de réflexion, je décide de partir à sa recherche, et la ramener, lui faire lamour.
On dit quil y a beaucoup de dispute, qui se règlent sur loreiller.
Je sillonne la ville, quand japerçois la voiture de Virginie garée devant un bar...de rencontres.
«Mais que fait-elle dans un endroit pareil.»
Je mapproche de la porte, mais suis repoussé par le vigile, qui bloque lentrée. Jai beau dire que ma femme est
à lintérieur...rien. Il doit tellement entendre dexcuses
Je passe sur le côté, me colle à la vitre dune fenêtre. Japerçois Virginie, assise sur un haut tabouret, les jambes croisées, dévoilant allègrement une cuisse.
Au bout de cinq minutes, un couple rentre, sinstalle au bar. Ils sont à environ à deux mètres de mon épouse. Linconnu se tourne vers Virginie, lui sourit.
En voyant le barman servir un verre à ma femme, je comprends que cest lhomme qui le lui a offert.
Elle rit, au point de ne pas remarquer la main qui se pose sur sa cuisse dénudée.
Pendant que le barman sert une autre tournée, la main poursuit sa progression. Elle a totalement disparue sous la jupe de ma femme, qui noppose aucune résistance. Mieux, elle décroise ses jambes, les écarte.
Impuissant, jassiste à la scène. Et la scène évolue. Lhomme a maintenant enroulé la jupe de Virginie autour de la taille. Je vois mon épouse écarter elle même sa culotte, pour que les doigts de linconnu puissent pénétrer sa chatte. La femme, jusque là à lécart, vient se placer derrière mon épouse. Elle ouvre le chemisier, caresse les superbes seins. Elle fait rouler les bourgeons, durcit par le désir, entre ses doigts, lembrasse dans le cou. Ma femme se raidit sous le souffle chaud de la belle inconnue.
La femme force Virginie à tourner la tête, lui prend les lèvres. Pendant que leur langue se défient, linconnue glisse une main entre les jambes de mon épouse, excite le clitoris. Virginie les traite de sale vicieux.
Au bout dun court instant, elle se cambre en arrière, yeux mi clos, bouche ouverte, dans ce que jimagine être un cri de plaisir. Linconnu essuie ses doigts dans une serviette tendue par le barman. Ces enfoirés ont joués avec elle, mais cest linconnu qui la fait jouir.
Jen reviens pas. Je viens de voir mon épouse se faire branler la chatte par un inconnu.
Je prends une seconde gifle, quand je vois mon épouse lui offrir sa culotte. Est-ce une invitation.
Toujours est-il que lhomme saisit la main de Virginie, et lentraîne à létage. Je sors, réfléchi comment monter sur le balcon du bar. Une voiture sen va. Jen profite pour prendre la place.
Je monte sur le toit du véhicule, me hisse à la force des bras, atterrit sur le balcon. Sur la façade, de nombreuses baies vitrées donnent sur les chambres.
Je tombe enfin, sur celle qui mintéresse.
Je surprends Virginie et linconnu en train de sembrasser.
A la différence den bas, on entend ce quil se dit. Les vitres nont pas de double vitrage, et avec la chaleur, les baies sont légèrement entre ouvertes.
Virginie est plus entreprenante, arrache pratiquement les vêtements de linconnu, le pousse sur le lit. Lhomme a déjà la queue en érection, et elle est assez imposante.
Cest au tour de ma femme dôter ses habits. Elle est superbe entièrement nue. Tel un félin, elle avance à genoux sur le lit. Elle se penche, lèche les énormes couilles, prend la bite en bouche. Elle entame une lente fellation, qui arrache des râles de plaisir à linconnu. Elle lâche sa proie, glisse sur le corps du mâle, lui prend la bouche. Puis, elle sempale sur lénorme bite, envoie des coups de reins, tout en se caressant les seins. Linconnu la maintient par les hanches, guide les mouvements. Mon épouse se cambre, atteint un puissant orgasme. Elle sécroule sur le torse de son amant, lui prend les lèvres. Puis linconnu la couche sur le dos. A son tour de marquer son territoire. Il enfouit son visage dans le triangle humide des cuisses. Il lui mange la chatte, aspire son clito. Virginie se cambre sous les douces caresses.
-Baises moi encore, supplie-t-elle. Je veux ta queue
-Tinquiètes...tu vas lavoir.
Linconnu prend la position du missionnaire, et dun coup sec, pénètre la chatte de ma femme. Il envoie des coups de reins, qui arrachent des gémissements de plaisir à ma femme, qui ne tarde pas à jouir, couinant comme une chienne en chaleur. Virginie se pend au cou de son amant, lembrasse, comme pour le remercier de lui avoir donné tant de plaisir.
-Oh putain, quelle bite...elle est bonne ta queue.
-Une queue est une queue, sourit linconnu.
-Elles ne sont pas toutes du même calibre
et je sais de quoi je parle.
Je prends ça comme une humiliation.
Linconnu saisit ma femme par les hanches, lui fait faire un demi tour. A tout les coups, il veut la prendre en levrette. Comme si elle avait compris ses intentions, Virginie se cambre, offre sa croupe. Lhomme prend sa queue en main, la frotte contre la chatte pleine de mouille. Une fois bien imbibée, il la présente au petit trou.
«Non...il va pas faire ça...il va pas la sodomiser...»
Lentement, la queue dilate le petit trou. Linconnu sent une réticence de la part de Virginie. Il stoppe net sa progression.
-Qui a-t-il, demande linconnu
on tas jamais pris par là.
-On ne ma jamais sodomisée, dit Virginie. On ne me la jamais proposé...mais je veux pas mourir conne. Vas-y.
-Désolé, tes sure.
-Vas-y je te dis... encules moi, bien profond
que jai un truc à raconter à mon mari...oh putain, comme tes gros.
Je tombe à genoux. Quais-je fait pour mériter ça. Je suis abattu. Je ne peux détourner les yeux, de cette queue, qui lime le petit trou mon épouse. Je la vois serrer les dents quand le bite la pénètre. Je lentend hurler de plaisir à chaque orgasme, et ils sont nombreux. Je ne sais combien de fois elle a joui...sept, huit fois peut être. Mais comment un homme peut-il avoir la capacité de faire jouir une femme à ce point. Ou cest moi qui nai rien compris.
La dernière image montre Virginie en train de tailler une pipe à son amant. Elle avale tout, enroule sa langue autour du gland, quelle nettoie en se délectant du sperme.
Après sêtre donné un sulfureux baiser, linconnu raccompagne Virginie à sa voiture.
«Tiens, dit-il, en lui rendant sa culotte.»
«A bientôt peut être, dit Virginie.»
Il est quatre heure du matin quand Virginie rentre de son escapade amoureuse. Jai pris les devant, et lattends, assis sur le canapé.
-Quas-tu fait pendant tout ce temps.
-Ce que je tai dit. Je me suis faite baiser et sodomiser. Oui, tas bien entendu, je me suis faite enculer. Ca te la coupe hein. Toi qui na jamais été capable de le faire. Jai taillé des pipes aussi, tout avalé. Je suis tombé sur un étalon, je te dis pas. Il ma fait jouir toute la nuit.
-Et tu décides quoi ?
-Là, tout de suite...prendre une bonne douche, et aller me coucher. Inutile de me rejoindre...a oui, autre chose, jai prévu de sortir samedi prochain.
Virginie ne sait pas que jai assisté à son infidélité. Si je navais assisté à cette soirée, je ne laurai pas cru.
Jai pris un sacré coup. Je suis vraiment secoué...secoué.
-Alors mon chéri, tu ne te prépares pas. Tu sais quon mange chez tes parents ce midi. Tas pas oublié jespère.
-Heu...non...mais que cest-il passé.
-Il sest passé, que tu as trop bu chez les voisins, hier soir, et que tu es tombé comme une masse.
-Mais alors, cette dispute
-Mais mon amour, cest une dispute comme beaucoup de couples ont. Il y en aura dautres. Dailleurs, javais lintention de mexcuser sur loreiller, mais tu narrivais pas à bander, tu nétais pas en état. Jespère que tu le seras pour la sieste...sinon, jirais voir ailleurs.
-Non non, ma chérie, je serais en forme, promis.
Mon dieu, quelle histoire.
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