Initiation À La Débauche ,Histoire D'Un Couple Ordinaire

7 mon chiffre porte bonheur…

Rien ne nous prédisposait à vivre ce que nous avons vécu, une initiation involontaire à la débauche …

Ce samedi 7 juillet restera dans les annales, sans jouer sur les mots. J’avais quelques jours plutôt retrouvé, un ancien camarade de classe, Bertrand, un sacré numéro ce Bertrand.
Aujourd’hui il était à la tête d’un club restaurant branché, bon chic bon genre, où l’on ne peut se rendre que sur invitation…
Bertrand m’expliquait son parcours atypique, je lui racontais ma vie : Marié deux s, un bon job, que du bonheur. Après quelques échanges de politesses, il insista pour m’inviter dans son nouveau club, peu fier de me faire découvrir ce qu’il appelait : son nouveau concept.

Pris de cours et devant une telle insistance, je décidai d’accepter l’invitation : c’est ok je viendrais dîner Samedi 7 avec ma femme.

De retour à la maison, j’expliquer a ma femme mes retrouvailles avec Bertrand, et lui faisait part de son invitation. Ravie d’allait dîner, mon épouse me rappela que nous ferions deux voitures, car elle avait prévu d’aller voir sa Sœur.
Que cela ne tienne, nous nous retrouverions à 20 heures au club restaurant, ah, le GPS, quelle belle invention…

Un petit coup de téléphone à Bertrand Samedi midi, pour lui confirmer l’heure, j’évoque avec lui la situation, il me convint de venir un peu plus tôt, pour discuter :
« Allez viens, tu verras, tu vas être épaté… »

C’est ok, je serais là vers 19h15.

Samedi soir, 19h 15, je suis devant le club restaurant, une superbe battisse retirée, superbement arborée : la classe…
Bertrand m’attend au seuil de la porte : « allez rentres, ne restes pas planté comme un con ! »

Première surprise, cela ne ressemble pas à un restaurant, c’est un grand hall magnifique, suivi d’un coin bar prés d’une cheminée du 18e siècle cela dégage un charme fou.


« Mais, elle sont ou les tables pour manger ?? »

Bertrand semble ravi, « ah, tu vois que cela t’épate déjà!! »

Bertrand fini par me faire visiter son club, tout en m’expliquant son concept. En faite, à gauche du Hall un petit couloir donnait sur une multitude de petits salons « privés »
Tu viens dîner en toutes discrétions en réelle tête à tête avec ton partenaire dans un petit salon privé.

Voila une partie du concept….!!

« Ouais, c’est sympa » , et cela a le mérite d’être original, mais je ne suis pas au bout de mes surprises semble t‘il …

Découvrant, les salons privés, je remarque une similitude, outre la déco strictement identique : une table ronde en chêne massif au centre de la pièce, un étrange canapé en cuir accolé au mur, je dit étrange car le haut du canapé est aussi large que l’assise, on dirait un canapé à deux étages!!
Mais ce qui retient le plus mon intention c’est les deux trous rond dans le mur au niveau du « 2 ème étage » du canapé.

Bertrand éclate de rire, « ça, c’est le deuxième effet kiss coll »… Je ne comprends rien, et je fini par m’agacer : « expliques moi, au lieu de te foutre de moi ».

Bertrand fini par me révéler l’utilisation des trous dans le mur : « tu connais le principe du glorry holle...
C’est trou de l’amour que l’on retrouve dans les clubs libertins, et bien c’est presque le même principe.
Avec l’accord d’un des partenaires voire, le plus souvent des deux , on demande à la dames de ce mettre à genoux sur le canapé de mettre ses mains dans les deux trous qui ressemble à de grands gants de velours (sans les bouts), on monte tout un scénario à l’avance avec l’époux ,du style: « votre mari est sorti du salon pour passer la commande, il souhaite vous faire une surprise , un cadeau , une bague qui sait…, veuillez passer vos mains a l’intérieurs des « gants »s’il vous plait …» .
A ce moment là de l’autre coté du mur nous avons une petite pièces ou un membre de mon équipe retiens les mains de la femme, cette dernière se retrouve dans une étrange posture à genoux sur le canapé, les mains retenu par un individu qu’elle ne voit pas.
.

Je suis estomaqué, j’ai du mal à réaliser ce que Bertrand me raconte, « Eh alors quel est le but recherché, en dehors d’une crise de panique ? »

Bertrand semble surpris « T’es con ou quoi ? Après on la baise..!!! »

Effectivement, je ne m’attendais pas à cela, je balbutie, je ravale ma salive essayant de comprendre :
« Mais je…enfin elle.. »
Bertrand rentre dans une explication érotico fantasmagorique : « si tu savais à peine 2 femmes sur 10 se refusent réellement, et c’est pour cela qu’il s’agit d’une personne de mon équipe « formée » qui lui retient les mains, s’il comprend que cela tourne mal, il la relâche, nous nous excusons du « mal entendu, » on appel aussitôt le mari et c’est a lui d’arranger le coup…
Tout ce que nous faisons et en accord avec le mari, ou la femme.
Certains viennent seul, et choisissent de se faire un petit plaisir…, certains maris veulent tenir leur femme, d’autres veulent juste regarder….
J’ai une équipe constituée principalement d’anciens hardeurs fatigué de jouer dans des films de cul, ici il sont occasionnellement serveurs et surtout baiseurs … »

C’est tout bonnement inimaginable, jamais j’aurais cru que l’on pouvait faire des choses pareilles, je ne suis pas un puritain, mais quand même… allez aussi loin dans la débauche.

Bertrand m’expliqua qu’il y avait bien pire, et qu’au vu de la demande client, il était fier d’avoir conçu sont concept…

Nous nous fîmes arrête par un des « serveurs », un colosse black, de prêt de 2 mètres, qui venait rappeler à Bertrand que le club commençait à ce remplir, déjà deux couples et une femme seule…

Bertrand me regarda fier comme un coq : « tu vois les affaires marchent, eh , cela te dirait de venir mater la femme seule ? »

« Non, tu déconnes…je me sentirai gêné, jamais je pourrais regarder … »
Bertrand me coupa, « viens la tenir dans le petite pièce, 5 minutes, juste pour te prouver quelle ne retirera pas ses mains, si je perd je t’offre le repas et le champagne.
. »

Je fini par accepter, j’étais à la fois excité et apeuré, mais je suivi Bertrand jusqu’à cette petite cachette, là confortablement assis sur un tabouret j’attendais avec Bertrand de voir apparaître les deux mains de la femme venu s’amuser comme dit Bertrand.
Bertrand avait passé l’info au serveur de « s’occuper » du salon n°7, Celui de la femme seule…
7 c’est marrant, dis je à Bertrand « c’est mon chiffre porte bonheur… »

Les voix étaient déformées par l’épaisseur de isolant, mais nous comprenions ce qui se disait, le serveur invitait la femme à glisser ses mains dans ces trous gantées pour y découvrir une surprise, il avait un certain charisme qui mettait en confiance..

Quelle fut ma joie lorsque je vis les mains apparaître, Bertrand, m’ordonna de les saisir rapidement.

La femme surprise tenta de se défaire de l’emprise, mais je tenais bon, j’étais même fier de la maîtriser ainsi. Nous entendions la femme crier son mécontentement : « arrêtez tout de suite cette plaisanterie, d’ailleurs mon mari va arriver d’une minute à l’autre… »
Le serveur d’un ton sec la stoppa, « c’est une idée de votre mari…, c’est lui qui nous a dit que tu aimais ça, que tu rêvais de te faire baiser comme une chienne, que ton fantasme s’était d’être prise par un beau black comme moi… »
La femme de disait plus rien, elle ne tirait plus sur ses mains pour se libérer, il y eu un grand silence…

Bertrand me regarda et me dit, « tu vois encore une qui va sacrément s’amuser, surtout tu ne la lâches pas, c’est le concept… je te laisse 5 minutes je vais voir mes clients, je vais peu être mettre un coup à la gonzesse que tu tiens si elle est bonne…. »
Au moment où Bertrand sortait de notre cachette, la femme que je tenais se remis à bouger, mais cette fois ci, cela semble bien différent, les mains ne voulaient pas sortir, mais allez d’avant en arrière..

Ça y est, la salope est en train de se faire sauter, je commence à l’attendre, elle semble y prendre goût la cochonne… j’y crois pas…

Maintenant je l’imagine le cul en l’air, à genoux sur ce canapé sa robe relevée sur les hanches et ce grand black en train de la labourer, il doit lui peloter les seins en même temps…

C’est sur elle prend son pied, je l‘entend clairement « va y baise moi salaud, plus fort, plus fort »
Le serveur l’insultait « tu aimes ça salope ? Tu prends ton pied, on va te baiser mes potes et moi, tient c’est mon patron qui rentre ! tu veux qu’il t’encule, mon patron ? »
« Oui, oui, qu’il m’encule, pendant que tu me baises, je veux être prise de partout… »

Ouahh, je n’en revenais pas, et je bandais comme un âne, si j’avais pu avoir une troisième main !!!!

C’est pas vrai-je reconnais Bertrand, sa voie et déformée, mais c’est bien lui, ah le salaud…
« Alors ma p’tit dame on s’amuse avec le concept du patron, Max passe dessous, allez ma belle à califourchon sur la grosse bite du black, et moi je vais m’occuper de son petit cul …»

Oh putain ça y est ils la prennent en sandwich, maintenant c’est elle qui me tient les mains, elle me plante les ongles dans les poignets.


Elle hurle son plaisir, elle râle, elle gémie, elle crie se raidit, sa pression sur mes poignets est au maximum, elle jouie, d’ailleurs moi aussi et sans me branler, je viens de décharger dans mon slip.
La femme me lâche, ses deux mains son pendante elle récupère.

C’est incroyable, je tente de reprendre moi aussi mes esprits.

Soudain, Bertrand rentre dans notre cachette, « oh putain, la salope, elle m’a vidé, je lui ai pété le cul à celle la, oouuu!! Elle revient quand elle veut, eh!! Toi aussi tu sembles avoir apprécié… », Il regarde la tache sur ma braguette, « allez viens je t’emmène aux toilettes »

Une fois repris mes esprits et après avoir nettoyé mon pantalon, je regagnais le bar où m’attendait Bertrand.
« Alors mon concept ? Qu‘en penses tu ?»
« Sympa, bravo, mais, dans tout cela j’ai faillit oublier l’heure, ma femme dois arriver pour 20H »

Le jeune barman, se permis « il est 20h 15 Monsieur »
« Merde j’espère que ma femme ne poireautte pas trop »

« Votre épouse Madame x….. ?»
« Oui »
« Elle est arrivée, il y a facilement plus d’une demi heure… »
Je regarde Bertrand, » eh merde, elle, qui a horreur d’attendre... »
Compatissant, le serveur tenta de me rassurer « ne vous inquiétez pas Monsieur, nous l’avons fait patienter dans le salon n° 7 …»

Bertrand avala sa salive, euh!! 7 c’est pas ton chiffre porte bonheur ?

Oh putain ma femme, ils l’ont… elle s’est faite... Ah !! et moi qui la tenait en prenant mon pied… en plus elle a pris son pied !! Ah je meurs …

Si vous avez aimez cette histoire, bientôt la suite…

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