Comment J'Ai Gagné Mes Galons De Pute (4)
Comme je my attendais et lespérais, Rémy ma copieusement rempli tous les orifices durant le reste du week-end. Et moi, je me suis comportée comme une bonne petite bonniche bien docile! Dailleurs, Rémy mavait acheté une tenue de soubrette sur internet, pour « que je mimprègne bien de ma condition » avait-il dit. Il ne sagissait plus de chantage: même sil mavait rendu les photos compromettantes, jaurais continué dans ma débauche. Ca me ravissait que Rémy veuille faire de moi sa poupée! Pour le remercier, jai joué mon rôle à plein et jai tenu mes trous à sa disposition. Du coup, jai reçu du foutre à profusion dans chacun deux!
Ca a commencé dès le samedi matin. Au réveil, Rémy ma ordonné daller me laver et de mhabiller pour la journée. Il est vrai que javais du sperme séché partout dans les poils de ma toison et dans les replis de ma chatte et quune douche me ferait le plus grand bien! Après mêtre lavée et pouponnée, jai trouvé mon uniforme de soubrette sur une chaise. La panoplie complète! Une robe noire ultra-courte, un petit tablier et un serre-tête blancs. Il y avait aussi un porte-jarretelles et des bas noirs, ainsi quune petite culotte de tulle noire fendue en son milieu, de sorte que mon vagin et mon anus étaient directement accessibles. Jai réalisé que Rémy avait prévu de longue date de me traiter de la sorte et ça ma violemment excité. Jai passé ma tenue avec plaisir et je suis retournée dans la chambre où Rémy mattendait, nu et étalé sur les draps. Je me suis installée à quatre pattes sur le lit et jai commencé à effleurer les couilles de mon amant avec ma langue. Jai senti quelques poils et jai demandé en minaudant à Rémy sil voulait que je les lui rase. Il a dit que ce nétait pas une mauvaise idée et je lai emmené dans la salle de bain où je lai fait asseoir sur le rebord de la baignoire. Là, jai rasé ses bourses avec mille précautions, mais sa belle bite bandée me déconcentrait. Pour me calmer, je faisais des pauses pendant lesquelles je la suçais un peu.
-« ce quon est bien dans ta chatte
» Ma-t-il soufflé.
Il a continué à touiller mon orifice avec sa queue puis, après quelques mouvements de bassin, il a éjaculé à lintérieur, engluant un peu plus mon vagin déjà rempli de mouille. Jai eu bien sûr interdiction de me nettoyer. Pendant que Rémy prenait sa douche, jai eu lordre de rester à côté de lui et cest moi qui aie dû lui savonner la bite et les couilles. Comme il me lavait dit, ça faisait partie de mon boulot! Moi, ça me faisait mouiller comme une folle
Dès que nous sommes sortis de la salle de bain, il ma ordonné de me mettre à quatre pattes sur le canapé du salon, les avant-bras posés sur le siège et les jambes bien écartées sur laccoudoir avec la croupe offerte. Je suis restée plus de trois heures dans cette position! Pendant ce temps, Rémy vaquait à ses occupations, il jouait à la console ou bouquinait en buvant des cafés. Régulièrement, il interrompait ses activités et venait mettre avec un mépris étudié sa queue dans ma bouche, ma chatte ou mon cul. Il les fouillait une minute ou deux, me traitait de garage à bites puis se retirait. Par contre, il revenait très régulièrement! Quel pied! Rémy prenait son plaisir dans tous mes trous, jaimais quil profite de moi comme ça et mon ventre était en feu. Au bout de ces trois heures, cest encore dans ma chatte quil a choisi de se vider. Jai été un peu contrariée, car javais envie de sentir son sperme chaud dans mes deux autres trous, et en particulier dans celui de derrière. Javais adoré cette sensation inédite pour moi et javais hâte quil me la fasse connaître à nouveau! Jen avais tellement envie que je me suis alors promis de tout faire pour que, la prochaine fois, il méjacule dans le cul.
Loccasion na dailleurs pas tardé à se présenter. Après mavoir juté dans la chatte, Rémy ma ordonné de shampouiner (toujours à quatre pattes, bien sûr) la partie du tapis qui avait été souillée la veille par son sperme. Pendant que je mactivais, Rémy lorgnait sur mon vagin tout poisseux en astiquant sa queue à demi molle. Quand elle a de nouveau été bien tendue, il est venu se mettre à genoux derrière moi, mais sentant que cétait de nouveau ma chatte quil voulait investir, jai gémi:
-« Non, sil te plaît! Dans le cul! Je la veux dans mon cul!
- tu réclames déjà? Cest beaucoup plus tôt que je ne le pensais! Tu es vraiment la reine des salopes! » Ma-t-il répondu en ricanant.
Je ne pouvais pas nier: il lui avait suffit de menfiler lanus une seule fois pour que je sois déjà pressée quil me le remplisse une deuxième fois! Rémy a pointé sa queue contre mon trou plissé, mais vu quà lépoque, jétais encore très rigide de cet endroit, il sétait déjà refermé depuis que Rémy lavait visité alors que jétais sur le canapé. Son gland épais na pas réussi à me pénétrer (il est vrai que maintenant mon anus, après sêtre fait ramoner des centaines de fois, a beaucoup perdu de son élasticité, mais au début, une sodomie avec Rémy ne simprovisait pas!). Mon amant a donc dû préparer le passage avec ses doigts, ce qui ma rendu ivre dimpatience. Quand finalement son gland a ouvert mon sphincter, je lai encouragé:
-« Haaaan! Comme ça! Cest bon
enfonce-toi
encore
bourre-moi bien le cul
- ça te manquait déjà, hein, sale chienne!
- Oh oui! Si tu savais
»
Rémy ma enculé sans ménagement. Je sentais des ondes de plaisir envahir mon bas-ventre et je vagissais comme une chienne. Au bout de quelques minutes, le souffle court, Rémy ma annoncé:
-« Putain de salope
Je vais te juter dedans
- non, attends! Laisse-moi dabord te lécher les couilles
»
Je savais que Rémy adorait ça et je voulais me montrer la plus soumise possible.
-« Viens, maintenant, vide-les dans mon trou du cul, il est à toi
»
Rémy a remis sa bite au chaud dans mon anus à présent bien ouvert, puis il a refait quelques va-et-vient avant de balancer sa purée dans mon boyau. Jai joui sans me toucher et jai su alors que jallais définitivement raffoler de cette pratique encore nouvelle pour moi. Rémy sest relevé et ma dit:
-« Cest ta chatte de pute que je voulais remplir, moi, mais tas de la chance, javais envie de te faire plaisir
Remercie-moi
»
Moi, toujours à quatre pattes, jai répondu doucement en le regardant dans les yeux:
-« merci de mavoir juté dans le cul, mon amour
»
Rémy ma enculée à deux autres reprises au cours de week-end, et à chaque fois le plaisir a été plus intense. Mais il ne sest pas contenté de ça: il sest encore délesté de son foutre à deux reprises dans ma chatte (dont une dans la nuit de samedi à dimanche durant laquelle jai dû dormir avec mes bas et mon porte-jarretelles) et bien sûr deux fois dans ma bouche (une fois le samedi avant de se coucher, une fois le dimanche au réveil. Ainsi que le dit Rémy, une ration de foutre par jour est un minimum vital pour une pute comme moi. Je peux vous dire quil a toujours pris soin dappliquer sans pitié ce précepte toutes les fois où cela a été possible: un jour, il est même venu se branler au-dessus de ma bouche pour me faire avaler son sperme alors que, atteinte dune grippe, jétais au lit avec presque 40°C de fièvre!).
Il est vrai que jy ai mis du mien pour obtenir toutes ces giclées! Jai passé mon temps à provoquer Rémy, les jambes bien écartées lorsque jétais assise et me déplaçant uniquement à quatre pattes. A tout instant, je passais ma main sur ses couilles pour les dorloter et je lui demandais en geignant comme une salope quil me donne ma gâterie.
Au final, javais lentrejambe et la culotte amidonnés de sperme séché, et jai juste eu le temps de prendre une douche et de me changer avant que Guy narrive. Je lai accueilli joyeusement, le vagin encore dilaté par la récente pénétration de son fils. Jétais enchantée du week-end de débauche que je venais de passer, même si je me sentais crevée. Guy avait lui aussi les yeux cernés, mais sans doute pas pour les mêmes raisons que Rémy et moi! Nous avons dîné tous les trois. Pendant que mon mari racontait son grand prix, je songeai aux grosses couilles de Rémy que javais réussi à tarir complètement. Je me suis sentie fière davoir correctement remplie ma fonction de vide-couilles et jétais pressée davoir loccasion de recommencer. Dans un avenir plus proche, je savais également que mon boulot de fourreau à bites reprenait dès le lendemain matin. Javais une autre paire de couilles à essorer, et jétais enchantée de cette perspective. Ma mentalité de pute se forgeait petit à petit et je commençais à nenvisager les hommes que comme des réservoirs à foutre quil sagissait de vider. Je suis allée me coucher tôt avec lintention de récupérer de mon week-end et dêtre en forme pour le lendemain.
Effectivement, au réveil, jai constaté que jétais bien reposée car, rien quà imaginer ma journée, je bavais déjà de la chatte! Je me suis levée et me suis préparée: jai mis un tailleur assez strict gris perle sur des dessous en dentelles blancs et des bas clairs. Jétais assez contente de ma tenue et jai regretté de ne pouvoir aller la montrer à Rémy: sans doute maurait-il donné mon petit-déjeuner de pute
Jai pris la voiture avec la vulve en feu. Mince! Il fallait que ça sarrête, car mon mini-string nétait pas en mesure dabsorber autant de mouille et il allait bientôt dégouliner! Mais je ne pouvais quand même pas me branler au milieu de la circulation
Je suis arrivée à lhôpital avec le vagin tout glaireux et je me suis dirigée directement dans le bureau de mon patron sans passer par le mien. Javais une grosse envie de me faire fourrer et je nai pas été déçue! Quand je suis entrée, Pierre a relevé la tête de ses documents et ma dit:
-« Ah! Véronique
Tu tombes bien! Jai les couilles pleines et javais justement envie de me faire pomper le nud! »
Eh ben! Ca contrastait pas mal avec le langage châtié que je lui connaissais! Pierre ma ordonné de relever ma jupe. Il a admiré mes dessous pendant quelques instants, il ma félicité, puis jai dû passer sous le bureau. Quelle surprise quand jai découvert quil navait ni pantalon ni caleçon! Par contre, il avait sa belle verge bien érigée. Je lai embouchée immédiatement avec avidité. Mais il ma tiré par les cheveux et, comme vendredi soir, il ma obligé à renifler ses couilles et à lécher sa bite. Ensuite, il me la enfournée dans le bec. Il sest enfoncé dans ma gorge à plusieurs reprises avant déjaculer contre mon palais un flot de sperme épais et salé. Ma dernière giclée de foutre remontait à 24 heures (pour une gourmande de sperme comme moi, cest long!) et jai donc accueilli celle-ci avec soulagement en prenant soin de savourer. Jai avalé lentement et je me suis régalée! Sur lordre de mon patron, je me suis ensuite relevée. Il a massé ma chatte recouverte de mon petit string transparent et a vite constaté que ce dernier était imprégné de mon jus:
-« dis donc, salope, cest plus une culotte que tas là, cest une serpillière! Va falloir me nettoyer tout ça
»
Aussitôt dit, il a retiré le bout de tissu humide dentre mes cuisses et me la fourré dans la bouche. Mon string était tellement minuscule quil est rentré tout entier sans peine! Le goût de mes secrétions vaginales a alors envahi ma bouche, masquant celui du sperme que je venais de recevoir. Ca ma un peu frustré, mais jai quand même aspiré bien fort comme me la demandé Pierre, tandis que ses doigts sinsinuaient dans mon intimité. Il a rebandé assez rapidement en me regardant mâchouiller ma petite culotte. Avec deux doigts dans chacun de mes orifices, il ma dit:
-« Maintenant je vais tenculer, sale chienne! Tes bien venue pour ça, non? »
La bouche toujours bâillonnée, jai fait oui de la tête. Pierre sest levé, il ma mis le buste contre son bureau après avoir ouvert mon chemisier et malaxé les seins au travers de mon soutien-gorge. La jupe troussée, je devais dans cette position offrir une vue imprenable sur ma fente et mon cul. Un peu anxieuse, jai attendu servilement que Pierre me sodomise avec sa longue queue. Mais il a dabord préféré visiter ma chatte gluante. Pas longtemps, juste le temps de lubrifier sa queue avec ma mouille, mais assez pour me faire avoir un premier orgasme. Heureusement que ma culotte a étouffé mes gémissements de salope, sans quoi jaurais rameuté tout létage! Pierre sest retiré de ma chatte et dans la foulée, sa queue sest enfoncée dans mon cul. Même si elle était moins épaisse que celle de Rémy, je lai quand même sentie passer, croyez-moi! Jai mordu dans ma culotte et jai attendu que Pierre finisse de mintroduire sa queue dans le rectum; elle était si longue que javais limpression quelle allait me ressortir par la bouche (à cette pensée, jai senti mon vagin dégouliner de plaisir!). Pierre ma enfilé jusquaux couilles puis il ma limé sauvagement. Encore une fois, mon bâillon improvisé sest révélé bien utile pour assourdir mes râles de bonheur! Pierre ayant joui peu de temps auparavant, il lui a fallu me défoncer le cul pendant une bonne vingtaine de minutes avant de minonder les intestins avec son sperme. Quand il sest retiré, jai eu la sensation dun grand vide en moi. En bonne salope, ça ma donné immédiatement lenvie de me faire fourrer à nouveau et jai regretté quune deuxième bite ne soit pas là pour prendre le relais!
Mais pour lheure, il nen était hélas pas question. Pierre a ôté mon string plein de bave de ma bouche et il sen est servi pour « nettoyer » sa queue et mon cul souillés de foutre. Evidemment, je ne pouvais pas le remettre dans cet état et jai donc dû passer le reste de la journée nue sous ma jupe, à lexception de mes bas et de mon porte-jarretelles, cela va de soi
Pierre ma renvoyé dans mon bureau pour que je me remette au travail. Jai regardé ma pendule. Il était 9h30 et javais donc économisé une heure, tout ça pour sucer et me faire enculer par mon patron. Le « deal » ma paru très intéressant. En plus, pendant ce temps, jétais payée! Cétait la première fois que lidée de me prosti me venait, et ce ne fût pas la dernière, mais bien des mois dorgies ont été nécessaires avant que cela ne devienne une réalité
Jai essayé de me concentrer sur mon travail afin de ne pas trop penser à mon envie de bites qui faisait suinter mon vagin et risquait de tâcher ma jupe. Ce nétait pas facile! Jai été au supplice jusquau milieu de laprès-midi, moment où mon patron ma fait venir pour avait-il dit « se soulager dans ma chatte de traînée » avant de partir à un rendez-vous, ce qui fut fait. Pierre ma dit de mallonger et il sest introduit dun seul coup dans ma moule trempée.
-« Aaaah! Je te lavais bien dit que je tenfilerai par tous les trous, salope! » Ma chuchoté Pierre.
Il ma baisé très vite et à grands coups en missionnaire sur la moquette de son bureau, en ne songeant quà son plaisir. Pendant quil me défonçait la chatte, Pierre minsultait copieusement, ce qui achevait de me faire jouir intensément. Au moment déjaculer en moi, il ma traité de pute et de sac à sperme. A peine a-t-il eu fini de jouir quil sétait déjà rhabillé et avait quitté la pièce en ouvrant grand la porte alors que jétais toujours allongée sur le sol, les cuisses écartées. Heureusement, le couloir était vide
Jai pris un mouchoir pour essuyer mon con tout poisseux et je suis sortie du bureau, direction chez moi.
Lorsque je suis rentrée, Rémy mattendait.
-« Alors, petite pute, tu tes bien faite défoncer par tous les trous? » ma-t-il interrogé.
-« Oui, par les trois
» Ai-je répondu.
-« Viens me montrer
»
Je me suis approchée de lui, jai relevé ma jupe et il a pu constater que je ne portais plus de culotte. Il a souri et il a passé ses doigts dans les poils de ma chatte: ils étaient humides du foutre de Pierre. Puis il a caressé mon anus encore tout endolori de ma sodomie du matin et jai frissonné en pensant à ce qui mattendait. Rémy voulait lui aussi profiter de mon cul (cest dailleurs pour ça quil mavait confiée aux bons soins de mon directeur
). Javais hâte! Avant même quil ne me le demande, je me suis penchée sur la table du salon et jai ouvert le passage de mon cul avec mes mains. Rémy ma fait mettre une jambe sur la table, mais comme Pierre le matin même, il ma dabord baisé un peu par le vagin, ce qui ma fait onduler la croupe dimpatience. Il a ensuite bien pris le temps de me dilater avec ses doigts, il ma léché le cul puis il ma garni le fion avec sa belle pine. Son gland est passé tant bien que mal, mais jétais heureuse de pouvoir le recevoir. Une fois au fond, il a commencé par me pilonner doucement. Huuumm! Quel délice! Je me sentais déjà proche de la jouissance et je maintenais mes fesses bien ouvertes afin que mon amant puisse senfoncer au plus profond des entrailles de sa pute. En même temps, je serrais au maximum mon sphincter autour de sa tige en limplorant de tout me juter à lintérieur. Excité, Rémy ma fait confirmer:
-« tu veux tout mon jus, salope?
- oui, mon amour, je ten prie, donne-moi tout
»
Rémy a émis un râle et, pour la deuxième fois de la journée, jai reçu un bon paquet de foutre chaud dans mon cul. Ca ma fait un bien fou! Après, pour couronner le tout, Rémy ma fait découvrir ses talents en me faisant un super cunnilingus: il a léché mes lèvres intimes et lintérieur de mes cuisses, il a fourré sa langue dans mon vagin odorant, il a aspiré mon clito entre ses lèvres et jai eu deux orgasmes terribles en un rien de temps! Jétais encore un peu flageolante quand mon mari est rentré de son travail et il ma fallu prendre sur moi pour redevenir la parfaite épouse que jétais censée être.
Dans les deux ou trois semaines qui ont suivi, les choses ont continué sur la même lancée. Entre Rémy et Pierre, jétais enculée deux à trois fois par jour et à ce rythme, je nai pas tardé à avoir lanus plus accueillant, sans que pour autant il ne cesse dêtre bien serré (a ce sujet, il est temps pour moi de vous parler du surnom de mon cul: mes hommes avaient remarqué que javais beau avoir le cul plein de sperme, il ny en a que peu qui ressortait, tellement mon petit trou était prompt à se refermer après chaque pénétration. Cest pourquoi Rémy a baptisé mon cul « éponge à sperme », pour sa capacité à absorber le foutre).
Mon vagin nétait pas en reste, surtout grâce à Rémy qui semblait prendre un plaisir particulier à me remplir par ce trou. Heureusement que je portais un stérilet, sans quoi mes baiseurs nauraient pas manqué de mengrosser, et jaurais été bien incapable de savoir qui était le père! Pas Guy, en tout cas, à qui je refusais systématiquement lentrée de ma chatte: elle était trop irritée, et surtout trop pleine de semence
Naturellement, javais droit aussi à ma ration de jus de couilles que Rémy ou Pierre se chargeaient de me faire avaler quotidiennement. Ces deux-là se tenaient dailleurs mutuellement au courant de mes activités par le biais du téléphone. Ainsi, quand Rémy avait envie de ma chatte, après mavoir bien sûr sodomisée dès que je rentrai du travail (ce qui fut le cas tous les jours pendant ces trois semaines), il téléphonait toujours à Pierre pour lui demander sil avait « donné à manger à la chienne ». La réponse était souvent positive, ce qui avait pour résultat dexciter Rémy qui me baisait alors bien à fond en me couvrant dinsultes.
Du coup, cest le cul et la chatte dégoulinants de sperme que je recevais presque tous les soirs mon mari. Quand je servais à table, parfois, le foutre qui sétait accumulé dans ma culotte débordait et je le sentais couler le long de mes cuisses jusquau revers de mes bas. Je trouvais mon mari pitoyable de ne sapercevoir de rien, je le méprisais et je mouillais en mimaginant lui faire nettoyer les dégâts avec sa langue. Ces envies dhumiliation sont vites devenues si fortes que, un soir, je nai pas pu me retenir et jouant avec le feu, je me suis fait baiser par Guy sans mêtre douchée. Jai guetté avec appréhension sa réaction quand il ma pénétrée, mais il sest simplement contenté de me dire: « Ouuuah! Ce que tu es mouillée, petite salope
». Il ne croyait pas si bien dire! Soulagée et très excitée par la situation jai laissé mon imbécile de mari barboter dans le sperme de son fils tant quil a voulu
Quelquefois, Pierre avait préféré consacrer sa jute à mon cul ou à ma chatte, ou plus simplement il avait été absent de toute la journée. Rémy ne manquait alors jamais de décharger dans mon « récipient à sperme », pour mon plus grand plaisir! Jétais dailleurs parfois tentée de prétendre navoir pas eu droit à ma ration de foutre (jaime tellement ça!), mais le fait que Rémy puisse vérifier à tout instant cette information auprès de Pierre men empêchait.
Il se trouve que la plupart du temps, cest Pierre qui se chargeait de me nourrir, Rémy préférant se réserver pour mes deux trous du bas. De plus, cétait malheureusement une période où Guy était souvent présent et Rémy ne pouvait donc pas me donner mon « petit-déj ». En gros, je ne le suçais plus que le week-end. Comme il fallait sy attendre, le goût du foutre de Rémy a fini par me manquer. Jai fini par protester, à ma façon: un soir, tandis que Rémy menculait pour la deuxième fois de la soirée, jai eu lenvie irrépressible de boire son foutre. Quand Rémy a grogné, je me suis dégagée vivement, et sans me soucier de létat de sa queue, je lai gobée, avide de recueillir sa jouissance au fond de ma gorge. Mais Rémy na pas éjaculé. Il sest retiré et jai gémi:
-« Oh! Sil te plaît
jute-moi dans la bouche
- Je fais comme bon me semble! Et puis, Pierre ten a déjà donné aujourdhui, il me semble
- cest pas pareil! Tu sais à quel point jadore le jus de tes couilles, mon amour! Parfois ça me manque
- je vois, la pute fait son caprice
- oui
» Ai-je admis.
Je pensais quil allait se montrer sévère envers laffamée de sperme que je suis, mais en fait il a été adorable puisquil ma redonné sa queue à sucer! Je lai tétée fiévreusement jusquà ce quelle crache sa sauce dans ma bouche de salope. Jai tout ingurgité en couinant de satisfaction, puis jai embrassé ses couilles en le remerciant. Quelle pute je fais! Par la suite, afin que je ne sois pas en carence de son foutre, Rémy a promis de sappliquer à se finir plus souvent dans ma bouche (que je tiens grande ouverte dans ces moments-là!). En fait, depuis ce jour, il y a très peu de ses éjaculations que je navale pas! Quand il me jute dans la chatte, il me donne souvent son sperme à manger en allant le récupérer dans mon vagin avec une cuillère en plastique flexible que lon trouve dans les rayons de puériculture. Javale alors les trois ou quatre cuillérées (voire beaucoup plus quand les amis de Rémy mont aussi giclé dedans!) de foutre chaud avec gourmandise. Quelquefois, quand il veut vraiment me faire plaisir, il me baise ou mencule avec une capote dont il me permet ensuite, après avoir joui, dingurgiter le contenu blanchâtre. Ainsi, je ne perds rien! Le port du préservatif étant moins agréable pour lui jen ai conscience je lui suis dautant plus reconnaissante pour ces petites attentions
Je précise que les capotes sont dailleurs pour Rémy loccasion dinventer de nouveaux jeux pervers: un jour par exemple, profitant que son père soit parti très tôt, Rémy ma baisé comme une chienne au milieu du salon. Mais au lieu de me donner la capote bien crémeuse, il a fait un nud et me la mise dans la chatte en me donnant lordre de la garder au chaud dans mon vagin toute la journée. Ce nétait guère évident avec mes muqueuses archi-lubrifiées! Pourtant, en bonne soumise, jai consacré mon temps à aller aux toilettes pour remettre au fond de ma chatte la capote qui, alourdie par le foutre, ne cessait de descendre vers lentrée de mon orifice. Ceci dit, il valait mieux pour moi: Pierre a débarqué sans crier gare à plusieurs reprises dans mon bureau pour vérifier avec ses doigts que je respectais bien les consignes de Rémy
En rentrant du travail, Rémy est allé chercher la capote tout au fond de ma conasse mielleuse (par vice, javais pris soin de bien la replacer juste avant dentrer dans la maison!). Rémy a palpé le caoutchouc pour vérifier quil était tiède, puis il a exigé (et obtenu!) que je fasse la belle comme les chiens, en haletant avec la langue tirée comme les chiens. Il a passé la capote sur ma langue et sur mon visage, puis il ma laissé mordre dedans. En crevant, le préservatif a enfin laissé séchapper dans ma bouche avide le sperme matinal de Rémy. Une vraie douceur! Une autre fois, il a mis sa capote souillée dans le congélateur et le lendemain jai dû décongeler le sperme en la suçant. Quand Rémy a estimé que le foutre était à bonne température, il a retourné la capote et me la vidée dans la bouche.
Au demeurant, jai rapidement eu lopportunité davaler plus souvent le jus de Rémy. En effet, Pierre a eu envie un matin que je le branle. Je flattais la bite et les couilles de mes amants avec les doigts, certes, mais je ne métais jamais encore livrée à ce genre dexercice que ni Rémy ni aucun autre ne mavaient jamais réclamé. Et apparemment, ma première ne fut pas une réussite. Au bout de quelques instants seulement, Pierre ma interrompue:
-« Bon, allez, ça suffit! Suce-moi puisque tes bonne quà ça! »
Il est vrai que je me suis tout de suite sentie plus à laise! Jai arrondi mes lèvres autour de sa tige et jai commencé à le pomper bien fort. Tout en se faisant sucer, Pierre a pris son téléphone quil a mis sur haut-parleur.
-« Allô, Rémy? Ta pute ne sait pas branler une queue! Une vraie catastrophe!
- Merde! Cest vrai que je ne me suis jamais penché sur cette question
- Eh oui! De grâce, fais quelque chose!
- Ok, je men occupe dès ce soir
»
Quand je suis rentrée, Rémy ma fait mettre en travers de ses genoux et après avoir relevé ma jupe sur mes reins, il ma flanqué une bonne fessée, au motif que je lui avais fait honte. Puis il a entamé mon éducation dans « lart de branler une queue comme une pute ». La croupe encore rougie et la jupe toujours troussée, jai dû maccroupir, les fesses touchant mes escarpins à talons hauts. Ensuite, jai eu pour instruction douvrir mes cuisses au maximum, de poser le bout du gland sur ma langue et de branler la bite dune main en caressant les testicules de lautre, le tout sans jamais quitter Rémy des yeux. Rémy me guidait par des « plus lentement! » ou des « serre ma queue plus fort! ». En fait, le plus dur pour moi, cétait de me retenir de gober le gland. Si vous saviez ce que jen avais envie! Quand jai pris le bon rythme Rémy a marmonné:
-« Voilà, salope
comme ça, cest bien
branle-moi bien la queue
Continue
je vais te donner ta friandise de vide-couilles
Han! Tiens, bouffe! »
Sa bite épaisse a aussitôt déversé un flot de sperme tiède contre ma langue. Sans le quitter des yeux, jai attendu que Rémy finisse de me remplir la bouche de sa purée puis jai avalé le tout. Pour finir, jai pressé le bout de son gland pour faire sortir les dernières gouttes et jai léché le méat. Jai répété lexercice tous les soirs de la semaine ainsi que le week-end. Du coup, puisque Rémy navait plus guère la possibilité de visiter mon « éponge à sperme » (le temps nous manquait et ce cochon préférait souvent masperger le vagin. Il le faisait même quand javais mes règles! La première fois, javais eu quelques réticences, mais Rémy mavait dit que je devais toujours me tenir disponible par tous les trous, quil avait envie de ma chatte maintenant et quil ne comptait pas sarrêter à ce genre de détail), Pierre a eu pour instruction de menculer au moins deux fois par jour, afin dêtre sûr que je reste bien ouverte du cul durant mon apprentissage de masturbatrice.
Le lundi, Rémy a estimé que jétais prête et que « javais fait des progrès notables dans mon apprentissage de pute », selon ses propres mots. Il en avait informé mon patron qui sest empressé de vérifier par lui-même dès que je suis entrée dans son bureau. Jai appliqué soigneusement les règles que Rémy mavait apprises. Je crois que Pierre a adoré la position, et surtout le fait que je le fixe dans les yeux pendant que je lastiquais.
-« Putain! Quelle salope! Et elle me regarde, en plus! Ce que tu mexcites
Taimes ça bouffer du sperme, hein? Ooooooh! Je sens que ça monte
attends, ferme la bouche, salope, je vais te faire un joli maquillage de pute
»
Sa bite sest contractée et un jet puissant de foutre sest écrasé contre ma joue, bientôt suivi par deux ou trois autres tout aussi forts. Pierre a saisi sa queue et a lâché le reste de son jus sur mes paupières. Jai consciencieusement recueilli avec mes doigts le foutre répandu sur ma figure et je les ai léchés pendant que Pierre appelait Rémy pour le complimenter sur linstruction quil mavait prodiguée, mais qui était loin dêtre terminée
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